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n° 11781Fiche technique47405 caractères47405
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Temps de lecture estimé : 34 mn
30/09/07
corrigé 30/05/21
Résumé:  Jenny vient d'avoir 18 ans. Elle veut passer la nuit en boîte, ce soir. Aidez-la à convaincre ses parents...
Critères:  f fh jeunes freresoeur fellation tutu humour -humour -héros
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message
Sauvez Jenny !

Note : ce texte n’est ni réaliste, ni sérieux, ni moral, ni raisonnable, ni cohérent, ni juste, ni important, ni spirituel, ni dangereux… (Que les choses soient bien claires…)



Vous incarnez Jenny, une jeune fille de dix-huit ans. Plus précisément, vous venez d’avoir dix-huit ans. Et vous êtes hyper contente d’être majeure. D’ailleurs vous sentez que vous avez grandi. Vous êtes définitivement sortie de votre période "gamine". Depuis votre anniversaire, vous avez totalement cessé d’écouter Lorie. Vous êtes passée à Christina Aguilera, la tranche au-dessus. Et puis, finies les discussions de midinettes avec les copines pas "chébran". Maintenant vous êtes une grande. Vous avez tiré un trait sur toutes les choses futiles de votre fin de pré-adolescence, et vous en avez profité pour larguer le petit loulou en 205GTI qui vous servait de mec jusque là. À présent, il est temps de songer à le remplacer…


Une boîte de nuit vous paraît le lieu idéal pour dénicher un successeur. Vous décidez d’y aller, ce soir même. Toute seule, sans les habituelles copines qui ne vous lâchent jamais les baskets. Vous commencez donc à organiser votre soirée. Mais vous vous rendez vite compte qu’il y a quelques problèmes. D’abord, le transport… Car bien que vous ayez dix-huit ans, vous n’avez encore ni le permis, ni une voiture. Et comme vous avez largué le loulou en 205GTI qui vous servait de taxi jusque là, il faudra trouver une solution. Ensuite, il y a vos parents : car bien que vous ayez dix-huit ans, il est peu probable qu’ils vous laissent sortir en boîte de nuit, et il est même impensable qu’ils vous laissent y aller seule.


Votre premier objectif est donc de convaincre vos parents et de trouver un accompagnateur-chauffeur.



1:

Vous êtes à table avec vos parents. Comme d’habitude, vous ne parlez presque pas, tandis que vos parents s’engueulent à moitié. En effet, votre mère veut inviter sa mère à manger demain soir, au grand désespoir de votre père. Et votre insupportable petit frère niais de pourtant seize ans ne trouve rien de mieux à faire que de jouer avec sa purée. Vous êtes sur le qui-vive, guettant le moment opportun pour judicieusement suggérer votre intention de sortir ce soir. Ah, voilà un blanc dans la conversation…


Si vous choisissez de dire d’un ton faussement négligent : « Ah, au fait, p’pa, m’man, ce soir j’sors, vous inquiétez pas si j’rentre tard. », rendez-vous en 10.

Si vous préférez arborer un grand sourire charmeur et dire : « Papa, s’il te plaît, je peux aller en boîte ce soir avec des amis ? », rendez-vous en 20.

Si vous choisissez plutôt de ne rien leur dire et de fuguer discrètement une fois la nuit tombée, rendez-vous en 30.


2:

Vous parvenez à convaincre votre père que ça ne changera rien si vous montez le préparer dans votre chambre. Mais au moment où vous allez monter, il se poste devant vous et vous ordonne sèchement : « Laisse-moi ton portable ! » Vous obtempérez en maugréant, mais cela compromet fortement vos plans d’évasion. Comment prévenir qui que ce soit sans votre portable ? Bon de toute façon, vous avez deux bonnes heures devant vous pour y réfléchir. Le mieux que vous ayez à faire est de commencer à vous préparer, à choisir vos fringues, votre rouge à lèvres, votre fard à paupières, votre fond de teint, votre crème hydratante, votre bordel pour les cils, votre déodorant, votre parfum, votre coiffure, votre spray pour les cheveux, votre fric et votre capote de secours. Finalement, deux heures, ce n’est peut-être pas beaucoup trop.


Rendez-vous en 28.



3:

« C’est ce qu’on va voir ! » hurle votre père en déboulant derrière vous. Vous n’avez qu’à peine le temps de fermer la fenêtre de chat, tout en pensant qu’il serait de bon aloi d’envoyer un mail à Microsoft pour leur demander des claviers totalement silencieux. « Alors ? » vous fait-il. Mais devant votre mutisme dépité, il vous re-traîne jusqu’au livre d’histoire toujours ouvert et vous rassoit devant en criant que si vous continuez, vous allez voir ce que c’est que la Gestapo. Vous vous replongez tant bien que mal dans ce satané bouquin.


Rendez-vous en 9.



4:

Bam, bam, bam ! Vous tapez contre la porte et hurlez : « C’est pas bientôt fini ce bordel ! » Et là, plus le moindre bruit. Un silence impressionnant. Vous êtes contente de vous. Ça vous fait plaisir d’avoir un peu fait chier vos parents, après tout, ils méritaient bien ça. Du coup, vous décidez d’aller tout simplement vous coucher, déçue d’avoir raté votre sortie en boîte. Quand même, quelle soirée à la con !



5:

Là, en revanche, ça a l’air d’avoir eu pas mal d’effet. Votre père se lève brutalement, et avant que vous n’ayez eu le temps de faire ou dire quoi que ce soit, se saisit de votre chaise, et vous traîne, vous et la chaise, jusque devant un livre d’histoire qu’il ouvre à la page de l’Allemagne nazie. Il vous hurle que vous avez deux heures pour lui préparer un exposé sur la Gestapo, et que ça vous fera du bien, et que ça vous apprendra à parler de choses que vous ne connaissez pas. Et puis il retourne s’asseoir à table contempler les montagnes de purées que s’amuse encore à fabriquer votre insupportable petit frère niais. Vous vous êtes un peu fait couillonner, comme on dit, et vous regrettez un peu d’avoir dit ça. Vous plongez nonchalamment les yeux dans le bouquin, en vous disant que ça se présente mal pour ce soir. En plus, vous avez toujours été une quiche en histoire…


Si vous décidez d’essayer réellement de vous plonger dans l’organigramme de la Gestapo pour tenter d’étonner votre père et d’obtenir peut-être son pardon, rendez-vous en 9.

Si vous préférez biaiser en demandant la permission d’aller préparer ça dans votre chambre, avec en arrière-pensée une petite fugue, rendez-vous en 2.

Si vous choisissez plutôt de feinter en demandant à votre père la permission d’aller faire un tour sur Internet afin d’obtenir de plus amples renseignements, rendez-vous en 16.



6:

Mais la Gestapo et la fatigue ont raison de vous, et c’est un bruit curieux qui vous réveille en sursaut. Il fait nuit noire, tout est éteint dans la maison. Vos charmants parents bienveillants vous ont laissée dormir vautrée sur ce petit bureau où vous appreniez l’histoire de l’Allemagne. Vous regardez la pendule qui vous retourne un regard amusé dans lequel vous lisez : 0h50. C’est raté pour votre soirée en boîte… Du coup, dépitée, vous montez vous pieuter.


Rendez-vous en 15.



7:

Bon, alors, c’est l’histoire de ma femme : une somptueuse blonde d’un mètre soixante-seize et demi pour cinquante et un kilos. Elle est très belle et elle a des gros seins qui donnent envie à tous, hommes et femmes.


Rendez-vous en 13.



8:

« Ben, au Palace, avec Sandy, pour me trouver un mec, et… j’sais pas, on sera rentré vers 6 heures, je pense… » Toute votre famille vous regarde avec des yeux effrayés. Vous ajoutez qu’il faut qu’ils mûrissent, que vous n’êtes plus la petite fille qu’ils ont connue et que vous leur souhaitez une bonne soirée. Puis vous montez tranquillement vous préparer dans votre chambre tandis qu’ils reprennent leur souffle.


Rendez-vous en 24.



9:

Vous avez beau faire tous les efforts du monde, c’est vraiment très chiant. Cela fait plus d’une heure que vous y êtes, maintenant, et vous n’y comprenez toujours que dalle ! Vous posez le livre devant vous sur le bureau, posez les bras sur le livre et la tête sur les bras, et vous fermez les yeux, vous accordant une petite pause pour récapituler ce que vous avez appris sur la Gestapo.


Rendez-vous en 6 ou en 18.



10:

Votre ton négligé n’a pas eu l’effet escompté ; votre père lève vaguement le nez de son assiette de purée et vous fait, du même ton : « Où ? Avec qui ? Pour quoi faire ? Et jusqu’à quand ? »


Si vous choisissez de répondre tranquillement la stricte vérité, rendez-vous en 8.

Si vous décidez de mentir allègrement à chacune de ces questions, rendez-vous en 14.

Si vous préférez répondre sèchement : « Ça y est, v’là la Gestapo qui débarque ! », rendez-vous en 5.



11:

Vous entrez donc dans le monde virtuel sous votre pseudonyme habituel : Jennylasuceuse. Vous vous félicitez encore une fois d’avoir choisi ce sympathique pseudo, car c’est grâce à lui que vous parvenez toujours à trouver des tas de mecs hyper cools avec qui discuter un peu. Au bout d’environ trois minutes, vous avez déjà quarante-sept mecs en contact. Vous remarquez notamment que trois d’entre eux semblent s’appeler Jean-Pierre. Mais vous n’avez guère le temps de pousser plus loin votre fine analyse, car la voix de votre père s’élève, virile : « Hooo ! Jenny !!! J’trouve que t’utilises beaucoup le clavier pour quelqu’un qui fait des recherches !!! » Incroyable, c’est le bruit du clavier qui vous a trahie…


Si vous tentez un « Mais non, p’pa, j’t’assure, c’est mon exposé que je suis en train de taper ! », rendez-vous en 3.

Si vous vous avouez vaincue et préférez vous déconnecter de Caramail, rendez-vous en 21.




12:

Votre insupportable petit frère vous regarde d’un air niais, puis se tourne vers votre père et lance : « À mon avis, elle se fout de vous. Elle sera jamais rentrée à minuit. » Vous lui roulez de gros yeux coléreux. Il sourit, fier de lui. Votre père semble réfléchir quelques secondes. Vous tentez un : « Non, t’inquiète pas, P’pa, je… » Mais votre père vous interrompt pour vous asséner la plus affreuse des mauvaises nouvelles depuis que Britney Spears s’est rasée la tête : « Bon, je crois que pour ta première sortie en boîte, je vais y aller avec toi. C’est mieux… » Le monde s’écroule soudain. Votre insupportable petit frère niais est mort de rire. « Aaaaaaahhhhhhh ! » ne pouvez-vous vous empêcher de répondre, « mais papa, c’est pas la première fois !!! » Mais votre père ne vous écoute pas. D’ailleurs personne ne vous écoute plus. Votre père raconte à qui veut l’entendre que ça va lui rappeler sa jeunesse, tandis que votre mère demande à votre insupportable petit frère de manger sa purée. C’est horrible ! Quelle soirée à la con en perspective ! Vous vous dites, dépitée, que finalement vous irez en boîte une autre fois, et sans rien en dire à votre père… Tant pis, faudra se taper Fort Boyard…



13:

Quand nous nous sommes rencontrés, ma femme et moi, elle n’a pas pu se retenir de tomber amoureuse de moi. Il faut dire que je suis exceptionnel : je suis très beau et j’ai un sexe énorme, tellement énorme que, quelle que soit la façon dont je m’habille, on le voit. Donc évidemment, ma femme n’a pas pu me résister.


Rendez-vous en 19.



14:

Vous balancez fièrement : « Je sors avec Pierre-Antoine et Marie-Agnès, y a un concert de musique classique au couvent des Grâces Immaculées, j’y vais pour me détendre, on sera revenu vers onze heures moins le quart. » Un long silence envahit la pièce, tout le monde vous regarde, consterné.


Rendez-vous en 34.



15:

Mais en passant devant la chambre de vos parents, vous entendez à nouveau du bruit. Un bruit significatif… Vous décidez de vous arrêter un peu devant la porte pour en deviner un peu plus. Vous collez votre oreille tout contre la porte fermée, attentive aux moindres sons. Mais c’est une débauche de bruit de toutes sortes que vous entendez en fait : de l’horrible grincement du sommier aux grognements de votre père (enfin, vous supposez que c’est votre père…) en passant par les gémissements de votre mère (à moins que ce ne soit la voisine ?)


Si, amusée, vous décidez de rester derrière la porte à écouter encore, rendez-vous en 26.

Si vous choisissez plutôt de vous venger de tout ce qu’ils vous ont fait subir ce soir et de taper un grand coup dans la porte en hurlant : « C’est pas bientôt fini ce remue-ménage ! », rendez-vous en 4.



16:

Votre père, qui vous connaît quand même, semble méfiant. Il a l’air de soupçonner que vous avez quelque chose derrière la tête. Mais après l’étalage d’arguments que vous proposez, il vous donne finalement son accord : « Tu as le droit à une heure de recherches, mais je veux que ton exposé soit parfait ! » Bon, pensez-vous, ce sera toujours une heure de moins à se faire chier. Vous pourrez au moins discrètement faire un peu de chat avec des tas de mecs hyper cools. Vous vous dirigez jusqu’à l’ordinateur familial, l’allumez. De là où vous êtes, vos parents ne peuvent pas vous voir. C’est déjà ça. Oh merde ! Votre insupportable petit frère niais a encore mis des fonds d’écrans de femmes à poil. Il est lourd avec ça, vivement qu’il se trouve une greluche pour le dépuceler… Vous lancez Internet, puis "Google" et tapez gestapo. Puis sans même à peine observer les réponses, vous lancez le chat de "Caramail" dans une nouvelle fenêtre.


Si vous décidez d’aller chatter un peu avec quelques mecs hyper cools, rendez-vous en 11.

Si vous choisissez plutôt d’essayer de trouver une greluche pour déniaiser votre insupportable petit frère niais, rendez-vous en 23.



17:

Votre père redescend, apparemment satisfait. Vous appelez votre super-copine Sandy et lui expliquez, un peu navrée, que vous avez l’autorisation d’aller en boîte et que vous pouvez l’y emmener, mais que votre père paraît décidé à vous y accompagner. Votre super-copine est également un peu navrée, allant même jusqu’à préciser : « Ouah mais c’est trop naze comme plan de sortir en boîte avec son vieux ! » Vous acquiescez longuement et tristement. Votre super-copine Sandy conclut alors que puisque c’est comme ça elle va y aller avec Kelly en boîte et que tant pis pour vous mais que bon, elle vous racontera et que si elle trouve trop de mecs elle vous en ramènera un et que au fait est-ce que vous avez entendu parler d’une rumeur sur le mec blond du club de foot et la serveuse du Sunset Bar parce que y en a qui disent qu’il l’a trompée avec sa sœur et c’est bizarre parce qu’y en a d’autres qui… Mais vous raccrochez, faute de batterie, et vous allongez, déprimée. Quel constat amer ! Euh, non, pardon, quelle soirée à la con !



18:

Mais la Gestapo et la fatigue ont raison de votre résistance et de toute votre bonne volonté. Et quand vous vous réveillez, toujours vautrée sur ce petit bureau, vous constatez qu’il est déjà presque deux plombes du matin et que toute la maisonnée est largement endormie, y compris votre insupportable petit frère niais qui a dû finalement avoir raison de sa purée. « Quelle soirée à la con ! » pensez-vous en montant vous pieuter pour de bon tout en maugréant après vos parents…



19:

Cela fait maintenant presque trois mois que nous sommes ensemble, ma femme et moi. Et notre sexualité, bien que parfaite, avait besoin d’un peu de nouveauté. Nous avons donc tout naturellement pensé à Ghislaine et Marcelle, nos voisines jumelles. Ma femme est bien entendu bisexuelle, et cela l’excite au plus haut point que je me tape les deux voisines pendant qu’elle les lèche à tour de rôle.


Rendez-vous en 29.



20:

« Tu veux aller en boîte ? » répète votre père, hésitant. Il se tourne vers votre mère : « Qu’est-ce que tu en penses, maman ? » Ce que c’est glauque de s’appeler papa-maman entre eux, pensez-vous tandis que votre mère vous redemande si vous voulez aller en boîte. « On se croirait dans les Bidochon », vous dites-vous en observant avec dégoût toute votre famille bâfrer la purée en vous demandant si vous voulez aller en boîte. « Tu préfères pas plutôt regarder Fort Boyard ? » finit par vous asséner votre mère. Vous ne pouvez vous empêcher de pouffer et décidez de vous inscrire pour participer à l’émission : On a échangé nos mamans. Mais votre père finit enfin par vous donner sa réponse : « D’accord mais tu rentres à minuit. »


Si vous lui dites « Oui, oui, pas de problème » d’un air enjoué et avec un sourire, rendez-vous en 12.

Si vous lui dites « Quoi ? une heure ? mais c’est seulement l’heure où il commence à y avoir de l’ambiance ! », rendez-vous en 27.



21:

Déçue, vous vous déconnectez de Caramail, abandonnant à leurs tristes sorts les trois Jean-Pierre et leurs quarante-quatre collègues, et vous retournez vous consacrer à l’infinie connaissance de Google. Vous parcourez vaguement les quelques pages de résultats concernant la Gestapo, puis vous décidez tout simplement d’aller présenter vos excuses à votre père. Peut-être que c’est mieux ainsi.


Si vous dites : « Bon, Papa, je m’excuse. Voilà. Je peux aller en boîte, maintenant ? », rendez-vous en 36.

Si vous dites : « Papa, je suis vraiment désolée. Vraiment. J’ignorais à quelles références je faisais appel en mentionnant ce corps d’état fasciste déchu. Est-ce que vous me permettrez quand même d’envisager éventuellement de sortir avec quelques amis ? », rendez-vous en 25.



22:

Vous déboutonnez votre jean, puis glissez votre main dans votre culotte, tandis que votre mère gueule de plus en plus fort, semblant parfaitement apprécier de se faire enculer ainsi par votre père. Quelle salope, quand même ! Vous passez doucement quelques doigts le long de votre raie, vous excitant également le clitoris. « Oh, ouiii ! Défonce-moi le cul ! » entendez-vous encore. Le rythme de vos caresses va croissant, suivant celui des gémissements de votre mère et des grognements de votre père. Quelques minutes passent ainsi, vous vous faites du bien, tout en imaginant la scène. Ça vous dégoûte un peu, mais ça vous excite quand même…


Rendez-vous en 37.



23:

Vous décidez donc de choisir comme pseudo "lesbienne.en.chaleur". Au bout d’une ou deux minutes, vous avez déjà vingt-cinq messages. Mais ce ne sont que des mecs. « C’est nul, ce truc ! » pensez-vous, « comment font les filles pour rencontrer d’autres filles ? » Vous attendez encore un peu, en parcourant d’un œil distrait les réponses de Google. Mais ça a l’air très chiant. On se croirait à l’école… C’est quand même pas pour rien que vous avez arrêté l’école justement, merde ! Bon, toujours pas de greluche à l’horizon. Soixante-treize mecs en privé. Qu’ils aillent se faire foutre ! Vous décidez finalement de vous connecter sur le site officiel de Priscilla, pour voir un peu les news…


Rendez-vous en 40.



24:

Vous entrez dans votre chambre et entendez soudain le son "léger" des savates de votre père qui arrive en mugissant. « Oh, ça y est ! » pensez-vous en vous asseyant sur le lit. « Qu’est-ce qu’il va encore me pondre ? » Il entre dans votre chambre comme vous dans les magasins le jour des soldes et, crispé, vous dit : « Écoute, je vais être cool, je vais te laisser deux choix : soit tu dis à ta copine de venir passer la soirée ici et vous n’allez pas en boîte et vous ne trouvez pas de mec et vous ne rentrez pas à six heures, soit je t’accompagne en boîte… » Le deuxième choix vous fait suffoquer tandis que le premier vous paraît une aberration profonde.


Si vous lui répondez : « Bon, okay, je sors pas et j’invite Sandy… », tout en pensant « … on arrivera bien à se faire la malle… » , rendez-vous en 35.

Si vous lui répondez : « Bon, okay, tu nous accompagnes… » tout en pensant : « … et on va te faire boire jusqu’à ce que tu nous lâches ! », rendez-vous en 17.

Si vous lui répondez : « Va te faire foutre ! », tout en pensant : « Quel sale con ! », rendez-vous en 46.



25:

« Ah, je préfère ça. » répond votre père, content de lui. Vous entrevoyez finalement un soupçon d’espoir. Vous sentez que votre père va peut-être céder quant à la sortie de ce soir. « Arrête, papa, franchement, ça pue l’hypocrisie ! » rétorque alors votre insupportable petit frère niais. Quel con, franchement, celui-là ! Vous sentiez que ça allait pourtant passer. « Oui, tu as raison, » lui répond votre père.


Rendez-vous en 32.



26:

Vous restez dans l’obscurité du couloir, l’oreille collée contre la porte de la chambre. Leur rythme ne semble pas se ralentir le moins du monde. Ils beuglent et grognent en tous sens. La voix de votre père s’élève un instant par-dessus le concert de gémissements : « Rââârgghh ! Tiens, ma grosse truie ! Retourne-toi, j’vais t’enculer ! » Puis votre mère : « Oh, oui, mon cochon ! Ouiii ! Aaaahh ! Viens ! J’aime quand tu m’encules comme ça !!! » Incroyable ! Vous hallucinez. Jamais vous n’auriez cru ça de vos parents !


Si cela vous amuse et que vous souhaitez écouter encore un peu, rendez-vous en 33.

Si cela vous excite et que vous décidez de vous masturber en continuant de les écouter, rendez-vous en 22.

Si cette affreuse porcherie vous insupporte et vous dégoûte au plus haut point, rendez-vous en 4.


27:

« C’est minuit ou rien », répond-il. « Et pour en être sûr, je vais t’accompagner jusqu’à l’entrée de la boîte et je t’y attendrai jusqu’à ce que tu reviennes. » Vous lui répondez que c’est débile, qu’il va pas attendre cinq heures durant devant la porte. Mais il vous dit que de dix heures à minuit, ça ne fait que deux heures et que ça ira très bien, qu’il ne faut pas vous inquiéter pour lui, et que si vous n’êtes pas contente, il peut aller jusqu’à vous accompagner à l’intérieur. Tout ceci vous refroidit. Ce n’est pas comme ça que vous envisagiez la soirée… Vous hésitez… Accepter ou pas ? Finalement, dans ces conditions, ça vous gave. Donc vous répondez à votre père : « Bah, c’est trop nul comme plan ! Je préfère aller me coucher ! » Votre père vous regarde sans comprendre. « Merde alors ! Il fait chier avec ses idées toutes nazes ! » pensez-vous. Et puis, vous vous dites qu’il faut assumer votre rôle d’adolescente… Tant pis si vous passez une soirée à la con, mais vous ne pouvez pas accepter une idée stupide de votre père…



28:

Et au bout d’une bonne heure, que vous avez passée à vous changer, vous arranger, vous maquiller, vous préparer, vous habiller, vous farder, vous embellir, vous falsifier et vous camoufler, on frappe à votre porte. Vous reconnaissez la manière de frapper de votre insupportable petit frère niais. Bah, qu’il crève derrière la porte ! Vous continuez comme s’il n’était pas là. Mais il insiste, et frappe plus fort encore, hurlant que c’est votre père qui l’envoie pour voir si vous travaillez. Oh, merde ! Mais cela vous donne une idée. Peut-être que vous allez pouvoir l’utiliser, votre petit frère, peut-être qu’il va pouvoir vous aider à réussir votre soirée.


Rendez-vous en 44.



29:

Ghislaine et Marcelle n’attendaient que cela, depuis que nous avions emménagé auprès d’elles. Elles se satisfaisaient bien un peu avec leur gode et leur chien, mais que voulez-vous, tout ça ne vaut pas une grosse bite comme la mienne. J’ai donc organisé un apéritif car il faut bien un prétexte.


Rendez-vous en 31.



30:

Donc, sans rien dire, en essayant de ne pas vous trahir non plus, vous finissez votre purée avec joie, et terminez cette épreuve quotidienne qu’est le repas du soir entre vos parents chiants et votre frère débile. Vous décidez d’attendre tranquillement la nuit en allant vous enfermer dans votre chambre, comme toute adolescente branchée. Vous faites passer le temps en téléphonant à toutes vos copines hyper cools, puis en essayant tout un tas de fringues et enfin en vous maquillant de diverses curieuses façons.


Rendez-vous en 42.



31:

Mais Ghislaine et Marcelle ont préféré venir nues, ce qui fait que nous n’avons pas pris l’apéritif. Dès qu’elles sont arrivées, elles n’ont pas pu me résister et j’ai été obligé de les faire jouir chacune une première fois, tandis que je faisais aussi jouir ma femme, naturellement. (Ce n’est pas parce qu’on a des invitées qu’il faut négliger ses devoirs conjugaux.)


Rendez-vous en 38.



32:

« Pour la peine, tu es punie ! » vous fait tout simplement votre père. « Tu es privée de sortie ! » Vous jetez un regard cruel à votre frère, qui vous répond avec un clin d’œil amusé. À la première occasion, vous le tuerez, c’est sûr. Mais votre père ajoute qu’il vous laisse si vous voulez faire un peu de chat. Super ! Une soirée de bonheur en perspective avec tous les Jean-Pierre du net ! Bôaf ! Vous préférez carrément aller vous coucher. Quelle soirée à la con !



33:

Quelques minutes passent encore ainsi, vous les écoutez grogner, amusée et perplexe. Puis vous entendez soudain votre père gueuler qu’il va jouir et ordonner à votre mère de venir lui "lécher la queue". Puis, pendant plusieurs secondes, vous n’entendez plus que ses violents hurlements de plaisir. Ça vous fait plutôt rire qu’autre chose. Mais vous devinez que c’est fini, et que l’un ou l’autre risque de sortir à tout moment pour aller aux chiottes ou à la salle de bains. Mieux vaut foutre le camp, mais tout ça vous a donné une idée. Un de ces soirs, vous viendrez derrière leur porte avec du matériel d’enregistrement, et après, vous pourrez jouer la carte du chantage. Vous partez vous coucher avec sur les lèvres un sourire machiavélique. Ça sauve un peu cette soirée à la con !



34:

Mais c’est finalement l’hilarité générale qui l’emporte ; votre père et votre frère sont pliés en deux, tandis que votre mère passe sa main sur votre front, vous demandant si vous vous sentez bien. « On ne se refait pas… » pensez-vous avec dépit en continuant de manger votre purée.


Retournez en 1.



35:

Votre père, heureux à l’idée que vous ne sortiez pas, quitte votre chambre et redescend terminer sa purée. Vous appelez immédiatement votre super-copine Sandy et lui expliquez qu’elle peut venir à la maison passer la soirée et même la nuit si elle veut. C’est à ce moment que votre insupportable petit frère niais, sans même frapper, débarque en hurlant, comme en transe : « Ouah, c’est vrai qu’y a ta copine la bombe sexuelle qui va venir dormir là ? » Tout en lui donnant des coups de pieds, vous expliquez à votre super-copine que c’est rien, c’est votre insupportable petit frère niais. Elle, de son côté, rit gaiement, charmée du compliment. Vous lui réitérez votre invitation, elle l’accepte et vous convenez qu’elle viendra vous retrouver vers 21h30.


Rendez-vous en 51.



36:

« Non, mais tu rêves ! » vous répond votre insupportable petit frère niais. « Je t’emmerde ! » lui rétorquez-vous sous les yeux ahuris de votre père. « C’est à Papa que je parle ! » Cinq longues secondes passent, et votre père finit par vous tonitruer que vous êtes vraiment écervelée et puis encore tout un tas d’autres choses que vous n’écoutez pas. Lorsqu’il a terminé, vous lui redemandez avec détachement si vous pouvez sortir. Mais pour seule réponse, il devient rouge foncé et se met à fumer. Vous comprenez somme toute aux hurlements qu’il finit par pousser qu’il vaut peut-être mieux ne pas insister ce soir. Vous montez vous coucher, dépitée. Quelle soirée à la con !



37:

Quand soudain vous entendez une porte s’ouvrir. Vous sursautez, et retirez votre main d’entre vos cuisses. C’est la porte de la chambre de votre insupportable petit frère niais. Il sort dans le couloir, un peu la gueule dans le cul, tandis que vous essayez de vous renfroquer à toute allure. Il fait sombre, peut-être qu’il ne vous a pas vue… Mais sa voix résonne soudain : « Tu fais quoi avec ton froc baissé ? » Vous lui répondez : « Oh, ta gueule ! J’allais aux chiottes ! » Il vous demande avec un air perplexe si vous ne vous êtes pas perdue, puis se dirige, lui, vers les toilettes. Putain de merde ! Y a même pas moyen de se branler tranquillement dans cette baraque ! Vous allez finalement bêtement vous coucher, sans plus la moindre envie de vous masturber. Quelle soirée à la con, quand même !



38:

Quand elles ont vu mon sexe se dresser fièrement devant elles, toutes ces femmes ont joui une seconde fois en hurlant du bonheur qu’elles auraient bientôt. Je leur ai proposé de commencer par se lécher quelques minutes toutes les trois, mais elles ont préféré venir me sucer de toutes leurs forces. J’ai joui une première fois à mon tour, les renversant toutes trois sous un flot ininterrompu de sperme qui les recouvrit entièrement.


Rendez-vous en 47.



39:

« 30 € ? » vous fait-il sur un air dubitatif. Vous acquiescez. « Okay, vas-y, donne ! » Vous lui dites de ne pas vous prendre pour une conne, que d’abord il vous ramène votre portable et qu’ensuite vous lui donnerez le fric. « Okay, » vous répond-il simplement. Il sort puis redescend vers le salon. Vous entrouvrez votre porte pour écouter ce qu’il va dire à vos parents. Mais vous vous mettez à bouillir soudain lorsque vous l’entendez raconter que vous lui avez proposé de l’argent pour qu’il vous ramène votre téléphone. Vous fulminez d’une rage éperdue, et vous vous promettez de le massacrer à la première occasion. Vous entendez maintenant résonner la voix grondante de votre père : « Jenny, si je suis obligé de monter, gare à toi ! ». « Gna gna gna ! » faites-vous en claquant la porte, dans une colère qui ferait flipper Rambo.


Rendez-vous en 52.



40:

Mais tandis que vous êtes complètement absorbée par l’étalage des goûts vestimentaires de la star, votre père déboule dans votre dos, et vous hurle tout un tas de choses que vous n’écoutez même pas tellement c’est chiant. Vous comprenez toutefois que le mieux que vous ayez à faire est de monter vous coucher en baissant la tête. Bah, ça ira mieux demain. Quelle soirée à la con, quand même !



41:

Mais il tarde, ce petit con ! Qu’est-ce qu’il fout ?!? Vous vous penchez en avant dans l’escalier afin de tenter de l’espionner. Mais pas de bruit. Vous commencez alors à vous dire qu’il vous a gentiment enculée. Vous réfléchissez à un plan pour l’assassiner froidement. Mais vous entendez soudain sa voix : « P’pa, m’man, j’vais me coucher. » Il monte, c’est gagné ! Et il a le portable dans la main. Vous reprenez espoir. Vous remarquez hélas qu’il vous regarde avec un grand sourire débile. Il passe devant vous et entre dans votre chambre en vous faisant : « Alors ? Tu le veux ce portable ? »


Rendez-vous en 48.



42:

Mais même en ayant fait tout ça, il n’est encore qu’à peine dix heures. Vous redescendez innocemment dans le salon, faisant semblant d’avoir quelque chose à y chercher. Vos parents larvent devant Fort Boyard… « Qu’est-ce que c’est naze ! » pensez-vous finement. Vous leur dites que vous allez vous coucher, leur souhaitez bonne nuit, en leur conseillant de ne pas se coucher tard. Votre père se frotte les paupières sans comprendre. « Ça y est », dit-il à votre mère, « elle est devenue raisonnable ! » Votre mère en a les larmes aux yeux. Vous remontez dans votre chambre, espérant que, pour fêter cela, ils iront se pieuter tôt.


Rendez-vous en 58.



43:

Vous le sucez avec effroi mais conviction, pensant à la soirée qui vous attend, et quand vous sentez qu’il ne va pas tarder à jouir, vous vous arrêtez et vous reculez, un sourire sur les lèvres. « La suite après… » Vous sentez que vous allez gagner. Il ne pourra s’empêcher de revenir. Vous triomphez tandis qu’il vous regarde, penaud. Mais il finit par sourire, et vous annonce brutalement : « Bah, je finirai tout seul. Et puis de toute façon, tu t’y prends pas très bien… » Votre sourire de triomphe se change à toute allure en un vaste beuglement de déconfiture et de fureur. Votre insupportable petit frère se renfroque vaguement et sort de votre chambre en sifflotant, tandis que vous lui lancez de toutes vos forces l’intégralité de la pile de Jeune et Jolie, auquel vous êtes abonnée depuis sept ans déjà. Vous vous couchez finalement, déçue et furieuse. Quelle soirée à la con.



44:

Vous lui ouvrez finalement la porte. Il entre en vous dévisageant de haut en bas. « Ouah, tu vas où, attifée comme ça ? » Puis il se reprend : « De toutes façons, p’pa te laissera jamais sortir. Surtout quand je lui aurais dit que tu fous rien. » Vous lui répondez que justement, il ne va rien en faire, il ne va rien aller dire à personne si ce n’est que vous vous êtes endormie, et que même, il va discrètement aller chercher votre portable et vous le ramener. Votre frère vous regarde comme si vous étiez un ovni, puis il finit par rompre le silence en vous demandant ce qu’il y gagnera en retour.


Si vous lui répondez : « Bon, écoute, en échange, je veux bien te filer 30 €. », rendez-vous en 39.

Si vous lui répondez : « Bon, écoute, en échange, je veux bien te faire une pipe. », rendez-vous en 56.

Si vous lui répondez sur un air suppliant : « Tout ce que tu veux, mais ramène-moi mon portable. », rendez-vous en 49.


45:

« Tu veux que je leur dise quoi ? » vous répond-il, largement aussi niaisement qu’avant. Vous lui expliquez longuement et avec moult détails qu’il va devoir aller raconter à vos parents que vous vous êtes endormie sur votre bouquin d’histoire. Encouragé par votre récente prestation, il part avec le sentiment d’être investi d’une mission dont la réussite y va de son honneur. Et tandis qu’il raconte une vaste blague à vos parents, vous vous dites qu’il est largement temps de vous mettre à téléphoner.


Rendez-vous en 57.



46:

Votre père vous met deux gigantesques claques, puis, serein, sort de votre chambre en soupirant : « Aaaah ! Ça fait du bien ! »


Si, avant qu’il ne s’éloigne, vous lui conseillez d’aller se faire enculer et puis d’aller mourir, rendez-vous en 46.

Si, calmée, vous le laissez s’éloigner en songeant à la façon dont vous allez fuguer, rendez-vous en 64.



47:

Elles jouirent donc une troisième fois en dégustant mon sperme. Ma femme, qui n’en pouvait plus, me supplia de la sodomiser pendant qu’elle léchait Ghislaine et Marcelle et que ces dernières me léchaient les burnes à leur tour. J’acceptai pour leur faire plaisir. J’enfonçai donc mon énorme pieu au plus profond de ses entrailles, à tel point que ma femme rota.


Rendez-vous en 50.



48:

Vous le suivez dans sa chambre et vous agenouillez, tout en vous répétant que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Il s’approche de vous, l’air content de lui. Vous le regardez un instant dans les yeux, mais êtes prise d’une forte nausée, et reportez votre regard vers son entrejambe. « Bon, allez ! » vous dites-vous une dernière fois, avant de déboutonner avec hargne son pantalon. Vous baissez son caleçon, et dévoilez son sexe plutôt mou. Vous le masturbez quelques secondes ; il durcit légèrement. Puis vous respirez un grand coup, fermez les yeux, et vous avancez quelque peu, le prenant presque entier dans la bouche. Vous faites quelques rapides va-et-vient, en serrant son sexe entre vos mâchoires et en aspirant. Vous l’entendez gémir ; ça a l’air de lui plaire.


Rendez-vous en 53.



49:

« Tout ce que je veux, vraiment ? » Vous réfléchissez, mais de toute façon, ça ne peut pas être bien pire que de rester enfermée toute la soirée avec un bouquin sur la Gestapo. Vous acquiescez. Il paraît un instant perplexe, puis vous fait avec un petit air satisfait : « Alors, disons : 30 € et une pipe ! » « Quoi ??? » lui hurlez-vous. Vous tentez de négocier, mais il vous fait rapidement comprendre que c’est ça ou rien. Vous finissez malgré vous par lui dire que vous êtes d’accord, tout en l’insultant intérieurement. « Bon, vas-y, je te filerai tout ça si tu remontes avec mon portable. » lui dites-vous. Il rigole en vous prenant pour une conne : « Tu plaisantes ! La moitié maintenant, l’autre moitié après. » Vous réfléchissez, c’est vraiment l’arnaque, mais bon…


Si vous décidez de lui filer 30 € tout de suite, et de lui faire une pipe quand il reviendra avec votre téléphone, rendez-vous en 55.

Si vous préférez lui faire d’abord une pipe, et lui filer le fric après, rendez-vous en 61.



50:

Mais elle ne put s’empêcher de jouir une quatrième fois sous les assauts parfaits de mon gigantesque outil. Pour ne pas laisser Ghislaine et Marcelle en reste, je décidai de les sodomiser également, tandis qu’elles se relayaient pour maintenir ma femme dans un état de mouille permanent.


Rendez-vous en 62.



51:

Vous raccrochez en décochant un dernier coup de latte à votre insupportable petit frère niais. Mais celui-ci vous demande avec intérêt s’il pourra passer la soirée avec vous. Vous l’insultez en lui montrant la porte, puis rangez vaguement votre chambre, de telle sorte qu’elle ressemble au maximum à celle d’une jeune fille géniale : vous posez quelques fringues sur le lit, des magazines de jeunes filles en vrac un peu partout, une boîte de Tampax bien visible sur le bureau, etc. Après cela, vous décidez de vous changer, puis de vous maquiller, puis de vous coiffer, puis de vous rechanger, puis de vous recoiffer, puis vous hésitez à vous remaquiller lorsque vous entendez soudain la sonnette de la maison. Vous descendez les marches pour aller ouvrir à votre amie.


Rendez-vous en 66.



52:

Vous essayez de vous calmer, mais la colère a du mal à retomber. Ce salaud d’imbécile insupportable et niais ! Vous êtes condamnée pour votre sortie de ce soir. Mais vous avez devant vous toute la soirée pour imaginer un plan pour tuer votre petit frère en veillant à le faire souffrir longtemps. Et cela vous console rien que d’y penser. Mais tout de même, quelle soirée à la con !



53:

Il bande maintenant à exploser. Vous faites de votre mieux pour que ce mauvais moment à passer ne soit pas trop long, le branlant et le pompant le plus fort et le plus vite possible. De trop longues minutes passent tandis que, la bouche pleine, vous pensez à la soirée qui vous attend en boîte. Vous faites même tout votre possible pour penser à tout sauf à cette chose que vous êtes en train de sucer. En fait, vous vous en détachez tellement que vous êtes soudain surprise de sentir une rasade de sperme vous inonder la bouche. Vous bondissez d’un seul coup tandis que votre insupportable petit frère finit de jouir, et lui arrachez le portable des mains tout en lui recrachant violemment dessus tout ce que vous pouvez. Cela ne semble pas l’émouvoir, et il paraît réellement ébahi de ce que vous avez fait pour lui. « Ouaouh ! C’est vraiment génial ! Tu fais ça trop bien ! » vous félicite-t-il. Vous le contemplez brièvement et constatez avec plaisir qu’il a tout de suite l’air un peu moins niais. Il se renfroque et s’assoit sur votre plumard, vous demandant ce que vous pensez faire.


Si vous lui répondez : « Ce soir, c’est le grand soir ! Je sors en boîte. Tu veux bien me couvrir et pipeauter les parents ? », rendez-vous en 45.

Si vous préférez lui dire : « Bon, ça y est, t’as eu ce que tu voulais, maintenant tu dégages ! », rendez-vous en 60.



54:

Vous l’insultez une toute dernière fois en claquant la porte derrière lui, et retournez vous asseoir sur le lit, votre téléphone à la main. Et au moment où vous alliez appeler, vous entendez la voix insupportable de ce stupide petit frère hurler à vos parents que : "attention, vous allez essayer de fuguer !" Le salaud ! Sale petit con ! Il vous a niqué la soirée ! Il faut qu’il paye. Tant pis pour la soirée, foutue pour foutue, il va payer…


Rendez-vous en 63.



55:

Vous fouillez dans votre portefeuille à la recherche de quelques billets et parvenez enfin à dénicher la somme convenue. Vous la tendez à votre frère avec un brin de méfiance. Celui-ci s’en saisit, puis vous dit d’un air très sérieux : « Bon, agenouille-toi et ouvre la bouche, je reviens. » Vous le regardez descendre les marches, en l’insultant intérieurement. Bah, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, pensez-vous en vous imaginant déjà devoir le sucer.


Rendez-vous en 41.



56:

« Une pipe, vraiment ? » vous fait-il sur un air dubitatif, mais intéressé. Vous acquiescez, malgré vous. « Okay, vas-y ! », vous dit-il en déboutonnant son fute. Vous lui dites de ne pas vous prendre pour une conne, que d’abord il vous ramène votre portable et qu’ensuite vous le sucerez. « Okay, » vous répond-il simplement. Il sort puis redescend vers le salon. Vous entrouvrez votre porte pour écouter ce qu’il va dire à vos parents. Mais vous vous mettez à bouillir soudain lorsque vous l’entendez raconter que vous lui avez demandé de ramener votre téléphone. Il se garde heureusement de parler de cette pipe idiote que vous lui aviez promise. Mais vous fulminez quand même d’une rage éperdue, et vous vous promettez de le massacrer à la première occasion. Vous entendez maintenant résonner la voix grondante de votre père : « Jenny, si je suis obligé de monter, gare à toi ! ». « Gna gna gna ! » faites-vous en claquant la porte, dans une colère qui ferait flipper Schwarzenegger.


Rendez-vous en 52.



57:

Vous faites rapidement défiler la liste des numéros mémorisés dans votre téléphone, puis décidez d’appeler Sandy, une "supeeeeer" copine à vous. Elle aura sans doute un plan sympa pour vous sortir de là. Vous laissez sonner quelques secondes avant qu’elle ne finisse par décrocher. Vous lui expliquez que vous devriez si tout va bien pouvoir vous libérer pour la nuit, à condition que vos parents ne décèlent pas votre tentative de fugue. Et tandis que vous êtes justement en train de raconter vos déboires à Sandy, vous entendez frapper votre insupportable petit frère à la porte de votre chambre. Vous dites à votre copine de patienter quelques secondes, le temps qu’il vous donne les dernières nouvelles du front : il a bobardé vos parents en beauté, leur expliquant qu’il était venu chercher le CD de la Star Ac 9 dans votre chambre, mais qu’il vous avait trouvée en train de dormir à poings fermés. Il vous conseille de faire semblant de roupiller jusqu’à ce que vos parents soient couchés, puis de vous évader discrètement. Il vous promet, en prenant soin de cracher par terre sur la moquette, qu’il ne vous trahira pas. À demi exaspérée, vous le regardez partir et refermer la porte. Vous reportez ensuite le téléphone à votre oreille et expliquez à votre super-copine Sandy que la voie est libre et que le mieux serait qu’elle passe vous chercher vers minuit, mais que surtout elle ne sonne pas, ni ne klaxonne. « À tout à l’heure, » vous fait-elle avant de raccrocher. Vous n’avez plus qu’à attendre.


Rendez-vous en 69.



58:

Vous vous brossez les dents, puis faites semblant d’aller au lit. Il suffit simplement d’attendre. Alors vous attendez. Encore. Mais c’est long. C’est très long. C’est tellement long que vous finissez par vous endormir. Vous rouvrez les yeux vers trois heures du matin. Il y a quinze messages sur votre portable de votre super-copine Sandy avec qui vous vouliez aller en boîte. Ça a l’air cuit, à cette heure-ci. Oh la la ! Quelle soirée à la con !



59:

Et vous avez soudain l’impression de vous prendre une douche froide… Glaciale, même : vous venez de vous apercevoir qu’il vous a couillonnée sur toute la ligne… Ce n’est pas votre portable qu’il vous a ramené… C’est celui de votre mère, dont vous n’avez même pas le code… Et vous, vous n’avez rien vu… C’est vrai qu’ils ont presque la même gueule, mais quand même… Vous vous en voulez d’être aussi conne ! Mais plus encore, vous en voulez à crever à votre misérable vaurien de petit frère idiot. Il vous a gâché votre soirée, mais il va s’en repentir. Vous allez avoir toute la nuit pour lui imaginer une agonie lente et douloureuse ! Quelle soirée à la con !!!



60:

Vous l’envoyez bouler avec mépris tandis qu’il vous contemple toujours béatement. Mais cela ne semble pas l’émouvoir le moins du monde et il finit même par s’allonger confortablement sur votre plumard. Mais vous n’allez pas vous laisser faire : tout en continuant de l’insulter, vous décidez de le pousser du lit jusqu’à ce qu’il en tombe, dans un grand fracas. En se relevant, il commence à comprendre que sa présence ici n’est plus souhaitable. Il finit par s’en aller, non sans vous dire que ce n’est pas très sympa de votre part, avec tout ce qu’il a fait pour vous.


Si vous décidez de lui dire : « Va te faire foutre sale con ! » en le mettant à la porte, rendez-vous en 54.

Si vous préférez être plus calme et vous contenter de le maudire intérieurement tout en le remerciant poliment, rendez-vous en 67.



61:

« Oh, putain ! Vraiment, tu fais chier ! » lui dites-vous en vous agenouillant à ses pieds. Il sourit comme à pierre fendre, tandis que vous lui déboutonnez son jean avec dégoût. Mais vous pensez à votre projet. Une super soirée vaut bien quelques petits sacrifices. Vous extrayez son insupportable sexe encore à demi-mou du fond de son caleçon et l’enfouissez sans réfléchir au fond de votre bouche, puis vous mettez à le pomper machinalement. Cela a l’air de lui plaire car il durcit très vite et se met à gémir. Cela vous donne une idée ; vous allez tenter de négocier…


Rendez-vous en 43.



62:

Pour ma part, je jouis une seconde fois et mes trois partenaires se précipitèrent évidemment pour avaler. Mais cela ne me suffisait pas, j’étais dans un tel état d’excitation ! Il m’en fallait plus.


Rendez-vous en 65.



63:

Vous réfléchissez une demi-seconde en parcourant votre chambre du regard à la recherche d’un objet bien lourd, quand vos yeux s’arrêtent sur le pavé monstrueux de l’Histoire de l’Allemagne. Vous vous en saisissez et sortez à toute vitesse de votre chambre, en le tenant tendu au-dessus de vous, et à peine avez-vous franchi quelques pas que vous le lancez de toutes vos forces sur cet insupportable crétin. Vous entendez tout à la fois votre père qui gueule de colère et votre frère qui hurle de souffrance. Mais vous n’écoutez pas et retournez tout simplement vous enfermer dans votre chambre. Au moins vous avez votre portable… Mais ce n’est pas la peine d’espérer sortir ce soir ; votre père va sûrement miner la maison et piéger chaque fenêtre pour vous en empêcher. Quelle soirée à la con !!!



64:

Mais votre père n’est pas né de la dernière pluie… Juste avant de sortir, il vous demande d’une voix froide votre portable. Vous lui donnez en râlant. Il sort. Vous fermez rageusement la porte à clé. Impossible de sortir sans portable ! Ce serait indécent… Et puis, impossible surtout d’appeler qui que ce soit. Vous vous allongez, dépitée, et vous emparez du dernier hors-série de Jeune et jolie. Quelle soirée à la con !



65:

Je demandai donc à chacune de ces trois déesses d’appeler chacune trois copines qui viendraient nous rejoindre, avant d’appeler à leur tour chacune trois autres copines pour qu’elles viennent toutes satisfaire les tensions de mon sexe démesuré qui grandissait encore.


Rendez-vous en 68. (Courage, cette histoire est bientôt terminée…)



66:

Mais hélas, votre insupportable petit frère a été plus rapide que vous. Il est déjà en train d’accueillir Sandy, bavant presque, lorsque vous arrivez à la porte. Vous l’attrapez par les épaules et l’éjectez vers les toilettes. Vous faites entrer Sandy et lui faites quatre bises avec soin tandis que votre idiot de frère revient à la charge, proposant à la jeune fille de lui faire visiter sa chambre. Vous êtes sur le point de l’insulter bruyamment lorsque vous entendez votre amie lui dire qu’elle est d’accord. Vous vous frottez vivement les yeux en les regardant monter l’un derrière l’autre dans l’escalier, avant de les suivre bouche bée. Votre insupportable frère laisse entrer Sandy dans sa chambre, puis y entre à son tour en vous claquant la porte au nez. Vous forcez la porte, rageuse et de nouveau parée à l’insulter lorsque vous constatez avec stupeur que votre amie est en train de se déshabiller devant votre frère qui cette fois bave vraiment. Elle vous enjoint ensuite à aller l’attendre dans votre chambre, arguant qu’elle n’en a pas pour longtemps. Vous vous pincez, vous mettez une claque, puis regagnez votre chambre, penaude. Quelle connasse, cette Sandy ! Et quelle soirée à la con ça va être !



67:

« Je te remercie beaucoup ! » parvenez-vous à susurrer entre deux malédictions intérieures. Ça y est, vous avez réussi à le mettre à la porte ! Ouf ! Vous écoutez encore un peu, l’oreille collée contre la porte, sans faire un seul bruit. Et vous l’entendez s’enfermer dans sa chambre, puis allumer sa musique de gros naze. C’est bon, vous êtes tranquille. Vous allez vous asseoir sur votre lit, et vous saisissez de votre téléphone.


Rendez-vous en 59.



68:

Je me retrouvai finalement bientôt avec deux mille cent quatre-vingt-sept femmes à combler, à tel point que je dus agrandir la maison. J’ai joui une troisième fois, puis une quatrième et même une cinquième et une sixième, mais ceci est une autre histoire…



69:

Bravo ! C’est gagné, vous allez pouvoir partir en boîte avec votre super-copine Sandy dès que vos parents seront couchés… La soirée s’annonce plutôt bien…