n° 11703 | Fiche technique | 15226 caractères | 15226Temps de lecture estimé : 9 mn | 12/09/07 |
Résumé: Une jeune femme participe à une séance de photos pour une publicité de lingerie et découvre les plaisirs saphiques. | ||||
Critères: ff noculotte photofilm lingerie odeurs intermast cunnilingu 69 -initiat -occasion | ||||
Auteur : Eugene Envoi mini-message |
Une société, représentant une grande marque de lingerie, recherche jeunes femmes de 18 ans à 25 ans pour la publicité de ses produits.
Je suis tombée sur cette petite annonce en feuilletant un magazine à la mode. Je l’ai oubliée rapidement et m’en suis souvenue le lendemain matin, en me regardant dans la glace toute nue après la nuit. J’ai vingt-deux ans, une rousse, plutôt bien faite, les seins en poire.
J’ai passé cette journée en pensant à cette annonce. Comment ça se passe ? N’est-ce pas l’annonce d’une boite porno ? Y a t-il un danger quelconque ? Enfin, pourquoi y penser ? Poser devant un mec, en lingerie ! Je ne sais pas pourquoi ces pensées me venaient à l’esprit.
Le jour suivant, j’y ai pensé aussi. Enfin, pourquoi ne pas essayer ? L’idée de me montrer en lingerie devant un homme inconnu m’a troublée un peu. Peut-être, elle m’a légèrement excitée. D’ailleurs, je ne serais pas nue, il devrait y avoir les cabines d’essayage.
J’avoue que j’étais déjà fatiguée et perturbée par ce type de réflexion, alors je me suis décidée. Un matin, j’ai pris mon courage à deux mains et me suis présentée à l’adresse mentionnée dans l’annonce. Déjà, l’entrée de cette société laissait penser que c’était une boîte respectueuse. Je suis entrée : un hall spacieux, l’air conditionné, plein de verdure, une musique douce.
Une femme de près de trente ans m’a repérée derrière son banc d’accueil et s’est adressée à moi :
J’ai eu envie de partir, je ne sais pas pourquoi.
Je me suis prise par la main : bon, j’essaye, de toute façon, ça ne pourrait pas me faire de mal, la boîte me paraît très sérieuse. Nous avons traversé quelques couloirs et franchi une porte. Une femme était dans ce petit bureau. Une brune de près de trente-cinq ans, les mains et le visage bien soignés. Son corps n’était pas mal non plus. La minijupe moulante lui allait très bien. Une blouse blanche quasi-transparente et un soutien-gorge en dentelle (un échantillon du produit ?). Un collant ou des bas noirs complétai(en)t ce beau tableau.
La dame m’a fait signe de la tête.
Ah, j’ai ressenti un soulagement. Je n’avais même pas pensé que ça pourrait être une femme.
Elle m’a emmenée dans un petit studio, a allumé les projecteurs. Il y avait des miroirs partout, la musique douce y jouait aussi. Le studio avait été bien aménagé, quelques fauteuils, un sofa, un canapé, quelques portraits très artistiques sur les murs.
Je me suis déshabillée sans la moindre hésitation. C’est facile, avec une femme photographe !
Son optimisme m’a encouragée. Cette première séance a été très courte. Elle ne m’a pas « offert » d’autre lingerie, en prenant des photos telle que j’étais venue. Elle me suggérait juste de prendre les poses convenables : elle corrigeait de ses mains mes postures, me tournait, inclinait ma tête. J’étais comme de la pâte à modeler pour elle et elle faisait son oeuvre. En une demi-heure la séance a été terminée. Je me suis rhabillée.
Elle a souri.
J’étais prête à venir même à minuit pour continuer. Elle a souri aimablement.
Encore un échange de sourires et j’ai quitté le studio. J’ai dit aussi au revoir à l’hôtesse d’accueil et suis sortie du bâtiment.
À la séance suivante je suis venue sans aucune hésitation, toute trace de peur ayant disparu. Agnès m’a accueillie avec un aimable sourire.
Je me suis déshabillée entièrement. Agnès me souriait, tout en dévorant des yeux mon corps nu. Elle m’a proposé un soutien-gorge et un slip de couleur bleue. Je les ai enfilés. En les serrant un peu, les bonnets du soutien-gorge mettaient en valeur mes seins.
Puis, tout s’est enchaîné, Agnès me faisait prendre des poses différentes, ses mains volaient sur mon corps pour rajuster les slips ou les soutiens-gorge… À chaque fois d’agréables frissons me parcouraient. Agnès a sorti un complet blanc en dentelle : un soutien-gorge toujours serrant et presque transparent et un slip minuscule en tissu léger. J’ai mis cet ensemble et Agnès s’est approchée de moi.
J’ai fait oui de la tête. Agnès a plongé une main dans le bonnet et a effleuré mon téton. J’ai ressenti une sorte de petite décharge électrique, ça m’a traversé le corps… Agnès m’a regardée dans les yeux et j’ai eu l’impression qu’elle laissait sa main sur mon téton plus longtemps que nécessaire. Puis elle a fait la même chose avec mon autre sein. Mes tétons sont devenus durs et pointaient visiblement. Le contact d’une main de femme avec mes tétons m’a légèrement excitée. Puis, Agnès s’est accroupie pour ajuster le slip. Exprès ou pas, elle a légèrement ouvert ses cuisses. J’ai pu constater qu’elle portait bien des bas auto-fixants et j’ai soupçonné qu’elle n’avait pas de petite culotte.
Agnès a recommencé les photos. Maintenant, elle osait plus passer ses mains sur mes hanches ou à l’intérieur de mes cuisses pour que je prenne les poses souhaitées. Ses attouchements et la vision récente de ses cuisses entrouvertes m’excitaient encore plus. Agnès a dit :
Je me suis déshabillée. J’ai ôté le slip. Mon Dieu, je l’ai mouillé ! J’étais pas mal gênée.
Agnès me regardait droit dans les yeux. Les siens brillaient. Elle a sorti un mouchoir.
J’ai alors ressenti une impression de gêne mêlée, en même temps, à de la curiosité.
J’ai fait comme elle me l’a demandé. Tout doucement, Agnès a commencé à essuyer mes lèvres trempées, mais ça ne me faisait que les humidifier davantage.
Elle essayait à nouveau de m’essuyer, mais elle n’y arrivait pas. Je coulais déjà pas mal.
Ayant dit ça, elle a approché son visage de ma chatte et a déposé un léger bisou sur mes lèvres. En remarquant que je ne la repoussais pas, elle a commencé à nettoyer ma chatte avec sa bouche. J’ai décidé de me laisser aller à ce plaisir inconnu jusqu’à ce soir-là, et je me suis allongée sur le canapé en écartant mes cuisses encore plus largement. Agnès a enlacé mes hanches avec ses bras et a commencé à me lécher avidement. Elle a écarté mon sexe avec ses doigts et j’ai senti sa langue entrer dans mon vagin. Les sensations étaient divines ! Agnès a dégagé mon clitoris de son abri et a commencé à l’aspirer avec ses lèvres. Mon clito a durci rapidement et est devenu très sensible. Sa langue fouillait mon vagin, puis donnait des coups sur mon clitoris.
Agnès savait faire sa langue tantôt très douce, tantôt très dure pour traiter mon bouton. J’ai senti des vagues de ma liqueur couler de ma chatte. Agnès s’est redressée, je l’ai regardée, son visage était brillant de mes sécrétions. Très rapidement elle s’est dévêtue. Je me suis appuyée sur mes coudes pour la regarder faire. Comme je le soupçonnais, elle ne portait guère de petite culotte. Ses seins avaient une belle forme et ses tétons étaient bruns.
Elle s’est de nouveau accroupie, en écartant largement ses cuisses. Ses lèvres extérieures se sont entrouvertes en laissant sortir les petites lèvres qui étaient un peu plus longues et pendaient ainsi de sa vulve. Agnès a commencé à tirer ses petites lèvres, en les allongeant encore plus. Puis elle a commencé à masser sa vulve avec sa main gauche. Deux doigts de sa main droite sont entrés dans mon vagin comme dans du beurre. Pour lui faciliter l’accès, j’ai plié mes jambes et les ai placées sur le bord de canapé. La vision de cette belle femme qui se caressait devant moi et qui me pénétrait de ses doigts m’a fait trembler. J’étais au bord de l’orgasme. Agnès l’a senti et a recommencé à me sucer le clito sans retirer ses doigts de mon vagin. Je me suis laissé aller et un fort orgasme m’a envahie. Je suis retombée sur le dos en savourant les vagues de plaisir qui traversaient mon corps.
Agnès est montée sur le canapé et s’est mise en soixante-neuf au-dessus de moi. La vue de sa chatte au-dessus de mon visage m’a troublée un peu car je n’avais jamais léché une femme. Mon excitation ne m’a pas quittée, malgré l’orgasme. Agnès a approché sa vulve de mon visage. Excitée et curieuse, j’ai écarté ses lèvres avec mes deux pouces. Sa chatte était rouge foncé, les petites lèvres ressemblaient aux pétales d’une fleur, son vagin ouvert était accueillant, quelques gouttes de son jus perlaient de son orifice. J’ai pris dans ma bouche ses longues petites lèvres et les ai tirées. Ça m’a fait une sensation un peu drôle, mais toujours excitante.
Son odeur sauvage de femme en chaleur m’enivrait. J’ai enfin osé mettre deux doigts dans son vagin. J’ai commencé à bouger mes doigts, en palpant les parois de son vagin brûlant et en explorant ses profondeurs. Bientôt je me suis sentie remplie avec les doigts d’Agnès. Je faisais des va-et-vient dans cette chatte bien lubrifiée, les bruits humides me faisaient tourner la tête. J’ai retiré mes doigts et l’entrée de son vagin s’est contractée. Agnès continuait à bouger ses doigts en moi, son pouce frottait maintenant mon clito. À cet instant, j’ai osé et j’ai plaqué mon visage contre la chatte d’Agnès. J’avais de drôles de sensations à fouiller ainsi ce vagin avec ma langue. Les lèvres d’Agnès se sont écartées, en se plaquant parfaitement sur mon visage. Son odeur était maintenant plus prononcée. Quand j’ai finalement retiré ma langue de ses profondeurs, je l’ai sentie humidifiée par sa mouille.
Le clito d’Agnès était plus petit que le mien, mais très sensible. À chacun de mes attouchements, avec un doigt, le corps d’Agnès répondait par de légers tremblements de son bassin. Je continuais à masser son bouton, Agnès (consciemment ou pas) serrait et desserrait les muscles de son vagin et son « entrée » se contractait, telle la bouche d’un poisson rare laissé hors de l’eau.
Sentant l’arrivée de mon deuxième orgasme et voyant les chairs palpitantes de cette vulve ouverte et offerte, je me suis précipitée pour remettre deux doigts en elle. Nos respirations se sont accélérées et sont devenues plus profondes, les mouvements de nos doigts plus rapides, plus profonds, plus précis. Le jus d’Agnès coulait le long de ma main. Soudain, nos corps se sont mis à trembler, nous avons émis des soupirs forts et l’orgasme - puissant - nous a envahies en même temps. J’ai retiré mes doigts et Agnès a laissé couler jusqu’à mon visage un vrai flot de cyprine. Les doigts d’Agnès étaient toujours dans mon vagin, me faisant vibrer davantage. J’ai eu l’impression que mon deuxième orgasme durait une longue minute. Comme Agnès ne s’est pas retirée, j’ai pu contempler sa vulve aux lèvres entrouvertes, toute brillante de sa liqueur.
Agnès s’est mise à côté de moi, on s’est enlacées et on a échangé des baisers, chacune sentait le jus de l’autre. On a passé une bonne demi-heure ainsi enlacées, sa cuisse pressait ma vulve, ma main était posée sur son sein.
Nous nous sommes habillées, nous nous sommes remerciées l’une l’autre. Avant de mon départ, Agnès a demandé :
On s’est embrassées encore une fois et je suis partie en emmenant avec moi les souvenirs de cette expérience, nouvelle, mais très agréable.