n° 11775 | Fiche technique | 26385 caractères | 26385 4621 Temps de lecture estimé : 19 mn |
30/09/07 |
Résumé: Hélène a des craintes, Stéphane est attentif et veille à l'épanouir... mais pas tout seul. | ||||
Critères: fh fhh fbi hbi voir exhib fmast hmast fellation anulingus 69 fdanus fsodo hgode uro -couplea3 | ||||
Auteur : Epizod Envoi mini-message |
Tout s’enflamme maintenant, crépitements, explosions, coups de tonnerre qui vous pénètrent jusqu’au fond des reins et ponctuent l’anarchie maîtrisée des couleurs qui illuminent la nuit. La foule mêle des personnes de tous âges, beaucoup de familles, mais tous ne sont à cet instant qu’enfants émerveillés, le cul sur le gazon, le nez en l’air et les yeux qui brillent.
Je quitte brièvement des yeux le spectacle dans le ciel pour jeter un coup d’œil à Hélène, assise à mes côtés. À cet instant, et bien que je ne connaisse que depuis quelques mois cette jolie femme de trente ans, je suis certain d’avoir sous les yeux l’Hélène de huit ans, tant son visage levé vers le baroud d’honneur du feu d’artifice qui s’achève est celui d’une petite fille, la bouche ouverte en un « O » muet de fascination, avec les derniers feux qui se reflètent dans ses yeux verts.
Redevenu moi aussi un gosse tout le temps qu’a opéré la magie pyrotechnique, je me sens vaguement iconoclaste et honteux de l’image qui traverse furtivement mon esprit, celle de cette jolie bouche en « O » consacrée à des activités qui ne sont pas celles d’une fillette de huit ans.
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Le soir précédent, j’ai enculé Hélène. Après qu’elle me l’ait demandé : « Encule-moi ». Son trou du cul que j’avais longuement léché et pénétré de ma langue s’est ouvert au premier assaut de ma bite, j’ai pilonné les murailles, défoncé les remparts, investit la place, peu ému par ses gémissements qui semblaient de reddition plus que de souffrance, j’ai conquis son fion, martelé, et finalement marqué le territoire conquis de jets d’un foutre poisseux dont des résidus, après que je me sois retiré en vainqueur, s’échappait de son anus asservi qui se refermait doucement.
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Hélène, mais je ne sais pas encore qu’elle s’appelle Hélène, est une femme discrète. D’une discrétion qui la cantonne à une quasi-invisibilité que, je l’apprendrai plus tard, elle recherche. Non qu’elle ne soit pas jolie, non que son corps ne soit pas désirable, mais encore faudrait-il la deviner, l’appréhender : une absence permanente de maquillage, un look passe-partout et une manière de se couler dans l’espace en déplaçant le moins d’air possible en font une présence effacée, modeste. Elle n’aime pas le vacarme, l’agitation, la foule, les hystéries collectives, qu’elles soient sportives, artistiques ou politiques.
C’est une voisine, mais pas de celles qui éveillent instantanément le fantasme. Pour cela, encore faudrait-il la voir. J’ai dû la croiser des quantités de fois, puisque j’ai appris plus tard que nous habitons le même quartier, fréquentons les mêmes commerces, depuis qu’elle s’y est installée il y a trois ans. C’est seulement lorsque j’ai manqué lui coller la porte de la boulangerie en plein visage que j’ai connu son existence. Je me suis excusé, elle a ébauché un sourire en rougissant et soudain elle était réelle.
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Hélène se branle. Souvent. Elle aime, chez elle, sur son lit, écarter ses cuisses devant le miroir de son armoire et se branler. Elle aime sa chatte, et la vrillante obscénité de ses jambes grandes ouvertes qui la révèle. Elle aime la tache brune de son pubis sous son ventre clair, le rose de ses lèvres, la rosée qui perle sur sa moule dès que monte l’excitation.
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Un soir, peut-être un mois après que nous nous soyons rencontrés, alors que nous regardions mon plafond après avoir longuement baisé, Hélène me dit, interrompue seulement par des bouffées de cigarette :
Elle a marqué une pause un peu plus longue et j’ai cru qu’elle avait terminé son étrange speech mais non, elle est repartie.
C’était une sacrée tirade, il y avait un message que même un type peu subtil comme moi se devait de saisir, et que j’ai saisi. L’entendre prononcer son laïus emplis de chattes, de bites et de sperme m’avait recollé une sérieuse gaule, ce qui ne lui a pas échappé. Elle a fini sa clope, puis s’est coulée vers ma queue. Me léchant les couilles, elle a entrepris de me branler, ce qu’elle fait divinement bien. Peu avare en salive, elle a lâché un long filet brillant sur ma pine, que sa main a enserrée, puis elle m’a astiqué dans un doux clapotis.
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Elle me traîne au ciné voir le dernier Pixar. Je ne suis pas allé voir un dessin animé depuis au moins vingt ans. Je n’ai pas d’idées préconçues, mais c’est juste que ado, dès que l’âge s’y est prêté, je suis passé aux films d’action pan-pan boum-boum, et si possible avec héroïnes qui font crac-crac, et que j’ai « oublié » la possibilité des dessins animés. Je suis donc stupéfait de voir à quel point tout cela a évolué, la technique comme la tonalité. Elle est enthousiaste à la sortie (moi aussi je dois dire, mais en moins pipelette), et si je l’écoutais, je crois qu’on irait directement dans une animalerie acheter un rat.
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Hélène ne parle pas de cul hors d’un contexte cul. À l’opposé, dès qu’elle baise, Hélène use délicieusement d’insanités, de mots cochons. Elle est aussi exhibitionniste dans l’intimité que discrète en société. Notre première baise fut, disons, classique, plutôt silencieuse, quelques préliminaires agréables et polis, une pénétration courtoise, une éjaculation urbaine dans son sexe, des soupirs étouffés. Je l’y ai sentie à côté du sujet en même temps qu’impliquée. Impliquée car il me semblait évident qu’elle ne boudait pas son plaisir et à côté du sujet car j’ai bien perçu qu’elle rongeait son frein, qu’il lui manquait quelque chose. J’ai gardé mes réflexions pour moi, je ne suis pas forcément du genre à décrypter par le menu avec ma partenaire ce qui vient de se passer au plumard.
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Hélène présente un étrange paradoxe : bien que de nature calme, elle s’ennuie vite. Il lui faut régulièrement apporter du piquant, de l’inédit, aux différentes facettes de sa vie. Ce qui vaut pour sa vie sexuelle. Et par ricochet, maintenant pour la mienne, puisqu’elle semble décidée à m’y laisser la place principale. Il faut dire que cela se passe bien entre nous dans le domaine, et que je suis ouvert à la suivre sur les terrains qu’elle a déjà défrichés et où elle se propose de m’emmener. En fait je me suis attaché à elle, j’ai bien saisi qu’elle aussi tient à moi, en même temps que j’ai capté que je la perdrais si je m’arcboutais à vouloir conserver une vie sexuelle « classique ». Figurez-vous que je ne m’arcboute pas du tout.
Nous avons gardé nos appartements respectifs, mais depuis six mois maintenant nous avons passé une bonne partie de nos soirées et nuits ensembles. Des parties de baises ludiques viennent généralement conclure une petite tambouille chez l’un ou chez l’autre, une sortie ciné ou une soirée au théâtre, un resto avec des amis ou une bête soirée télé. Elle adore me faire bander dans mon boxer histoire de s’extasier de la bosse mouvante qui se forme, puis qu’elle soupèse, la main en conque sous mes couilles, sa bouche posant de délicats baisers sur le tissu avant que les dents taquines ne me mordillent à travers celui-ci. Elle me suce longtemps et divinement. Elle crache sur ma pine, titille mon méat du bout de la langue. Elle veut mon sperme dans sa bouche (« J’ai bu la tasse », m’a t’elle dit la première fois en riant et toussotant, en raison du goût très salé de celui-ci), puis adore ensuite me rouler un patin plein de foutre. Elle s’exhibe, sur le dos les jambes derrière les oreilles, ou bien nue debout au-dessus de moi, ou encore à quatre pattes le cul ouvert. À ma demande, et sans qu’il soit besoin d’insister, elle se doigte devant moi, écarte ses lèvres roses humides.
Il faut que je la « fourre bien », elle martèle que je dois continuer, « Je sens tes couilles battre contre ma chatte ». Elle m’offre son trou du cul à lécher, elle me rend la pareille, elle lèche les restes de sperme sur sa lèvre supérieure, se colle dans la bouche avec des yeux vicieux celui qu’elle récupère dans ses cheveux. Elle me suce à quatre pattes, les cuisses écartées, la tache de sa chatte sombre se reflétant sur le miroir de l’armoire.
Elle a un délicieux sens de la conversation et parfois une maîtrise de la synthèse irréprochable :
Elle-même m’ouvre le cul avec l’un de ses godes, après avoir fait largement usage de sa salive, de sa langue et de ses doigts. Évidemment, je me laisse aller à quelques ronronnements qu’elle ne manque pas de relever.
Ainsi se passent nos nuits, et nous nous endormons dans des draps souvent poisseux, et dans des pièces qui sentent le cul.
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Hier en fin d’après-midi, je suis allé la chercher à la sortie de son travail et nous sommes promenés dans un joli parc. Fort de connaissances acquises d’un père botaniste, je me la suis gentiment pétée en lui expliquant les différences entre un jardin à l’anglaise et un jardin à la française. Je lui citais quelques noms d’arbres ou d’arbustes et quand je m’en souvenais, leur équivalent latin. J’inventais quand ma mémoire me trahissait. Plus tard, assis sur un banc, serrés l’un contre l’autre pour nous préserver de la fraîcheur de la nuit qui tombait, elle m’a chanté d’une voix frêle toutes les comptines de son enfance dont elle se rappelait, donc beaucoup. J’ai juste pu la suivre un peu sur « Dans la forêt un grand cerf, regardait par la fenêtre … ». Pour le reste, j’avais l’air con, je les avais toutes oubliées.
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Je sais qu’elle en veut plus, déjà. Elle m’a dit avoir eu dans le passé des amours bisexuelles, et a reconnu, face à mes questions, « d’autres expériences », mais sans vouloir à ce stade m’en dire plus. Je suis averti que lorsqu’elle me dit entre deux ahanements « La vache, j’aimerais avoir une autre bite à sucer pendant que tu me prends », ce n’est pas une simple extrapolation. Et lorsque, nous promenant dans la rue, elle me chuchote en rougissant être émue par cette jolie poitrine ou ce beau cul de femme, la précarité de mon exclusivité ne m’échappe pas. Cela, il faut bien le dire, ne me pose pas de problème. Car je comprends qu’il n’est pas question pour elle de m’exclure de ses fantasmes, mais qu’elle m’y associe et m’y confie même le rôle principal. Intrigué, je laisse venir.
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Hier soir, nous avons pris notre douche ensemble, comme cela nous arrive parfois. Debout sous la pomme de douche, nous faisions couler l’eau, et je la tenais serrée contre moi, ses seins moelleux sur ma poitrine. Nous sommes restés longtemps ainsi, tendrement réunis, en silence, jusqu’à ce que je commence à me dandiner sérieusement.
« J’aurai mieux fait d’aller pisser avant d’entrer sous la douche » … me suis-je reproché.
Lorsque je lui ai dit pourquoi il fallait que j’interrompe ce doux moment, elle a souri timidement en s’enflammant jusqu’aux oreilles, a coupé l’eau et toujours blottie contre moi, elle m’a dit :
Je me suis soulagé, et la chaleur liquide s’est répandue entre nos deux bassins, elle m’a serré plus fort. L’urine s’est écoulée longuement entre nos deux peaux, le long de nos jambes, avant de former une flaque à nos pieds, qu’elle a abondée en pissant à son tour
oooOooo
Le mec nu sur le lit est plutôt beau gosse. Sa queue bande mollement, comme la mienne à cet instant. Elle est bien faite, pas trop grosse. Marc et moi sommes à genoux, face à face, Hélène, adossée à la tête de lit, seulement vêtue de sa culotte, regarde nos sexes avec un regard bizarrement plus absent qu’autre chose. Elle semble perdue dans sa contemplation, avec pourtant un vague sourire aux lèvres. Marc tend une main vers son sein, le soupèse, titille le mamelon, le pince.
Il ne fallait pas que ce soit une connaissance. Au contraire, un type de passage, un rencontre sur le Net. Cela, déjà, c’était clair pour nous deux. C’est un choix commun, et nous étions d’accord sur le fait que, même si c’était pour elle - je n’ai pas bien réfléchi alors à la notion de « pour elle » - il fallait que l’autre homme me plaise. J’entendais par là que je le trouve agréable physiquement, et pas con même s’il n’était pas là pour disserter sur les philosophes du siècle des Lumières. Il était plaisant sur les photos qu’il nous avait fait passer par messagerie, il écrivait sans faire de fautes, et maintenant que nous l’avions en face de nous dans ce bar, il ne manquait ni de conversation ni d’un sens de humour plutôt fin, le tout légèrement voilé par la gêne inhérente à cette situation : dans quelques minutes, peut être baiserons-nous tous deux Hélène.
Nous verrons la bite de Marc, ses couilles. Il verra la mienne, le corps d’Hélène, sa chatte. Elle le sucera, lui tétera le gland, gobera ses testicules, écartera les jambes devant lui, se mettra à quatre pattes, lui montrera son joli cul et dévoilera son anus, nous lui doigterons la chatte et le cul, nous la prendrons par deux orifices, permuterons, varierons, je passerai derrière lui dans sa chatte déjà écartée, ou lui après moi dans sa bouche avide, peut être l’enculerons-nous, lui malaxant les seins, lui foutant nos bites raides sur le visage, promenant nos paires de couilles lourdes sur sa jolie petite gueule, nous branlant dans sa bouche, la mouillant de nos sueurs, giclant notre foutre poisseux sur elle. De tout cela il ne fut pas question dans ce bar. À la place, une banale conversation, vie, loisirs, travail. Mais un peu plus tard, tout cela fut fait.
Et même un peu plus. Car j’avais accepté de laisser Hélène prendre le contrôle de la situation. Et elle le prit.
Hélène se coule doucement vers Marc, à quatre pattes, toujours en culotte. Elle a un regard vers moi, dans lequel se mêlent excitation (J’en ai envie !) et hésitation (Je peux ?). Mon sourire doit la rassurer, car elle avance la main vers les couilles rasées de Marc, qu’elle niche dans sa paume. Je ne peux m’empêcher de porter ma main à ma queue à ce spectacle, me branlant doucement. Elle soupèse. Sa main remonte vers la tige maintenant totalement redressée, bandante, gorgée. Elle la caresse. J’ai glissé mon autre main entre les cuisses d’Hélène, je caresse le tissu humide sur sa chatte qui irradie déjà. Elle décalotte le gland, violacé, presque hypertrophié de tension. Marc gémit quand elle l’enserre de ses lèvres et commence à le sucer. Il glisse la main dans ses cheveux. Elle accélère le mouvement, qui est maintenant ponctué de bruits de succion, de grommellements de satisfaction. Elle délaisse la tige, repart vers les couilles, je vois sa langue rose qui darde puis lape littéralement les boules. Elle se met sur le dos pour être plus à l’aise, elle a maintenant les jambes de chaque côté de moi. Je glisse un doigt sous le tissu de sa culotte, j’effleure ce centre du monde, chaleur, moiteur, mouille, poils, secrétions, amas spongieux et mouvant, en ne perdant rien du spectacle de mon Hélène se régalant goulûment des couilles d’un autre homme. J’ai envie d’enfiler sa cramouille baveuse et, à grands coups de bite, de la projeter plus encore sur cette pine gonflée. Mais elle se défausse, s’écarte des couilles luisantes de salive, se redresse sur un coude puis, regardant Marc :
Il n’a jamais été question de rapports bisexuels dans nos contacts avec lui, mais il hoche la tête, Hélène me prend par la main et m’attire vers lui. Tout cela semble couler de source. Je dois bien avouer que je m’exécute docilement, suivant un peu le même itinéraire qu’elle auparavant, ma main sous les couilles douces, puis sur sa tige raide, que je branle légèrement. Je sens les doigts d’Hélène sous les miennes, de couilles. Elle me regarde, un petit sourire aux lèvres :
Ce que je fais, seul d’abord, Hélène se délectant de cette délicieuse perversion, avant de me rejoindre. Nous nous retrouvons tous deux à genoux devant lui, à lécher, mordiller, laper, saliver sur cette belle pine. Nos langues se rejoignent sur la hampe, se séparent, Marc caresse nos dos en nous aiguillonnant.
Et nous faisons tout cela, sans méthode, fébrilement, avidement, totalement abandonnés, livrés à notre excitation. Sa queue est bonne, son gland est gonflé à éclater. Il change de position, se cambre vers l’arrière, le bassin pointant vers le haut, jambes ouvertes, en équilibre sur ses pieds et coudes. Dans cette position, son sexe turgescent est un point de mire obscène, ses testicules tombant sur son périnée appellent nos langues, sa bite est tendue sous nos doigts qui caressent, branlent, elle glisse un doigt vers son anus qu’elle caresse, son gland veut cracher. Et il crache, un jus saccadé, épais, sur son ventre, quelques gouttes sur les cheveux longs d’Hélène qui traînent par là.
Marc s’effondre sur le lit, à bout de souffle. Hélène promène ses doigts dans le foutre. Plus tard, Marc récupère lentement sa forme en me suçant, ce qu’il fait très bien, pendant qu’entre ses jambes Hélène s’occupe de sa queue qui reprend vie. Nous formons une sorte de serpent de vice, toutes cuisses ouvertes, sexes trempés de sécrétions, salive, mouille. Nous haletons, nous encourageant de mots crus, nous exhibons, frottons nos grosses couilles, nos bites raides, Hélène se branle.
Plus tard encore, après que nous ayons longuement caressé, ses pieds, mollets, cuisses, seins, son ventre, Marc est le premier à s’occuper de la chatte détrempée d’Hélène. Elle a viré la culotte et s’est fait un plaisir d’exhiber sa moule, jambes largement écartées, nous demandant si nous la trouvions jolie, si nous voulions y mettre nos langues, nos queues. Marc lèche la mouille qui déborde, nargue le clito gonflé, explore avec sa langue loin dans la fente. Elle geint, les yeux fermés pendant que je caresse ses seins.
Puis, peut-être prise de scrupules, elle me regarde comme pour obtenir mon accord.
La queue qu’il présente devant la fente baveuse est tendue comme un arc. Elle entre sans difficulté et après quelques coups lents et exploratoires, il commence à lui limer énergiquement la chatte. Hélène gémit, se tord. J’embrasse sa bouche haletante, ses joues rouges, je lèche la sueur qui perle sur son front.
Ma bite dans la bouche, celle de Marc la pilonnant, Hélène est totalement livrée, elle s’abandonne. Marc ressort parfois totalement de son sexe, avant de pénétrer à nouveau l’étuve luisante. À l’occasion d’une de ses manœuvres, il tend sans équivoque son bassin vers moi. Je lèche sur sa queue la mouille de ma belle salope, une mouille odorante, enivrante. Je prends plaisir à sentir cette tige gonflée sous ma langue, à la nettoyer puis il retourne la souiller à la source, entre les cuisses ouvertes, dans la chatte baveuse. Nous changeons encore de position, Hélène se met à quatre pattes, Marc la prend en levrette. Dans cette position, le balancement des seins d’Hélène est terriblement excitant. Je me glisse tête-bêche sous elle, sa bouche retrouve ma pine tandis que je jouis, au-dessus de moi, de la vue de la chatte de cette cochonne écartelée par celle de notre compagnon de jeu. Je lèche à intervalles réguliers les testicules pendants et pleins.
Même si les grommellements qui lui répondent sont inaudibles, c’est à ma queue qu’elle le confirme en redoublant d’énergie dans la pipe qu’elle lui prodigue. Au bout de quelques minutes de ce traitement, le rythme de sa respiration confirme ce que Marc annonce :
Ce qu’il fait en criant, non sans que dans la manœuvre je n’hérite sur le visage de quelques gouttes de foutre égarées, pendant que ma bouche remplace la queue de ce salaud sur la moule béante de cette garce. Je suis moi aussi maintenant au bord de l’explosion, je me dégage rapidement, m’agenouille à côté du visage extatique d’Hélène, et je me branle devant celui-ci pendant que sa langue vient darder mon méat. L’œil de ma bite grand ouvert, je gicle au bout de quelques secondes sur ses joues et ses lèvres, et elle récupère d’une langue agile ce qu’elle peut de mon foutre.
Pendant que nous reprenons notre souffle, je ne résiste pas à la tentation de lui masser le trou du cul, lubrifié le sperme que Marc y a laissé, puis de faire ensuite lécher mes doigts à Hélène.
Il nous faut quelques minutes de repos, et elle a l’indulgence de nous les accorder, que nous passons silencieux, avachis sur le lit, légèrement somnolents.
Je ne sais pas pour Marc, mais moi, depuis mes brumes, je suis néanmoins vaguement curieux de savoir ce qu’elle va nous sortir.
Marc doit être aussi exhibitionniste que moi, parce que, victimes consentantes, mollement, nous faisons plaisir à mademoiselle et nous retrouvons le cul en l’air, les cuisses ouvertes, et j’imagine la vue qu’elle a ainsi de nos couilles et de nos bites ramollies. Placée derrière nous, elle effleure nos queues, les prend à pleines mains, s’amuse à les balancer. Une gosse, avec ses nouveaux jouets ! Marc me jette un coup d’œil puis me glisse tout bas :
Son petit jeu finit par nous recoller la gaule. Elle nous libère de notre position d’une tape sur le cul puis se colle à son tour à quatre pattes, écartant son cul des deux mains.
J’ai la courtoisie de proposer à Marc, qui regarde son anus avec envie, de le lui lécher quelques instants pour le préparer. Il ne se fait pas prier et sa langue part explorer le trou fripé de ma salope. Il lèche, sa langue court dans la raie, s’arrête sur le trou, il la raidit pour le pénétrer un peu. C’est terriblement excitant à regarder, trop, il faut que je l’encule.
Et je m’enfonce dans l’anus assoupli. Marc n’en perd pas une miette, il se branle, et pétrit les seins d’Hélène qui s’agitent sous les coups de bites qu’elle se prend dans le trou du cul.
L’étau dans lequel je m’agite est étroit, serré, la vision des parois du rectum qui enserre mon sexe et les mots de ma belle, « Oui, bourre moi le cul, encule moi fort, ta bite est bonne, va bien à fond, défonce moi le cul » ont un effet radical : je ne tarde pas à éjaculer dans son boyau.
Effet similaire sur Marc qui, toujours s’astiquant, lâche son sperme sur le dos d’Hélène. Je lui fais signe d’approcher, je nettoie la goutte qui pointe sur son méat, je lustre son gland.
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Nous avons gardé ce week-end les deux nièces d’Hélène. Sa sœur avait besoin de temps pour elle et sa cadette est toujours ravie de s’occuper des gamines. Elles sont, à 4 et 6 ans, adorables. Avec ces fillettes curieuses, posant plein de questions, raisonnablement obéissantes, et plutôt bien élevées, je dois reconnaître que cela n’a rien d’une corvée. Nous avons monté une maison de poupée, fait un gâteau au chocolat, regardé Shreck en DVD. On les a emmenées au zoo, et la moins fascinée par les hippopotames ne fut pas Hélène. On s’est amusé à les jeter comme des paquets sur un immense tas de feuilles mortes qui sentaient l’automne. Leurs rires cristallins étaient un plaisir à entendre.
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Le samedi soir, quand Emma et Jasmine, épuisées, furent couchées, ma douce a découvert sur son ordinateur un message de Marc. Nous n’avions eu aucun contact avec lui depuis notre baise à trois. C’était d’ailleurs le deal, et voilà que, écrivait-il : « Je me permets de ne pas respecter celui-ci parce que je garde un souvenir bandant de vous deux, mais surtout parce que je voulais vous parler de Julia ».
Une femme rencontrée en stage de voile, avec laquelle il couchait parfois, et à qui il avait raconté notre trio. Il semblerait qu’elle ait alors émis à mots couverts l’idée qu’on joue aussi de belles partitions en quartet.
Le fichier ouvert montrait, sur fond de voiles multicolores et de ciel bleu, à côté de Marc qui l’enlaçait, une jolie jeune femme blonde, en short, chemisier et sandales, un franc sourire aux lèvres. Le même qu’arborait Hélène quand elle leva son visage vers moi.
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