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18/09/07
Résumé:  Ceci n'est pas la suite directe de la première partie "L'Exil". Il s'agit d'un événement qui se produisit 30 ans plus tôt, à Paris où nous retrouvons Catherine la Française.
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Auteur : Apv            Envoi mini-message

Série : L'Exil et le Royaume

Chapitre 05
Prologue : la Prophétie

Partie 2 : Le Royaume


Résumé : Ceci n’est pas la suite directe de la première partie : L’Exil. Il s’agit d’un événement qui se produisit 30 ans plutôt, à Paris où nous retrouvons Catherine la française.


Prologue : La prophétie.


Un œil sur sa copie, Catherine Théna finissait sa dissertation d’agrégation. En sortant de l’amphithéâtre, les doigts pleins d’encre bleue, la belle jeune fille blonde se hâta dans les rues bruyantes de Paris, galvanisée par la fin annoncée de ses études : bientôt elle enseignerait, bientôt elle serait libre. Ses formes plantureuses se frayaient une voie sur les trottoirs emplis de badauds. Les pans de sa robe légère fouettaient avec grâce les jambes des hommes qui se retournaient sur elle. Le décolleté assez évasé montrait une lourde poitrine qui tremblait sous l’allure vive de la jeune femme.


Elle ne trouvait plus ses clés dans son grand sac mais la porte s’ouvrit. Elle se jeta dans les bras de son oncle, un homme assez âgé qui rit de la voir si impétueuse. Ils se serrèrent un moment sur le palier de l’appartement. Les seins durs de l’étudiante pressaient la poitrine de l’homme qui ne s’en émut point.



Ses parents habitant le fin fond de la Beauce, Catherine était montée à Paris pour préparer son agrégation à la Sorbonne où son oncle avait des relations avec quelques universitaires. Monsieur Théna avait 50 ans et était célibataire. Depuis deux ans, sa nièce partageait son immense appartement au cœur du 4ème arrondissement.



~~nOe~~



Un soir, quelques semaines plus tard, l’agrégation en poche, alors que son oncle éteignait la radio, Catherine relança un vieux sujet qui la taraudait.



Le quinquagénaire s’assit dans son large fauteuil en cuir et répondit :



Il sourit. Après une pause, il ajouta :



L’homme croisa les jambes.




~~nOe~~



La voiture roulait dans l’allée d’une demeure, dans la campagne. Seule la lune éclatante dévoilait le chemin. Ancienne maison de maître, la bâtisse ne semblait plus habitée, toutefois Catherine remarqua la rangée de voitures garées. Suivie par son oncle, elle monta les marches avec beaucoup d’appréhension. Ce jour-là aurait pu figurer dans son journal intime avec ce post-scriptum standard : La vie a des détours inattendus. Ma quête commence.


La jeune étudiante savait qu’il s’agissait de rites païens ancestraux venus d’une très lointaine religion à présent oubliée. Elle avait tout d’abord souri cependant sa curiosité s’aiguisa lorsque son oncle l’informa qu’il s’agissait de rites sexuels.


L’entrée était sobre. Deux énormes escaliers encadraient le hall pavé de larges carreaux en marbre. Les portes symétriquement placées de part et autre de la salle se trouvaient masquées par des lourdes tentures cramoisies. Une légère odeur de renfermé indiquait que la maison n’était pas habitée.


Une dizaine de personnes, massée par petits groupes, discutait d’un air enjoué. On monta finalement en empruntant les grands escaliers pour rejoindre d’autres invités qui attendaient dans une vaste pièce à l’étage. Les fenêtres étaient occultées par les mêmes tentures cramoisies du hall. Aucune lumière de l’extérieur ne pouvait filtrer. Aucun meuble, aucun objet de décoration, la grande pièce qui devait accueillir environ une trentaine de personnes était vide.

Catherine suivait son oncle qui lui présentait avec amabilité quelques personnes. À un moment, elle crut lire de l’intérêt dans leur regard. Était-ce sa poitrine opulente que sa robe largement échancrée laissait voir ? Elle crut défaillir lorsqu’elle croisa deux de ces professeurs de la Sorbonne qui la saluèrent avec beaucoup de chaleur.


Le silence s’imposa aussitôt. Une voix grave annonça qu’une des leurs était morte à l’âge de 95 ans.



La voix résonnait dans la grande salle vide. La voix austère continua après une pause.



Le cœur de Catherine cessa de battre. Pourquoi lui a-t-il tendu ce piège ? Qu’est-ce qu’elle était venue faire là ? Anatole posa sa main sur la nuque de sa nièce et la rassura. À tout moment, elle pourrait s’en aller.

Depuis le temps qu’elle voulait savoir ce que trafiquait son oncle. Enfin, elle allait le savoir de l’intérieur.



~~nOe~~



Quelques semaines après son arrivée chez Anatole, Catherine découvrit dans son bureau un vieux livre. Il était ouvert sur la table. Il parlait d’une prophétie, de l’apocalypse. Très intriguée, elle se confia à son oncle qui resta très vague. Jamais elle ne put remettre la main sur cet ouvrage.

Chaque fois qu’elle interrogeait Anatole, il la renvoyait à la lecture de Platon ne voulant guère s’étendre sur le sujet. Elle avait également remarqué qu’il sortait jusque très tard les soirs de pleine lune. Elle le taquinait beaucoup là-dessus. Il avait finalement avoué qu’il faisait partie d’un groupe très ancien qui perpétuait un savoir particulier.



~~nOe~~



Très intriguée par la suite, malgré son inquiétude, la petite curieuse suivit le mouvement. Elle se retrouva dans la grande pièce, nue, comme tout le monde. Les vêtements étaient rangés dans des étagères placées derrière la lourde porte en bois. Le parquet était froid. Ils formaient un grand cercle autour de bougies allumées au centre de la pièce.


Un peu gênée de voir Anatole dans le plus simple appareil, elle ne cachait toutefois pas son splendide corps si généreux. D’un regard panoramique, elle regardait les sexes au repos des hommes de l’assistance. Jamais, elle n’en avait vu autant d’un coup. Ses deux professeurs de philosophie conversaient non loin d’elle. Elle n’observait aucune gêne de qui que se soit. Des vieilles femmes dévoilaient leur nudité ainsi que des hommes plus jeunes. Elle remarqua tout de même quelque chose qui l’intrigua. Toutes les femmes étaient totalement épilées. Pas de poils pubiens.


Des bougies furent allumées, de l’encens aux lourds parfums envahit la grande pièce. Puis tout alla vite. Catherine devait passer cinq épreuves. Elle accepta, un peu timide, sentant tous les regards sur elle. Néanmoins l’atmosphère était légère et les visages aimables.



-1-


Un homme d’une trentaine d’années, avec un petit ventre rond, se posta devant elle.



Entourée de bougies, le halo de lumière éclairait seulement la jeune étudiante et l’homme. Elle saisit le sexe mou et maladroitement commença à le masturber. Il ne réagissait pas. Tout le monde observait. Catherine se rendait compte que sa caresse n’avait aucun effet. Elle chercha du regard son oncle mais ne vit aucun visage dans l’obscurité.


Alors, elle approcha et planta le bout de ses seins lourds dans la poitrine de l’homme. Sa main se fit douce et l’amplitude employée activa la verge qui se tendit. Catherine accélérait doucement. Avec son autre main, elle caressa les testicules qui pendaient. Sa poitrine généreuse frottait la peau de l’homme qui se crispa enfin. Il lâcha sa semence odorante. L’étudiante fut ravie et un peu excitée. Elle sentait son sexe se ramollir et s’humidifier.



-2-


L’encens enivrait l’espace. Un autre homme remplaça le précédent dans le cercle de bougies. Plus grand et plus musclé, il plut à la novice qui entendit :



En elle-même, la jeune fille se ravit que son premier petit ami l’ait initiée aux caresses bucco-génitales. On lui tendit un coussin sur lequel elle s’agenouilla. Devant son visage, la verge se dressait. Elle la saisit à sa base et souffla sur le gland avant de le lécher tantôt langoureusement tantôt le dardant du bout de la langue. Debout l’homme se crispa. L’efficacité de la technique faisait son effet. Puis la jeune étudiante, qui venait de ramasser ses longs cheveux blonds en arrière, mit la verge dans sa bouche. Succion, pression, lappage, rien ne fut épargné et Catherine commença sa botte secrète. Sa main libre fit un anneau avec l’index et le pouce à la base du gland et, synchronisant son geste de la bouche avec celui de l’anneau, l’experte activa vigoureusement son va-et-vient et but le sperme qui ne tarda pas à se répandre dans sa bouche. Son bas-ventre rouge luisait comme un reproche.


Les lumières s’intensifièrent et on l’informa que la suite pourrait avoir lieu après ou à la prochaine lune. Catherine regardait autour et, visiblement, elle était la plus jeune.



Son ton se voulait dégagé.

La nièce jeta un œil sur le sexe en érection de son oncle. Tout autour, quelques personnes, excitées par les deux premières épreuves, se caressaient en discutant. Tout cela paraissait normal. Tout le monde était détendu.



Mais Catherine excitée, voulait voir plus loin. Anatole la regardait discrètement et aimait beaucoup la riche toison blonde. Les hanches larges de sa nièce étaient soulignées par une taille assez mince et une poitrine opulente et lourde. La peau blanche semblait douce comme un abricot.



-3-


La lumière retomba, laissant le vacillement des bougies danser sur les murs. Une couchette surélevée, installée au centre du cercle de lumière, attendait la novice. Un homme assez âgé apparut.



La jeune étudiante s’allongea et, obéissante, écarta les cuisses. Son sexe blond mouillait déjà et l’homme la pénétra sans l’ombre d’un préambule. Accusant une étreinte curieusement vigoureuse au regard de l’âge de son amant, Catherine haletait et gémissait.


La situation l’excitait. Tous ces inconnus autour d’elle l’observaient. Elle se donnait à ces hommes et à ces regards impudiques avec lubricité. Elle découvrait des sentiments inédits.


La verge gonfla dans son vagin. Elle vit l’homme grimacer et il éjacula sur sa toison bien fournie. Il secoua bien son sexe pour se vider complètement. Des gémissements émanèrent des spectateurs. Un peu déçue de la rapidité du coït, la jeune fille regarda une belle femme aux cheveux gris essuyer le sperme sur son ventre mais déjà un autre homme avançait. Des volutes d’encens l’entouraient.


Catherine se demandait pourquoi elle se soumettait à cette expérience. C’était un jeu. Juste pour voir. Et pourtant ! Quelque chose de plus fort que cela. Elle sentait bien que tout cela l’amènerait vers une quête supérieure qu’elle pressentait depuis toujours.



-4-



Catherine se redressa. Elle chercha son oncle du regard mais, une nouvelle fois, elle ne le trouva pas. La peur la saisit. Un silence lourd s’installa dans la pièce sombre. Seul le vacillement des bougies créait un mouvement. L’homme, debout devant elle, attendait.


Qu’allait-elle faire ? Ce n’est pas l’acte qui la répugnait. De nature très curieuse et un brin frondeuse, la jeune fille ne nourrissait guère de tabou. Mais elle ne l’avait jamais fait et une peur quasi instinctive l’empêchait de s’y résoudre.



Vexée de demeurer autant dans l’expectative, Catherine se mit à quatre pattes sur la couchette surélevée et tendit ses fesses charnues.

La même femme aux cheveux gris approcha. Elle était nue comme toutes les personnes dans cette pièce. Sa peau était certes flétrie par l’âge néanmoins une grâce et un charme émanait de cette personne. Une assurance tranquille, une douceur affirmée. Elle passa du lubrifiant sur le sexe de l’homme puis, avec un doigt, elle humecta l’orifice de la jeune étudiante qui tremblait un peu. Ensuite le doigt pénétra l’anus. Catherine s’étonnait que la sensation ne soit pas plus douloureuse. Il faut dire qu’elle était dans un tel état d’excitation qu’elle était totalement détendue.

La femme assez âgée ajouta du lubrifiant et introduisit un deuxième doigt sans qu’une douleur apparaisse.


Catherine s’enivrait du fort parfum d’encens qui planait dans la grande salle. Elle ne s’aperçut pas que le gland de l’homme se posait sur son petit anneau et que le gourmand poussait déjà. La vieille femme, à côté de la novice, caressait ses longs cheveux blonds et les jolies épaules pour la détendre.


La verge s’enfonça puis recula ainsi de suite assez doucement au départ et accéléra ensuite. La jeune fille ne sentait même plus les mains de la femme aux cheveux gris qui lui malaxait les seins tellement l’excitation revenait. Sa vulve coulait.


Soudain son regard se posa devant elle et, à travers les volutes d’encens et malgré la pénombre, elle devina Anatole qui se faisait masturber par une brune aux petits seins. Elle défaillit et un orgasme monta en elle si fort qu’elle hurla comme une chatte en chaleur. Catherine hurlait en silence – dents serrées, bouche ouverte. Seuls ceux qui ont vu une femme pousser un cri muet dans l’orgasme savent à quel point il est assourdissant. L’homme se vida rapidement sur les fesses généreuses se calant aux hanches puissantes de l’aspirante.


La lumière revint. Les spectateurs prirent le champagne que l’on servait. Les discussions emplirent la pièce jusqu’alors silencieuse. Après un moment où Catherine reprit ses esprits, on l’informa qu’à nouveau on pouvait passer la dernière épreuve à la prochaine lune.



Catherine se leva et s’essuya les fesses en remarquant que dans les coins de la salle, on forniquait allègrement. Un de ses professeurs de la Sorbonne léchait avidement le sexe d’une jeune femme qui se pâmait. Debout, deux hommes caressaient les seins et le ventre d’une femme d’un certain âge qui leur prodiguait une belle masturbation. De l’autre côté, près des rideaux cramoisis, une jeune femme, agenouillée sur le parquet, caressait avec ses longs cheveux noirs, la verge d’un homme assez fort qui discutait avec un autre homme. Ce dernier se masturbait tout à fait naturellement. Ici et là des gémissements montaient et des corps s’enlaçaient.



Il parlait avec une femme brune qui portait de grosses boucles d’oreille. On tendit une coupe de champagne à l’étudiante.



La femme brune sourit et se tourna vers Anatole.



Ensuite le quinquagénaire, qui ne débandait pas, expliqua que dans le monde, ils étaient 101 dans la secte et qu’il fallait toujours garder ce nombre. Dans chaque pays, il y avait une certaine quantité d’adeptes et que ce chiffre devait impérativement être conservé. En France, en Suisse, aux États-Unis… partout dans le monde.



La brune continuait à sourire. Catherine remarqua qu’elle lorgnait sur sa toison blonde et que, presque naturellement, ses doigts titillaient son sein gauche.



Elle fixa la verge et reprit :



Elle rit de bon cœur avec la brune qui finissait sa coupe de champagne mais déjà la lumière décroissait.



-5-


Le cercle de bougie l’accueillit. La voix grave de l’officiant annonça :



L’étudiante eut envie de rire mais elle se ressaisit quand cinq hommes entrèrent dans le cercle de lumière. Toujours la même vieille femme approcha. Elle humecta à nouveau l’anus de Catherine qui fut menée à s’empaler sur un homme allongé sur le sol. Dilatée comme elle était, cela se déroula sans difficulté. Puis un autre homme, assez costaud, se présenta face à elle et pénétra sa chatte trempée.


La jeune fille se sentit emplie mais déjà les deux hommes bougeaient de concert et la transportaient dans des états extatiques. Pourtant son attention ne devait pas se relâcher, un homme âgé, qu’elle ne vit pas, se positionna face à sa bouche puis les deux derniers mirent leur sexe dans ses mains. Totalement sollicitée, Catherine sentit une impression bizarre d’être complètement enveloppée dans une atmosphère de luxure enivrante.


La queue dans son sexe était plus agile que celle entre ses fesses mais cette dernière l’emplissait tellement que des frissons parcouraient tout son corps. L’homme aux larges épaules qui la pilonnait par-devant, regardait la jeune femme qui accusait le traitement avec un plaisir non dissimulé laissant la pudeur et la retenue aux vestiaires.


Catherine tentait de masturber plus régulièrement les verges qui gonflaient. Les deux hommes lui caressaient ses cheveux et l’encourageait.



Elle reconnut les voix de ses professeurs. À cause du traitement qu’elle subissait, la jeune étudiante peinait à maintenir son rythme. Elle les tenait le plus fermement possible et les secouait avec vigueur. Parfois, lorsque son amant sodomite lui laissait un moment de répit, elle guettait les deux hommes qui l’encourageaient.


Tout doucement, Catherine sentit une singulière sensation l’envahir. Quelque chose d’indéfinissable qui irradiait à la fois au fond de sa gorge et de son ventre mais également un sentiment particulier, en dehors de toute réflexion, qui s’imposait cependant à son esprit. Elle éprouvait à ce rite une sorte de libération, un craquement des digues inconscientes que son éducation avait construit.


Ses lèvres s’activaient sur le phallus qui menaçait. Catherine leva les yeux et s’aperçut qu’elle suçait son oncle qui commençait à se déverser dans sa bouche. Anatole jouissait là où sa nièce ne pouvait se plaindre. Elle s’enfonça dans une ivresse vertigineuse et lui dans sa bouche.


Elle défaillit de nouveau totalement, lâchant les deux verges, crachant le sperme qui coula sur sa grosse poitrine. Complètement folle, dans un état second, Catherine se mit à hurler d’une jouissance pleine durant de longues minutes pendant lesquelles les deux hommes à ses côtés éjaculèrent sur ses longs cheveux blonds et ses gros seins. Puis elle s’évanouit, s’étalant sur son amant sodomite.



~~nOe~~



Le lendemain, sur les coups de midi, quand Catherine se réveilla dans son lit, Son oncle lui déclara qu’elle faisait partie des 101 de la secte du Nouvel Éden.

Elle enseigna quelques années dans des lycées puis à l’université. Son oncle lui expliqua plus profondément la prophétie et à chaque nouvelle lune, elle s’adonnait aux orgies rituelles apprenant ainsi à se libérer…

Les années passèrent et à la mort d’Anatole, elle hérita de toute sa fortune. Le bougre était excessivement riche. Personne ne s’en doutait. Catherine n’eut plus besoin de travailler. Elle s’adonna alors aux joies de la vie.



~~nOe~~



Elle reçut, bien des années plus tard, un message du groupe des États-Unis qui l’enjoignait de participer à une croisière dans le Pacifique. Énigmatique, le message n’en dévoilait pas les raisons. Catherine monta alors sur le Blue Royal.




(À suivre : Partie 2 : « Le Royaume » Chapitre 1 : « Le sacrifice ».)