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Temps de lecture estimé : 15 mn
14/09/07
Résumé:  Fab et moi étions des confidents, on se racontait tout, nos "victoires" comme nos soucis. C'est sûr qu'on parlait de cul, mais ça restait toujours des paroles. Jusqu'à cet après-midi d'été...
Critères:  hh jeunes copains forêt intermast fellation init -initiat
Auteur : Fonzo  (aime faire jouir femmes et hommes)            Envoi mini-message
Enfin déniaisé !

Mon histoire s’est déroulée au début des années 90. À l’époque des faits, je devais avoir entre 18 et 20 ans, je ne me souviens plus très bien. J’étais encore puceau et n’étais même pas encore sorti avec une fille. Il faut dire qu’a cette époque, j’étais assez mal dans ma peau, je n’aimais voir ni mon visage, ni mon corps. J’étais un peu l’intello de service et avais souvent été le souffre-douleur des classes que j’avais fréquentées. Je ne faisais pas partie d’une bande et mes copains se comptaient sur les doigts d’une main.


Avec un de mes rares copains, Fabien, on allait régulièrement se balader en vélo le samedi après-midi. On faisait un petit tour tranquille et on aimait s’arrêter dans une mini-forêt en plein talus qui marquait la séparation entre un chemin et des pâturages. On planquait nos vélos derrière des fourrés et on allait s’étendre aux pieds des arbres. On passait des heures à discuter de tout et de rien. On fantasmait sur notre avenir.


Fab et moi étions des confidents, on se racontait tout, nos "victoires" comme nos soucis. C’est sûr qu’on parlait de cul, mais ça restait toujours des paroles, et concernait rarement notre réel vécu, pour autant qu’il y en ait eu un. On restait quand même toujours très pudiques.


Jusqu’à cet après-midi d’été…



* * * * *



Arrivés à notre repaire, on planque nos montures. Fabien se couche sur le tapis de feuilles et moi, je m’appuie contre un petit arbre qui poussait en Y et tout penché, ça me permettait d’être presque couché en dessus de Fab. On discutait de tout et de rien, et on a gentiment dévié sur les films de culs qui passaient sur Canal+ et sur les différentes pratiques :



Ces idées de cul, me rappelèrent un truc que j’avais vu à la piscine et qui m’avait un peu surpris et dégoûté :



J’avais réussi à surprendre Fabien, car il s’était appuyé sur ses coudes et me regardait droit dans les yeux, l’air ahuri.



Fabien me posa une question qui me surprit :



Je n’ai pas répondu. Il a dû voir mon air perdu et a insisté :



Ben oui, forcément que ça m’avait fait bander, mais j’allais pas le lui avouer comme ça.



Mon éducation de type chrétienne avait totalement occulté la moindre éducation sexuelle. L’acte sexuel ne devait servir qu’à procréer, donc inutile de préciser la place qu’avait l’homosexualité dans cette non-éducation… Fabien, insistait.



Vu les discussions qu’on avait déjà eues ensemble durant d’autres après-midi, on savait que se faire tailler une pipe par une nana faisait bien sûr partie de nos fantasmes.



Il faisait certainement allusion à notre vie sexuelle (en tout cas à la mienne…).



J’étais de plus en plus étonné, et quand même intrigué, par les propos de Fabien. Dans mon pantalon, je sentais mon sexe qui commençait à fourmiller, et ça me troublait.



Non, cette fois je ne le reconnaissais plus. Il semblait très sérieux en me posant cette question. J’étais abasourdi. J’en croyais pas mes oreilles. En même temps, de l’imaginer en train de sucer une bite, ça avait commencé à me faire bander. J’étais quand même persuadé qu’il me faisait marcher, et que j’allais me ramasser, mais il m’intriguait :



Je ne savais plus quoi penser. D’un côté, ce con me faisait quand même bien envie, avec sa proposition, et d’un autre, j’étais toujours un peu révulsé par cette idée. En même temps, c’est vrai, c’est lui qui me suce, ça me change quoi, que ce soit lui ou une gonzesse ? Fabien m’arracha de mes réflexions :



Il avait dit ça avec un sourire en coin et le regard vicieux. Putain, il me faisait de plus en plus envie et je devais même admettre que si une femme suce une bite, y a pas de raison qu’un mec le fasse pas, ça doit pas être plus dégueulasse que de bouffer une chatte et maintenant, c’est même ma bite qui me demandait de la soulager, tellement elle était raide et coincée dans mon slip.



Bon, là, il jouait un peu au vendeur de tapis, on aurait dit qu’il avait tout manigancé, mis à part que c’est moi qui avais commencé à en parler, quoique… j’en étais plus si sûr. Je venais à peine d’admettre que de se faire sucer par une femme ou un homme était un peu égal, mais j’avais pas encore réfléchi au fait de sucer une bite.



Il avait dit cette dernière phrase avec un ton de déception. C’est vrai que je venais de mettre en doute sa parole, lui qui était mon meilleur ami, qui n’était jamais revenu sur une de ses paroles.



Je sais pas pourquoi j’avais déjà doublé ce qu’il me proposait. Peut-être pour m’excuser. Mais maintenant, avec ce que je venais de lui demander, c’est comme si j’avais accepté.



Bon, cette fois je m’étais décidé. Finalement, une bite, c’est qu’un bout de peau, un peu comme un doigt et ça me dégoûtait pas de me lécher les doigts. C’est fou ce à quoi je pensais pour me convaincre !



Je me déplaçai pour laisser Fabien venir s’installer. Comme moi, il s’installa de manière à regarder le sol.



Je me déplace juste en face de lui. Comme le terrain est un peu en pente, je suis déjà un peu plus bas que lui. J’ai le cœur qui bat à tout rompre et je me rends compte que mes mains sont devenues moites et tremblantes. Je remarque également que je ne bande plus, faut que j’arrête de trop réfléchir. Allez, j’ai promis et je ne veux pas le décevoir.


Je m’agenouille. Je suis pile à la bonne hauteur. J’ouvre le bouton de son jean et baisse le zip. Je n’arrive pas encore à savoir s’il bande ou pas. Je dégage ses hanches et baisse son pantalon sur ses mollets. Il a un slip bleu ciel qui laisse percevoir la forme de sa bite, elle semble pas trop gonflée, et toujours molle. Je lève les yeux vers ceux de Fabien. Il épie chacun de mes mouvements. C’est la première fois que je vois cette expression sur son visage, ça doit être l’excitation mêlée à l’angoisse de ce qui va se passer, un peu comme moi… Il a toujours son doigt sur le bouton du chrono de sa montre.


Je redescends mon regard sur son slip. Avec mes deux index, j’accroche l’élastique de son slip, l’écarte et commence à le faire glisser. Je suis maintenant en "tête-à-tête", à quelques centimètres de sa bite. Elle dégage une sorte d’aura envoûtante, et pourtant il ne bande pas ou plus, mais moi oui, je commence à être dans un état second. Je prends sa bite dans ma main pour la soulever un peu. Ça le fait sursauter et un petit "ah" de surprise s’échappe de sa bouche, mais il ne bouge pas et ne dit rien d’autre. Alors, je décide de le branler un peu, tout doucement, pour qu’elle prenne de la vigueur. Ça doit vraiment lui faire de l’effet, car il laisse échapper un soupir révélateur. Maintenant, sa bite est bien bandée. Elle n’est pas très grande, à peine plus d’une dizaine de centimètres. J’ouvre grand la bouche, à ce moment, c’est moi qui ne suis plus rassuré. J’avance vers sa verge, la fais entrer dans ma bouche, mais sans la toucher, comme si ça pouvait m’empoisonner, et quand j’arrive près du pubis, j’arrête d’avancer et referme juste mes lèvres. Je touche sa queue avec ma bouche. C’est fait. C’est vrai que ça n’a rien de monstrueux. Après quelques secondes (enfin, c’est ce que je pense), Fabien se retire de ma bouche, mes lèvres frôlent sa bite sur toute sa longueur.



À ce moment-là, je ne pensais même plus au chronomètre, mais il avait raison, je l’avais juste enfourné, sans même bouger.



Sur ces paroles, je frotte son gland avec la langue et fais pénétrer sa bite dans ma bouche. Un soubresaut le parcourt à nouveau. J’entends le bip du chrono. Alors, lentement, je commence à le sucer, en pressant avec la langue ou avec les lèvres, en exerçant une succion et en relâchant la pression. J’entends Fabien qui commence à gémir et ça m’excite encore plus. D’une main, je prends la base de son sexe et effectue des petits mouvements de va-et-vient qui suivent ma bouche. Je suce juste le bout de son gland. Je sens son goût, j’avais entendu dire que c’était un peu salé (j’avais jamais osé goûter mon jus), mais là, je ne trouve pas, c’est fade mais plutôt sucré et ça reste bien en bouche. J’ai retiré son prépuce et le retiens tout en arrière. Je gobe doucement le bout violet de son gland, j’ai l’impression de sentir son cœur battre tout au bout. Ma langue joue avec son méat. Les gémissements de Fabien se sont maintenant transformés en de longs râles sourds. J’entends à nouveau le bip de sa montre, mais je m’en fous, je remarque que j’aime sucer sa bite. Mais, d’un coup, Fabien se retire à nouveau d’un coup.



Je me mets de côté, attrape son pieu de ma main droite et commence à le branler tout doucement. Avec mon pouce, je caresse le bout de son gland où perlent les prémices de son plaisir. Mon doigt est bien lubrifié et je le caresse sous le gland (chez moi, c’est l’endroit le plus sensible). Il n’en faut pas plus. Fabien lâche un petit cri guttural, je sens sa bite vibrer pendant un quart de seconde et je regarde son sperme jaillir du bout de son gland. Il est en train de râler, sa bite expulse de longs jets blanchâtres, trois, quatre, cinq. Je n’ai encore jamais réussi à éjaculer de la sorte ! Je lève la tête pour le regarder jouir et je le vois, agrippé aux branches, ses mains sont blanches tellement il doit serrer fort. Il a les yeux grands ouverts, mais le regard vide. Je regarde de nouveau sa bite, un peu de sperme s’en échappe encore. Il ne gicle plus mais coule de son gland sur mon pouce et le long de ma main. Tout ce temps, j’ai continué mes mouvements d’aller-retour, mais plus lentement et très délicatement. J’étale finement le sperme sur son gland. À ce moment, j’entends que Fabien ne râle plus mais respire comme s’il venait de courir un 400 mètres-haies. Sa bite ramollit lentement, mais je continue à la masser tout doucement.



Il était encore tout essoufflé. Je jouais toujours avec sa bite gluante, qui était devenue toute molle maintenant.



J’étais toujours à genoux et ma bite était tellement compressée et à l’étroit que ça me faisait mal. Avant de me relever, je voulais quand même goûter à sa queue saucée ; après tout, je risquais seulement de ne pas aimer. Je l’ai enfournée et l’ai un peu sucée, comme un marshmallow. Elle n’avait plus le même goût qu’avant, c’était un peu âpre, mais finalement, pas si mauvais. Fabien me rappela à la réalité en sortant son zizi de ma bouche.



Il remonta son slip et son jean sans le refermer et s’enleva de sa place. En me relevant, ma bite avait un peu plus de place mais provoquait une bosse énorme sur mon pantalon. Je pris place contre l’arbre.



En disant ces mots, il avait rebaissé son pantalon et, avec sa bite molle à l’air, il s’était agenouillé devant moi.



Je ne dis rien et le regarde s’agiter. Il avait ouvert mon pantalon et attrapé mon slip qui gardait toujours mon engin à l’étroit. Il avait approché sa tête et son nez était presque contre ma bosse. D’un coup sec, il descend pantalon et slip en même temps. Mon sexe en furie jaillit d’un coup sec et lui frappe le visage. En contrant le mouvement, Fabien ouvre sa bouche, gobe sauvagement ma bite et effectue quelques va-et-vient hyper rapides en serrant très fort mon bâton à plaisir entre sa langue et son palais. Puis il s’arrête, garde juste une légère pression de sa langue pour maintenir mon gland contre son palais.


Ça c’est passé vite, mais c’est si bon, je crois que s’il avait continué dix secondes comme ça, j’aurais lâché la purée. Je me rends compte que j’ai les jambes en coton, je pense pas que je tiendrai debout. Comme Fabien avant, j’ai agrippé les branches et les serre de toutes mes forces. Il relâche doucement la pression et recule sa bouche. Ses lèvres humides me frôlent sur toute la longueur.



Comme il s’était reculé, j’ai vu qu’il bandait de nouveau, et qu’en effet ma bite était bien plus longue.



Il me regarda en acquiesçant et prit ma queue dans sa main. Il me branlait doucement et me léchait le bout du gland comme si c’était un esquimau glacé. J’ai vu que son autre main était sur son entrejambe, et à la voir bouger, il avait recommencé à se branler. De mon côté, j’appréciais chaque mouvement de sa langue, chaque succion de ses lèvres. Sa main ne tenait plus ma bite, mais il caressait mes couilles. J’en avais les frissons. Il a continué comme ça pendant un moment, j’aurais aimé que ça ne s’arrête plus tellement c’était magique. Puis il a accéléré ses mouvements et augmenté la pression sur ma bite. J’ai rien eu le temps de dire, j’ai juste lancé un long râle. Je me suis sentis partir et j’ai commencé à me vider. Fabien n’a pas bronché, il a continué de me sucer ardemment et chacun de mes jets devait lui couler dans la gorge. Il a ralenti le mouvement, mais il continuait de jouer avec sa langue sur mon gland. Puis je suis lentement redescendu sur terre, et du coup, je me suis rendu compte que je n’avais pas averti Fabien de ma jouissance imminente. J’ai eu un peu honte de ne pas avoir fait attention à lui. Quand j’ai ouvert les yeux et l’ai regardé, j’ai vu que lui aussi avait de nouveau joui.



Je lui dis ça sur un ton d’excuses, mais il avait toujours ma bite molle dans sa bouche et il me regarda avec les yeux tout brillants. Il effectua une dernière succion, comme pour être sûr de ne rien avoir oublié et libéra ma queue.



En disant ça, il regardait sa bite, toujours enserrée dans sa main pleine de sperme. Il s’est levé et m’a présenté sa main. Comme pour lui faire un baisemain, j’ai attrapé le bout de ses doigts, mais au lieu d’y déposer un baiser, je les ai léchés et lui ai enlevé toutes traces de sperme. On s’est rhabillé, il était venu l’heure de rentrer.



J’étais content qu’il me le propose. De toute façon, j’en aurais fait autant.



On était retourné chercher nos vélos, et on rentra chez nous. En s’arrêtant devant chez lui, il me dit tout doucement :



Il rentra son vélo dans le garage et me lança un « Ciao, à samedi ! », puis il disparut à l’intérieur. Je suis rentré chez moi, et je n’ai plus arrêté de penser au samedi suivant…