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n° 11694Fiche technique37058 caractères37058
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Temps de lecture estimé : 21 mn
09/09/07
Résumé:  Je retrouve Laura au rendez-vous qu'elle m'a fixé, après l'avoir appelée au téléphone. Ses exigences pour cette soirée sont assez surprenantes...
Critères:  fh ff ffh jeunes inconnu copains fépilée vacances amour voir exhib strip intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio jeu init -prememois -jeux
Auteur : Mutty      

Série : Le Monde est si petit...

Chapitre 02 / 02
Drôle de jeu pour drôle de nuit...

Résumé du premier chapitre :


Les vacances d’été 2005. Alors que je venais d’obtenir mon bac et étais majeur depuis quelques mois, je prenais des vacances dans la ville bretonne de Saint-Malo. Me baladant un soir dans la ville fortifiée, j’aperçus à la terrasse d’une pizzeria une fille entre roux et châtain. Elle me laissa pantois, glacé par un violent frisson, d’abord par sa beauté, puis par le fait qu’il me semblait la connaître via Internet. Je m’assis alors à une table proche de la sienne, et le repas fut une suite de coups d’oeil, de regards (et je m’aperçus qu’elle n’était pas en reste, mais elle ne se doutait de rien, ne m’ayant jamais vu en photo), et surtout la confirmation pour moi des doutes que j’avais. Cette fille était bien Laura, de Genève, et le lendemain elle se rendrait seule à la plage. Une occasion que je n’aurais raté pour rien au monde.


Après cette première soirée de "traque" et "d’apprentissage-de-la-vie-et-la-personne" de mademoiselle aux cheveux ocre corbeau, je me rendis à la plage et la rencontrai effectivement. Mais à mon grand étonnement, lorsqu’elle me vit, ce fut elle qui m’aborda. Après avoir fait durer le suspense, et après quelques moments de rigolade, elle apprit mon identité et se jeta littéralement sur moi. Nous avons ensuite longuement parlé, et avant de partir elle glissa dans mon sac un petit papier sur lequel elle écrivit une adresse, un numéro de téléphone et un rendez-vous pour ce même soir, à 22 heures.




Mardi, 21 h 30


Je n’aurais pas dû appeler, ma mère va rugir devant la facture… Mais si je n’avais appelé, je n’aurais pas entendu certaines choses très… intéressantes. Notamment que mademoiselle souhaitait que je mette très exactement sept vêtements pour ce soir. J’ai cru que je n’étais pas réveillé, ou que je ne parlais pas à la bonne personne à ce moment-là. Cette fille que je croyais si timide, voire chaste, serait en fait tout le contraire ? Je n’allais pas tarder à le savoir…


J’arrivai devant une grande maison, celle où elle m’avait invité. Il y avait quelque chose de louche. Qu’est-ce que cette fille, qui était en vacances et venait de Genève, pouvait faire dans une telle maison ? Un traquenard ? De toute façon, je n’avais plus le temps de faire demi-tour. Je sonnai alors, et une voix – pas celle de Laura, me semblait-il – dit :



Effectivement, elle n’était pas verrouillée. J’entrai dans la maison, partagé entre l’excitation et la crainte. Crainte qui me quitta bien vite lorsque je vis Laura, me souriant, dans le canapé. Après l’avoir chaleureusement embrassée, je hasardai :



Elle s’esquiva avec un petit sourire et changea de pièce. J’entendis quelques murmures, et elle revint accompagnée… d’une autre fille.



Julie avait bel et bien la voix plus grave que celle de Laura, c’était elle qui m’avait répondu tout à l’heure. De plus, je ne pense pas avoir menti en disant que j’étais aussi enchanté. C’était un peu l’anti-type de Laura : elle était assez petite mais toute en rondeurs, blonde (à vrai dire plutôt châtain très clair) avec deux yeux bleus… J’étais comme dans un rêve, avec deux filles magnifiques pour passer la soirée. Elles étaient complètement opposées physiquement mais vous savez bien ce que l’on dit : les opposés s’attirent. Ça tombe bien, elles m’attiraient aussi.


Julie lança, avec un petit sourire en coin :



Tiens, des chips ? Ouah, que c’est étonnant. Enfin, pas aussi étonnant que mon comportement avec Julie : je la connaissais à peine, et je lui parlais déjà comme à Laura sur la plage cet après-midi. D’ailleurs cette dernière prit la parole :



Ça m’intriguait tout ça. Finalement c’est Laura qui se décida.



Je commençai à comprendre, et à voir de quel genre de jeu il s’agissait. En tout cas, merci de me flatter ainsi !



En effet, la cuisine sentait "bon" l’alcool, et à mon avis leurs bouches pas moins. Julie désigna alors une petite table au fond du salon. Trois chaises autour, disposées à équidistance les unes des autres. Et… un paquet de cartes. Mais était-ce l’alcool qui rendait Laura aussi… coquine ? Jamais je n’aurais imaginé qu’elle joue un jour avec moi à un de ces jeux. Et là, je me retrouve avec elle et une autre très belle fille, prêtes à disputer un strip-poker !



Fou rire général. Puis Julie ne nous laissa pas languir plus longtemps, et nous expliqua les règles.



Une paire de chaussures d’été, une chemise, un jeans, mon caleçon et ma casquette. Il me manquait quelque chose ! Je le fis remarquer à Julie.



Laura rougit et baissa un peu le visage.



Ce sont des questions qui ne se posent pas, ça ! Elle aurait dû faire croupière en tout cas ! Ou baratineuse professionnelle. Le premier tour fut lancé, et il commença très bizarrement pour moi. J’avais en effet une mauvaise main : un valet, et quatre valeurs toutes différentes. Je vis bien dans les yeux de Julie que sa main avait quelque chose d’intéressant. En revanche je n’arrivai pas à discerner ce qui se passait chez Laura. Tant pis, je gardai juste mon valet et misai 10 euros. Erreur ! car après le changement de cartes, je me retrouvai comme par miracle avec un brelan de valets. Je relançai de 75, Laura resta sur 25 mais Julie mit 150 ! Je suivis et la chipie avait en effet… Un brelan de reines ! Mince, juste ce qu’il fallait pour me battre. Me voilà fort affaibli, il ne me restait déjà plus que 145 euro.


La partie se poursuivit sur le même schéma, entre mes espoirs, la prudence de Laura et la chance insolente de Julie. Après une demi-heure de jeu, nous nous sentions déjà un peu plus légers : Laura avait joué prudemment. Mais à force de voir sa cagnotte diminuer, elle dut se séparer de ses lunettes. Pour moi, ce fut plus délicat : la paire de lunettes et la casquette étaient tombées toutes deux. Depuis quelques minutes, la partie était plus équitable, et Julie venait d’enlever ses propres lunettes.


Les deux filles apparaissaient de plus en plus excitées. Une heure après, je m’aperçus que la chance était passée progressivement de mon côté. Depuis je n’avais enlevé que ma chaussure gauche.


En revanche, Julie et Laura n’avaient toutes deux plus que quatre vêtements chacune : chemise, jeans, soutien-gorge et culotte. Laura commença à prendre des risques. Elle misa des sommes plus importantes, et ce n’était pas que du bluff. Pourtant, elle fut la première à dévoiler enfin quelque chose d’intéressant.


Sa chemise tomba, et à notre grand étonnement elle n’était pas en sous-vêtement, mais en maillot de bain ! Le même qu’aujourd’hui d’ailleurs. Inutile de préciser que rien qu’à l’idée qu’il pourrait à son tour tomber, je me sentais plus… oui, vous avez compris !


Pendant un quart d’heure, Laura eut un répit, en alliant chance et audace à mon grand dam et celui de Julie. Ma deuxième chaussure tomba, il ne me resta plus alors que mes quatre vêtements "vitaux". Julie, elle, fut dans une position bien plus inconfortable. Sa chance insolente semblait bel et bien l’avoir quittée. Elle n’avait plus désormais que ses sous-vêtements. Je ne m’étais pas trompé sur la belle, son soutien-gorge assez échancré laissait deviner deux seins imposants, à remplir des bonnets C, si ce n’est D. Elle portait un string noir assez fin et très excitant, on pouvait presque deviner le contour de ses lèvres fines et soyeuses en dessous. Lorsqu’elle fit ses trois tours sur elle-même, je pus assez furtivement voir ses fesses bien galbées et rondes.


Laura est en effet bien plus élancée. Son soutien-gorge laissait deviner le bonnet B dont elle m’avait parlé. Je me serais bien volontiers jeté sur cette si gracieuse poitrine, la léchant, la mordillant, l’aspirant, la suçotant… Et je ne me disais même plus "Ce n’est pas correct", mais "Ça va venir plus tard" !


Au tour de Laura de baisser son pantalon. Elle le fit avec grâce, et observer le galbe de ses fesses parfaites me transit de bonheur.


Puis ce fut un véritable coup de tonnerre. Julie perdit coup à coup les deux derniers remparts de sa nudité. Elle venait de retirer son soutien-gorge, nous offrant au passage une vue splendide sur ses seins. Seins effectivement impressionnants et fièrement dressés sur son torse, pointant de tout leur désir et leur excitation. Alors que ses seins venaient d’être libérés de leur prison de tissu, elle se jeta inconsciemment dans la bataille et misa plus de 300 euros au tour suivant. Mais son full ne suffit pas contre le superbe carré de Laura. Celui-là même qui me fit retirer mon costume, chose peu remarquée et remarquable car dans le même laps de temps Julie, la petite Julie aux seins lourds, devait se séparer de son string. Ce qu’elle fit avec une douceur infinie. Je sentais que mon sexe allait exploser au fond de mon caleçon, d’ailleurs deviner la bosse dure n’était même pas difficile sous le jean !


Julie avait une petite touffe de poils blonds mais l’on pouvait aisément deviner ses lèvres, assez mouillées d’ailleurs, en dessous. Sa vulve était superbe, d’un rose plutôt clair, même son clitoris dépassait, tant son excitation la transcendait. Elle ne semblait même pas gênée, son string mit un temps fou à tomber, et elle prenait des positions particulièrement indécentes. Et ce pour ma plus grande joie. En voilà une qui avait joliment mariné dans une bouteille de champagne en tout cas, et je me faisais tout petit, non seulement pour l’observer, mais aussi pour cacher la bosse de plus en plus dure imprimée dans mon caleçon. Ah, me faire tout petit ! Qu’est-ce que j’aurais donné pour le faire physiquement, et me glisser dans ses chairs profondes et intimes ! Tâter le bord de ses lèvres, me frotter à sa toison d’or légèrement humide, rebondir sur son bouton dressé…


Je chassai ces idées de mon esprit. J’avais l’impression que mon pénis allait exploser. Le jeu reprit, et Julie se mit avachie, jambes écartées, vulve ouverte, offerte. Dur de se concentrer !


Soudain, Julie prit la parole :



L’idée m’enchantait pas mal, et j’acceptai. À en voir le visage de Laura, je compris que l’idée de Julie était vraiment trouvée sur le vif, et elle accepta elle aussi. Pour information, j’étais à droite de Julie, et Laura était donc à ma droite.


Après cette petite modification, la partie reprit dans une ambiance un peu étrange. Moi, je ne pouvais pas me concentrer, j’avais Julie devant les yeux, et lorsqu’elle me regardait avec un petit sourire je me sentais flancher. Laura le vit bien, elle se sentait sûrement en reste. Pourtant elle ne le resta pas longtemps. Ce fut elle la suivante à ôter un vêtement. Elle retira doucement son petit soutien-gorge et nous dévoila une poitrine certes plus menue que celle de Julie, mais malgré tout de taille appréciable, un gros bonnet B dirais-je. Ses tétons étaient beaucoup plus fins, et courts que ceux de Julie. Sa position de profil accentua mon excitation. Ses mamelons étaient dressés en l’air, et ses seins d’une rondeur parfaite. En comparant Laura et Julie, je remarquai que Julie avait la peau un peu plus bronzée. Qu’importe, les deux étaient magnifiques !


Je fus le suivant à retirer un vêtement, ça faisait longtemps d’ailleurs. Ma chemise. Je dévoilai mon torse, il ne me restait plus que mon jeans et mon caleçon. Cela suffit à faire siffler les deux filles qui me faisaient face, Julie un peu plus fort tout de même !


En parlant de Julie, elle fut la suivante à passer à la casserole, et nous appliquâmes sa nouvelle règle à la lettre. Elle lança la pièce, qui atterrit sur le côté pile. Pile, ainsi c’est Laura qui allait décider de de ce qui allait se passer. Avant que celle-ci ne prenne la parole, Julie dit :



En d’autres termes, elle refusait de m’enlever ce qui me restait de vêtements tout de suite.


Laura réfléchit quelques secondes et dit :



Inspirée, la maligne ! Julie esquissa un petit sourire et s’approcha, puis dit :



Je ne me fis pas prier, un peu déçu cependant de ne pas pouvoir m’occuper de son petit abricot. Je glissai une main dans son cou, puis caressai sa joue, ses lèvres, son front. Elle avait la peau très douce. Julie ferma les yeux, je profitai de l’occasion pour passer ma main sur sa poitrine. J’avais l’impression d’avoir de la soie sous les doigts. Cet "amas de graisse", si bien formé, si doux et agréable au toucher. Ses tétons étaient durs comme du marbre. Ma verge aussi, d’ailleurs. Je jouai avec ses seins, les massai, les pinçai doucement… Elle se colla à moi, elle gémit dans mes oreilles. Je sentis alors son liquide d’amour humidifier mon pantalon, couler du plus profond de ses entrailles. Je quittai alors ses seins pour m’occuper de ses fesses. Elles étaient aussi douces. Je dessinai des petits cercles avec mes doigts, elle jouit de plus belle.


Notre étreinte splendide et torride dura au moins cinq bonnes minutes, et prit fin lorsque Laura prit la parole :



Julie reprit ses esprits, retourna s’asseoir, transpirante, et heureuse. Le jeu se poursuivit, mais hormis Laura nous n’avions plus vraiment la tête à ça. Dommage pour elle d’ailleurs, car malgré cela elle fut vraiment très malchanceuse, et dut au bout de trois tours se débarrasser de sa culotte. J’étais encore obnubilé par Julie, par la douceur de sa peau, la chaleur de ses seins, de son liquide, le galbe de ses fesses. Ce que je vis me fit aussitôt reprendre mes esprits : Laura était complètement rasée ! Son pubis dénué de tout poil me rendit fou de désir, ses lèvres étaient irréprochablement lisses. Elle avait une vulve superbe, elle aussi. Ses lèvres étaient plus fines que celles de Julie, mais d’un teint un peu plus foncé, plus marqué. En attendant, son épilation était vraiment parfaite car aucun poil ne venait gêner ce tableau magnifique qui s’offrait à mes yeux, ou devrais-je dire à nos yeux, car Julie était elle aussi béate d’admiration. Les fesses de la jolie Suissesse (ce mot a dû être créé par un serpent), étaient d’une rondeur enivrante, la petite ligne noire les séparant se séparait à son tour en deux courbes superbes, jusqu’à ses cuisses qui me parurent rien qu’à les voir d’une douceur infinie. Elle alla enfin se rasseoir, serrant un peu ses jambes, bien qu’il nous fut possible d’admirer sa chatte dissimulée sous son ventre légèrement musclé.


Il me devenait presque impossible de jouer. Imaginez deux filles devant mes yeux, complètement nues, joyeuses, un peu saoules, et par-dessus le marché disposant d’un corps de rêve… Ce manque de concentration vint se joindre à une progressive déveine. Je ne sortis plus que des mains nulles, des paires, parfois un petit brelan. Laura n’en menait pas large non plus, Julie semblait en revanche avoir retrouvé sa chance insolente comme au début de la partie. Elle posa en cinq tours une double paire, deux brelans, un carré et un full ! Voilà qui suffit très logiquement pour me faire perdre mon jeans. Sous le caleçon, il y avait foule. Mes deux comparses s’en aperçurent et s’en réjouirent ; elles avaient compris qu’elles étaient les heureuses génératrices de cette érection qui, croyez-moi, m’étonna moi-même tant elle était imposante.


Deux tours après, une imprudence de Laura la conduisit à être la deuxième "victime de gage" de la soirée. Elle se saisit donc de la pièce, la lança, et… pile, une fois de plus ! C’était donc moi qui allais décider d’un gage, qu’elle allait orchestrer avec Julie. J’étais un peu triste de ne pas participer à ce gage, mais les deux filles étant en tenue d’Ève, j’avais tout le loisir de sélectionner le gage le plus… érotique possible.


Soudain, une idée me vint à l’esprit. Un vieux fantasme, très excitant, que je proposai immédiatement :



Le terme, ce doit être plus à cause de ça que de l’idée, les fit éclater de rire. Puis Julie dit :



Pourquoi me moquerais-je ? J’étais sur le point d’assister à l’un de mes plus beaux rêves, qui allait prendre réalité… Je rassurai Laura, qui avança au centre de la pièce, tout de suite rejointe par Julie. Soudain, elle s’interrogea :



Et elle s’exécuta. Laura écarta ses jambes, laissa son corps flancher en arrière, et s’aida de ses mains qu’elle plaqua au sol à hauteur de son visage. Comme une pompe inversée en quelque sorte. Et cette position me donnait en plus une vue imprenable sur la vulve de cette dernière, complètement exempte de tout poil.


Puis Julie fit de même, se plaça en face de Laura et écarta ses jambes, offrant son petit abricot convulsé, encore humide. Et les deux sexes se rejoignirent. Laura était en effet un peu plus timide, Julie prit les devants en remuant son bassin de haut en bas. Ces mouvements verticaux qu’elle effectuait donnèrent lieu aux premières caresses sexe contre sexe des deux angeresses qui m’accompagnaient dans cette folle nuit. Les lèvres semblaient se mélanger, fusionner, polymériser ensemble. Le spectacle était extraordinaire, d’autant plus que les deux filles laissaient libre court à leur imagination, leurs sentiments, leurs sensations…


Laura notamment avait fermé les yeux, respirait de plus en plus bruyamment et était même saisie par moments de spasmes. Julie aussi se laissait aller, mais ouvrait de temps à autre les yeux pour apprécier la réaction de son amie, et me lancer un petit sourire, toujours très coquin. Elle semblait avoir trouvé une technique : elle arrivait à enfourner le clitoris de Laura entre ses lèvres, et devait sûrement s’amuser à le frotter avec une certaine cadence. Ce petit jeu semblait porter ses fruits. La participante plus passive, laissait couler de sa fente des gouttes de cyprine si bien qu’une petite flaque, plutôt alimentée par Laura, s’était formée sous leurs deux vulves agitées. Julie continuait de plus belle et décida de glisser, peut-être par souci de confort, une jambe au-dessus de la hanche de son amie. Il se produisit alors quelque chose de fou : certainement très excitée par la position dans laquelle elle était, plus mon regard sur elle, plus l’alcool, plus les sensations qu’elle ressentait au bas-ventre, Laura se laissa complètement dominer par les événements. En effet, elle jouit de manière spectaculaire, la tête complètement déportée en arrière, les seins pointant vers le plafond. Sa cyprine ne coulait plus, elle giclait, arrosant le pubis, le ventre et les fesses de son amie. Et au comble du bonheur, elle hurla :



Le gage prit alors une autre dimension : Julie se leva, alors que Laura restait couchée et comblée de bonheur. Elle s’agenouilla devant son sexe inondé et inondant, et lui lécha les lèvres, puis le clitoris. La jeune beauté à la chevelure foncée se remettait à peine de ses émotions, que déjà son amie blonde comme les blés lui procurait un second orgasme encore plus saisissant. Elle m’avouera plus tard qu’elle crut presque mourir à ce moment-là tant son plaisir fut intense.


Finalement, Julie se calma et la laissa reprendre son souffle. Lorsqu’elle reprit ses esprits et se leva (j’eus même l’impression qu’elle titubait pour revenir à la table), je la regardai d’un oeil complètement différent, comme une fille parfaitement épanouie. Elle le comprit apparemment bien, car elle me regardait aussi d’un oeil différent, comme si nous nous connaissions depuis toujours, comme si nous n’avions rien à nous cacher. Cela dit, pour sa part elle n’avait effectivement plus grand chose à cacher ! Le jeu n’était pas fini et il me sembla que les deux filles avaient concocté une alliance, j’avais de plus en plus de mal. Et ce qui devait arriver arriva, je me séparai de mon caleçon après trois tours, sous leurs regards plus qu’intéressés. Je dévoilai d’abord mes fesses, puis lorsqu’à mon tour je fus entièrement nu je me retournai et leur présentai ma verge, qu’elles avaient pu deviner si dure un peu plus tôt. Complètement décalotté, fièrement dressé, mon pénis provoquait des sifflements chez Julie, ainsi qu’un regard beaucoup plus admiratif pour Laura.


Julie dit alors :



Mine de rien, il était déjà une heure du matin. Nous finîmes alors la partie, j’étais alors le mieux en point car la perte de mon dernier vêtement me rapporta de l’argent. Or Julie et Laura n’en avaient déjà plus que le tiers. J’en profitai alors pour prendre quelques risques, et cela paya. Le dernier tour fut incroyable. L’excitation était à son paroxysme et le suspense… Car si j’abandonnai rapidement, faute à une triste suite de quatre, mes deux adversaires étaient déchaînées, et misèrent toutes deux un gage. Laquelle allait y participer? C’est Laura qui nous dévoila en premier un carré de valets. Julie posa alors trois rois sur la table. Laura s’amusa :



Stupeur collective, Julie avait posé un quatrième roi sur la table. Le beau carré de valets ne suffisait plus. Laura comprit ce qui lui restait alors à faire, et lança la pièce. Face ! C’était donc Julie qui allait choisir le gage de Laura, auquel j’allais prendre part !



L’idée ne m’étonna qu’à moitié, en revanche je vis dans les yeux de Laura un partage d’appréhension et d’excitation. Elle ajouta tout simplement :



Puis elle s’approcha de moi, sous le regard attentif de Julie. Elle me regarda dans les yeux… Et m’embrassa. Elle était tellement adorable, je crus mourir sur place et me consumer à petit feu.


Je sentais mon pénis, dur comme du marbre, frotter sa cuisse si douce. Puis je la vis poser la main sur mon gland, la refermant dessus. Elle commença à imprimer, maladroitement, quelques mouvements de va-et-vient. Je sentais déjà des picotements dans ma verge, c’était trop bon ! Elle divergeait dans les mouvements qu’elle orchestrait, effectuant par moments des mouvements circulaires, puis de francs va-et-vient. Elle attrapa un de mes testicules et le malaxa longuement. C’était tellement bon que déjà je me sentais venir. Pourtant j’étais encore loin d’avoir tout imaginé. Elle approcha ses lèvres et posa un baiser sur mon gland, m’arrachant un gémissement. Puis elle commença à donner des coups de langue sur mon gland, avant de généraliser cet acte sur l’ensemble de mon frein. Elle me nettoyait littéralement le sexe, le léchant partout, comme une sucette. Enfin, elle décida de le prendre à pleine bouche, commençant par embrasser du bout de ses lèvres pulpeuses mon gland surexcité, avant de descendre profondément jusqu’à la base de ma verge turgescente. Mon érection était telle que j’en avais presque mal, mais en même temps j’étais au septième ciel, plus proche que jamais d’un orgasme aussi puissant qu’attendu. Laura le comprit bien, sentant les vibrations, les palpitations de ma queue. Elle décida alors de retirer sa bouche, et me branla de toutes ses forces en continuant ses "léchouilles" intermittentes. Je pus à peine résister quelques secondes, et me sentis venir dans une vague de bonheur immense… Un premier jet canonique atterrit sur son cou, suivi par une petite dizaine d’autres, d’intensité dégressive, atterrissant sur ses seins, sa main, son ventre… Épuisé, je m’affalai par terre et tentai de l’attirer à moi en la serrant dans mes bras. À mon grand étonnement, elle s’extirpa, en me chuchotant :



Son petit clin d’oeil me fit immédiatement perdre étonnement et déception ! Julie lança alors :



Bonne nuit ? Pas de problème, à mon avis. Julie éclipsée (et pourtant chez elle, nous sommes vraiment des vautours, mais passons !), je parlai un peu avec Laura :



Je n’avais même pas débandé, d’ailleurs avec ce qu’elle venait de m’avouer je dirais plutôt que mon érection était encore plus incroyable ! Je pensai alors que le moment était parfait, enfin un peu d’intimité, un grand canapé derrière nous, cela est bien confortable. Je l’embrassai alors, je la serrai aussi fort que mon amour féroce me le dictait, je me soudai à elle. Je crus fusionner avec elle… C’était donc ça, l’amour. J’avais l’impression de ne faire plus qu’un avec elle. Elle me jeta alors un petit regard plein de malice, et posa son doigt sur mes lèvres avant de me glisser :



Elle me rendait fou. Cette petite réflexion eut autant d’effet sur moi que la plus réussie des fellations !


Après quoi elle fit :



Elle se laissa glisser dans le canapé, ses seins étaient écrasés, leurs formes similaires à des petits pains ronds, leur odeur, leur goût, agréables à souhait. Elle écarta ses jambes, son minou était encore très humide depuis le petit jeu de tout à l’heure. Apparemment, l’effet qu’elle m’avait fait lors de la fellation l’avait excitée tout autant. Je lui dis alors :



Oui, à croire que tout était orchestré. Tant mieux, ça m’évitera une déception ou une imprudence. Je me couvris rapidement et revint à la charge.



Bizarrement, nous avons fermé les yeux tous les deux en même temps à ce moment précis. J’entrai en elle avec une douceur infinie, lui arrachant déjà un petit gémissement. Je commençai alors à accélérer la cadence, progressivement mon sexe glissait de plus en plus aisément dans son orifice offert à moi, à mes rêves et mes fantasmes…


Sa cyprine commençait déjà à couler à flots, tâchant le canapé. Je pris sa main dans la mienne, et profitai de la liberté de l’autre pour aller taquiner son clitoris. Jouant avec, je sentis sa main se crisper dans la mienne, me serrer plus fort. Pour couronner le tout, je penchai mon visage et lui léchai furtivement le téton. Un geste plutôt anodin, mais lorsque je vis ses yeux s’ouvrir brutalement je compris qu’il avait fait son petit effet. Dans ma grande cruauté, je l’embrassai à pleine bouche, l’empêchant d’émettre le moindre son, et en même temps j’accélérai encore plus la cadence, assénant dans son vagin de véritables coups de burin ! Mon autre main était devenue elle aussi folle, jonglant entre son clitoris et son pubis ultra doux. Elle arrosa alors mes doigts, synonyme d’orgasme. J’avais l’impression qu’elle expirait, je retirai alors ma bouche et c’est un véritable hurlement que je pus entendre, sa mouille giclait à flots, elle avait presque les larmes aux yeux tant c’était bon !


J’eus peur qu’elle perde connaissance tant elle semblait jouir fort, elle tremblait de tous ses membres et me griffait avec férocité, complètement abandonnée. Étrangement, je n’étais pas si excité, je sentais que l’orgasme avait encore le temps de venir - était-ce dû au petit gage subi quelques minutes auparavant ? En tout cas je me décidai à la retourner, cette fille qui désormais représentait tout pour moi, tant ses formes, son odeur, sa voix, son visage, ses réactions, bref tant son être tout entier m’enivrait…


Elle ne dit rien, se laissa faire, et je pus admirer ses fesses splendides, rebondies à souhait, et au teint parfait. Je pris alors ma queue dans ma main et la glissai dans son antre presque béant tant le missionnaire si classique avait bien oeuvré ! Très vite je sentis sa respiration s’intensifier, comme de l’asthme, elle sifflait en respirant, encaissant en explosant de plaisir le membre dur et brûlant. Ce membre qui explorait sous son consentement le trou non moins bouillant qui arrosait toujours plus le canapé… Elle était à deux doigts de son prochain orgasme. D’ailleurs, ces deux doigts, je les glissai dans sa bouche (on m’avait dit que ça marchait bien !), et en effet elle s’en délecta, les suça avec plaisir…


Je les retirai une demi-minute après, et allai éponger avec sa propre salive son petit bouton. J’avais compris en le voyant pour la première fois comment le "décalotter", ce que je fis avec mon index et mon majeur, et mon pouce servit à allumer le brasier ardent et gigantesque qui sommeillait dans ce si petit organe…


Sa tête se redressa alors brutalement en arrière, elle gicla et jouit avec une violence inouïe, en combinant à mes toucher clitoridiens de puissants coups de reins. Ses seins, pas énormes mais d’une taille tout à fait correcte, ballottaient dans tous les sens. J’étais sûr qu’elle avait les yeux dans le vide, et dans un dernier effort elle s’époumona :



Encore un orgasme pour ma nymphette décidément gâtée ce soir, et je vins aussi à mon tour, explosant dans ce morceau de latex que je crus déchirer… Et nous tombâmes finalement tous les deux dans le canapé, affalés, épuisés et heureux, trempés et dégoulinants de nos substances d’amour respectives. Laura fut la première à me prendre dans ses bras et me glisser dans l’oreille :



Elle ne saura pas, un doux baiser déposé sur mes lèvres auquel je participai avec joie paracheva cette nuit de folie, et nous nous sommes endormis heureux, épanouis, amoureux, désireux et désirés!


Et lorsqu’au matin nous nous réveillâmes enfin, Julie nous invita au petit déjeuner et confessa :



Un petit regard et Laura me comprit : nous nous levâmes, il allait être temps de lui faire "sa fête" et la remercier comme il se doit, notre si sympathique hôte !



FIN