n° 11739 | Fiche technique | 11772 caractères | 11772Temps de lecture estimé : 8 mn | 19/09/07 |
Résumé: Quand les wagons sont bondés... | ||||
Critères: fh inconnu hotel train jeu | ||||
Auteur : Alaink (Histoire vécue... ou fantasmée ?) Envoi mini-message |
Les informations en parlent depuis plusieurs jours, mais ce matin, c’est confirmé : bus et métro sont en grève. Au moins, partiellement. Un métro sur trois seulement sur la ligne habituelle de Monique. Cela l’a mise de méchante humeur sous sa douche. Et en plus, il fait chaud, s’est elle dit, bonjour l’odeur ! Heureusement, le sourire lui est revenu avec le soleil, pendant son petit déjeuner. Elle a enfilé une robe bleue toute simple, peu décolletée. Les grands décolletés, c’est pour les sorties, pas pour le travail !
Elle prend toujours le métro, trois stations après le départ de la ligne. En temps normal, il y a des places assises, mais aujourd’hui…? Effectivement, un métro arrive enfin après un bon quart d’heure d’attente et il est déjà presque plein. Plus de places assises et beaucoup de monde debout. Elle essaie de se faufiler de l’autre côté du wagon pour ne pas être dérangée par les gens qui montent et descendent, car elle va pratiquement à l’autre bout de la ligne.
Elle aurait souhaité être appuyée à la porte opposée, mais il y a déjà une rangée de voyageurs et elle est dans un angle, en deuxième file. À chaque arrêt, beaucoup de personnes entrent et, petit à petit, il devient impossible de se déplacer. Même lever un bras relève de l’exploit. Heureusement, les voyageurs prennent la situation avec philosophie et certains se sourient et parlent. Monique ne le peut pas : elle n’a que des nuques devant ses yeux.
À une station, d’autres personnes montent encore, le train démarre mais freine brutalement. Monique se trouve plaquée contre la personne derrière elle. Elle essaie de tourner la tête et demande de l’excuser. «Pas de mal, c’était même agréable» lui répond-on, sur un ton plaisant.
Le métro progresse ainsi quelques stations. Monique est maintenant littéralement coincée entre un homme devant elle qui, à chaque entrée de voyageurs, a les fesses de plus en plus plaquées sur son ventre et l’homme de derrière qui a essayé de prendre quelque chose dans sa poche et, en remontant sa main, a touché les fesses de Monique. Elle a bien senti le geste involontaire. Il n’a pas réussi à aller jusqu’à sa poche et il entreprend de redescendre sa main. Cette fois, il prend son temps et, Monique en est certaine, sa main lui a volontairement touché les fesses.
Elle sent qu’il fait des pressions et que le bout de ses doigts joue avec le bord du slip. Que faire ? D’autant que la voix, tout à l’heure, n’a pas été désagréable et que, la situation étant ce qu’elle est, elle ne peut même pas se retourner pour lui donner une gifle, si elle en avait eu envie ! Elle se laisse donc toucher les fesses doucement, à travers la robe. L’homme semble apprécier et, du bout des doigts, commence un nouveau jeu.
Tout doucement, avec la pulpe d’un doigt, il remonte d’un centimètre la robe, la bloque avec un autre doigt, et recommence ainsi la manœuvre. Monique sourit intérieurement et pense qu’il ne manque pas de culot. Et pendant que les stations défilent, que de nouveaux voyageurs essaient de monter, il gagne quelques nouveaux centimètres. Il est bientôt récompensé. Il sent sous le doigt l’ourlet de la robe. Et enfin, son doigt touche la peau nue des fesses.
A ce contact, Monique rougit. Et l’inconnu ne s’arrête pas là. Petit à petit, il glisse le doigt sous le slip, et en quelques stations, parvient à toucher la raie de Monique. Elle était choquée au début, mais maintenant, elle trouve ce divertissement plaisant. Quelques voyageurs descendent et il en profite pour glisser le doigt jusque sur l’anus de Monique.
Elle a un sursaut et craignant d’être vue, remue un petit peu les fesses pour lui faire comprendre qu’il cesse. Il comprend et sa main quitte peu à peu les fesses de Monique. Et maintenant, c’est elle qui regrette… Elle a une idée. Profitant d’une secousse, elle se plaque contre le bas-ventre de l’homme et elle sent tout de suite qu’il bande. Elle bouge très légèrement, caressant le sexe de l’inconnu à travers le pantalon par d’infimes ondulations de ses fesses. Elle en est certaine, le sexe grossit. Et à la suite d’une pression plus forte, elle sent sur sa nuque un souffle et elle entend un petit soupir. Monique sourit. Ainsi, elle a pratiquement fait l’amour avec un inconnu dans un métro, un jour de grève, au milieu de la foule.
Le wagon s’est peu à peu vidé, on arrive près du terminus. C’est là qu’elle doit descendre. Elle va vers la porte et elle sent en même temps sa robe redescendre… Elle avait oublié… Elle descend sans se retourner…
Hasard ou délibéré, l’homme la suit. Il prend l’escalier mécanique juste après elle. Il lui pose la main sur la hanche.
Elle voit un homme bien habillé, costume cravate, la quarantaine. Sans être un top model, c’est tout de même un bel homme. Elle sourit.
Monique regarde sa montre. Comme toujours, elle est un peu en avance.
Après l’escalier mécanique, un autre escalier, et ils se retrouvent dehors. Il propose le premier bistro, mais elle objecte que beaucoup d’employés de sa société y viennent avant de commencer la journée. Ils tournent donc dans l’avenue, entrent dans une grande brasserie et choisissent une table un peu à l’écart, dans le fond. Il commence à parler de la pluie et du beau temps, mais Monique l’arrête aussitôt, lui rappelant leur rencontre.
Il regarde sa montre.
La journée passe vite et ils se retrouvent comme convenu. Elle propose une balade dans le parc voisin. Au détour d’une allée, ils aperçoivent une façade fraîchement peinte, celle d’un petit hôtel-restaurant qui vient d’être rénové.
Elle a compris. Pourquoi pas ? Ils entrent dans l’hôtel. L’accueil de la réceptionniste est charmant. « Oui, bien sûr, nous avons une chambre libre, la 32. Voici la clé. » Ils montent et pénètrent dans la chambre. Il y a une belle vue sur le parc. En même temps qu’il le dit, il attire Monique contre lui et pose ses mains sur ses fesses. Il recommence comme dans le métro, lui montant doucement la robe. Elle sourit. Mais le laisse faire quand il va plus haut, lui soulevant la robe jusqu’à la passer par-dessus la tête.
Elle est en sous-vêtements. Un tissu très fin, un peu transparent. Il se recule pour la contempler. « Aussi joli que mes mains me le disaient, dit-il. » Il la fait pivoter, lui caressant la taille, les fesses, les seins. Ses mains redescendent et doucement, il lui fait glisser le slip, qui est bientôt au sol. Elle se dégage les pieds pendant qu’il commence à dégrafer le soutien-gorge. Elle l’aide en glissant ses bras hors des bretelles. Elle est maintenant nue. Il n’arrête pas de la contempler. Il sort son téléphone de sa poche et lui demande l’autorisation de prendre au moins une photo de dos. Monique éclate de rire :
Elle se tourne, se cambre, fait rebondir ses jolies fesses. Elle se met de profil, projette ses seins en avant, la tête en arrière. Elle hésite et se met de face, debout, jambes écartées avec simplement les mains devant le pubis. Il pose enfin son téléphone et la caresse en la dirigeant vers le lit. Elle est nue, lui toujours habillé.
Il l’allonge en travers du lit, ouvre la fermeture à glissière de son pantalon, sort son sexe bandé et sans un mot, commence à pénétrer Monique. Elle aime bien être prise ainsi, un peu à la hussarde, mais là, elle sent que ça ne va pas être facile. Le sexe est très gros. Il essaie quelques va-et-vient, mais elle se dégage.
Elle le déshabille, ôte la veste, la chemise, défait la ceinture, fait glisser ensemble pantalon et boxer. Chaussettes et chaussures rejoignent le sol. À son tour elle se recule, le contemple. Il semble gêné, mais elle le regarde toujours. Elle se rapproche, lui prend le sexe dans les mains. Il est beau et large. Doucement, elle ramène le prépuce en arrière, le relâche, le tire à nouveau le plus loin possible, presque à lui faire mal. Elle recommence ce jeu plusieurs fois et après lui avoir descendu à nouveau le prépuce, lui serre la bite en faisant un collier de ses doigts. Elle sert fort. Il est sur le point d’éjaculer quand elle le relâche.
Elle le pousse en arrière. Il tombe sur le dos, la bite verticale. Elle se penche sur lui et lui lèche le gland tout en se disant qu’il a décidément un sexe fort large. Elle essaie de mettre ce sexe dans sa bouche mais, même en écartant les lèvres très fort, elle n’y arrive pas.
Elle se relève, quitte à regret cette fellation et s’accroupit sur l’homme. Il la regarde. Il voit ses seins et commence à les malaxer. Elle passe une main entre ses cuisses et guide ce gros sexe dans son intimité. Elle descend doucement et petit à petit se fait pénétrer. Jouant avec ses cuisses, c’est elle qui mène le jeu, masturbant l’homme qui est dans son vagin. Elle n’a jamais ressenti une telle sensation, ne s’est jamais sentie aussi pleine dans son intimité. Elle monte, elle descend, elle sent ce sexe qui la remplit totalement. Elle s’accroupit et se fait pénétrer jusqu’au fond. Elle sent le gland buter sur son utérus.
Elle n’en peut plus, respire de plus en plus vite, se redresse, jette la tête en arrière. Lui-même ne se retient plus, il soulève son bassin, il la prend par la taille et l’empale complètement. Elle pousse un petit cri et, en même temps, elle sent le sperme jaillir en elle. Le petit cri devient hurlement, elle jouit comme elle n’a jamais joui. Elle se laisse enfin tomber sur lui et l’embrasse follement.
Brassens chantait les marchands de paratonnerre qui attendent avec plaisir les jours d’orage. Monique, depuis ce jour, attend avec plaisir les jours de grève…