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n° 11791Fiche technique10824 caractères10824
1925
Temps de lecture estimé : 7 mn
04/10/07
Résumé:  La coquine vient me voir pour se faire mettre.
Critères:  fh hplusag pénétratio fsodo -occasion
Auteur : Cracatoesse  (J'écris des grosses cochonneries)
La goulue

Il y a bientôt vingt ans que je la connais. Une copine de mes enfants du temps de l’école maternelle, puis de l’école primaire, du collège, du lycée et des bringues entre étudiants. Moi je l’ai toujours considérée comme une gamine faisant partie de la famille, toujours de passage dans la maison comme si elle était de la famille et encore maintenant malgré ses 22 ans. Je viens de divorcer pour cause de plus d’amour et de plus rien. Avec le temps on n’aime plus.


Vendue la grande maison toute vivante. Je suis seul dans un grand quatre pièces à rénover, mais pénard. Elle est restée pour m’aider à refaire les peintures avec la bande d’adolescents rigolos et pleins de la belle énergie de leurs vingt ans. Je suis le papa gentil qui paie les études et l’essence de la voiture ou plutôt de ma voiture. Fin de la matinée, ils sont partis comme un vol d’étourneaux vers une activité plus prometteuse de joyeux moments et surtout sans adulte gentil mais gênant pour l’ambiance.


Elle est restée pour ne pas me laisser seul. J’avais bien repéré un changement dans son attitude ces derniers mois. Pas franchement de l’allumage, mais de la séduction retenue sûrement. Gamineries pensais-je sans réfléchir plus loin. Puis un jour j’ai trouvé, sur l’appareil photo de la maison, un reportage sur une bringue qui avait eu lieu dans mes murs. La belle marrade ! Chaude ambiance, confettis et strip-tease debout sur la table. Je reconnais plusieurs têtes complètement allumées au mauvais whisky ou au Get 27. Beurk. Mais bon ! Je zappe vite mes enfants, je ne veux rien savoir. Le voyeurisme a ses limites.


J’avais donc pu admirer son académie à loisir et vérifier qu’elle était vraiment une belle fille, avec des petits seins bien fermes et droits pointés à l’horizontale comme deux pyramides Inuit. Si ! Les Inuits avaient construit des pyramides comme des Igloos. Moins cons que les gars du sud qui passent leur temps à chercher le moyen de se donner du boulot. L’oisiveté ça fait faire des conneries. Donc des seins qui tiennent le soutif quand les autres sont tenus par le soutif. Deux collines superbes et infatigables retenues là comme par magie sans attache, sans fil transparent. Deux pâtés de sable sur la sirène dessinée sur la plage que caresse les vagues. Gna gna gna. Pas un grain de cellulite sur les fesses galbées comme des dunes de sable blond. Des gambettes en fuseau, un cou comme un tee de golf portant la tête de la princesse aux longs cheveux blond vénitien. Tous les autres la mataient, garçons comme filles. J’ai trouvé une photo où elle roule un patin à la petite timide de la bande. J’aurais bien aimé voir la suite mais rien. Bon !


S’en était suivi une érection comme un bâton de bois dur. Du "bois bandé" comme ils disent aux Antilles, mais c’est pas trop vrai. Il vaut mieux essayer les belles métisses qui ont des bondas… Holalalala ! Comme des cœurs à l’envers ! Seule une amie très très gentille avait pu redonner un peu de souplesse à mon corps défendant. Une amie qui sait être là quand il faut et se donner à fond pour me sauver du péril et se servir au passage. Elle connaît mes défauts et moi les siens. Nous nous sommes déjà déçus et réconciliés, ce qui est la vraie preuve de l’amitié. Merci pour elle, je l’aime de vrai et tranquillement.


Depuis ces événements, j’avais une ou des arrière-pensées interdites quand la gamine passait dans mon paysage. Pensez donc une gamine de l’âge de mes enfants ! Une conviction ferme, tenant au respect absolu de l’enfance, me défendait de toute velléité de passage à l’acte. Et puis les parents sont des amis et je n’ai jamais baisé sa mère, alors… Non ! Non, rien à faire. Je serais digne de la Belle et du Clochard de Brassens "tout doucement arrête un peu ton tir, j’ai pas tellement l’étoffe du satyre". J’en étais là, campé sur ma morale quand elle s’était faite absolument chatte avec moi. Seuls dans l’appartement elle s’en donnait à loisir pour m’échauder. J’avais une grosse boule au fond de la gorge qui illustrait complètement mon combat intérieur. La lutte du bien contre le mal, le démon de midi contre celui de six heures moins le quart. Bien accroché au pinceau pour peaufiner les coins et les angles. Le rouleau bien ferme dans la main droite je m’évertuais à parler d’autres choses malgré le décolleté dans lequel mon regard plongeait du haut de mon échelle, vers son nombril, à moins que ce ne soit le clitoris ? Non, non, c’est le nombril ! Le clito est plus bas que les poils pubiens et dessous le mont de venus. CQFD. Pas de soutif. C’est vrai, pourquoi faire ?


Ma digue a cédé par petits à-coups. Ses frôlements innocents ou pas, les regards qui en disent trop long sur ses envies, ses poses, ses sujets de conversation, ses interrogations sur les photos de la fête. Il y a eu préméditation. L’appareil n’est pas resté chargé et bien en vue pour faire joli et moi je suis tombé dans le panneau. Le piège était en marche et j’avais déjà un pied dedans. Elle a dit vers deux heures :



Ouf, un peu de répit ! Et puis elle est sortie nue de la douche. Elle sentait bon et mettait de l’eau partout. Mon sexe n’a fait qu’un demi-tour vers le haut. Ouille les poils coincés ! Le bonheur commence t-il par la douleur ? La pression intracrânienne est montée dangereusement vers la zone rouge et même violette ; j’étais là comme un gland avec mon érection et mon rouleau dans la main. Pas dans la même main vous aurez compris. Une pure beauté. Une merveille… Quelques secondes en suspens sans rien d’autre a faire que de vivre ce moment rare, incroyable, rythmé par les palpitations de mon cœur.


Une éternité après je descends de mon escabeau. Elle me retire le pinceau des mains et se colle à moi - Ouille ouille encore trois poils arrachés – et approche sa bouche de la mienne. Je maintiens trois millimètres d’écart. Elle semble décontenancée mais comprend rapidement le jeu sensuel. De nos lèvres qui ne se touchent pas nous devinons la chaleur de l’autre. Nous exacerbons nos sens du toucher et olfactif. Sa respiration sur ma joue, le fin duvet au-dessus de sa lèvre qui effleure les miennes. Résister à l’envie de prendre contact, tenir la frustration le plus longtemps possible pour cueillir les fruits de la jouissance cérébrale. Je parcours son cou, ses oreilles, sa poitrine, ses seins. Je mime de sucer le téton sans le toucher. C’est elle qui a craqué la première. Perdu ! Elle m’a collé son nichon dans la bouche en me plaquant la tête contre sa poitrine. Message compris, de toutes les façons je n’y tenais plus et j’ai tété sans tâtonner son téton entêté et sucer en aspirant l’aréole et mordiller le bout, les bouts, pendant que ses jambes emprisonnaient la mienne pour cause de frottement vulvaire. Nos langues ont fini par se trouver, se sont mêlées, entremêlées comme deux organes sexuels archaïques, vestige d’une fonction oubliée par l’évolution et ma belle mère.


Je l’ai soulevée, debout comme au cirque, comme une danseuse, pour lui mettre tout de suite ma bouche sur le con. À califourchon sur mes épaules, elle tortillait du cul pour m’enfoncer son vagin sur ma langue, tout en tenant l’équilibre en plaquant ses mains au plafond. Nous avons fait le tour de la pièce à cause de la peinture fraîche qui glissait. Son jus de grotte coulait dans ma barbe, sur ma glotte, couvrait mon visage. Elle a joui en s’accrochant au chambranle de la porte du salon et je n’avais plus un poil. Avec ma bite je suis rentré dans son con brûlant en un seul mouvement direct, vers le fond, à tel point que nos ischions (avec un ch à prononcer que vu la racine grecque) se sont entrechoqués dans un bruit mat (non, ça c’est pas possible). J’ai limé pendant une éternité, refait l’alésage comme un ouvrier clandestin qui a la trouille des quotas d’immigrés à reconduire à la frontière. Du travail bien léché.


Je ne sentais plus ma bite parce que j’étais une bite, je n’étais qu’une bite, une machine à foutre, à jouir, à faire jouir. Et j’accélère dans les virages, et maintenant la danse du ventre, et la charge du zouave, et Napoléon devant l’obélisque, et Bir Hakeim, et la guerre de la brouette espagnole, et la brouette chinoise (la même mais il n’y as pas de roues). Elle a dû jouir deux ou trois fois mais pas moi. Nous avons pris toutes les positions, elle m’a sucé, branlé, doigté et j’avais toujours un pieu comme je ne pensais plus en avoir un jour un comme ça, surtout avec ma femme. Cinq minutes, et puis voilà, le samedi matin avant le marché… Impossible d’atteindre l’orgasme pour moi. Parce qu’elle a eu le temps de prendre son fade avec tous les bonus.


Par pitié pour moi, elle m’a demandé de l’enculer. Pas spécialiste de la question je l’ai posée sur le ventre, sur le dossier du fauteuil de grand-mère (pardon grand-mère) pour lui faire une feuille de rose digne du jardin du roi. Bien dilatée je suis allé chercher le beurre dans le frigo; merde y’en a plus ! Célibat à la con ! Vite le lubrifiant pour les pistons ! Non l’huile d’olive ! Plutôt celle de noix ! Je me suis assis dans le fauteuil et elle est venue sur moi, me tournant le dos en passant ses jambes sur chaque accoudoir. Au poste de pilotage je contrôlais toute la manœuvre d’orientation en lui tenant les hanches. De son coté, elle contrôlait la vitesse de la pénétration. Un peu hésitante au début, elle se caressait l’anus avec ma turgescence, puis me faisait rentrer un petit peu, puis faisait un petit détour par son connil pour lubrifier et rebelote. Le gland, puis un centimètre de plus et encore un aller retour dans le trou de devant et encore et encore jusqu’au fond de son cul. J’avais les mains libres pour lui caresser la chatte, lui tordre les seins, jouer avec son bouton. Elle se limait avec ma bite comme une grande le fait avec un toy les soirs de désœuvrement.


Pour en finir, par une contorsion, elle m’a attrapé les boules quand je l’ai limée sur l’accoudoir et m’a mis un doigt dans le cul. J’ai joui à en avoir mal pendant une éternité ; des flots de sperme au fond d’elle. Elle a eu un orgasme concomitant et je me suis écroulé sur Elle complètement vide d’énergie. Nous nous sommes endormis sur le parquet, dans un rayon de soleil du soir.