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n° 11750Fiche technique13307 caractères13307
Temps de lecture estimé : 8 mn
24/09/07
Résumé:  Un homme paumé et las, se retrouve, après être sorti de boîte, aux prises avec deux jeunes joueuses de tennis qui s'interrompent au milieu de leur échange pour venir à sa rencontre.
Critères:  ffh jeunes sport humilié(e) facial fellation fdanus fsodo humour -hff -lieuxpubl
Auteur : Julius D.      Envoi mini-message
Entre quatre murs

Je suis souvent passé devant depuis, je n’y ai jamais revu jouer personne. Ce qui est normal pour un village du fin fond de la campagne audoise, où le tennis ne doit pas être l’activité préférée des vieillards qui y végètent, le genre de bled paumé que les jeunes s’empressent de fuir dès qu’ils atteignent leur majorité.


C’était au mois de juin, au début de l’été, à l’heure où les boîtes de nuit commencent à se remplir des petits culs que l’on s’efforce de suivre à travers les faisceaux lumineux et les corps assujettis au rythme. J’avais passé ma soirée à guetter les sourires et les clins d’œil discrets, mais pas suffisamment motivé pour m’approcher des pistes, j’étais resté aux abords avec une quille de vodka. L’absorption de son contenu ruina progressivement mes chances de rentrer accompagné mais permit aux heures de passer un peu plus vite. Trop ivre pour prendre le volant, je dormis sur le parking du « Shooting Star ».


Le klaxon d’un abruti me réveilla vers les huit heures. Bien que n’ayant pas retrouvé toute ma clarté d’esprit, je me déclarai apte à reprendre le volant. Le désir de retrouver mon lit était trop grand pour que je puisse me soucier de la route que j’avais à parcourir. Le démarrage fut laborieux mais une fois lancé à 30 km/h, je retrouvai une à une mes facultés.


Je passai une vingtaine de minutes à rouler ainsi le long de petites routes de campagnes avant de me rendre à l’évidence qu’à cette allure, le seuil bien-aimé de ma demeure ne m’apparaîtrait pas avant plusieurs heures. La fatigue, elle, ne tarda pas à ressurgir et je décidai de me trouver un coin tranquille où je pourrais finir ma nuit. C’est ainsi que je découvris ce village, dont le nom n’a jamais pu me rester en tête. Sa position, au haut d’un tertre, permettait d’avoir un point de vue surélevé sur les champs environnants. Constitué d’à peine plus d’une dizaine de maisons, il possédait un terrain de tennis parfaitement entretenu qui contrastait avec la vétusté des lieux.


Je me garai derrière ce qui semblait être un vestiaire, de manière à être invisible de la route. Le court était désert et personne ne se trouvait aux alentours. Je l’observai quelques instants puis mes yeux qui ne cessaient de cligner finirent par se fermer.


Quand je les rouvris, deux petites jupettes en socquettes blanches avaient pris place sur le court. Elles se renvoyaient une balle en expulsant de petits cris à chaque coup. La blonde au fond du terrain, s’évertuait à faire vibrer ses cordes en frappant toujours de plus en plus fort, si bien qu’elle finit par envoyer la balle au-dessus du grillage. La balle vint heurter la tôle de ma voiture. Encore dans un état de somnolence, le choc ne me fit pas sursauter de plus d’un millimètre.


La brune fut la première à se décider, après avoir échangé une série de regards avec sa copine, elle s’aventura hors du terrain, devançant la blonde de plusieurs mètres, et arrivée à hauteur de ma 206, elle se pencha à ma fenêtre pour y marmonner un timide « On est désolées… » qui fit frissonner mes membres appesantis. Elle se retourna ensuite vers le projectile qui venait de marquer ma carrosserie et se dirigea vers lui. Sa jupe se soulevait chaque fois qu’elle faisait un pas, mais pas suffisamment pour que je puisse voir la couleur de ce qu’il y avait dessous. Mon mal de tête évaporé, mes idées devenues beaucoup plus claires, j’attendais avec un sourire béat que la jeune fille se cambre pour ramasser la balle.



La blonde avait surgi dans le cadre de ma fenêtre.



Une poitrine proéminente, les cheveux au ras des épaules, elle prononçait chaque syllabe en les articulant exagérément.



Sa voix qui fléchissait à la fin des phrases en accentuant les mots blessants finit par se tordre en un rire strident.



Prise de démangeaison, ma main eut à peine le temps de s’avancer vers la poignée, que la porte déjà ouverte me laissait, démuni, face au haut bombé d’un t-shirt « Nike ».



La brune se rapprocha lentement de la voiture, sans me quitter des yeux, elle s’accroupit près de l’autre et reposa sa tête contre sa jambe en l’entourant de son bras gauche.



Comme si les mots de sa cousine eussent déclenché quelque chose en elle, Malicia, au travers de mon jeans, commença à caresser ma bite. Circonspect, j’observais le fond de ses yeux noirs où deux petits points lumineux venaient de se manifester.



Les gestes appliqués de Malicia firent très vite durcir mon sexe qu’elle s’empressa de sortir de son enclos. Des mèches rebelles tombaient sur ses joues, je les lui relevai en lui effleurant la joue.



Tandis que la bouche de Felicia laissait échapper de plus en plus de phrases ordurières, Malicia de ses deux mains, me branlait avec délicatesse, d’un rythme régulier m’incitant à me laisser aller.



Un peu hésitant, j’aventurai mes mains sous le t-shirt de Felicia, vérifier que ses seins possédaient bien la forme que je leur supposais, mais j’eus à peine le temps d’atteindre son soutien-gorge qu’elle les repoussa avec véhémence.



Malicia prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer. Je gardais tant bien que mal les mains sur le volant alors que sa langue entortillée tentait de me faire venir en elle. Pendant que sa cousine œuvrait de la sorte, Felicia, qui avait passé une main sous sa jupe, commença à faire descendre sa culotte. Elle fléchit ses genoux et leva ses pieds l’un après l’autre pour s’en débarrasser. Elle se rapprocha ensuite de la voiture pour réduire la distance que cette opération lui avait demandait de prendre.



Elle me brandit sa culotte sous le nez. Je la rejetai aussitôt et collai mon front contre sa jupe pour sentir les poils de sa chatte mise à nu, frotter contre le tissu. J’aurais pu rester des heures dans cette position, mais ses mains appuyèrent derrière mon crâne pour me contraindre à me rapprocher encore plus près de son petit gouffre humidifié.



Malicia laissa ma bite ressortir à l’air libre. Elle glissa ensuite entre les jambes de sa cousine qui s’était mise à caresser ma chevelure comme si j’avais été un chien malade.



Je relevai les mains du volant et les posai sur ses jambes. Je la sentis frissonner au contact de ma peau moite. Mes mains remontèrent ensuite le long de la surface lisse en zigzaguant jusqu’à ce qu’elles disparaissent sous le voile blanc où ma tête les suivit.



Pendant que ma langue passait le long de ses lèvres, mes doigts discrètement firent le tour de sa taille, en vue d’atteindre l’autre face de son corps.



Mes doigts survolaient la fente sans oser s’y aventurer, puis mon index, comme s’il avait voulu indiquer la direction à prendre, vint s’insérer dans son anus. Le cri qu’elle poussa alors faillit faire expulser mon sperme, mais je réussis tant bien que mal à retenir le jet. D’autant que les mains de Malicia, qui s’étaient remises au travail, semblaient être devenues encore plus chaudes, encore plus douces, encore plus prêtes à recueillir mon sperme.



Je ressortis ma tête de sa jupe et mon doigt de son anus. Malicia s’était installée côté passager et me branlait avec une des chaussettes de Felicia. Je la lui retirai et me mis à lui caresser le dos, puis, après avoir suivi la longueur de sa colonne vertébrale, ma main, se posant sur sa nuque, l’invita par une légère pression à revenir prendre mon sexe dans sa bouche.


Felicia, pendant ce temps, s’était allongée par terre, et me tendait ses pieds dont je suçais un à un chacun de ses orteils. Elle les descendit ensuite jusqu’aux lèvres de Malicia pour détourner sa langue de son occupation. Ce que fit cette dernière, sans la moindre hésitation passant et repassant comme pour les rendre étincelants, avant que Malicia ne lui saisisse les chevilles et les amène vers mon sexe. Après m’avoir branlé un temps sous la conduite de sa cousine, Felicia se releva et enfila sur ma bite la chaussette que j’avais jetée à terre.



Elle prononça sa phrase comme on énonce une formule mathématique puis se mit à quatre pattes, la jupe relevée, tendant ses fesses vers moi. Je me débarrassai de l’accoutrement ridicule dont on m’avait paré puis je sortis de la voiture pour entrer dans Felicia. Malicia, positionnée en face de nous, s’était mise à crier aux oreilles de sa cousine, mais je parvenais pas à identifier les mots qui sortaient de sa bouche, et qui se confondaient aux gémissements de celle que je chevauchais.



Les yeux de Malicia s’étaient de nouveau fixés sur moi, ils avaient atteint leur pleine intensité, tout son visage en rayonnait. Ma main sur les épaules de Felicia, ma bite confortablement installée dans son anus, je la prévins tant que je pus de la montée du sperme.



C’était trop tard, mes assauts ralentissaient, et ma bite ramollissait à l’intérieur de Felicia. Je savais qu’il était inutile de m’excuser et me collai contre elle, l’entourant de mes bras et expirant dans sa chevelure. Elle me repoussa violemment d’un coup de coude dans les côtes, et se releva aussitôt.


Quelques gouttes s’étaient écoulées sur le sol en une petite flaque que Malicia contemplait ; ses yeux brillaient encore, mais plus que comme des étoiles mortes. Elles se rhabillèrent sans un mot, puis disparurent aussi subitement qu’elles m’étaient apparues. Je restais quelques minutes allongé, puis je remontais dans ma voiture.


Tout était redevenu désert. Je mis la clé dans le contact et redémarrai aussitôt. En m’éloignant, je jetai un rapide coup d’œil dans le rétroviseur et aperçus la balle tombée en dehors du court.