Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11678Fiche technique19427 caractères19427
Temps de lecture estimé : 11 mn
02/09/07
Résumé:  Que se passe-t-il quand un lecteur décide d'écrire son histoire de cul pour Rêvebébé...
Critères:  pastiche humour -humour -revebebe
Auteur : Patrick R. D.  (Désolé...)            Envoi mini-message
Dans la peau d'un nauteur...

Depuis le temps que je lis des textes sur Rêvebébé, je me lance enfin. C’est vrai, je ne suis pas plus mauvais que la plupart des auteurs de ce site à branlette ! Je vais leur montrer à tous ce que c’est qu’une histoire de cul, une vraie ! Déjà, j’ai le plan et les personnages, il ne me reste plus qu’à mettre tout ça en forme. Ce ne sera pas bien dur.


Alors, résumons pour commencer. J’y pense depuis un moment, ça va être la folie. C’est l’histoire d’un mec, un jeune homme un peu timide qui, lors d’une soirée étudiante de l’école d’infirmières, rencontre une fille superbe. Ce jeune homme, on va dire que ce sera moi, même si en réalité c’est pas vraiment moi, mais bon, ça il n’y a que moi à le savoir. Ce jeune homme donc, manque un peu d’expérience, et a un peu de mal avec les filles. La fille est connue de tous, car elle est l’une des filles les plus sexys de la fac. L’histoire raconte comment ils vont se rencontrer et se retrouver pour une folle nuit de sexe, surtout qu’une copine à elle va se pointer et ils vont finir à Troyes !


Maintenant que j’ai une histoire super originale, parce que ça, je suis sûr que ça n’a jamais été écrit, voyons ce qu’on va y ajouter comme éléments. Alors, évidemment, il y aura une fellation, ça me paraît essentiel. Ensuite une levrette, ça aussi c’est important, et puis à la fin, la fille le suppliera de la sodomiser, ça aussi c’est important ! Elles aiment toutes ça. Et, bien sûr, pour finir en beauté, l’autre fille arrive, et les deux le suceront en même temps et il leur en mettra plein la bouche, à ces deux grosses cochonnes !


Ben voilà, il n’y a plus qu’à !


Commençons par l’intro.




Je m’appelle Mickael et je suis un jeune homme sportif, grand, mince, les cheveux bruns. Aujourd’hui, je sais que j’ai le genre de physique à plaire aux filles, elles ont même tendance à se retourner sur mon passage, mais le problème, c’est que j’ai longtemps pensé le contraire. Je précise que désormais j’ai une vie sexuelle épanouie, avec toutefois une libido nettement supérieure à la moyenne.




Super ! Trop cool ! C’est vraiment facile, en fait, d’écrire, allez, je continue.




A vingt ans, j’étais encore puceau, et cela me rendais encore plus timide face à une fille. Surtout quand cette fille s’appelle Kelly et était une véritable bombe sexuelle.




Kelly ! Ça m’est venu comme une évidence ! Elle est belle, blonde, sexy, comment pourrait-elle s’appeler autrement que Kelly !




Kelly est l’une des plus belles filles de la fac, et surtout la plus sexy, pour ne pas dire qu’elle est vraiment très chaude. Kelly a 20 ans, et fait du 95E et avec des très longues jambes fines surmontées par de très jolies fesses rebondies, le tout couronné par une superbe chevelure blonde. Et selon la rumeur, c’était une vraie blonde. Et ça je rêvassais de le vérifier. Souvent la nuit, je rêvais d’elle si fort que les draps s’en souvenaient.




Et hop, voilà pour la présentation des personnages ! On sait tout ce qu’il faut savoir. C’est clair et même poétique, et côté littérature, il y a de sacrées trouvailles, comme les draps, ça c’est poétique et imagé, et je suis sûr que personne n’y avait jamais pensé.




Je connaissais bien Kelly. Enfin je la connais de vue, car je n’avais jamais osé lui adresser la parole. Ce soir, le hasard me fait la rencontrer face au buffet, devant le punch.



Comment ça ? Elle connaît mon nom ? Je n’en reviens pas.





Et les dialogues aussi c’est facile ! C’est quand même autre chose que les textes qu’écrivent les autres aussi ! Et puis les temps aussi, c’est facile, il suffit d’écrire comme on parle !




Je lui tendis le verre, mais j’étais tellement tendu que je lui renverse le punch sur son tee-shirt moulant.




Trop bien trouvé ça ! Comme ça, hop direction les toilettes, elle se déshabille devant lui et il se la fait ! Non, c’est peut-être un peu rapide. Il lui renversera le verre un peu plus tard, ou à moins qu’il lui balance autre chose sur la poitrine ! Le coup du tee-shirt mouillé, avec ces gros nénés, ce sera trop cool. Bon, on verra plus loin. On reprend.







Bon, je verrai la suite des dialogues plus tard. J’y reviendrai. Je passerai bien à la scène de la fellation !




A peine entrés dans le petit studio de Kelly, celle-ci s’agenouilla devant moi et baissa mon pantalon. Elle resta un instant en admiration devant la bosse impressionnante qui déformait mon caleçon Calvin Klein tout neuf.




Eh oui, un peu de classe tout de même ! Je vais pas porter un caleçon sans marque, c’est moi le héros, quand même !

Continuons…




Vite, je la vit lever un regard plein d’envie vers moi-même. Je n’osais plus bouger, adossé à la vitre de la porte, dans l’attente qu’elle s’empare au plus vite de mon vit. Elle le vit bien et baissa mon caleçon délicatement laissant apparaître mon dard impressionnant de vie. L’envie était trop forte, et vite, elle engloutit instantanément, immédiatement et complètement mon vit dans sa bouche chaude et humide.




Ah putain ! Rien que de l’écrire, j’en bande !




Kelly était une véritable experte en deepthroating, et elle me le prouvait en avalant intégralement mon membre puissant et pourtant imposant avec ses 26 centimètres de longueur et ses 14,8 centimètres de circoncision. J’en étais circonspect.

Ma queue était énorme. Je ne l’ai jamais vue comme ça.

Kelly me suçait comme une grosse nymphomane.



Elle s’interrompit un instant, le temps pour elle de se dépoitrailler. Ces seins magnifiques m’apparurent alors. J’en fus ébloui.





Oups, mince ! J’ai pas fini, j’avais pas vu l’heure, faut que je descende tant que c’est chaud, ou je vais encore me faire engueuler.


Ah ! Ça va mieux le ventre plein, bon, on efface et on reprend.




De la voir ainsi dépoitraillée, ma queue grossit encore.

C’était incroyable. Je me suis laissé aller tellement c’était bon.




C’est important de montrer qu’on a du vocabulaire et de la classe ! C’est pas parce qu’on écrit du cul, qu’il faut que ce soit pour des incultes quand même. On peut bien mélanger la culture et le cul. Faut juste avoir de la classe. Comme moi…




Tout en me suçant, elle me caresse simultanément les cuisses, le sexe, le torse, les testicules.



Kelly délaissa un instant mon gros dard prêt à exploser, étonnée.





Faut quand même que ce soit réaliste. C’est une blonde tout de même. Et un peu d’humour ne fait pas de mal !





Et pour la première fois, j’éjacula dans la bouche d’une femme. Pour fêter ça, je lui balança une bonne dizaine de jets puissants qui s’écrasèrent au fond de sa gorge. Elle n’en laissa pas échapper la moindre goutte.




Ensuite, je vais faire enchaîner les positions dans le salon, puis dans la chambre. Et surtout le 69 ! Voilà une position qui me donne beaucoup d’excitation.




Après de longues minutes de ce supplice, Kelly jouit en poussant un véritable hurlement de plaisir que tous les voisins durent entendre et je me pris un afflux de cyprine sur le visage.

Mais je n’avais pas encore joui et je la pris alors en levrette et la besogna comme une grosse chienne qu’elle était.

Mes aller-retour sont de plus en plus fort et elle crie, puis jouie. Je continue à limer, elle reprend ses cris, et après re-jouis encore.

Je décide alors de changer de position, car malgré plus d’un quart d’heure de pilonnage intensif, je n’ai toujours pas éjaculé. Je me couche alors sur le dos et la laisse me chevaucher. Elle descend sur mon pieux et elle monte et descend, elle gémie, puis jouie.

Je rugi tel un lion et me laissa aller.




Putain ! Trop bon ! J’en bande grave !


Et là, on en arrive à l’idée géniale : la copine nymphomane et bisexuelle !




D’un coup la sonnette sonna. Qui pouvaient bien venir chez Kelly à cette heure si tardive ?

Kelly se leva toute nue pour aller ouvrir la porte. Apparut alors Kevina sa meilleure amie, élève en école d’infirmière. Je la connaissais peu, mais je l’avais déjà remarqué, surtout pour son superbe cul et aussi pour ses énormes seins. Il ne faisait aucun doute que ce devait être elle aussi une belle cochonne, comme toutes les infirmières. L’appartement étant petit, elle ne pouvait pas ne pas me voir surtout que j’étais intégralement nu.




J’espère que les lecteurs comprendront ce passage. Parce que dire deux fois non, en fait ça fait oui, mais c’est pas évident à saisir. Faut être subtil parfois, quand même, quand on écrit.





Je n’en revenais pas ! Et là comme réponse, Kelly l’embrassa avec la langue d’une manière incroyable ! Et en quelques instants, Kevina se retrouva complètement nue. Il faut dire que j’eus la surprise de voir qu’elle ne portait rien sous sa robe légère. Elle ne portait ni string ni soutien-gorge ! La salope !




Là, ça va être l’orgie du siècle !




Pour commencer, les filles me firent m’alanguir en jouant de leurs langues entre elles. Elle faisait un 69 de folie, et en plus cette position m’excite beaucoup. Kelly en profita pour sortir de sa poche un gode et l’enfoncer dans la chatte béante et dégoulinante de mouille de sa copine. Après quelques minutes à les regarder se lécher, se doigter et se goder, je décidâmes de mettre un bon coup de bite à Kevina. Je m’approche et m’enfonce d’un coup dans son vagin détrempé. Je la lime comme une bête alors que Kelly me lèche les couilles. Après une demi-heure de ce traitement, à force de voir ce superbe cul bien rebondi qui me regarde, je me laisse aller.

Je sors ma queue et sans le lui demander, je l’encule d’un coup, par surprise.



Je lui répondis par une belle claque bien sonore sur son fessier et me mis à lui limer le fondement. Très vite, sa vraie nature réapparaît car elle gémit comme une chatte en chaleur et elle nous montra alors à quel point elle apprécie cet enculage.



Peu après, sous l’excitation de cette enculation, je me lève et leur ordonne de se mettre à genoux devant moi, je leur balance alors de grandes giclées de foutre sur le visage. Et là, comme toute salope bien dressée, elles se firent un plaisir d’avaler chaque giclée de sperme sans en perdre une goutte.

J’étais repu. Mais rapidement, elles me firent comprendre qu’elles en voulaient plus. Je n’en revenais pas. Nous avons donc recommencé ainsi toute la nuit, enchaînant les positions les unes après les autres et j’eus le bonheur de goûter à tous leurs trous. À la fin de la nuit, je crois que j’avais dû jouir plus de 10 fois, et ce pour leur plus grand plaisir, car à chaque fois, je leur avais prodigué plusieurs orgasmes à chacune.


Si cette histoire vous a plus, je vous écrira la suite avec plaisir.




Et voilà le travail !

Maintenant que j’ai fini, je fonce sur Rêvebébé et je le poste ! C’est où déjà dans ce menu. Ah oui, là, en vert, je clique. Mon email, ok, ça c’est vite fait, mais attention, je leur donne pas mon email perso que je le donne qu’aux amis, hein, quand même ! Je vais leur donner celui que j’utilise sur les sites de vidéos de cul. Par contre, oui, je le rends public, je veux que les lectrices puissent m’écrire. Il doit y avoir plein de cochonnes qui lisent des histoires sur ce site ! Trop bon, le plan ! Il y en aura peut-être une qui voudra que je lui montre en vrai. Rien que d’y penser, je bande encore.


Ensuite, quoi ? Ma présentation ? 60 caractères seulement, va falloir faire simple. Jeune homme qui aime les femmes et c’est leur parler et pas que leur parler ! Ça, c’est bien trouvé ! Et maintenant, il faut mon nom d’auteur. Évidemment qu’il me faut un nom d’auteur. J’y avais pas encore pensé à ça, mais il faut que ça en jette. Je sais ! Je vais m’appeler Mickaelerotick. Mon prénom, et une petite touche pour marquer le côté érotique et hop ! Si ça n’attire pas les lectrices, un nom pareil !


Évidemment que je suis un homme, c’est quoi ces questions, et 3ème sexe, c’est quoi cette connerie ? Je suis pas un pédé ! Hein ? Non mais ! Ho !


Le titre de l’histoire, j’y avais pas pensé à ça, mince. Alors, oui, ce sera une série, c’est évident, il y a tellement à écrire avec une base pareille ! La série, ce sera « Mickael, bête de sexe ». Et le titre de ce premier épisode, donc, allons pour « L’éducation sexuel de Mickael ». C’est accrocheur et ça donne tout de suite le ton !


Mais c’est qu’ils en posent des questions, c’est la police ou quoi ? Qu’est-ce qu’ils disent ? Je certifie avoir lu et corrigé mon texte avant de l’envoyer ? Pour qui ils me prennent, je c’est écrire, je suie pas le genre à faire des photes partout. Et je vais sûrement pas les laisser corriger mon texte et en enlever tout l’érotisme, toute la subtilité et toute la quintessence spirituelle !


Allez, je valide ! Et voilà, c’est parti. Si avec ça, mon texte n’est pas dans le top de leur classement, j’y comprends rien.




* * * * *




Bon, ça fait deux jours que j’ai posté mon texte, j’imagine que ça a dû bander et mouiller grave. Je vais aller regarder les commentaires et les notes.


Quoi toujours pas publié ? Mais ils se moquent de moi. Qu’est-ce qu’ils foutent, ces fainéants ?




* * * * *




Bon, maintenant, ça fait une semaine, alors ? Ah ! Je le vois, c’est lui, le numéro 1123657897. Vite, je vais sur les commentaires.


10,12 de moyenne ? Quoi ?!? C’est tout ? Les abrutis ! Évidemment, j’aurais dû m’en douter, je suis un nouveau sur le site, alors les évaluateurs, ces coincés du cul, ils me démolissent ! Ça doit être une secte, ce site, c’est pas possible autrement.




6 - Truffé de fautes, réduit à une sorte de résumé plutôt indigeste et d’une inconsistance notoire, ce texte ne convainc à aucun moment. Il faudrait reprendre le tout, bien que le propos de base soit absolument ennuyeux.




Ennuyeux ?!? Mais qu’est-ce qu’il lui faut ! Et truffé de fautes ? Mouais…




5 - Texte d’une indigence rare : scénario, dialogues, écriture, orthographe… Tout est déplorable (de bourrin).




Indigence ? Quel rapport avec une diligence ?




5 - J’ai énormément de mal à être sensible à ce genre d’énumération grossière. Mais bon, il en faut pour tous les gouts, et surtout pour tous les usages…




Pauvre gars, et t’as vu ton pseudo ?




5 - On devrait ourganiser un grand concours d’orgasmes. Le vainqueur celui qui en fait le plus en une heure… et ce texte ne serait pas mal placé. C’est quand même sympa les surhommes….




Pff… Espèce d’impuissant !




6 - Ce n’est qu’une accumulation de fantasmes, une suite de scènes de sexe qui n’ont comme point commun qu’une écriture à la limite du lisible. Peu importe que ces fantasmes soient délirants ou peu crédibles, ce qui importe, c’est l’enrobage.




Enrobage ? Mais de quoi il me parle ? D’une histoire de cul ou d’un gâteau ?


Ah heureusement, il y a d’autres lecteurs, des vrais, qui ont aimé.




18 – Excitant, vivement la suite, vite !



16 - Quelle chance ce Mickael ! Excellent !



20 - Moi aussi je m’appelle Mickael, et moi aussi je suis bien membré.




Bon, allez, c’est pas si mal pour un premier texte, je vais aller écrire la suite, et là, cette bande de ringards qui se disent évaluateurs, je vais leur clouer le bec !