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31/08/07
Résumé:  Un mari se voit contraint d'accueillir, seul, un couple d'invités inconnus, venus bénéficier de la chambre d'amis. Son épouse est bloquée en ville à cause du verglas.
Critères:  fh hagé fagée voyage vengeance exhib fellation anulingus préservati portrait
Auteur : XXL  (le hasard peut être bienveillant ou très cruel)
Concours de circonstances

Concours de circonstances


Je balayais la fine couche de flocons de mon trottoir pour éviter qu’ils ne gèlent et ne transforment en patinoire le passage piétonnier. On était mi-février, le froid était vif et le vent d’Est glacial en ce samedi matin, dans la région Nord. Je venais d’avoir une prise de bec avec mon épouse : elle voulait que je l’aide à faire le ménage dans la chambre d’ami. J’avais l’habitude de laver la maison toutes les semaines, je m’occupais aussi du jardin et des bricolages, je faisais la bouffe le dimanche ; ma contribution à la vie communautaire était suffisante.

D’autant que j’avais fendu des bûches et scié des rondins, tôt ce matin, pour accueillir avec un feu de bois des invités dont je n’avais rien à faire ! Ma chère épouse, sans me demander mon avis, avait proposé à sa copine de l’aquagym, qui fêtait ses trente ans de mariage, d’héberger un couple de cousins du Havre, qui était invité à la fête. Bref la galère pour moi ; d’autant que l’hospitalité nordiste était en jeu.


Le portail des voisins d’en face s’ouvrit. Les deux petites filles se rendaient en classe. Anne, leur jeune maman, emmitouflée dans une parka courte qui laissait passer une chemise de nuit rose, rappela à l’ordre ses enfants pour qu’ils me disent bonjour. La maman était mince et jolie quand, jeune mariée, elle avait acheté la vieille maison que le couple retapa une dizaine d’années. À présent, son visage était encore mignon mais, certainement à cause d’un problème hormonal, elle avait pris du poids. Anne, qui n’arrêtait pas de s’engueuler avec son mari, montrait depuis un an, ouvertement, un intérêt certain pour ma modeste personne. Certes j’avais quinze ans de plus qu’elle, mais elle me trouvait gentil et pas imbu de ma personne, pour un ingénieur - titre prestigieux pour elle, mais bien frelaté pour moi qui ne sortait que d’une modeste école d’électronique de province !


De part et d’autre de la rue, Anne et moi discutions de la non fiabilité des prévisions météo, quand le minuscule roquet hargneux, adopté par les filles, se pointa et aboya méchamment à mon encontre. Anne s’accroupit immédiatement pour le gronder en le saisissant par la peau du cou. Elle avait juste oublié que dans cette position, elle exposait ses cuisses imposantes à mon regard. Anne fut presque entraînée par le fauve rebelle qui voulait s’échapper. Surprise, elle écarta les jambes pour stabiliser son assise. Anne ne portait pas de petite culotte sous sa chemise de nuit. Je matais distinctement son petit minou dans son intégralité : dépourvues de toute trace de pilosité, deux boursouflures encerclaient une courte fente sombre.

C’est ce moment-là que mon épouse choisit pour m’interpeller de la cuisine, afin de l’aider à faire le lit de ses invités.

Certes, je n’avais jamais trompé mon épouse, mais j’avais failli quand même oser traverser la rue, pour faire plus ample connaissance avec ma voisine, ce jour-là.


Notre couple, après trente ans de vie commune, traversait des moments de plus en plus difficiles. Mon épouse me tenait régulièrement un discours féminin assez stéréotypé :



Il y avait une part de vérité dans ce réquisitoire récurrent et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je n’avais jamais entrepris la conquête d’une autre femme. Débiter des niaiseries amoureuses, se montrer prévenant et attentif à tous les désirs, faire semblant d’être tendre et fou d’amour, c’était vraiment pas mon truc. Par contre, dans mes nombreux rêves érotiques débridés, j’avais cocufié un tiers des maris du village, j’avais fait subir les derniers outrages à la plupart des copines de mon épouse, sans oublier quelques collègues de travail et mes deux belle-sœur.


Bien sûr, j’étais conscient que la dimension sensuelle de ma vie était virtuelle mais, ça me suffisait. La nuit dernière, la femme du pharmacien, à la croupe majestueuse, m’avait supplié de la sodomiser car elle n’avait jamais osé le demander à son mari, espèce d’intégriste catholique que je n’aimais pas du tout. Hélas ce n’était encore qu’un de ces fantasmes scabreux dont j’avais le secret ! Nobody is perfect.


Comme tous les samedis, je partis une heure à la piscine, pour entretenir la forme. Quand je rentrai à la maison, ma femme avait déjà pris son repas car elle devait covoiturer des adhérents de son club d’orchidées pour une conférence sur Lille, suivie de la visite des serres d’un riche collectionneur de cette fleur, devenue curieusement mythique. Elle me donna les dernières recommandations : allumer le feu de bois vers dix sept heures, pour nos hôtes normands. Elle serait de retour une demi-heure plus tard, le temps de reconduire les copines chez elles.

Après une longue sieste et une douche très chaude, j’étais d’attaque pour affronter, presque de bonne humeur, cette fin de journée. Ce fut de courte durée car, alors que je venais d’allumer la cheminée, un coup de fil de mon épouse déclencha une bordée de jurons dés que je raccrochai le combiné. La météo capricieuse avait trouvé amusant de déclencher une pluie verglacée sur l’agglomération Lilloise. La gendarmerie interdisait l’accès aux autoroutes, à cause d’une série de carambolages et, notre monospace était bloqué depuis une heure, avec deux ou trois mille autres véhicules, sur le périphérique de la préfecture, transformé en immense patinoire.


Ma chère épouse venait donc de m’annoncer que je devais me débrouiller tout seul avec nos hôtes vu que, elle et ses copines, avaient décidé d’aller dormir chez une de leurs amies Lilloises. La cerise sur le gâteau, c’est que je devais en plus lui enregistrer sur la chaîne Odyssée, une émission sur les îles Grecques des Cyclades, qu’elle avait pensé regarder vers vingt trois heures.


La fervente de la gymnastique aquatique amena ses cousins, vers vingt heures. On discuta brièvement des perturbations hivernales et, pendant que mes invités déchargeaient leurs bagages, miss aquagym m’informa discrètement qu’il y avait de l’eau dans le gaz entre son cousin et sa femme. Elle avait compris, à travers quelques allusions de la normande, qu’il y avait eu, récemment, une histoire de coucherie entre la nouvelle femme de ménage et le cousin. Elle n’en savait pas plus, mais le couple ne s’était pas adressé la parole du repas et la femme trompée avait noyé son chagrin en forçant sur le champagne et la Bénédictine.

Bonjour l’ambiance ! Rien n’allait mal !

Jean Paul, le mari, regardait le match de foot sur Canal, tout penaud dans son fauteuil, n’osant même pas participer à notre conversation. Marie-France, était par contre très volubile. Les bras allongés vers les flammes, elle regardait mes photos de voyage, accrochées au mur en me demandant des précisions sur chacune d’elles. Marie-France semblait avoir oublié sa mésaventure ; elle adorait le feu de bois car elle habitait un appartement en centre ville.

Elle avait une drôle de tête, cette brave dame qui devait friser la soixantaine. Ses cheveux ultra courts, teintés en blanc, mettaient malheureusement en valeur son nez long, proéminent. Le visage, parsemé de taches de rousseur, aurait certainement été plus mignon, simplement en changeant la coiffure. C’était son problème, pas le mien ! En outre, son ensemble veste tailleur pied de poule noir et blanc et ses bas noirs lui donnait le look d’une mamie de la France profonde venue faire un tour en ville avec le club du troisième âge du village.


Marie-France évoluait difficilement devant mes photos, peut-être l’abus de boissons alcoolisées, peut-être aussi ses chaussures à la mode, talons hauts, pointues comme des santiags, qui donnaient l’impression que les femmes chaussaient toutes la pointure 45. Je me rendis compte à ce moment-là que, bien que la jupe courte découvre le bas des jambes galbées et musclées, Marie-France se déplaçait un peu en canard. De dos, en dessous de ses hanches larges, on voyait nettement que ses jambes étaient passablement arquées.


Mes photos du Tassili, du Grand Canyon, des glaciers Islandais ne provoquèrent qu’un commentaire poli de sa part. Par contre, mon petit village grec, aux ruelles étroites, aux maisons d’un blanc éclatant, aux portes cloutées d’un bleu magique et inondé de bougainvilliers me valurent des félicitations. Marie-France avait toujours rêvé aller en Grèce, mais, et elle le dit bien haut pour que son mari l’entende :



Le mari de haute taille se tassa un peu plus dans son fauteuil mais aucun son ne sortit de sa bouche. Très satisfaite de cette attaque perfide, Marie-France se replaça devant les flammes et déboutonna sa veste. Un chemisier blanc avec un décolleté en jabot apparut et, pour la première fois, je trouvais la Normande digne de mon intérêt. Une énorme paire de nichons, arrogants, tendaient si fort le tissu qu’on voyait les broderies du soutien-gorge et son armature renforcée, transparaître sous le tissu quelque peu translucide. Le choc sur ma libido était si visible que, Marie-France, flattée, ébaucha un sourire tant mes yeux sortaient de leur orbite.

Je venais de faire visiter leurs appartements à mes hôtes en leur affirmant que je restais à leur disposition s’il manquait quoi que soit. Je serai soit dans le bureau, sur Internet, soit devant la télé pour enregistrer une émission sur les Cyclades, vers vingt trois heures. Jean-Paul, sur les ordres de son épouse s’engouffra dans la salle de bains, en premier, sans piper mot. Marie-France me demanda un polar car, vu certains événements, elle aurait du mal à s’endormir. La porte de la chambre était ouverte, on entendait Marie-France chantonner en rangeant ses affaires, alors je frappais discrètement.

Sans attendre la réponse, j’entrais avec mes bouquins. Je m’excusais ; elle aussi… de ne pas avoir fermé la porte mais voilà, Marie-France était en petite tenue. Comme elle trouvait que sa tenue était plus correcte que celle de certaines touristes sur la plage, elle écouta mes appréciations sur les deux livres policiers que je lui proposais, sans aucune fausse pudeur. Le soutien-gorge blanc, super renforcé, était décoré de cercles rose pâle, enchevêtrés les uns dans les autres, la culotte était une espèce de boxer short léopard, flottant sur les cuisses musclées, en tissu fin, de dominante jaune et noir.

Je m’excusai encore une fois de mon intrusion inopportune, mais je ne pus m’empêcher de lui avouer que je trouvais sa poitrine somptueuse. Marie-France me remercia de mes compliments inattendus et elle sourit, gênée.


La caméra s’attardait dans les ruelles d’un minuscule village crétois, les bougainvilliers dégoulinaient des murs immaculés, des chats dormaient au beau milieu du chemin sans la moindre crainte de se faire écrabouiller par un improbable véhicule à moteur. Les accords discordants et violents d’un solo de bouzouki furent perturbés par la petite voix de Marie-France, qui avait pénétré dans le salon sans que je ne m’en rende compte.



Elle portait une longue chemise de nuit en satin, pudique, de couleur abricot, agrémentée de quelques dentelles blanches autour d’un généreux décolleté. Quand mon invitée posa le chargeur sur la table basse, en s’inclinant pour brancher le cordon, force était de constater que la normande ne portait plus son soutien-gorge renforcé et que, ses splendides seins laiteux s’agitaient librement dans l’ouverture du décolleté. J’étais un peu gêné de cette intrusion inattendue car je ne portais qu’une culotte de pyjama fripée, un gilet de laine ouvert sur ma poitrine velue et une vieille paire de baskets, même pas lacée.

Pour me mettre dans l’ambiance grecque, je venais de me servir un verre de Racchi, espèce de Brandy hellène, pas très fruité mais très alcoolisé. Elle me demanda d’y tremper ses lèvres et finalement accepta que je lui en verse un verre. Elle me prévint que je serais peut-être obligé de la reconduire au lit car elle n’avait pas l’habitude de prendre tant d’alcool en une seule journée mais que, vu le cauchemar qu’elle venait de vivre cette semaine, elle avait besoin de noyer ses envies d’homicide. Marie-France se planta devant les flammes de la dernière bûche, tendit les bras vers la source de chaleur et fit mine de s’intéresser aux images du documentaire en éclusant le Racchi .


Elle avait certainement besoin d’évacuer ses rancœurs, de préférence à un inconnu. C’était peut-être plus facile qu’avec sa filleule car Marie-France vida son sac. En gros, elle avait des preuves que son mari l’avait cocufiée plusieurs fois, avec la nouvelle jeune femme de ménage, qui venait du village voisin. Elle n’était pas triste mais humiliée et son visage s’était métamorphosé en un masque de haine vengeresse .


Les moulins de Mykonos laissèrent la place aux splendeurs de Santorin ou des centaines de touristes, bardés de caméras et d’appareils numériques, s’agglutinaient sur les hauteurs de la falaise, pour immortaliser le célèbre coucher de soleil sur le cratère du volcan. Marie-France, d’une voix un peu pâteuse quand même, me fit part de son émerveillement et pesta à nouveau contre son mari qui l’avait privée de tant de merveilles. Je la sermonnais un peu en argumentant sur le fait que parmi les centaines de touristes qui photographiaient le coucher de soleil, il y en avait certainement un quart qui était venu seul, au sein d’un groupe organisé par un tour opérateur ou même une chaîne d’hypermarchés. J’insistais grossièrement en lui faisant remarquer qu’elle n’était plus un perdreau de l’année, que la vie était courte et que c’était à elle de se prendre en charge avant qu’un cancer inattendu ou qu’une arthrose irréversible réduise ses rêves à néant.

Je me rendis compte que je l’avais un peu trop secouée, mais, curieusement, la normande me remercia de l’avoir confirmée dans ce qu’elle pensait oser faire depuis quelques mois. J’en rajoutais une louche en évoquant mon dernier voyage en groupe, en Islande, où on avait rencontré des gens passionnants et passionnés. Marie-France me regarda alors droit dans les yeux et, d’une voix un peu plus pâteuse que précédemment, elle déclara, un sourire coquin au coin des lèvres :



L’intonation sensuelle dont Georgette s’était servie ne laissait aucun doute sur la connotation lubrique de son intervention. Une dame ni vilaine ni conne, un peu éméchée, motivée par un désir de vengeance, avec en outre des nichons de compétition, c’était l’occasion à ne pas rater ! J’allais pour la première fois tromper mon épouse, sans état d’âme, bien décidé à réaliser quelques vieux fantasmes… Alors, très calmement, je me suis débarrassé de tous mes vêtements mais, en ôtant mes baskets, je me suis rendu compte avoir fait une connerie, le carrelage était gelé. Marie-France me détaillait, de haut en bas, sans aucune honte. Elle ne se retourna vers les flammes que quand je fus tout proche. Un gros bisou humide dans le cou, mon membre bien collé entre ses fesses que je sentais fermes sous le satin glissant, j’entrepris de baisser les bretelles de la chemise de nuit. Aucune protestation, juste ses mains qui retinrent le vêtement au niveau des hanches. La tête en arrière, les yeux fermés, mon invitée subissait en souriant les assauts du mâle qui, par derrière, scotché contre ses fesses, avait passé les bras sous ses aisselles pour empoigner ses seins à pleines mains. Elle me les laissa pétrir à ma guise, poussant juste quelques rires discrets de satisfaction. C’était moelleux à souhait et une main suffisait à peine à emprisonner complètement la mamelle. Je me goinfrais de chair malléable et élastique, mélangeant longuement les caresses manuelles et les dégustations buccales.


Marie-France trouva certainement que je négligeais une partie de son corps tout aussi impatiente de caresses sensuelles car elle abandonna le maintien de sa chemise de nuit pour guider ma main droite vers son entrejambe mystérieux. Comme ma position n’était pas très pratique et que, surtout j’avais toujours les pieds transis de froid, je résolus de m’asseoir entre ses jambes sur le tissu satiné qui jonchait le sol. Elle poussa un petit cri de surprise approbatrice et en profita pour écarter largement les jambes tout en baissant légèrement le buste. J’étais donc aux premières loges, avec vue panoramique sur le minou de ma partenaire.

Le pubis était une colline bombée, abondamment garnie de longs poils frisés, d’un roux lumineux, qui avaient réussi à encercler aussi les crêtes roses de la fissure féminine. La coquine avait certainement prémédité son coup car un parfum discret de chèvrefeuille embaumait son intimité. Ma langue vagabondait du clitoris jusqu’à l’intérieur de sa fente trempée, accompagnée de petits râles de contentement de la normande. Mes pieds, épanouis en éventail vers les flammes reprirent enfin des couleurs.


Comme notre complicité semblait parfaite, j’osais solliciter la participation active de Marie-France en guidant sa main vers mon pénis qui somnolait paisiblement. Comme sa petite main potelée, à bout de course, éprouvait des difficultés à emprisonner mon membre, elle fléchit les jambes et s’inclina vers l’avant pour satisfaire son bienfaiteur. Bien stabilisée par ses jambes arquées, sa croupe majestueuse s’ouvrit alors, juste à hauteur de mon visage. Spectacle grandiose s’il en fut ! Le sillon profond qui séparait les deux hémisphères volumineux était tellement envahi de poils roux et hirsutes que, son anus semblait avoir disparu. Alors que je n’avais jamais osé le proposer à mon épouse, là, je me permis de lécher l’anus de Marie-France qui ne sembla pas trop perturbée de mon audace. Elle poussa juste un petit Ohhh de surprise quand elle sentit un gros index masculin lui fouiller le trou du cul.


Comme sa position lui donnait mal aux reins, on se retrouva debout, épanouis, collés l’un à l’autre, dans le traditionnel et inévitable baiser langoureux. Je venais de me détacher de cette étreinte de cinéma pour l’avertir d’une brève absence, inhérente à la quête d’un préservatif. Marie-France me fit alors une extravagante proposition que je fis semblant d’accepter, difficilement, mais j’avais ma petite idée derrière la tête et ce serait l’occasion de réaliser un vieux fantasme inassouvi.


Comme j’étais, paraît-il, son premier amant, Madame voulait m’immortaliser dans une photo numérique, mais, dans le plus simple appareil ! Je la laissais donc chausser ses lunettes et ajuster les réglages de son réflex numérique, puis j’en profitais hypocritement pour lui faire part de mes intentions. En gros, je lui expliquais que, tant qu’à faire, je voulais que la photo soit à mon avantage et que mon érection naissante ne demandait qu’à s’épanouir, dans l’intérêt de l’art photographique, évidemment. Un peu étonnée quand même au début, Marie-France accepta en rigolant de réaliser quelques uns de mes rêves pervers. Je lui fis faire deux fois le tour du salon, en petite foulée, histoire de donner du mouvement à ses grosses mamelles qui entamèrent, sous l’effet de la pesanteur, une gigue des plus réjouissantes. Ses gros nichons pendouillaient quand même un peu mais, au moins, ce n’était pas le spectacle lamentable des seins siliconés moulés au bol et d’une inertie mortuaire ! Elle était un peu essoufflée quand je l’invitais à se mettre à quatre pattes à l’extrémité du divan d’angle du salon. Marie-France afficha un sourire coquin et complice quand, debout en face d’elle, je coinçais mon sexe entre ses seins volumineux et que je me permis une petite branlette voluptueuse.


L’audace suivante fut acceptée avec plus de circonspection. Visiblement cela n’était pas la tasse de thé de Madame d’avaler, à pleine bouche, la queue humide d’un mâle excité à l’extrême. Elle laissa quand même quelques instants mon sexe voyager entre ses lèvres pendant que mes grosses mains trituraient ses nichons moelleux.

Finalement, elle ne perdit pas au change car je jouais son jeu. Marie-France, comblée, réalisa trois photos de son étalon en pleine érection qui s’amusait à prendre des poses de culturiste. Méticuleuse, la copine chaussa ses lunettes pour vérifier la réussite de ses prises de vue alors que, assis sur le canapé, je terminais d’ajuster laborieusement un préservatif rose bonbon.



Je n’eus pas le temps de me lever qu’elle me chevaucha en s’enfilant sur mon pénis érigé vers le plafond. Cela faisait une grosse minute que Marie-France jouait à l’ascenseur sur mon membre, en m’écrabouillant les testicules coincés entre mes cuisses.



Elle n’était pas contre du tout, d’autant que le Brandy avait eu sur elle des vertus diurétiques et qu’elle avait subitement une envie pressante. Je dus quand même négocier fermement pour qu’elle accepte de faire son gros pipi debout au-dessus de la cuvette, la porte des w-c ouverte… Je lui exprimai toute ma gratitude de m’avoir offert ce spectacle, si confidentiel, tout en lui passant une lingette humide sur le minou.


La deuxième lingette s’égara rapidement sur un orifice plus petit. Marie-France rigola car la lingette froide la chatouillait. Bien qu’une de ses amies, assez libérée, lui aie conseillé d’essayer au moins une fois, Marie-France avoua n’avoir aucune expérience de sexualité, dans cette zone peu reluisante de l’anatomie humaine. Moi aussi, j’avouais n’avoir qu’une connaissance théorique sur ce chapitre… Il fut donc décidé de faire un essai, par pure curiosité réciproque. Dés que l’un des deux en exprimerait le désir, il y aurait immédiatement cessation des activités. Curieusement, Marie-France s’enferma, pour faire une toilette intime plus poussée et elle m’envoya à la recherche d’un lubrifiant. Le buste posé sur l’accoudoir d’un fauteuil en cuir, la croupe ouverte, les jambes bien cambrées, ma partenaire se laissait enduire l’anus de gelée de pommes, sortie du réfrigérateur (à la guerre comme à la guerre…j’allais quand même pas utiliser la margarine aux Omega 3). Je pris toutes les précautions possibles : pénétration lente, en douceur, très respectueux de ma partenaire ; mais j’étais vraiment néophyte et le trou du cul de la normande refusait obstinément de se dilater. Bref, elle avait un peu mal et moi je n’avais enfilé que cinq centimètres de pénis.

Cet échec total et réciproque ne nous traumatisa pas outre mesure. Comme Marie-France ne voulait pas tâcher sa chemise de nuit avec la gelée de pommes qui dégoulinait de ses fesses, elle resta en position et me demanda de l’éponger avec un essuie-tout en papier. C ’est pendant cet exercice insolite qu’elle releva légèrement la tête et me posa une question inattendue :



Ma réponse fut spontanée car, je venais de découvrir, en finissant mon nettoyage, à l’intérieur de la fesse droite, la présence d’une tâche de naissance, en forme de botte d’Italie.



L’idée lui sembla géniale. Alors que le flash de l’appareil numérique illuminait le cul normand plusieurs fois, Marie-France ne cacha pas sa jubilation à l’idée de voir la tête de son mari, le lendemain. Elle attendrait qu’il se connecte à Eurosport, bien installé dans son fauteuil et, elle lui présenterait les clichés.

Du coup, elle me demanda, pour achever le pauvre homme, une prise de vue plus acrobatique. Debout, les bras tendus au-dessus de la tête, les mains agrippés au Canon, le viseur LCD orienté vers moi, j’essayais de cadrer Madame. Elle était agenouillée sur un coussin, venait de me débarrasser de mon préservatif. Une de ses mains empoignait la naissance de mon membre et le reste de ma queue avait disparu dans sa bouche. Le visage tourné vers la caméra, elle attendait, radieuse, l’éclair du flash. Je doublais le cliché, pour être sûr.

Exaltée à l’idée de voir la tronche de son époux le lendemain soir, elle en oublia presque de me demander de protéger mon pénis en érection terminale. Le bref échange verbal et médical qui s’en suivit fut convaincant pour les deux protagonistes car, Marie-France me permit de conclure sans silicone ; elle préférait, moi aussi.


Affalée dans le fauteuil qu’elle avait orienté face aux flammes encore vives du feu de bois, les jambes béantes, posées sur les accoudoirs, elle attendait l’assaut final avec fébrilité. Bien fléchi sur mes jambes, les mains accrochées à ses gros nichons, je la pénétrais en douceur et commençais à limer la normande, tout en puissance et retenue, la classe quoi ! Marie-France semblait apprécier, elle dodelinait de la tête, souriante, les yeux fermés, occupant une de ses petites mains potelées à cajoler son clitoris lâchement abandonné.

Puis ce fut la grosse humiliation de ma vie : certainement à cause du carrelage froid sur lequel reposaient mes pieds trop sensibles, un long pet aigu m’échappa totalement. La honte, le déshonneur, la dégradation de mon être. Ma partenaire, très bien élevée, fit comme si de rien n’était et me demanda juste d’accélérer la cadence. Elle poussa une série de petits gloussements puis un râle sauvage qui précéda la fuite éperdue des quelques milliers de spermatozoïdes. Juste pour goûter, Marie-France passa un coup de langue sur ma queue gluante et trouva çà franchement dégueulasse.


Avant de pénétrer dans la salle de bains, que je lui avais laissé en priorité, elle pénétra sur la pointe des pieds dans sa chambre, fit un magnifique doigt d’honneur à son mari qui dormait paisiblement et me ramena sa petite culotte léopard que je voulais garder, disons pour convenance personnelle…

Au petit matin, dans mon bureau fermé à clef, comme promis à Marie-France, je réalisai la copie des photos sur disquette, me fis une copie perso. Je mis dans la poubelle numérique les originaux de l’appareil et tirai sur papier la fellation de la veille et la croupe qui venait de subir les derniers outrages. Je dois avouer que cela émut mon pénis qui prit quelque rigidité sans me demander mon avis.

J’envisageais des tas de scénarios coquins pour le petit déjeuner, mais il ne se passa pratiquement rien de lubrique. D’abord Madame se leva très tard, ensuite elle portait une sorte de pantalon caleçon noir qui moulait ses fortes fesses et son gros cul, certes, mais que je ne trouvais pas du tout sexy. On faillit quand même se faire prendre par la patrouille, en l’occurrence mon épouse. Elle sonnait sans discontinuer à la porte vu qu’elle n’avait pas pris ses clefs. Faut dire que pendant que le mari était en train de boucler les valises à l’étage, j’avais bloqué Marie-France contre la porte du réfrigérateur. Elle avait rigolé quand j’avais maladroitement saisi ensemble son caleçon et sa petite culotte pour les descendre au niveau des genoux. Elle ne trouva rien à redire quand, à genoux sur le sol, je commençais à lui brouter son gros minou à la toison rousse, mais il y eut ces coups de sonnette rageurs.

Les deux mois qui suivirent furent très éprouvants. Ma multinationale virait, avec décence, tous les cadres quinquagénaires dont le salaire devenait, à leurs yeux, une charge exorbitante. Classique et prévisible. Négociations âpres sur le montant de la grosse prime de départ, sur notre statut hybride, sur la voiture de fonction que je voulais garder. Officiellement j’étais chômeur, en réalité, à cinquante six ans, j’étais en pré-fausse-retraite. Je pouvais donc « me lever le matin sans rien avoir à faire et me coucher… en en ayant fait que la moitié ». Je pris la décision de m’accorder une semaine de congé sabbatique, seul, pour me ressourcer. Fermer les yeux et regarder s’il y avait encore quelqu’un à l’intérieur. Mon épouse ne me posa aucune question, elle savait que ce n’était pas vraiment le moment. J’avais choisi la région de Dubrovnik mais, aux informations, j’appris que toute cette région de la Croatie était la proie des flammes. Pas de panique, l’agence de voyages me proposa une promotion sur Rhodes, une île grecque que je ne connaissais pas.

Fin Juin, temps splendide, température de l’eau idéale, petite plage de galets. Une dame bronzée, portant un maillot deux pièces, rose pâle, parsemé de petits ronds noirs sort de l’eau. Elle a les cheveux blancs, coupés très court, une poitrine somptueuse, un grand nez et les jambes un peu arquées… Marie-France s’élance, radieuse, vers un parasol. Un grec baraqué, au bronzage chocolat, la quarantaine, l’attend avec un drap de bain.


Le hasard est parfois cruel, et on ne peut pas gagner à tous les coups.