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n° 11727Fiche technique18804 caractères18804
Temps de lecture estimé : 11 mn
18/09/07
Résumé:  Nos deux jeunes héros retrouvent leur initiatrice commune. La baignade n'est plus à l'ordre du jour, par contre le menu de leurs pratiques s'enrichit...
Critères:  fhh jeunes vacances strip 69 pénétratio uro init -inithf -inithh
Auteur : Jobix

Série : Baignades

Chapitre 04 / 05
Initiations

Le temps avait basculé dans la nuit, et une petite bruine faisait oublier l’été. Alexandre et moi étions très déçus, persuadés de ne pas revoir Sylvie cet après-midi-là. Malgré tout, nous reprîmes le vélo, car nous n’avions le permis de conduire ni l’un ni l’autre et retournâmes à notre point de rendez-vous. Nous n’étions pas arrivés que nous aperçûmes au carrefour, où nous nous étions séparés la veille, une cycliste couverte d’une veste jaune de pêcheur. Le cœur battant nous avons accéléré, et nous reconnûmes Sylvie. Elle nous fit signe de la main, et nous avons échangé des bises. Elle nous dit alors :



La maison était isolée, entourée de verdure et d’un jardin bien entretenu qui devait être totalement bucolique les jours de soleil. Elle nous fit entrer et nous proposa café et thé. Elle portait un jean et un pull moulant qui mettait en valeur ses formes. Elle enleva ses tennis et marchait pieds nus sur le sol. Dans cette tenue, sans éveiller mon désir sexuel, elle me plaisait plus que jamais. Alors que nous finissions nos boissons, assis tous deux sur le canapé en face d’elle, elle nous demanda :



Le sous-entendu était lourd de sens, et ni l’un ni l’autre ne voulions prendre la perche qu’elle semblait nous tendre de peur de casser l’intimité qui naissait entre nous. J’osais :



Elle se leva du fauteuil, se plaça entre nous sur le canapé, passa ses bras par-dessus nos épaules comme on fait entre camarades.



Elle me regarda et posa ses lèvres sur les miennes, puis elle se retourna vers Alexandre et l’embrassa aussi. Je la trouvais de plus en plus formidable.



Aussitôt je lui dis :



Elle me répondit par un sourire puis demanda :



De façon inattendue elle demanda :



Puceaux nous étions, mais il n’était pas facile de l’avouer. Je mentis :



Paniqué par cette question, j’avouai :



J’étais particulièrement contrarié par l’idée que je pourrais être privé de la suite du programme. Elle reprit :



Devant notre imprévoyance, elle nous signifia comme un professeur qu’on ne se promène pas avec l’idée de baiser sans préservatifs. Mais comme nous lui garantissions que nous étions bien puceaux, sans autres relations sexuelles autres que celles de ces derniers jours, elle parut rassurée et nous demanda de la suivre. Elle nous amena dans sa chambre, se retourna face à nous, enleva son pull, défit son soutien-gorge exhibant sa poitrine.



Aussitôt, mû par cette nouvelle habitude de soumission, je défis la chemise de mon copain, puis déboutonnais sa braguette, passai derrière lui pour baisser son pantalon. J’enlevais ses chaussures, puis son pantalon, il était en boxer, j’allais le baisser aussi, quand elle me dit



Elle le regardait en approchant la main de son sexe déjà bandé. Elle le toucha à travers l’étoffe du tissu, et me dit :



Je passai alors ma main sur son sexe comme je l’avais fait les jours précédents, le plaisir étant maintenant dû au fait que cette belle femme me l’ordonnait et me regardait faire.



Je me plaçais alors debout derrière Alexandre, mis les mains de part et d’autre de ses hanches, les introduisis dans son sous-vêtement, et les fis glisser d’avant en arrière, passant alternativement sur ses fesses et sur sa verge. Cette nouvelle façon de faire me faisait furieusement bander. Je baissai doucement son slip, au passage je lui caressais l’intérieur de ses cuisses, en remontant jusqu’aux testicules. Le slip enlevé, je passai devant lui et posai un baiser sur le bout du sexe. Par ces attouchements, j’avais mis Alexandre qui ne quittait pas Sylvie des yeux dans un état d’excitation avancé. Devançant ce qu’il me semblait qu’elle attendait de moi, et par jeu, je pris en main son sexe et le présentais à Sylvie.



J’étais fier de ce compliment, et tandis qu’Alexandre la regardait, nu, le sexe au garde à vous, je refis sans me faire prier le même cérémonial avec Sylvie. J’étais bien décidé à faire durer le plaisir, d’autant plus que je n’étais pas sûr de profiter de ses faveurs suite à sa remontrance de tout à l’heure. Je me mis debout face à elle, défis le bouton de sa braguette, j’en profitai pour lui faire en même temps une bise sur les lèvres, et descendis doucement la fermeture éclair. Je caressai d’abord ses fesses à l’extérieur de la toile avant de passer sous le pantalon. Comme avec Alexandre, je glissai une main devant, pour sentir sa toison à travers l’étoffe de sa culotte. Doucement je faisais descendre le jean, découvrant une culotte noire en dentelle fine, assortie à son soutien-gorge qu’elle avait jeté sur son lit. Ma main s’aventura sur son entre-jambes et je découvris qu’elle était déjà toute mouillée. Mes manières ne la laissaient donc pas indifférente. Je fis tomber le jean à ses pieds, elle leva un pied puis l’autre pour que je puisse l’enlever complètement. Au passage, je lui fis un bisou sur chaque pied puis remontais doucement mes mains le long de ses jambes, fermes, douces. Arrivé au niveau de sa culotte, je ne pus m’empêcher de poser un baiser sur son minou humide à travers le tissu. Je mis mes mains sur les fesses, les malaxai, puis de plus en plus excité, je tirai brusquement sur l’élastique. Elle soupira



À sa demande, je ralentis mes gestes. Quand sa chatte fut entièrement visible, tout en descendant sa culotte je passais ma langue sur ses lèvres. La liqueur que je récoltais avait un goût aigre-doux totalement nouveau pour moi et une odeur qui envahissait maintenant mes narines. J’aurais voulu que cet instant ne s’arrête jamais.


Mais, quand la culotte atteignit le sol, elle s’écarta, prit Alexandre par les mains, et l’entraîna avec elle sur le lit. Comme si elle se désintéressait complètement de moi, elle le fit s’allonger sur elle, elle l’embrassa, le prit par les cheveux. Alexandre commençait à prendre des initiatives, lui caressait les seins, les fesses, ils s’agitaient maintenant comme si je n’existais plus. Mon sexe me faisait mal, tant je bandai, mais je ne voulais pas me toucher, car je voulais garder toute mon énergie pour la suite. Au bout d’un moment, elle s’arrêta de bouger, saisit la verge d’Alexandre et se la mit doucement dans le sexe. Alexandre entreprit alors un mouvement du bassin, d’abord doucement puis de plus en plus sauvagement. Je trouvais que les regarder ainsi était formidable, preuve d’une complicité à trois comme je n’aurai pas pu l’imaginer peu de temps auparavant, et en même temps l’envie, à en être jaloux me tenaillait terriblement. J’aurais tant aimé être le premier, et parfois je redoutais qu’elle se refuse à moi.


Au bout d’un moment, elle se mit sur lui, à genoux, toujours le sexe d’Alexandre en elle, et imprima alors le mouvement de va-et-vient. Dans cette position, Alexandre pouvait à loisir caresser ses seins qui ballottaient. Je m’approchai d’elle dans son dos et profitai de cette position pour lui caresser les fesses. On entendait des bruits de succion que provoquaient leurs mouvements, leurs halètements, les petits cris de Sylvie. Soudain elle se figea, cria plus fort. Simultanément Alexandre atteignit l’orgasme lui aussi, et je pouvais sentir ses éjaculations, aux différents soubresauts qui les accompagnaient. Elle se pencha sur lui, l’embrassa goulûment et se retira. Je pouvais voir le sperme couler le long de sa cuisse, et cette vision m’échauffa encore plus. Sans plus pouvoir me retenir, je fis tomber slip et pantalon, précipitamment, ce qui me fit trébucher. Elle me vit ainsi, rit et me dit :



Elle me tendit les mains, défit ma chemisette, m’embrassa avec fougue. Elle s’allongea et sans attendre je la rejoignis. Maladroitement je cherchai l’entrée de son vagin, elle m’aida avec sa main et rapidement j’entamais notre mécanique amoureuse. Mon sexe baignait dans le sperme d’Alexandre et les mouvements que je faisais provoquaient comme un bruit de clapotis. Alexandre à côté de nous, récupérait doucement en caressant sa chevelure, ses seins où parfois il rencontrait ma bouche avide. Tout d’un coup, elle me dit :



Je fis quelques bises sur les fesses qu’elle me présentait, puis décidé d’en finir je me plaçais contre elle en lui tenant les hanches. Je sentis sa main attraper mon pénis, le placer à l’entrée et je poussai en avant. Dès ce moment, je sentis que j’adorerai cette position. J’eus le temps de me dire que ça y était, je n’étais plus puceau, puis je fis passer mes mains sur ses seins. Elle reprit ses soupirs. Rapidement Alexandre se mit face à elle et l’embrassa voluptueusement. Nos corps transpiraient, tout n’était plus que sexe et désir, le bonheur prenait forme, et cette forme c’était nos trois corps, haletants et transpirants. Je réussis à me retenir plus longtemps que d’habitude, et mon orgasme n’en fut que plus profond. Je réalisai alors que je me retirai que Sylvie n’était pas arrivée à la jouissance et spontanément je dis



Nous protestâmes vigoureusement, alors, tendrement, elle nous embrassa l’un après l’autre longuement. Nous restions enlacés tous les trois sur le lit, nos mains s’attardant sur nos corps. Rapidement Alexandre et moi bandions de nouveau. Au bout d’un moment, elle prit nos deux têtes face à face et nous dit :



Nous étions à la fois surpris à nouveau par sa demande, mais dans l’ambiance exubérante de désir dans laquelle nous nous trouvions, nous approchâmes nos lèvres et fîmes un baiser chaste. Elle approcha alors les siennes et nos trois bouches s’unirent dans une communion totale.


À la fureur des instants précédents succédait une douce torpeur, nous la caressions doucement, tous les trois allongés les uns contre les autres. Soudain elle se redressa et nous dit :



Sans autre forme de procès, elle se dirigea vers la salle d’eau. Celle-ci était attenante à la chambre et du lit, on pouvait voir le bac à douche. Elle laissa intentionnellement la porte ouverte et nous pouvions la voir nue, debout en train de régler la douche. Tout d’un coup, un jet sortit d’entre ses jambes : elle était en train de pisser sans aucune pudeur devant nous, le regard intense. Je m’étais assis sur le rebord du lit, Alexandre derrière moi, je sentais son sexe dur contre mon dos. Ensuite elle se mit sous la douche, se passa le savon sur tout le corps avec une sensualité telle que nous ne pouvions détacher nos yeux des lignes de son corps. Elle se rinça et s’essuya en nous regardant, un sourire malicieux aux lèvres. Alexandre s’était assis à côté de moi, et nous bandions ferme. De temps en temps, nous nous touchions chacun de notre côté.

Une fois séchée, elle s’approcha et nous dit :



Elle s’approcha, posa ses lèvres sur le bout de nos membres, les caressa un peu et nous posa un bisou sur nos lèvres. Elle se recula et s’assit sur un fauteuil qui faisait face à nous.



À nouveau elle voulait nous regarder nous toucher. Après un moment d’hésitation, je pris le membre d’Alexandre, puis posais mes lèvres dessus. Je ne voulais pas être le dindon de la farce ce coup-ci, aussi, je me redressais et présentais ma bite à sa bouche. Aussitôt Alexandre la prit et commença une fellation. Il me bascula sur le lit, amorça un mouvement de rotation avec son corps et sans lâcher mon pieu, il me présenta le sien. Nous étions en position de 69, décidément cette semaine était riche en enseignements ! Contrairement aux autres jours, je n’avais plus honte et me laissais aller à ce nouveau plaisir entre hommes. Je pris son sexe et lui prodiguais des caresses sous les bourses, ce qu’il me rendait de son côté, c’était sublime. Comme je tournais le dos à notre hôtesse, je nous fis basculer de façon à ce que je me retrouve sur Alexandre. De cette façon, nous pouvions voir Sylvie, qui se mettait les doigts dans le vagin et faisait des mouvements furieux. Elle gémissait et puis poussa un cri qui signifiait un orgasme violent qui nous surprit. Elle continua cependant de se masturber, et nous reprîmes nos fellations. Sans prévenir, j’éjaculais dans la bouche d’Alexandre, qui avala sans broncher. À son tour, il atteint l’orgasme et fit de même. Je décidai de lui rendre la pareille et fis tout pour avaler le maximum. Le sperme m’étouffait presque, et coulait sur mon menton. Au bout d’un moment, je me relevai pour voir Sylvie qui remontait au septième ciel et qui nous dit :



Nous approchâmes nos visages, et nous fîmes ainsi, goûtant notre mélange de sperme.



J’ouvris la bouche et je sentis sa langue rentrer, je retrouvais les mêmes sensations que lorsque j’embrassais une fille, le sperme ajoutant un piment étrange. Sylvie poussa alors un dernier gémissement, affalée, épuisée et heureuse. Elle nous fixa un instant et nous dit :



Nous nous dirigeâmes tous deux vers la douche et comme elle était assez spacieuse, nous nous sommes rincés en même temps. Je pris le savon, commençais à me le passer, puis sur Alexandre qui me présentait son dos. J’eus envie de lui passer sur les fesses ce que je fis, puis glissai ma main sous ses couilles. L’effet ne s’est pas fait attendre, il se mit à bander, je lui caressai son membre par derrière, je lui savonnais les jambes puis remontais. Il se retourna, me prit le savon et je me retournai pour qu’il me prodigue la même caresse. Nous avions presque oublié Sylvie. Elle avait remis sa petite culotte de dentelle noire, et appuyée sur le rebord du fauteuil elle nous fixait, sans doute surprise par notre complicité sexuelle naissante entre Alexandre et moi. Alexandre me malaxait les couilles et mon membre raide. Il se collait à moi et je sentais son sexe dur frémir contre mes fesses. Il me retourna, me savonna et me caressa la poitrine, il posa ses lèvres sur mes tétons, ce qui m’emporta encore plus loin dans le plaisir. Nous nous collâmes l’un contre l’autre, nos sexes bandés se frottant, et emportés par le plaisir nous nous embrassâmes à pleine bouche. Alors mû par une irrésistible pulsion, je me suis agenouillé et j’embouchai sa bite, complètement excité. Je me branlais en même temps que je le suçais et rapidement nous partîmes dans une éjaculation presque simultanée. À nouveau j’avalais son sperme. Sylvie avait mis la main dans sa culotte et fermait les yeux. Elle paraissait être dans une sorte d’extase silencieuse.


Enfin calmés, nous finîmes notre toilette, entre-temps elle s’était rhabillée et nous attendait pour nous faire partager une collation bienvenue.


Nous prîmes congé d’elle, elle nous dit qu’elle ne pourrait pas aller à la rivière demain, mais que nous pourrions venir ici vers seize heures. Elle nous embrassa tendrement, et nous enfourchions à nouveau nos bicyclettes pour rejoindre nos pénates, heureux et repus de plaisir.