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Temps de lecture estimé : 21 mn
08/09/07
Résumé:  Un petit récit relatant une première fois fictive entre deux adolescents...
Critères:  h fh jeunes hotel douche voir hmast cunnilingu 69 préservati pénétratio init -prememois
Auteur : Mutty      
Première fois

J’ai écrit ce récit il y a plusieurs années, je n’étais même pas encore majeur. Cependant, il me tient beaucoup à cœur, car c’est le premier que j’ai fait, et j’y ai mis beaucoup de passion.


L’œuvre suivante est une fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé serait purement fortuite (mais souhaitée !)


1. Dans un si beau cadre…


L’accablante chaleur de la journée atteignait enfin ses limites. Comme depuis le commencement de l’été, la canicule avait frappé dur ce jour-ci. Les fenêtres de l’hôtel respiraient encore la chaleur. Pourtant, il était vingt-deux heures passées, et le ciel terminait de se noircir, l’astre brillant s’étant éclipsé. Thomas contemplait cette si belle image, d’une ville semblant illuminée de milliers de feux… Il avait la chance de passer cette partie de ses vacances dans le plus bel hôtel de la région. Les vingt-deux étages qui le séparaient du sol lui donnaient quelque peu le vertige, mais ce spectacle de milliers de lumières, brillantes, semblant fusionner, l’émerveillait. Au loin, il apercevait le casino, où ses parents s’étaient rendus jusque tard dans la soirée. C’est alors qu’il entendit trois petits coups brefs, résonner contre la porte de sa chambre. Imprudemment, il ouvrit cette porte sans se renseigner sur l’identité de la personne qui attendait. Enfin, que risquait-il ? Il ouvrit la porte, et aperçut la personne qu’il attendait : Joanna.


Joanna était sa "petite amie". Ils se connaissaient, du reste, depuis plus de dix ans. Et s’étaient déclaré leur amour sept ans après s’être vus pour la première fois. Aujourd’hui, ils avaient tous deux dix-sept ans. C’était une de ces amours enfantines, rares, et en général peu durables… Mais ces deux-là s’accrochaient. Enfin, est-il besoin de s’accrocher lorsque l’on aime d’un amour fou, tenace ? Ils se regardaient, tous deux, s’admiraient… Joanna avait les yeux rivés sur le visage de son "petit" homme. Il faut dire qu’il avait de quoi séduire… Il atteignait facilement le mètre quatre-vingt-cinq. Ses cheveux étaient longs, lui descendant à la nuque. La lueur extérieure faisait ressortir cette impression de couleur cuivre, qui taquinait le bord de ses mèches. Le reste de ses cheveux était complètement blond, à croire qu’en lui coulait le sang des vikings… Il était torse nu, ses abdominaux ressortaient. Son boxer dépassait même quelque peu de son jean. Quoiqu’il en soit, le spectacle plaisait à Joanna. Autant qu’elle lui plaisait. Elle avait des yeux d’un bleu profond, saisissant, de ces personnes desquelles l’on ne peut détacher le regard. Sa longue chevelure dorée lui descendait aux fesses. Elle était vêtue d’un tee-shirt très léger… au décolleté appréciable. La chaleur torride d’août lui avait même laissé quelques petites gouttes glissant le long de sa poitrine. Thomas ne savait plus où donner de la tête, entre ce visage sublime, angélique, et cette longue ligne noire laissant entrevoir une majeure partie de ses seins… D’autant plus que Dame Nature avait particulièrement bien opéré, car Joanna jouissait certainement d’un splendide bonnet D. Elle ne se gênait d’ailleurs pas pour dévoiler sa féminité. Son pantalon était humide, preuve qu’elle s’était sans doute dépêchée pour rejoindre son compagnon. Pourtant, la matière était légère au possible. Elle laissait ressortir ses superbes fesses, bombées.


2. Prélude.


Ils s’enlacèrent, puis langoureusement, leurs yeux se fermant et leurs bouches se rapprochant, ils s’embrassèrent goulûment… Après avoir parlé de leur journée, Thomas décida d’aller prendre une douche. Était-ce la chaleur ? Ils étaient très excités ce soir-là, et la douche qu’il alla prendre était la troisième de la journée. Soudain, une idée parcourut vivement l’esprit de Thomas. Aller plus loin avec sa copine. Faire le premier pas. Déçu ou non, tant pis : il en avait envie. D’autant que ses parents n’étaient pas là, et Joanna semblait particulièrement prête, alors pourquoi hésiter ? Des idées érotiques se bousculaient dans son esprit… son sexe grossissait à vue d’œil. Il choisit ce moment pour le prendre dans sa main… Il commença à se masturber, opérant de grands va-et-vient à l’aide de sa main droite. Il savait très bien comment se procurer beaucoup de plaisir à l’aide de cet acte en solitaire. Il se pinçait le sexe, juste en dessous du gland. Puis, à la plus grande vitesse possible, il se branlait. C’est ce qu’il fit ce soir-là… il imaginait faire l’amour avec Joanna. Au bout d’une minute et demie, il sentit qu’il n’était pas bien loin de partir…


Pendant ce temps, Joanna vaquait à ses occupations. Elle aussi avait très chaud ce soir-là, et n’était pas dans son comportement habituel. Si elle eût pu rejoindre son homme sous la douche, elle l’aurait fait, assurément. Elle eut soudain une idée en tête : elle voulait le voir sous la douche. Lui, nu, trempé et sans défense, elle, dominatrice et adossée à la porte… Elle se dirigea donc vers la salle de bains. Elle jeta un œil dans la serrure… malheureusement, elle ne pouvait rien discerner de cet endroit, le trou étant bien trop petit. Mais elle remarqua l’imprudence de Thomas : la porte n’était pas fermée à clef. Doucement, lentement, elle abaissa la poignée. La porte s’entrouvrit… puis elle jeta un œil. Ce qu’elle vit la tétanisa : Thomas était sous l’eau, les yeux fermés, la bouche ouverte. Et il se masturbait. Spectacle incroyable de l’homme qui se rend si faible, de lui-même… Honteusement, elle referma la porte. Si elle fut restée deux secondes de plus, elle l’aurait vu jouir. L’espace d’un instant. Une giclée. Joanna était si rouge… pourtant, ce qu’elle vit ne lui déplut point. Elle l’avait vu, là, viril. Et dieu qu’il était bien membré… Dès lors, tout se bouscula dans l’esprit de la jeune fille. L’excitation, l’heure, la chaleur, la vue de son chéri en telle position… elle aussi avait envie. Et ni rien ni personne ne pouvait les empêcher. Sauf… le temps. À croire qu’à ce moment-là, tout n’était plus qu’une question de temps… Et le temps, combien en faudrait-il encore afin qu’ils soient réunis ? Pourtant, l’eau coulait encore. Cinq minutes que Joanna avait vu cette image, qui resterait gravée dans son esprit. En fait, Thomas se rasait. Il voulait à tout prix passer à l’acte, et se faisait le plus beau, le plus propre possible pour plaire à sa fiancée.


3. Le signal.


Pourtant, beau, il l’était bien assez comme ça. Et Joanna en avait encore plus pris conscience. Après dix minutes, il sortit enfin de la douche. Joanna fit comme si de rien n’était, mais à son regard, elle esquissa un petit sourire en coin de lèvre. Maintenant le compte à rebours était lancé. Joanna le prévint qu’elle allait se doucher à son tour. Elle avait déjà une petite idée en tête… Mais qu’importe, elle méritait cette douche, toute transpirante qu’elle était. Alors, elle se déshabilla, et lorsqu’elle fut nue, elle sauta – seule – dans la douche. Mais elle ne le fut pas longtemps : elle n’arrivait pas à régler l’eau, et opta pour appeler Thomas, tout en enroulant sa serviette. Il entra. La vue de Joanna en serviette le troubla. Elle était si craquante… Il fallait qu’il se lance, c’était maintenant ou jamais ! Voyant une flaque d’eau au sol, il simula une chute dans la baignoire. Inquiète, Joanna se pencha tout de suite. Il en profita alors pour l’attraper et la jeter sur lui. Puis, habilement, et profitant de l’importante taille de la baignoire, il se retourna et l’allongea dedans. Elle, tout d’abord, rigola, comprenant qu’il l’avait piégée. Mais lorsqu’elle s’aperçut de la position dans laquelle ils étaient, elle comprit où il voulait en venir. Plus question de rigoler. D’ailleurs, c’est ce qu’elle voulait. Point d’issue de secours, mais elle ne souhaitait pas s’échapper. Bien au contraire. L’eau coulait, mouillant la serviette et laissant paraître ses sublimes formes. Lui n’en pouvait plus, d’ailleurs, on pouvait distinguer une bosse dure dépasser de sa serviette. C’est alors que Joanna lui glissa, tendrement, honteuse :



Signal d’alarme. Il croyait rêver… Et lui demanda, en guise d’assurance :



Elle fit oui de la tête, trop honteuse qu’elle était pour parler. Thomas se dit alors : "À table". Il n’avait pas tout à fait tort. L’entrée, le plat, le dessert, tout lui était servi. Il n’avait plus qu’à attaquer.


4. Cunnilingus.


Alors, ils laissèrent libre cours à leur imagination. Joanna s’impatientait. Mais elle était un peu paniquée, elle tremblotait de tous ses membres. Thomas s’en aperçut. Il la prit dans ses bras, et lui glissa un tendre baiser, tendre, mais passionné. Elle prit confiance. C’était le bon moment pour commencer. Évidemment, un baiser n’eut point suffi, dans un tel moment. Thomas, lui, n’en pouvait plus d’attendre. S’il avait pu lui déchirer sa serviette, et la prendre violemment, lui arracher des cris bestiaux, il l’aurait fait. Mais il n’oublia pas que la fille qu’il avait à portée de main était encore vierge. Il ne fallait pas la brusquer. Être doux. Passionné, délicat, amoureux. Le plaisir en ressortirait-il plus grand ?


Enfin, Thomas se décida à partir à l’assaut. Il prit la serviette aux deux bouts, en dessous de chaque aisselle. Joanna préféra fermer les yeux. Elle était rassurée. Rien ne pouvait lui arriver. À mesure que Thomas dévoilait ce superbe corps qui s’offrait à lui, les battements de cœur de son amour se faisaient plus audibles, s’accéléraient… Le doux morceau de tissu poursuivait sa descente, lentement. La poitrine se découvrant au fur et à mesure. Joanna, assez pudique d’habitude, ne dit mot. Elle était rassurée et impatiente. Son corps était dévoilé des épaules à l’abdomen.


La serviette ne bougeait plus. Thomas admirait la poitrine de cette fille, cette poitrine qui lui paraissait si douce… En effet, elle était grosse, lourde. Étrangement, ses aréoles n’étaient pas très grandes. Elles étaient même plutôt petites. Thomas n’en revenait pas. Il était heureux, l’excitation montait. Fougueusement, il l’embrassa à pleine bouche. Et il ajouta une main sur son sein droit, qu’il malaxa, pétrit… Joanna se laissait faire. Elle appréciait cette douce sensation de caresses, sur cette partie si excitante de son corps… Thomas attrapa les deux seins dans ses mains, et déporta son visage, afin de lécher, de suçoter ces deux parties graisseuses. Il attacha surtout de l’importance au mamelon, pourvu de tant de terminaisons nerveuses… Joanna gémissait. Sa respiration se faisait plus haletante. Mais cette sensation si incroyable, excitante… Thomas, lui, savait qu’il donnait du plaisir à sa partenaire. Il jouait avec ses seins, les caressait, les léchait. Il aurait bien voulu les avaler, tant ils étaient beaux, fermes…


Une minute s’écoula. Joanna gémissait de plus en plus, devant son homme qui lui faisait très plaisir. Ses seins s’étaient gonflés, ses tétons avaient grossi, excités par les gestes un peu maladroits de Thomas. Puis, il s’arrêta. Il regardait Joanna. Elle le remerciait du regard. Puis, emportée par son amour, elle le prit dans ses bras, et l’embrassa. Il mêla sa langue à la sienne, les seins de Joanna étaient écrasés contre sa poitrine, encore durs, bouillants. C’était loin d’être fini. Tout ne faisait que commencer, mais ils venaient assurément de poser la première pierre de cette relique qui serait plus tard l’ensemble de leurs expériences amoureuses.


Thomas continua sur sa lancée. La serviette glissait, descendait aux hanches. Plus que cinq centimètres, et la nuit prendrait assurément une tournure folle. Mais alors que les premiers poils pubiens se dévoilaient, Joanna attrapa brutalement la serviette et cria :



Thomas avait compris. Elle était gênée, et n’osait pas. Il lui demanda de sa voix la plus douce :



Elle hésita. Plusieurs idées se bousculaient dans sa tête. Si le noir se faisait, elle serait certes moins honteuse, mais Thomas serait-il aussi bon que lorsqu’il s’occupait de ses seins ? Finalement, elle se dit qu’elle l’aimait, qu’elle lui appartenait. Alors elle dit :



Thomas fut étonné de cette réponse. Étonné, mais heureux : il allait voir sa chérie, complètement nue, à la lumière. Cette fille qui lui accordait désormais une telle confiance…


Et la serviette tomba. Thomas aurait pu s’évanouir, à la vue de son si joli sexe. Il était de couleur rosée, un peu violette. Elle avait les poils de couleur assez claire, mais en faible quantité. Preuve qu’elle se rasait régulièrement. Ses lèvres ne ressortaient pas encore complètement, elle avait des restes de cette si jolie forme en abricot. Son clitoris était cependant très visible, car assez gros. Thomas n’avait jamais autant bandé de sa vie. L’eau coulant le long de ses lèvres, mouillant ses poils, son clitoris… Ce qui l’excitait elle-même au plus haut point. Elle était désormais nue, couchée dans cette grande baignoire, trempée… Mais elle n’était plus seule. Il y avait aussi son amour…


Thomas ne tenait plus. Il se jeta, tel un mort de faim, sur son sexe. Il lui leva ses jambes, et Joanna se laissa faire. Elle posa cependant ses jambes sur les épaules de Thomas, redoutant des crampes. Puis il commença à titiller les lèvres de sa partenaire à l’aide de son doigt. Il appuyait, enfonçait son doigt dans la chair molle, rosâtre… Joanna gémissait, elle se sentait bizarre. Mais heureuse. Thomas lui pinça le clitoris, puis frotta le sexe tout entier à l’aide de sa paume. Elle commençait à suffoquer, avec la chaleur énorme de cette salle de bains. Il commença ensuite à lécher, il glissa même sa langue dans son vagin, il était trempé, bouillant. Ce cunnilinctus improvisé dura cinq minutes, durant lesquelles Joanna mouillait, mouillait… Au final, Thomas se concentra sur le clitoris. Il semblait lui donner tellement de plaisir… Le garçon se mit à se servir de ses mains pour lui caresser ses fesses et ses seins. Elle gigotait tant, c’était indéfinissable… Elle se mit à crier à la fin. Thomas eut peur, mais continua. Et arrêta finalement, la laissant dans la baignoire, parcourue de frissons, tremblante, mais réjouie.


5. Fellation et 69.


Lorsqu’elle reprit ses esprits, il était là, la regardait, lui caressant les cheveux… Elle aurait voulu lui faire la même chose, l’assaillir, le faire crier, le mettre à ses pieds. Elle était maintenant prête à tout pour lui. Alors, elle eut une idée. Elle se jeta sur Thomas, et il se laissa faire. Elle le poussa dans la baignoire, exactement comme il l’avait fait. Thomas crut comprendre où elle voulait en venir. Mais il se disait : "Elle ne va quand même pas le faire…"


Et pourtant. Si, elle allait le faire. Elle lui retira sa serviette avec la même douceur qu’il l’eut fait pour elle. Elle rougit lorsqu’elle vit ce sexe, gros, debout… Elle le vit enfin de près. Ce pénis qui la passionnait désormais. Il était là, devant elle, en érection. Elle eut cru qu’il allait exploser. Mais non, il était dressé, très innervé, et atteignait sûrement les dix-huit centimètres. Elle approcha sa main, et le saisit, brusquement, comme l’on saisit un témoin dans une course de relais. Elle n’avait jamais rien touché de tel. Mais, fait étrange, elle n’en fut pas répugnée. Bien au contraire, elle prit du plaisir. Pas le même plaisir qu’elle avait ressenti, lorsqu’il l’avait tant excitée il y a un instant, mais au moins elle était heureuse. Enfin, ils franchissaient le cap. Maintenant, elle allait comprendre comme il est simple d’exciter un homme. De lui faire perdre ses moyens. Elle prit donc le pénis de Thomas, et le décalotta. Ce qui lui fit un peu mal, mais tant qu’il était avec sa chérie, il pouvait tout supporter. Elle commença à le masturber, maladroitement. De grands va-et-vient. Elle accéléra progressivement la cadence, en rapprochant très près sa main de son gland, rose, chaud… Thomas gémissait, se déhanchait… Ceci amusa Joanna, mais lui fit aussi plaisir.


Puis elle décida d’aller encore plus loin. Elle était prête à tout. Elle approcha son visage, puis, doucement, sa bouche accueillit son sexe. Elle essaya de le glisser complètement, mais il était trop grand. Elle commença à le lécher, à saliver… Elle envoyait de grands coups de langue, à gauche, à droite, puis suçait, tout en masturbant le membre tremblant, brûlant. Thomas adorait, il suffoquait à son tour. Et Joanna avait encore une idée en tête. Le pénis était toujours aussi gros, dressé fièrement… Du bout du gland, l’on pouvait distinguer quelques traces blanches, aqueuses… Preuves que Thomas avait pris un plaisir fou, et n’était pas loin de l’orgasme suprême. Joanna regardait le spectacle avec fierté, car elle était cause de la jouissance de son homme. Elle y avait pris goût, et ce n’était pas fini.


Elle se pencha, et tout en ré-accueillant le pénis bouillant de son homme dans sa bouche, elle l’entoura de ses deux seins, si doux… Thomas allait jouir, c’est sûr. Imaginez… Il avait son sexe au chaud, entre la superbe poitrine de Joanna, et celle-ci en profitait pour apporter quelques coups de langue et suçons, sur ce gland, qui grossissait et durcissait… Thomas était aux anges. Jamais il n’avait connu un tel plaisir. Alors, très inspiré, il leva son pied, et alla caresser, grâce à celui-ci, la chatte de Joanna. La sensation était très douce, Joanna était trempée. Un léger liquide coulait de son vagin. Elle mouillait. Ils eurent alors une idée, quasiment en même temps : se faire plaisir mutuellement. Et pour ce, rien de mieux qu’un 69. Comme Joanna était au-dessus, et plus légère, elle préféra s’allonger elle-même, de tout son long, sur son amant. Ils étaient alors en position parfaite. Thomas léchait les lèvres, le clitoris… Mais s’attaqua aussi aux fesses, à cette belle et grande raie, douce. Joanna perdait ses moyens, elle chavirait, et faillit même tomber. Ah, que sa peau était douce… Thomas, tout en léchant habilement le clitoris et les lèvres, pinçait les mamelons de sa chérie. Elle bouillait, son vagin était de plus en plus trempé. Thomas goûta ces sécrétions vaginales, par inadvertance, et trouva le goût quelconque, loin d’être répugnant. Puis, alors qu’ils pointaient un maximum, Thomas lâcha les mamelons, et mit un doigt dans le vagin, l’autre dans l’anus de Joanna, tout en mordillant le clitoris. Drôle de sensation, pour l’un comme pour l’autre. Joanna, elle, cria pour de bon, sous l’immense plaisir qu’elle ressentait depuis le début. Elle hurla, même. Thomas était fier, il avait réussi à exciter sa partenaire comme il le voulait, elle qui, maintenant, était allongée dans la baignoire, et comme prise de spasmes. Quel beau quart d’heure de préliminaires, pour cette première fois entre les deux tourtereaux ! Joanna ouvrit les yeux, quelques secondes après. Elle avait chaud, transpirait… Mais n’était pas très fatiguée. Alors pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?


6. Et maintenant, l’union.


Thomas la prit dans ses bras, et, nus, ils allèrent dans la chambre. Joanna s’allongea dans le lit, et elle lui sourit… Lui l’admirait. Son corps était si beau… Et il avait eu la chance de le partager ! Mais ils n’étaient pas dupes, et vous non plus, cher lecteur ou chère lectrice : les préliminaires portent bien leur nom, ils ne sont qu’un début en soi. Maintenant, il fallait qu’ils mettent tous deux un terme à leur virginité. Et le cadre était parfait. Un grand hôtel, luxueux… Vingt-trois heures… Les deux amants, complètement nus, trempés… Qui passent leur temps à s’embrasser… N’ayant plus qu’une envie : ne faire plus qu’un. S’unir. Soudain, Thomas pensa à quelque chose : comment se protéger ? Pas question de prendre de risque. Et il le signala à Joanna, qui prit un air triste, affligé… Il comprit alors : ils n’avaient pas de préservatif. Leur nuit d’amour allait prendre un terme. Un bien triste terme. Fichu bout de latex, qui dépend à lui tout seul de la destinée d’une nuit… Prêt à se rhabiller, à pleurer de rage, Thomas tourna le dos à celle qu’il aimait passionnément. C’est alors qu’elle le rejoignit, et se retourna pour lui faire face. Elle avait en sa main… Un objet… Il regarda précisément l’objet qu’elle lui présentait. C’était un préservatif. Mais comment avait-elle bien pu ? Mystère. Probablement, elle l’avait trouvé pendant qu’il se douchait. Ou alors, juste à l’instant… Peu importe. De toute façon, il ne s’attarda pas sur la question. Trop heureux qu’il était. Il prit Joanna par les bras, la jeta sur le vaste lit de cette superbe chambre, et la rejoignit aussitôt. Elle ne put lui dire le moindre mot, ses lèvres étaient déjà collées aux siennes. Mais c’était bien mieux comme ça.


Leurs lèvres étaient comme aimantées, attirées l’une vers l’autre. Sans autre porte de sortie. Tout comme leurs corps, collés l’un contre l’autre. Les seins si fermes, si doux de Joanna, écrasés par la poitrine dure de Thomas. Ces poils pubiens, qui se frottent, chatouillent ces deux corps tremblants. Et ce pénis, si dur, qui appuie contre sa main gauche, qu’elle a laissée, rien que pour le toucher… Humides mélanges de transpiration, d’eau… Et maintenant, Thomas qui caressait le doux corps de sa tendre chérie… Il avait pris goût à ses seins, cette sensation de fermeté, les petits bruits qu’elle expirait au contact de ses doigts, sa bouche… Mais désormais, elle en voulait plus. Elle s’allongea sur le lit, de tout son long, jambes écartées. Lui présentant son joli sexe, mouillé, gonflé… Elle n’en pouvait plus d’attendre. Ce que Thomas comprit bien. Lui aussi n’en pouvait plus. Son érection était maximale, et le moment était parfait pour enfiler le préservatif. Il s’était longtemps entraîné chez lui, et réussit à le mettre tout en l’embrassant à pleine bouche. Ils étaient prêts.


7. Le missionnaire.


Les lèvres, le clitoris, les seins de Joanna, toutes ces parties sexuées étaient excitées au maximum. Ses petites et grandes lèvres, gonflant, semblaient s’écarter l’une de l’autre pour recevoir enfin, le doux membre de cet homme qu’elle aimait. Puis, après ce baiser fougueux, Thomas glissa lentement son pénis dans son vagin. Il était bloqué… Et n’arrivait pas à entrer. Logique, son hymen était encore présent. Alors, il força, se démena, pour enfin pénétrer l’endroit secret. Joanna ferma les yeux, serra les dents. Mais elle n’avait pas très mal. Cette sensation la gênait plutôt. Alors, amoureusement plus que par nécessité, il la prit par les épaules, posa sa tête juste à côté de la sienne. Et d’un bref coup de reins, il arracha cette petite peau, si gênante. Quelques gouttelettes de sang jaillirent. Joanna ne cria pas, mais expulsa un petit bruit confus, de douleur. Puis, doucement, Thomas pénétra la jeune femme. Il allait très au fond, son gland percutait le fond de son vagin. C’était mouillé. Trempé, même. Il accéléra la cadence.


C’était si beau, si exceptionnel… La magie de l’amour, du plaisir charnel opérait enfin, à chaque coup de pénis qu’il administrait dans son sexe, étroit, humide et tremblant. Elle sentait de la jouissance lui parvenir. C’est donc ça, cette sensation de bonheur, d’amour que l’on ressent lorsqu’on ne fait plus qu’un, lorsqu’on fusionne avec l’élu de son cœur… Les va-et-vient se poursuivaient dans la nuit. Joanna sentait la dureté, la chaleur du membre qu’elle accueillait au plus profond d’elle-même. Ils s’étaient vus sous la douche, s’étaient touchés, léchés, aimés… Et maintenant, elle le tenait en lui. Elle mouillait beaucoup ce soir-là. Thomas accélérait la cadence, commençait à la pénétrer de plus en plus violemment… Elle n’avait plus mal. Tout ce qu’il faisait était source de plaisir. Vers la fin de ce si beau missionnaire, Joanna était de plus en plus bouillante, transpirante… Elle mouillait à grosses gouttes, serrait les dents, mais ne pouvait s’empêcher de gémir. Et tenait fermement les draps du lit, comme si elle encourait le risque de s’envoler… Pourtant, elle était déjà en train de voler, en pleine ascension vers le septième ciel.


Puis, ce fut le choc. Alors que Thomas mettait toute sa force dans les coups de sexe qu’il lui administrait, Joanna ressentit une véritable décharge électrique lui remonter dans le sexe, puis dans le corps. Mais une décharge électrique indolore. Ce fut si violent qu’elle fut comme projetée en arrière. Ses seins paraissaient s’ébattre, cherchant à s’enfuir de son corps tant ils gigotaient. Elle crut qu’ils allaient s’arracher de sa poitrine, la laissant seule avec son désir. Ses battements de cœur étaient presque audibles. Elle devait sans doute atteindre les cent quatre-vingts pulsations par minute… Elle transpirait tant qu’on eut cru qu’elle avait enduré quatre heures de sport sans pause. Et son sexe… Elle ne mouillait plus, elle giclait, elle arrosait, telle une fontaine vivante. Le pénis de Thomas était détrempé. Il avait l’impression de sentir le liquide sur sa bite, au travers du préservatif. Bref, Joanna était folle de plaisir. Elle avait le visage tombant vers l’arrière, tremblait de tous ses membres, malgré la chaleur suffocante d’août. Cette chaleur qui l’excitait, la faisait gémir, mouiller en tout point de son corps. Thomas, lui, était très heureux à la vue de sa partenaire, heureuse et jouissante. Bien que le plaisir du garçon passe indéniablement par ce membre si gros, nerveux et porteur de la vie qu’est le pénis, il était le genre de garçon à préférer la psychologie à l’acte physique. C’est pourquoi la vue de sa chérie, si faible, à sa merci, et si emplie de désir, le rendait fou de joie.


Continuant ses puissants coups de reins, qui obligeaient Joanna à se courber, violemment, à chacun d’entre eux, Thomas se baissa, progressivement, et lui lécha d’un coup bref le mamelon. Bref, mais suffisant pour lui faire ouvrir les yeux et lâcher un petit bruit, confus, étouffé. Par moments, maladroitement, il ratait son petit trou, étroit, et envoyait son sexe buter contre son clitoris. Ce qui ne lui déplaisait pas, loin de là. Décidément très inspiré, Thomas, tout en pénétrant cette fille qu’il aimait, profita de sa position pour envoyer sa main, frotter, chatouiller ses fesses. Sans oublier de lui adresser quelques petits coups de langue, adroits, sur ses tétons, tel un chat lapant son lait. Ses petits tétons, très humidifiés, pointaient maintenant, durs. Ils étaient plus violets et nerveux que jamais. Ses seins avaient gonflé, s’étaient arrondis. Et soudainement, Joanna se déporta brutalement vers l’arrière, et cria. Un cri énorme, saisissant, de plaisir. Un orgasme ? Peut-être pas. Mais un plaisir immense, remontant du fond de ses entrailles, l’avait attaqué à petit feu, et la surprenait enfin. Habilement, Thomas réussit à garder son pénis au chaud, dans son vagin empli de plaisir. Son vagin se contracta, tous ses muscles du bas-ventre étaient surexcités. Et Thomas poursuivit quelques secondes supplémentaires. Joanna paraissait incontrôlable. Elle gémissait, criait, suffoquait… Peut-être même jura-t-elle, un moment, entre deux cris d’extase.


Puis Thomas s’arrêta. Il valait mieux, car il sentait son sexe, énorme, prêt à exploser. Mais il n’était que vingt-trois heures dix, et il voulait encore poursuivre, dans la chaleur de cette nuit, qui resterait à tout jamais gravée dans leur mémoire. Joanna aussi sûrement, mais elle méritait un moment de repos, toute assaillie de plaisir, de bonheur qu’elle était. Elle était couchée sur ce lit, les yeux fermés, encore tremblante. Les jambes écartées, son sexe trempé, convulsé… S’il eut été un brun cruel, Thomas n’aurait eu qu’à lui lécher, frotter son sexe, gisant. Non, il préféra s’allonger sur elle, approchant ses lèvres des siennes. Mais il fut surpris : toute maligne qu’elle était, elle le prit dans ses bras, le colla à son corps et l’embrassa fougueusement. Il ne s’y attendait bien sûr pas le moins du moins du monde, dire que cette fille semblait, il y a un instant, si faible… Il se prêta au jeu et l’embrassa passionnément. Un baiser superbe. Ils s’enlacèrent, fermant les yeux, guidés uniquement par leurs cœurs, pleins d’amour et de passion. Maladroitement, ils laissèrent traîner leurs mains, au petit bonheur la chance. Thomas continuait à la caresser avec douceur. Ses seins étaient toujours aussi doux au toucher, ses tétons commençaient à se reposer. Son ventre était très agréable au toucher, elle était fine, svelte… Joanna ne se faisait pas prier non plus pour le caresser. Il était musclé, cette sensation de dureté lui plaisait beaucoup… Sa main descendit progressivement, effleurant le peu de poils pubiens qui lui restait. Elle sentit quelque chose de dur frotter le bout de ses doigts. C’était son pénis. Il était encore chaud, avait un peu perdu de son érection, mais restait bel et bien dressé. Elle se souvint alors que lui l’avait remplie de plaisir, mais n’avait pas encore joui. C’était sûrement ce qu’il attendait.


8. Finir en beauté.


Alors, avec toutes les peines du monde, Joanna s’éloigna de ses lèvres, et lui glissa tendrement, à l’oreille :



Il acquiesça, bien évidemment.



Alors, il eut une idée. Comment finir en beauté cette soirée jusqu’ici magnifique ? Il lui demanda :



Elle hésita, mais accepta. Après tout, elle ne risquait rien avec lui. Et puis, elle l’aimait. Alors pourquoi garder de la pudeur dans un tel moment ? Elle se rassurait elle-même.


Alors, il lui expliqua son projet. Et bien qu’un peu honteuse, elle se mit en position pour celle qu’ils souhaitaient exercer. Mains et avant du corps sur le lit. Jambes au sol, écartées, à genoux. La levrette. Une position certes gênante, mais si agréable… Elle attendait, un peu peureuse, mais contente aussi. Thomas lui lâcha un dernier baiser, lui caressa les cheveux, et se mit derrière, prêt. De dos, il avait une superbe vue, observant ses lèvres, toujours gonflées, mouillées, et cette superbe ligne, séparant ses deux fesses, si sexy, si rondes.


Alors, il glissa son pénis, toujours aussi chaud et gros, dans l’antre. Malgré le temps de repos qu’il avait eu, il sentait que l’orgasme n’était déjà plus très loin. Il posa ses mains sur les fesses de Joanna, qui lui parurent douceur suprême. Dès l’entrée du membre dur et turgescent, elle échappa un petit souffle, étouffé, de bonheur. Thomas commença à accélérer le rythme, et Joanna appréciait. Il faut reconnaître que cette position n’avait rien en commun avec le missionnaire. La pénétration était beaucoup plus intense, le gland frottait contre les parois vaginales proches de l’entrée. Et touchait le fameux point G de la fille. Joanna avait immédiatement ressenti la différence. Elle commençait déjà à exalter, au doux contact de ce pénis si chaud qui l’excitait intérieurement, butait si violemment contre ses parois. Sensation de mollesse, de plaisir…


La respiration de Joanna était plus haletante, plus rapide. Elle fermait les yeux, mais était si bien… Elle prit les draps dans ses mains et les serra violemment, tout en posant son visage sur le lit. C’est alors que Thomas décida d’aller encore plus loin. Il prit les mains de sa conjointe, crispées, dans les siennes. Et passèrent en levrette absolue, avec cette position, impliquant une certaine soumission certes, mais tellement agréable… Joanna ne se sentait plus. Elle ne pouvait rien faire, encore eut-elle voulu s’enfuir qu’elle ne le pouvait pas. Mais pourquoi s’enfuir ? Elle était avec celui qu’elle aimait et passait la plus belle nuit de sa vie. Puis elle ressentit cette même sensation qu’elle avait connue tout à l’heure. Cette espèce de décharge, si violente, incontrôlée… Elle avait le sexe en feu. Jamais elle n’avait autant mouillé, le liquide coulait au sol, giclait, emporté par les violents coups de rein que Thomas envoyait… Soudain, il ressentit quelque chose qu’il n’avait encore jamais ressenti. Son pénis le brûlait, il était énorme, sous ce morceau de latex. Bouillant. Prêt à jouir. Cet orgasme qui arrive tel un ouragan, géant. Un ouragan de bonheur. Mais il essayait de se retenir, parce qu’il savait que la fille qu’il aimait prenait un plaisir immense. Il comprit cependant qu’il ne pourrait se retenir très longtemps. Alors, il alla le plus vite possible dans ses gestes. Joanna recommençait à crier comme elle l’avait fait tout à l’heure. Et, d’une manière presque désespérée, il effectua un dernier geste qui la rendit folle de désir. Il lâcha ses mains. Et les déposa sur ses propres fesses, si douces, mouillées par les giclées. Joanna fut emportée dans son élan de désir. Son visage raclait le matelas. Ses seins ballottaient, agacés par le tissu. Heurtant par moment le bord du lit. De grosses gouttes coulaient de son sexe. Une sorte de sperme féminin. Et pour conclure en beauté, Joanna approcha ses mains de son sexe, et commença à frotter son clitoris à l’aide de sa paume. Elle avait l’impression qu’elle allait mourir. Mourir de plaisir. Et en toute dernière carte, il releva son corps légèrement. Elle, se frottant le sexe à l’aide de ses mains. Lui, la pénétrant à toute vitesse, léchant sa nuque, caressant de dos sa poitrine.


Puis, l’orgasme arriva. Géant, énorme. De quoi faire exploser ce préservatif, si doux, qui avait durant toute cette soirée, frotté la chair douce, nerveuse de la fille qu’il avait explorée. Une explosion. Il gicla de manière si violente, que Joanna eut l’impression de le sentir au travers du préservatif. Ils poussèrent tous deux un cri énorme. Un hurlement, en partie masqué par le bruit de la télévision. Ils tombèrent au sol, épuisés. À peine eurent-ils la force de se relever, se jeter sur le lit, et s’endormir. Nus, dans les bras l’un de l’autre. Et ils s’embrassaient follement, se serrant le plus fort possible. Juste assez pour ne pas étouffer. L’amour avait opéré, et leur vie ne faisait que commencer, mais jamais ils ne se regarderaient de la même façon dorénavant.


Et juste avant de s’endormir, mort de fatigue, aux côtés de cette fille sur laquelle il avait jeté son dévolu, il trouva la force d’envoyer un message à ses parents. Afin de leur demander de prendre une autre chambre pour cette nuit. Ces derniers savaient que Joanna devait le rejoindre ce soir. C’est pourquoi ils n’eurent pas à chercher loin pour comprendre la raison de ce message. Ils ne bronchèrent donc pas. Et nos deux tourtereaux s’endormirent, heureux, dans la chaleur et la douceur du mois d’août.