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Temps de lecture estimé : 23 mn
02/09/07
Résumé:  Un safari qui voit Béryl s'abandonner successivement au patron de son mari et au jeune chauffeur noir.
Critères:  f fh couleurs extracon vacances voiture exhib hmast entreseins fellation pénétratio -extraconj
Auteur : JFCorto            Envoi mini-message
Béryl : safari sensuel au Kénya

Préambule


Ce titre est un brin ringard mais il m’évoque certains romans policiers de gare des années soixante-dix (type Coplan ou même SAS au début de la série) dont l’érotisme, bien que léger, berça mon adolescence et me donna goût à ce type de récit. Les années quatre-vingts avec les « Brigades mondaines » et autres « Police de mœurs » furent plus trash.


Concernant Béryl, ce texte est la suite d’une série qui n’est plus présente sur ce site (j’étais un peu limite versus la charte et je respecte le choix de Revebebe), mais il peut se lire seul en tant que tel avec les quelques précisions ci-après : Béryl est (ou était…) une jeune femme sage, de bonne famille, et mariée. Grande brune aux courbes somptueuses et au visage innocent, son superbe physique a souvent attiré l’attention des hommes. Sa naïveté (ou sa perversité ?) et sa passivité l’ont entraînée dans diverses aventures érotiques, en particulier avec le patron de son mari qui, profitant d’un après midi commun à la plage, a su transformer un étalement de crème solaire en massage très sensuel, Béryl lui faisant même l’offrande de sa bouche…


XXX



Le mari de Béryl avait gagné dans sa société un safari au Kenya, grâce aux bons résultats de son département. Deux autres couples plus âgés étaient également du voyage, le patron de son mari, qui les invitait, étant déjà sur place. Arrivés à l’aéroport, ils furent accueillis par Koné, jeune Kenyan responsable de l’équipe locale, tenant un panneau au nom de la société. Dès la descente des passagers, il avait repéré la silhouette élégante de Béryl, mise en valeur par une robe sans manche beige assez ajustée, boutonnée sur tout le devant et cintrée d’une large ceinture. Son beau visage classique avec ses cheveux noirs réunis en queue de cheval, ses grands yeux innocents et sa bouche pulpeuse avaient également attiré l’attention des douaniers qui la déshabillèrent des yeux à son passage, louchant sur sa belle poitrine mise en valeur par la robe ajustée et sur ses fesses qui roulaient harmonieusement sous le tissu léger, marquant légèrement le triangle plutôt étroit de sa culotte. Aussi Koné fut-il ravi de la compter parmi le groupe qu’il devait accueillir.


Il se présenta comme leur chauffeur et leur souhaita la bienvenue dans un français hésitant, avant de les faire monter dans un minibus pour les conduire au camp de base, se débrouillant pour faire monter la jeune femme à ses cotés. Compte tenu du tarif du séjour, il était plus habitué à véhiculer des couples plus âgés et l’idée de côtoyer cette brune superbe pendant quelques jours l’émoustillait déjà. Pendant le trajet, profitant de ses lunettes noires, il jetait des coups d’œil en coin sur le corps prometteur de sa voisine. Tendue par ses seins pleins, sa boutonnière s’entrouvrait, laissant apercevoir de profil la base d’un sein bien galbé moulé de dentelle blanche. La fente de sa robe dévoilait également haut ses jambes superbes.


Elle se tourna de côté pour mieux parler à son mari assis à l’arrière du minibus, glissa une cuisse sur le côté, la dévoilant ainsi au ras de l’aine. Mais, à la grande déception du chauffeur, elle posa une main entre ses cuisses pour empêcher sa robe de trop s’ouvrir. Tout à la découverte du pays, Béryl ne se rendait pas compte des coups d’œil furtifs mais de plus en plus fréquents de son voisin sur ses jambes. La patience de ce dernier fut récompensée quand elle retira machinalement sa main pour montrer un monument à l’architecture typiquement africaine. Le tissu de sa robe se tendit alors sur ses cuisses, dévoilant le délicat triangle de dentelle blanche de sa culotte, gonflée par la toison brune de son pubis qui se devinait par transparence. Elle laissa la main sur le dossier, inconsciente de son impudeur.


Koné avait du mal à regarder la route, quasi hypnotisé par le spectacle de cette superbe fille qui s’exhibait sans le savoir, à portée de sa main. Il devait se retenir de ne pas glisser sa paume sur la peau dénudée, surtout quand, au gré des cahots, les cuisses s’écartaient sur le contrefort de satin de la culotte qui moulait une vulve bombée. Mais il espérait bien avoir l’occasion d’en profiter un peu plus au cours du safari.


Ils arrivèrent bientôt au camp de base composé de grandes tentes beiges. Ce fut Jeff, le patron de son mari qui les accueillit, accompagné de sa femme, une grande blonde, maigre et un peu fade. Béryl ne put s’empêcher de rougir en le saluant, se remémorant la scène de la plage. Le souvenir des mains qui s’étaient insinuées entre ses cuisses la fit frissonner et elle sentit les pointes de ses seins s’ériger légèrement mais suffisamment pour marquer le tissu de sa robe. À voir les yeux brillants du patron du mari fixés sur sa poitrine, elle n’était manifestement pas la seule à s’en souvenir…


Le soir, au cours du dîner, Jeff, assis en face d’elle, la dévora des yeux, la troublant malgré elle quand, sans gêne, il s’attardait du regard sur les belles rondeurs de son corps. La discussion était plutôt gaie et animée, et le vin aidant, elle se décontracta, fuyant moins le regard de Jeff qui faisait assaut de séduction. Elle avait oublié combien il pouvait être attirant et se sentait de nouveau sensible à son magnétisme. Elle fut à peine surprise quand le pied de Jeff, qu’il avait déchaussé, vint caresser doucement son mollet sous la table, mais elle ne put s’empêcher de frémir quand, après un moment, il remonta entre ses jambes nues. Le contact était loin d’être désagréable et elle ne se déroba pas, malgré la présence des invités qui ne faisait qu’ajouter à son trouble.

Mais, quand il se glissa plus haut sous sa robe, elle s’empourpra et resserra les genoux pour bloquer sa progression, un peu affolée, jetant un regard en coin sur les autres convives qui, en pleine discussion, ne remarquaient rien. Elle desserra alors inconsciemment l’étau qui emprisonnait le pied et le sentit avec délices se nicher au creux de ses cuisses. Ses mains se crispèrent sur ses couverts quand, de la plante du pied, Jeff commença doucement à lui masser le pubis à travers sa culotte, lui irradiant les sens. Elle se redressa sur sa chaise, avançant son bassin au ras du siège. Ainsi elle était mieux cachée par la nappe, mais elle permettait surtout au pied indiscret de pouvoir descendre jusqu’à sa vulve offerte qu’il écrasait doucement, faisant se gorger de sang ses lèvres intimes. Malgré le rempart de sa culotte, la chaleur de ce pied nu et son massage tournoyant contre son sexe eurent tôt fait de tremper le fin tissu, ce qui n’échappa pas à Jeff qui la regardait, les yeux fixes. La docilité et la sensualité de cette femme le rendaient fou.


Aucun des deux ne s’était rendu compte que leur manège n’avait pas échappé au chauffeur noir, mangeant par terre à côté du feu, le regard rivé sous la table sur ce pied qui disparaissait sous la robe entre les cuisses de Béryl, surpris par sa passivité et le trouble de son regard. Koné n’en revenait pas de voir cette fille, de prime abord plutôt sage, accepter cette caresse perverse à quelques mètres de son mari. Cela promettait pour la suite du séjour…


Béryl ne put retenir un petit jappement quand, de l’orteil, Jeff vint agacer son clitoris. Les convives se tournèrent vers elle, un peu surpris et, rougissant comme une pivoine, elle balbutia qu’elle avait mordu dans un piment, reculant prestement son bassin pour échapper à la caresse, les sens en feu. Elle prétexta alors le décalage horaire pour se retirer prématurément dans sa chambre, honteuse d’avoir de nouveau cédé aux caresses perverses de cet homme, mais le corps parcouru de douces vagues de chaleur. Elle était surtout surprise de l’art de Jeff de la mettre dans tous ses états et de la facilité avec laquelle il l’entraînait sur le terrain de ses jeux pervers.


Le lendemain, ils partirent dans plusieurs Land-Rover pour la première journée du safari. Elle n’osait regarder Jeff dans les yeux mais elle sentait son regard sur son corps comme une brûlure. Le patron manœuvra subtilement pour que Béryl monte avec lui dans le premier véhicule et les invités dans les autres. Bricolée à l’africaine, chacune des voitures était équipée d’une sorte de guérite circulaire qui permettait aux touristes, en grimpant sur une plate-forme, de bien découvrir le paysage tout en les protégeant d’éventuels animaux sauvages.


Koné, en tant que chef du camp, s’était désigné d’office pour conduire leur véhicule, au grand désappointement des autres chauffeurs. En effet, quand Béryl était apparue, vêtue d’une robe short courte, aux échancrures assez larges, ils avaient tous imaginé le spectacle qu’elle offrirait à l’heureux élu resté au volant, une fois juchée sur la plateforme. De fait, avant que le convoi se mette en route, le chauffeur, à l’abri du toit, se pencha rapidement en arrière pour profiter du spectacle que lui offrait la position surélevée de sa passagère. Le couple était installé de profil et l’échancrure des jambes de la tenue de Béryl était suffisamment large pour que Koné puisse admirer par dessous l’intégralité de ses cuisses fuselées jusqu’au pli sensuel de ses fesses rondes. Mais Jeff donna le signal du départ et Koné dut abandonner sa position pour se remettre au volant.


Béryl n’avait rien remarqué, plus concernée par la proximité du patron qui profitait du moindre cahot pour se laisser aller contre elle. Ce n’était au début que des frôlements furtifs mais bientôt les contacts se firent de plus en plus appuyés. La plate-forme était trop étroite pour que, même si elle en avait eu envie, elle puisse l’éviter. À chaque frottement avec ses rondeurs élastiques, le sexe de Jeff se gonflait un peu plus dans son pantalon.


Ils s’arrêtèrent devant un troupeau d’éléphants. La guérite surélevée les cachait jusqu’à mi-buste et les vitres fumées dissimulaient le reste aux yeux des autres invités. Jeff en profita pour glisser ses mains sur les hanches de Béryl, les caressant doucement avant d’attirer sa croupe contre son bas ventre. Le tissu léger de sa tenue ne pouvait cacher à Béryl l’excitation de Jeff et elle frémit quand elle sentit la bosse dure de son sexe gonfler contre ses fesses. Elle se contenta de crisper ses mains sur ses jumelles, sachant qu’il serait vain de se soustraire, tant son corps réagissait positivement au mâle contact. Ce consentement muet rendait Jeff fou, et la chaleur de la croupe de Béryl finit de le raidir. Du pied, il lui desserra les jambes et, descendant les mains sur ses fesses, il les écarta à travers le tissu de son short. Il plia alors les genoux légèrement, lui permettant ainsi de mieux se frotter contre son intimité, gland calé contre la vulve ainsi offerte, irradiant les sens de Béryl.


Son mari les héla pour leur montrer un éléphant particulièrement imposant et Jeff dut s’écarter prestement, laissant quand même une main traîner sur ses fesses, les palpant doucement à travers la robe short. Trop excités, ils avaient complètement oublié la présence du Noir, caché à leur vue par le toit mais qui ne perdait pas une miette du spectacle. À travers l’échancrure de la jupe culotte, il vit la main se faufiler sur les fesses couvertes d’un triangle étroit de satin noir. L’entrejambe était suffisamment lâche pour qu’il puisse même distinguer le renflement bombé du bas-ventre sur lequel les doigts de Jeff vinrent se blottir pour une caresse très intime.


Béryl se tourna d’un quart de tour pour masquer le trouble provoqué par les doigts fureteurs, mais en se cambrant malgré tout pour mieux s’offrir. Le tissu de la jupe s’ouvrit sur le devant et Koné découvrit l’intégralité de la culotte plaquée sur la douce déclivité du bas-ventre de Béryl, dessinant l’épaisseur discrète de sa toison avant de disparaître en une pointe étroite de satin entre ses cuisses, masquée en partie par le ballet des doigts de Jeff sur son intimité.


Ce dernier retira malgré tout sa main pour faire semblant de prendre des photos, afin de ne pas éveiller les soupçons du mari. Trop excité par cette croupe quasi offerte à moins d’un mètre de lui, le Noir prit sa chance et posa sa main à l’intérieur de la cuisse de Béryl, savourant la douceur et la chaleur de sa peau. Croyant que c’était Jeff qui reprenait sa caresse, Béryl ne réagit pas et laissa remonter la main entre ses jambes jusqu’à leur jointure, et Koné fut surpris de la trouver si brûlante, si trempée, prouvant le plaisir de la jeune femme de se faire caresser ainsi à la sauvette. Surveillant les mouvements de Jeff, il palpa avec délices la vulve moelleuse, suivant les replis de sa féminité à travers le satin mouillé, puis il remonta sur les fesses, les pétrit doucement, faisant glisser la culotte entre le sillon profond de la croupe. Béryl frémit sous le contact de cette paume sur ses fesses ainsi dénudées, que Koné admirait sous la jupe. La sensualité de cette Blanche et le fait de pouvoir contempler sa quasi nudité et de la toucher en profitant de sa méprise le rendait fou. Il finit malgré tout, lui aussi, par retirer sa main, la tête en feu, de peur de se faire prendre, mais ravi d’avoir pu déjà en profiter.


Le convoi se remettant en marche, le couple reprit une attitude raisonnable et ils finirent par rentrer au camp pour le déjeuner. Le safari reprit dans l’après-midi, mais Jeff monta cette fois-ci avec une des autres femmes pour ne pas susciter la méfiance du mari et Béryl se retrouva avec un charmant monsieur de plus de 60 ans qui resta très convenable. Au moins put-elle ainsi mieux profiter du spectacle des animaux sauvages.


Ils rentrèrent au camp en fin d’après-midi et Koné entendit Béryl annoncer à son mari qu’elle allait prendre une douche dans la cabine dressée sous un arbre, un peu à l’écart du camp. Le Noir, qui n’attendait que cette occasion, se précipita pour grimper dans l’arbre situé au-dessus de la douche, se dissimulant derrière le feuillage. Il avait ainsi une vue plongeante sur les quatre pans de toile qui constituaient la cabine sommaire. Il vit Béryl entrer et fermer soigneusement le panneau de toile. Se croyant ainsi à l’abri des regards, elle dénoua son peignoir et le fit glisser gracieusement sur ses épaules, dévoilant sa poitrine somptueuse. Malgré leur poids, ses globes ronds et pleins se dressaient orgueilleusement sur son buste. Koné distinguait même entre ses seins la touffe sombre de son pubis et, au delà de ses épaules, le haut de sa croupe fendue. Elle commença à se savonner la poitrine d’une main, l’autre se glissant entre ses cuisses pour une toilette intime. Sous l’agréable sensation de l’eau fraîche sur son corps, ses pensées se mirent à divaguer et revinrent au safari du matin et aux frissons de plaisir que lui avaient procurés les mains de Jeff.


Excité par ce spectacle très érotique, le noir se libéra et commença à se masturber. Ce fut à ce moment que Béryl le repéra entre ses yeux mi-clos et elle se figea. Le climat tropical, la nourriture épicée mais aussi la frustration provenant de ces caresses inachevées la maintenaient dans un état de semi excitation permanent et, de se savoir matée à la sauvette dans sa nudité intégrale, firent naître une boule de chaleur au creux de son ventre qui irradia tout son corps, gonflant ses seins et trempant son sexe. Même le contact de ses propres mains sur sa peau nue la brûlait délicieusement. Le Noir, qui avait cru être découvert, se rassura quand il vit de nouveau les mains de Béryl bouger sur son corps. Mais, à voir les doigts s’attarder sur les pointes de ses seins dardés et au creux de sa toison, il était clair que le savonnage se transformait en caresse.


En effet Béryl, le corps enflammé par le regard du Noir posé comme un aimant sur ses courbes sensuelles, commençait à se caresser, glissant un doigt entre ses lèvres humides et pinçant ses tétons dressés. Entre ses cils mi-clos elle devinait à travers le feuillage le sexe du Noir dressé, épais et noueux, et le ballet de la main qui le branlait. En plein fantasme, elle se surprit à imaginer la tige épaisse glisser au creux de ses fesses et un orgasme soudain la saisit, la laissant haletante, bouche ouverte sur un râle silencieux, déclenchant également la jouissance du Noir. Leurs regards se croisèrent à ce moment et le chauffeur comprit qu’il avait été dupé et découvert depuis le début. Se cachant le sexe d’une main il dégringola plus qu’il ne descendit de l’arbre et s’éclipsa prestement. Un peu hagarde, Béryl finit de s’essuyer, surprise du plaisir qu’elle avait pris à s’être ainsi exhibée devant le jeune Noir sans en ressentir plus de culpabilité que cela.


Le repas du soir fut expédié rapidement, les convives étant fatigués par leur première journée. Une fois couchée dans sa tente, Béryl eut un sommeil agité, parsemé de rêves érotiques qui la firent se réveiller plusieurs fois, haletante, le corps trempé de sueur. Le matin la trouva alanguie, le corps frissonnant encore de désirs. Au moment de choisir ses vêtements, une pulsion subite l’incita à revêtir une jupe plissée blanche s’arrêtant au-dessus des genoux alors que l’expérience de la veille aurait dû l’inciter à choisir raisonnablement un pantalon pour éviter toute tentation… Mais elle savait déjà que son corps aspirait à de nouvelles caresses…


Effectivement, Jeff prit cela comme un message et s’arrangea encore une fois pour la faire monter seule avec lui. Koné évita son regard quand il reprit le volant, heureux malgré tout qu’elle n’ait rien dit de l’épisode de la douche. Pendant le trajet jusqu’aux animaux, Jeff reprit son manège de la veille, se collant contre elle. Le chauffeur, en arrivant à l’emplacement des animaux, se débrouilla pour s’arrêter à bonne distance des autres véhicules, à moitié caché derrière un gigantesque baobab. En préservant ainsi l’intimité de ses passagers, il espérait que leurs attouchements iraient plus loin.


Une fois la voiture à l’arrêt, Béryl se pencha pour prendre les jumelles qu’elle avait laissées sur le siège et surprit le regard du Noir rivé sous sa jupe plissée qui s’écartait en corolle autour de ses hanches rondes, découvrant sa culotte jusqu’à la taille, dévoilant parfaitement le triangle de satin blanc qui moulait le haut de ses fesses avant de disparaître entre ses cuisses. Elle se releva brusquement, la gorge nouée, rouge de confusion, se rendant compte que les caresses appuyées de la veille n’avaient pas dû lui échapper. Elle hésita sur l’attitude à adopter mais elle ne se voyait pas crier au scandale alors qu’elle s’était caressée devant lui la veille… Les pensées confuses, elle ne réagit pourtant pas quand Jeff, qui ne s’était aperçu de rien, posa ses deux mains sur sa croupe, palpant à travers la jupe les fesses pleines, avant de se faufiler dessous pour remonter directement contre sa culotte. Après tout, le Noir avait déjà profité du spectacle et Béryl ne lui découvrait rien de nouveau…


Pourtant elle frémit quand d’un geste brusque Jeff rabattit sa culotte a mi-cuisses, dénudant ainsi ses fesses superbes. Le contact des paumes chaudes sur sa croupe nue ôtait à Béryl toute velléité de résistance et elle le laissa également trousser la jupe sur sa taille. Le noir put ainsi admirer la belle cambrure de ses reins. Les mains de Jeff pétrissaient les fesses rondes, ouvrant parfois leur sillon profond, dévoilant le départ des lèvres à travers la toison sombre. Elle laissa les doigts se glisser entre la fourche de ses cuisses pour se lover contre sa vulve déjà trempée.


Fou de désir devant le contraste entre son attitude passive et son sexe brûlant et humide, Jeff voulut aller plus loin et dégagea son sexe déjà tendu. Elle sursauta quand la tige durcie vint frôler ses fesses nues. Paniquée, elle glissa les mains dans le dos pour tenter de calmer les ardeurs de son amant. C’était moins la proximité de son mari qui la gênait que le regard brûlant du Noir qu’elle sentait posé sur sa croupe offerte. Dévoiler son corps était une chose, mais se laisser regarder en train de se faire pénétrer en était une autre.


Jeff, lui, se moquait bien de la présence du Noir tant l’excitait l’idée d’enfin posséder Béryl. Mais, sentant ses réticences, il temporisa et se recula un peu. Il glissa une main sur le ventre plat avant de descendre le long de la douce déclivité du mont de Vénus pour mourir sur la pointe des lèvres. Il trouva vite le chemin du clitoris, qu’il vint agacer de l’ongle. Béryl creusa le ventre sous la douce caresse. Mais en se cambrant ainsi elle venait elle-même au contact du sexe bandé et si elle avançait pour s’échapper elle s’offrait mieux encore aux doigts fureteurs, déclenchant des ondes de plaisir qui lui faisaient de nouveau reculer les hanches.


Le cycle pervers de ces ondulations eût bientôt raison de ses réticences et elle ne fuit plus le contact. Elle vint finalement d’elle-même plaquer sa croupe contre le bas-ventre de Jeff. Le sexe du patron, dressé à la verticale, palpitait entre le sillon profond de ses fesses rondes. Elle se mit alors à tournoyer doucement des hanches en gémissant de plaisir, finissant de le durcir. Ils ondulèrent ainsi quelques minutes. Béryl se sentait décoller sous la douce sensation de la tige de chair qui se frottait contre son intimité. Jeff lui attrapa les poignets et les lui remonta dans le dos, l’obligeant à se cambrer, s’offrant encore plus. Pliant les jambes, il vint caler son gland au creux de ses lèvres. Cette fois-ci, les sens affolés, elle ne tenta pas d’échapper à la pénétration promise. Qu’importait le regard du Noir, seul comptait ce sexe qui vibrait entre ses cuisses. Jeff la pénétra d’un coup de reins puissant, glissant facilement dans le fourreau détrempé, arrachant à Béryl un cri étouffé. Mais il ne s’en souciait pas, trop heureux de jouir enfin de la femme de son collègue, de s’enfoncer dans le sexe brûlant qu’il n’avait pu que caresser jusqu’alors. Lui crochant les hanches, il s’abuta contre ses fesses, le sexe enfoncé de toute sa longueur dans son ventre.


Le chauffeur n’en revenait pas de voir cette Blanche à l’air sage se faire ainsi baiser à moins d’un mètre de lui, hypnotisé par la verge luisante qui allait et venait entre ses cuisses, disparaissant dans un fouillis de mèches brunes. Imaginer le spectacle qu’elle offrait ainsi au Noir troublait Béryl et ajoutait au plaisir que lui procurait le membre qui la fouillait profondément. Elle sentait l’orgasme monter inexorablement et écarta les pieds, autant que lui permettait sa culotte baissée à mi-cuisses, pour mieux l’accueillir. Elle se mordit la lèvre quand son ventre s’inonda de plaisir, déclenchant l’orgasme de Jeff qui l’emplit de sperme brûlant. Il resta encore quelques instants fiché en elle avant de se retirer, de remonter sa culotte sur ses hanches et de rabattre sa jupe, la rendant à nouveau décente.


Assis tous les deux pour le retour, Béryl fuyait le regard brillant du chauffeur qui la fixait dans le rétro, rougissant malgré elle, consciente que son anatomie n’avait plus beaucoup de secrets pour lui. Mais elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine excitation à s’être ainsi exhibée. Une fois rentrés, ils préparèrent leurs valises, le safari se terminant par quelques journées sur les plages de Mombasa, sur la côte. Le dîner passa assez vite, Jeff s’étant fait accaparer par sa femme, et Béryl se retira dans sa chambre avec son mari.


Ce dernier, repu de vin de palme, sombra vite dans un profond sommeil, à la différence de Béryl qui s’agita à nouveau sur sa couche, en proie à des pensées non recommandables. Ne trouvant pas le sommeil, elle finit par se lever, un peu hagarde, le corps légèrement étourdi de montées de plaisirs fugaces. Pensant qu’une tisane lui ferait du bien, elle sortit de sa tente pour se diriger vers celle qui faisait office de cuisine. Le campement endormi était calme, juste illuminé par un grand feu de bois. Elle s’en approchait quand elle remarqua le chauffeur qui surveillait le feu, assis torse nu contre un arbre. Elle hésita à aller plus loin, car elle était sortie telle qu’elle s’était couchée, uniquement vêtue de sa chemise de nuit à même la peau. Mais après tout, le vêtement en voile blanc assez lâche et lui descendant aux chevilles restait suffisamment sage pour qu’elle puisse se montrer ainsi, et elle s’avança dans la lumière dansante du feu.


À sa vue, Koné se mit brusquement debout, la regardant s’approcher comme une apparition. Une brise légère et indiscrète plaquait le voile contre son corps, dessinant joliment le galbe parfait de sa poitrine jusqu’à marquer le contour de ses aréoles, moulant son ventre légèrement bombé, le relief du triangle régulier de son pubis et ses cuisses fuselées. L’absence de marque de sous-vêtement lui fit se demander si elle n’était pas nue en dessous. Ses doutes furent levés quand elle s’arrêta face à lui, juste devant le feu, révélant ainsi, grâce au contre-jour indiscret créé par les flammes dansantes, le V de la fourche de ses cuisses et laissant même deviner en leur creux le fouillis des mèches de sa toison brune. Un peu fébrile, Il bredouilla dans son français hésitant :



Inconsciente de son impudeur, elle répondit en souriant :



Mais il ne pouvait détacher son regard du corps ainsi révélé, ce qui n’échappa pas à Béryl qui frissonna sous ce regard qui la déshabillait.



Tu divagues ma fille, songea-t-elle, reprends toi ! Mais, la gorge un peu sèche, elle ne put s’empêcher d’imaginer le sexe noir dressé sous le short, ce qui attisa son désir et tendit ses seins. Une partie d’elle-même lui disait de fuir sous sa tente pendant qu’il en était encore temps, mais l’autre l’incitait plutôt à jouer un peu plus le jeu de la sensualité. L’idée un peu perverse d’exercer son pouvoir de séduction la faisait frissonner par avance. Elle pourrait toujours s’arrêter dès qu’il aurait une attitude déplacée, tenta-t-elle de se rassurer. Elle s’assit alors sur un tronc auprès du feu, remontant le tissu de sa chemise de nuit au-dessus de ses genoux.


Quand Koné revint avec la tasse fumante, il loucha sur le départ de ses cuisses ainsi dévoilées. Un sourire aux lèvres, elle engagea la conversation sur la beauté du paysage, s’amusant des efforts que faisait le jeune Noir pour s’empêcher de détailler trop visiblement son corps, surtout quand elle croisait et décroisait les jambes, ou se penchait pour attraper sa tasse posée à terre, dévoilant les flancs généreux de ses seins. Ce petit jeu commençait à l’exciter au plus haut point, dardant ses tétons qui marquaient maintenant clairement le fin tissu de sa chemise de nuit. Et elle-même ne pouvait s’empêcher de jeter des coups d’œil sur le short du Noir, malgré les efforts comiques qu’il faisait pour masquer son érection monumentale.


Le fin voile était maintenant remonté très haut sur ses jambes et elle desserra légèrement les cuisses. Les yeux du chauffeur s’exorbitèrent quand il découvrit sa vulve ainsi exposée, devinant même le fin dessin de ses lèvres à travers les mèches bouclées de sa toison noire. Une des bretelles de sa nuisette glissa sur son épaule, révélant une partie de son sein, le tissu n’étant plus retenu que par sa pointe maintenant bien dressée, dévoilant le départ de son aréole un peu grumeleuse.


C’était la première fois qu’elle s’exhibait ainsi, sciemment, devant un homme et sa respiration se fit haletante. L’ambiance devint électrique et Béryl, prise à son propre jeu, se rendit compte qu’elle n’attendait plus qu’une chose, qu’il glisse sa main sur ses cuisses. Mais une sorte d’atavisme semblait empêcher le Noir de prendre l’initiative, de porter la main sur le corps de cette femme blanche pourtant offert sans retenue.


Béryl, jusqu’à présent, avait toujours laissé les hommes prendre l’initiative, lui permettant ainsi de masquer ses pulsions sexuelles derrière une passivité qui l’exonérait d’assumer complètement ses adultères. Mais là elle sentit qu’elle devait prendre les devants si elle voulait que le jeu aille plus loin. Et c’est bien ce que son corps réclamait, pour calmer le feu qui lui faisait tremper son sexe.



Comme une automate, Béryl se leva également pour le rejoindre dans la tente. Koné, affairé devant l’évier, sentit sa présence derrière lui et se retourna. Béryl, les yeux brillants, fit alors glisser les deux bretelles de sa nuisette qui tomba à ses pieds, révélant ses courbes sensuelles. Le Noir, affolé par la proximité de ce corps dénudé, les yeux rivés sur la poitrine épanouie, balbutia :



Lui posant une main sur la bouche comme pour le faire taire, elle plaqua l’autre sur son short, manquant de défaillir quand elle sentit la masse prometteuse se gonfler encore plus. D’une main experte, elle libéra le membre imposant qui bondit, palpitant contre sa paume. Le Noir, les bras toujours ballants, gémit quand elle entoura son sexe des ses doigts fins, qu’elle commença à branler la tige sombre, décalottant le gland turgescent. Elle lui prit la main et la guida vers son sein. Il resta quelques instants immobile, hébété, paume plaquée sur le globe plein, semblant ne pas croire à ce qui lui arrivait. Mais bientôt sa main s’anima et se mit à pétrir la masse ferme, arrachant à Béryl un gémissement de plaisir. Il sembla alors sortir de son rêve et prit enfin l’initiative.


Glissant ses mains sur les hanches de la jeune femme, il l’attira brusquement contre lui, appréciant le chaud contact de la poitrine ferme s’écrasant contre son torse. Béryl se laissa aller contre le corps musclé, enfouissant son visage dans le cou de l’homme, comme pour masquer son trouble. Pendant que les mains du chauffeur s’aventuraient sur ses fesses, elle frottait son ventre contre le membre dressé à la verticale, coincé entre leur deux corps. Ils titubèrent ainsi quelques minutes, chacun explorant le corps de l’autre en grognant de plaisir. Koné avait maintenant glissé ses mains entre le sillon profond de sa croupe, jusqu’à sa vulve trempée qu’il palpait fiévreusement. Le contact des doigts calleux contre ses chairs délicates électrisa Béryl, et elle eut un petit cri quand une phalange fureteuse se glissa au creux de ses lèvres, investissant son vagin brûlant.


Mais Koné, qui en voulait plus, s’écarta et tenta de l’allonger sur la table pour la pénétrer. Elle s’échappa avec un sourire :



Puisqu’elle avait décidé de conduire les ébats, elle ne voulait pas précipiter les choses mais profiter du corps du chauffeur, en particulier de cette tige sombre qui battait contre son ventre. Pliant lentement les jambes, elle embrassa d’abord le torse du jeune Noir, laissant ses seins venir baller contre le sexe tendu, avant de le glisser en leur sillon, le branlant doucement dans la gaine ainsi créée. Fasciné, le sexe délicieusement compressé par les globes fermes, Koné regardait son gland apparaître et disparaître au creux de la poitrine généreuse de Béryl. Les pointes dardées trahissaient le plaisir qu’elle prenait à cette caresse perverse.


Le libérant d’entre ses seins, elle se mit à genoux. Elle admira un moment le sexe maintenant bien tendu. Courbant la nuque et faisant grogner de plaisir le jeune chauffeur, elle vint titiller le gland de petits coups de langue. Entrouvrant les lèvres, elle le laissa glisser dans sa bouche brûlante, l’avalant à moitié, le sentant palpiter avec délice contre son palais. Koné, les bras ballants, se laissait faire, les yeux fixés sur la bouche pulpeuse qui gobait son sexe. Béryl, tout à son plaisir de dominer cet homme, lui sortit le grand jeu. Encerclant la base de son sexe d’une main, elle vint palper de l’autre les bourses gonflées, tout en le suçant avec application. Il se mit à grogner des mots dans sa langue natale. Quand elle le sentit au bord de la jouissance, elle le relâcha, au grand désespoir du Noir :



Elle sourit sous le compliment un peu cru, mais elle ne comptait pas laisser le jeune homme jouir tout de suite.



Obéissant, il s’allongea sur le dos à même le sol. Béryl se remit debout, les jambes de part et d’autre du bassin de l’homme étendu. Le regard du Noir remonta sur le haut de ses cuisses, savourant à travers la forêt des mèches noires du pubis la vue de ses lèvres maintenant luisantes de son plaisir. Elle-même fixait avec avidité le mat vibrant qui pointait entre ses mollets. Pliant lentement les genoux, elle descendit son bassin jusqu’à que son intimité vienne frôler le gland. Le Noir, instinctivement, lui attrapa les hanches pour finir de la faire descendre, mais elle lui écarta sèchement les bras :



Penaud, il laissa retomber ses mains, la laissant à nouveau saisir son sexe. Elle le frotta lentement d’avant en arrière contre sa vulve, savourant l’exquise sensation du gland qui écrasait ses lèvres délicates et irradiait son clitoris gonflé. Enfin elle le cala à l’orée de son vagin et le fit s’enfoncer dans le puits détrempé. Dur comme du bois, le membre se fraya sans souci un chemin au creux de son ventre jusqu’à disparaître à moitié entre ses cuisses, lui arrachant un long gémissement de plaisir. Elle s’arrêta un moment, se sentant déjà complètement envahie par la colonne de chair brûlante. Le Noir, haletant, fixait les lèvres bien écartées par son sexe fiché dans le ventre de la jeune femme. Mais elle voulait le sentir complètement en elle, et posant ses deux mains sur le buste du Noir pour maintenir son équilibre, elle donna de petits coups de bassin et finit ainsi de s’empaler, centimètre par centimètre, ses fesses s’écrasant à la fin contre les cuisses du Noir. Elle demeura immobile un instant, le souffle à moitié coupé par la masse imposante qui détendait ses parois vaginales et irradiait son ventre d’un intense plaisir.


Posant les genoux à terre pour être plus confortable, Béryl commença alors à bouger lentement les hanches d’avant en arrière, coulissant sur le membre viril. Koné, délicieusement serré dans le fourreau étroit, admirait le souple balancement des masses lourdes de ses seins. Il n’en revenait pas de posséder ainsi cette femme blanche qui avait tant alimenté ses fantasmes, et qui lui semblait si inaccessible.



N’attendant que ce signal, les mains avides du Noir remontèrent sur la poitrine ballante, pétrissant sans douceur les globes élastiques, se repaissant de leur fermeté, tiraillant et pinçant les pointes turgescentes, finissant de les dresser. La rudesse de ces caresses la remua plus qu’elle n’aurait pensé et la fit se cambrer, s’offrant encore plus. Les mains du chauffeur glissèrent alors sur ses hanches puis agrippèrent ses fesses, les malaxant sans vergogne, écartant leur sillon. La croupe maintenue ainsi fermement ouverte facilitait la pénétration et Béryl accéléra fiévreusement les mouvements de ses hanches, frottant son pubis contre le bas-ventre de l’homme, électrisant son clitoris. La cyprine coulait sans interruption de son ventre labouré, rythmant de bruits mouillés les assauts virils de son amant.


La bouche entrouverte, la tête relevée, elle sentait les vagues du plaisir affluer au sein de son ventre, marée délicieuse qu’elle contrôlait en ralentissant parfois le roulement de son bassin. Elle profitait ainsi de la résistance du Noir qui semblait inépuisable et elle le chevaucha longuement, savourant d’imposer son rythme. La jouissance qu’elle emmagasinait ainsi la fit bientôt suffoquer, et, comme un barrage qui céderait, l’orgasme déferla brusquement. Elle l’accompagna d’un long cri étouffé, le buste arqué en arrière, les ongles plantés dans la poitrine musclée du jeune chauffeur. La vague brûlante qui envahit son vagin fit jouir également ce dernier qui avec un rugissement, explosa au fond d’elle, noyant son ventre de puissants jets de sperme. Achevée, Béryl s’écroula sur Koné, le buste écrasé sur sa poitrine, sanglotant de plaisir au creux de son cou, le bassin agité de soubresauts.



Les jambes flageolantes, Béryl se releva. Le jeune Noir avait pour le moins le sens de la formule mais elle devait reconnaître qu’elle avait pris un vrai plaisir à mener les ébats. Elle regrettait presque de partir le lendemain…