n° 11801 | Fiche technique | 22748 caractères | 22748Temps de lecture estimé : 13 mn | 06/10/07 |
Résumé: Clémentine s'amuse beaucoup lors de cette soirée, mais le rire est parfois un dangereux plaisir. | ||||
Critères: ffh jeunes copains anniversai fsoumise fsodo fouetfesse | ||||
Auteur : Cadelum Envoi mini-message |
Cela faisait déjà plusieurs semaines que Clémentine attendait la fête qui devait avoir lieu ce soir chez son ami Arnaud. Elle avait prévu chaque détail vestimentaire et se réjouissait de passer la soirée avec ses amis et, sans doute, quelques beaux garçons inconnus. La période de célibat qui avait suivi sa dernière histoire n’avait que trop duré, et Clémentine se faisait fort de charmer le mec qu’elle trouverait le plus mignon.
Quelques minutes avant de partir, elle se posta devant sa glace et fit une dernière inspection de son allure. À l’orée de ses 19 ans, elle se trouvait plutôt jolie. Une cascade de cheveux blonds couvrait ses épaules et encadrait un regard vert des plus profonds. La jeune fille avait décidé de mettre une tenue qu’elle qualifiait elle-même de plutôt sexy… Son petit chemisier blanc n’était pas très boutonné et sa jupe plissée de collégienne anglaise laissait à la vue de tous, et en particulier des garçons, une importante partie de ses cuisses. Clémentine poussa néanmoins un soupir quand son regard se posa sur son décolleté. Le plongeon n’était pas véritablement vertigineux ! Elle se savait pertinemment un peu maigre, et cela faisait irrémédiablement tort à ses deux petits seins…
Après avoir soupiré un bon coup, Clémentine s’aperçut que le temps tournait et que la copine qui devait passer la prendre devait déjà attendre devant sa maison. Elle courut prévenir sa mère qu’elle partait et claqua la porte derrière elle avant de se précipiter vers la voiture de son amie.
Clémentine s’installa à côté de son amie et jeta un coup d’œil inquiet à sa jupe plissée… n’avait-elle pas un peu exagéré ? Elle se rassura en constatant que la vue que Julie offrait sur ses deux jolies rondeurs avait elle aussi de quoi faire tomber les garçons.
Moins de cinq minutes plus tard, les deux amies entraient dans la maison d’Arnaud, un ancien camarade de classe, où la fête commençait petit à petit. Clémentine reconnut plusieurs visages à qui elle adressa un petit signe de tête et fut présentée par Arnaud à une dizaine de personnes qu’elle ne connaissait pas. Instinctivement, elle repéra trois garçons parmi eux qui, sans être des sex-symbols, n’en étaient pas moins mignons. Elle sourit à l’idée qu’ils avaient eu l’air assez intéressés quand elle avait fait son apparition pour se détourner des autres filles présentes.
Rassurée sur son pouvoir de séduction toujours présent, Clémentine partit se servir un verre dans la cuisine, là où avait été entreposée la boisson. Revenue au salon, elle décida de s’asseoir dans l’un des grands canapés de cuirs noirs. Faisant mine de se passionner pour la conversation de ses voisines, la jeune fille jetait de discrets coups d’œil sur la pièce, afin de localiser ses trois proies potentielles. Après les avoir vues, en train de boire ou de danser, elle se laissa aller sur les confortables coussins avant d’avaler son whisky-coca d’un trait. Avant qu’elle ait pu reposer son verre sur la table basse, l’un des garçons qu’on lui avait présentés et qui se prénommait Pierre, s’était approché d’elle.
Clémentine eut l’esprit de ravaler un sourire de triomphe avant de répondre :
Quelques instants plus tard, ils étaient confortablement installés et discutaient de choses et d’autres. Clémentine s’efforçait de surveiller les regards de son interlocuteur et sentit que son emprise sur lui grandissait à chaque instant. Régulièrement, elle croisait et décroisait ses longues jambes bronzées, faisant bruisser sa courte jupe. Sa nouvelle proie n’avait alors d’autre choix que d’avaler sa salive pour ne pas baver devant le galbe parfait des cuisses de la jeune fille.
La soirée avançant tranquillement, le premier verre fut suivi d’un autre et encore d’un suivant. Clémentine sentait que la tête lui tournait quelque peu, mais l’alcool lui donnait le courage suffisant pour parfaire sa mainmise sur ce Pierre qu’elle commençait à trouver véritablement charmant. Alors que ce dernier avait dû la quitter quelques instants pour suivre leur hôte qui voulait lui montrer la dernière guitare qu’il s’était offerte, elle aperçut son amie Julie discutant avec trois garçons qu’elles connaissaient pour avoir discuté avec eux au lycée. Voulant se rapprocher d’elle, Clémentine vit que Julie titubait quelque peu et que les mains des trois garçons se faisaient baladeuses sans que son amie réagisse. Estimant qu’il était temps de prendre l’air, elle entraîna celle-ci dans le jardin.
Après avoir profité de cette petite pause pour retrouver leurs esprits, les deux jeunes filles décidèrent de réintégrer le cœur de la fête, Clémentine estimant qu’il était temps de remettre la main sur « son » Pierre.
Passant par la cuisine, elle se resservit un grand verre d’alcool qu’elle avala d’un trait pour se remettre dans l’ambiance. Vaguement éméchée, elle s’installa au milieu d’un groupe de jeunes gens, dont la bonne humeur était communicative. Après quelques minutes, une plaisanterie déclencha l’hilarité parmi les invités. Clémentine fut prise d’un fou rire irrésistible qu’une sensation étrange stoppa net.
Une chaleur moite se propageait dans son bas ventre. Clémentine se pissait dessus. Se levant d’un bond, elle s’éclipsa aux toilettes le cœur battant. Les quinze mètres qui la séparaient de la salle de bain furent longs à proportion des gens qui lui barraient le passage et Clémentine constata avec découragement qu’une file d’attente s’était constituée devant la porte. Les minutes défilaient, et Clémentine devait danser d’une jambe sur l’autre pour contenir son envie qui devenait pressante. De plus, le dernier verre avait fait son effet et l’étourdissement de l’alcool la gagnait à nouveau.
Quand la dernière fille eu finie de se maquiller, Clémentine sauta sur le verrou et se précipita sur les toilettes. Remontant sa jupe, et baissant sa culotte, elle n’eut que le temps de se placer au-dessus de la cuvette avant que sa vessie ne décide d’elle-même de se vider.
Quand le flot s’interrompit enfin, Clémentine resta prostrée quelques secondes, incapable d’envisager la situation dans laquelle elle se trouvait. Le sous-vêtement était trempé et elle s’en débarrassa d’un geste rageur et dégoûté. Certes, la situation était risible, mais personne ne savait ce qui venait de se passer et cette idée rassura Clémentine. Elle décida de l’enfouir au plus profond de la poubelle de la salle de bain. Cette dernière était presque pleine, et la jeune fille n’eut aucun mal à dissimuler le vêtement compromettant sous une pile de mouchoirs, de coton usagé et même de Tampax sanguinolents qui lui soulevèrent le cœur.
La suite du problème restait entière… Sans culotte, Clémentine ne pouvait retourner au cœur de la fête. Elle imaginait déjà les risques que sa jupe trop courte faisait courir sur la vue de son intimité ! Elle regrettait amèrement d’avoir choisi cette tenue provocante quand une idée lui vint à l’esprit. Il était clair qu’elle ne pouvait se résoudre à ce que les nombreux garçons présents ici ait même une chance infime de se rincer l’œil sur sa petite chatte bien lisse et parfaitement épilée, ainsi que sur son fessier musclé : il lui fallait donc une culotte de rechange.
La vue des tampax usagés lui avait rappelé qu’Arnaud avait une sœur qui devait désormais avoir passé 17 ans. Dans le souvenir de Clémentine, il s’agissait d’une jeune fille longiligne, comme elle, et qui devait bien posséder des sous-vêtements ! Regardant autour d’elle, Clémentine sentit son cœur se serrer quand elle aperçut la corbeille de linge sale qui trônait dans un coin de la pièce. Se jetant dessus, elle en sortit pièce par pièce le contenu, qu’elle jetait rageusement au sol. En dehors des sous-vêtements de la mère d’Arnaud, bien trop large pour elle, Clémentine en avait découvert deux à sa taille, qui devait donc appartenir à Camille, la sœur d’Arnaud.
Seul un détail l’arrêta dans son geste. La petite culotte rose et le string noir qu’elle tenait en main étaient tous deux maculés de cyprine. Clémentine se mordit les lèvres en se souvenant qu’elle aussi, il y a peu, salissait pareillement ses sous-vêtements au moindre contact avec un garçon. Inspirant un bon coup, elle se persuada qu’il s’agissait de la seule solution possible et enfila rapidement la culotte, plus couvrante pour ses deux jolies petites fesses que le string noir. Clémentine détestait l’impression que l’intimité d’une autre était en contact avec la sienne, mais elle se força à effacer les traces de son « accident » et sortit de la salle de bain.
Dans le couloir, elle dut rapidement reprendre un air détaché, afin de dire au revoir à plusieurs personnes qui quittaient la soirée. D’abord étonnée, Clémentine se rendit compte qu’il était déjà près de 3h du matin. Chaque personne qui venait la voir lui donnait l’impression de la dévisager comme si son petit drame était connu de tous. Clémentine s’efforça de se calmer et passa de groupe en groupe pour se changer les idées. Après plusieurs minutes, elle aurait même pu recommencer à s’amuser si ce sous-vêtement maculé par une autre ne lui brûlait pas la vulve de dégoût. Cherchant son amie Julie pour se réconforter en écoutant son babillage incessant, Clémentine se mit à explorer la maison d’Arnaud, ouvrant chaque porte et interrogeant toutes les personnes qu’elle croisait. À l’étage, elle entra successivement dans la chambre des parents de son ami, dans celle d’Arnaud ou certains invités s’étaient réfugiés, puis dans une troisième qu’elle supposa être celle de Camille.
Continuant à chercher Julie, Clémentine allait refermer la porte quand une idée la traversa. Pourquoi ne pas prendre une culotte propre dans les tiroirs de Camille ? Ainsi, elle pourrait se débarrasser de ce morceau de tissu souillé qu’elle portait. Vérifiant que personne ne pouvait la voir, Clémentine se glissa dans la pièce et referma la porte derrière elle. Instinctivement, elle tâtonna, espérant que la clé serait dans la serrure. Déçue de ne rien trouver, elle jeta un coup d’œil circulaire à la pièce et aperçut dans la pénombre une commode sur laquelle elle se précipita. Le premier tiroir fut le bon et Clémentine se trouva nez à nez avec une importante collection de chaussettes, mais aussi de strings, boxer, culotte et même de sous-vêtements plus… sexy ! Ses doigts passèrent sur quelques dentelles fines et quelques ficelles plus aptes à servir de frondes que de cache-sexes.
S’arrêtant sur une culotte de coton, la jeune fille allait se changer quand elle vit que la porte de la chambre s’ouvrait délicatement. Clémentine s’accroupit entre le mur et la commode, espérant que la personne ne rentrerait pas dans la pièce. Elle se mordit le poing quand elle vit qu’il s’agissait d’un couple et qu’à peine entré, les caresses et embrassades avaient fougueusement repris sur le lit de Camille. Tentant de distinguer leurs visages, Clémentine reconnut bien vite Arnaud et Julie qu’elle avait en vain cherchée.
Elle commençait à se demander si elle n’allait pas rester bloquée dans cette chambre de longues minutes, quand ses craintes furent attisées par le fait que les mains d’Arnaud se faisaient de plus en plus baladeuses. Remontant le dos-nu de Julie, Arnaud avait découvert les deux seins magnifiques de la jeune fille qui avait pris une expression plus que suggestive. Les deux mains du garçon cherchaient en vain à emprisonner ces deux globes effrontés et les faisaient rouler en les malaxant. Julie, accroupie sur son hôte, ne retenait plus quelques gémissements et descendait avec délicatesse la braguette de celui-ci.
Les gênes successives de Clémentine et la situation actuelle commençaient à exciter celle-ci de plus en plus. Son cœur battait plus vite, et elle sentait que son bas-ventre la démangeait. Tentant de passer un doigt libérateur sur sa vulve gonflée, tout en cherchant à s’offrir la meilleure vue sur les deux amants, elle perdit l’équilibre et dut se rattraper à la commode. Elle vit alors une lampe se mettre dangereusement à tanguer avant de s’écraser sur la moquette. Par miracle, la lampe était intacte, mais le bruit fit sursauter Julie, tandis qu’Arnaud avait allumé la lampe de chevet de sa sœur. Clémentine se retrouva en pleine lumière, accroupie face à sa meilleure amie à demi-nue et à un garçon dont l’érection ne pouvait plus être dissimulée.
Après quelques instants, Julie vit que son amie regardait ses deux seins laiteux avec insistance. Elle tenta de les dissimuler derrière ses mains, mais leur taille rendait ce geste presque obscène. Rougissante, elle balbutia :
Clémentine resta interdite encore quelques instants avant de tenter de se justifier :
Arnaud était visiblement sceptique, pourquoi ne pas simplement signaler sa présence ! Mais il décida de se débarrasser d’elle le plus rapidement possible :
Clémentine, encore abasourdie et presque déçue, se leva machinalement et se dirigeait vers la porte quand Julie lui demanda :
Clémentine avait simplement oublié qu’elle tenait toujours serré la culotte de coton blanc, piquée quelques instants plus tôt. Interdite, elle ne vit pas Arnaud se lever et saisir la pièce à conviction avant de l’étendre sur sa main :
Arnaud avait brusquement haussé le ton et Clémentine sentit qu’elle ne s’en tirerait pas sans explication.
Fallait-il encore en avoir une. Julie s’était levée à son tour et avait soulevé d’autorité la jupe de son amie. La culotte sale apparut en pleine lumière et Clémentine sentit que la situation se corsait pour elle. Arnaud reprit la parole :
Soudain ses sourcils se froncèrent et il ajouta :
Clémentine, interdite et encore excitée, ne parvenait toujours pas à trouver une explication satisfaisante et gardait le silence, la vérité n’étant véritablement pas avouable ! Refusant que la situation se fige, elle finit par murmurer :
Sans doute éméchée, Julie se pencha à l’oreille d’Arnaud et lui murmura quelques mots qu’il sembla écouter avec une intention croissante. Le couple finit par se retourner vers la voleuse et Arnaud parla d’un air sentencieux :
Joignant le geste à la parole, il attira brusquement la jeune fille vers lui et, après s’être assis sur le lit, il l’allongea sur ses genoux. Clémentine ne chercha pas à se relever et une violente claque s’abattit sur sa jupe de collégienne. Un petit cri de surprise lui échappa, mais elle envisagea rapidement la situation : celle-ci dérapait et cela n’était pas pour lui déplaire. À défaut d’un copain, une petite séance de sexe la tentait plutôt !
Soumise, elle ne contesta pas à son nouveau maître le droit de replisser sa jupe et de dévoiler la culotte souillée de Camille. Les claques tombaient de plus en plus rapidement et Clémentine se retenait de plus en plus difficilement de hurler sa douleur. Soudain, la jeune fille sentit deux doigts saisir la culotte et la tirer précipitamment le long de ses cuisses. De longues secondes s’écoulèrent où Clémentine imagina Arnaud se délecter de la vue de ses globes de chair.
En effet, Arnaud admirait le galbe parfait de ces deux petites fesses musclées. Il en appréciait la tenue, haute et arrogante, la teinte bronzée et délicatement rosée par la punition, le grain de la peau incitait à mordre dedans avec délectation. De plus, en penchant la tête, Arnaud distinguait parfaitement les deux lèvres charnues et gourmandes que l’épilation intégrale de Clémentine offrait à sa vue. Saisissant les deux fesses, il les écarta délicatement, ce qui lui permit d’observer à loisir le petit trou rose de la jeune fille. Ce geste, le premier qui fut sensuel, fit frissonner violemment Clémentine, qui ressentit en un instant l’érotisme de la situation.
Une violente claque la fit redescendre sur terre. Arnaud reprenait sa fessée de plus belle, faisant rebondir alternativement chaque fesse sous ses mains. La douleur était toujours présente, mais Clémentine ressentait une nouvelle chaleur lui emplir le corps. Au fil des claques, elle tendait sa croupe, recherchant ce plaisir nouveau. Julie contourna son amie et passa délicatement deux doigts sur la vulve de Clémentine. Celle-ci ne put réprimer un nouveau frisson de plaisir et cette attitude fut confirmée par le liquide chaud et odoriférant qui coulait maintenant le long des doigts de Julie.
Arnaud la repoussa dans les bras de Julie, qui sentait toujours aussi fort l’alcool, avant de se défaire se son pantalon, il releva ainsi une magnifique érection pour un sexe de taille habituelle avant d’attirer à nouveau Clémentine à lui :
Conscient de simplement jouer un rôle, il avait déboutonné son chemisier et malaxait ses seins en lui susurrant des obscénités. Toute volonté avait quitté le corps de Clémentine et celle-ci se laissa guider par son maître, qui la déposa accroupie sur le lit de Camille.
Après avoir enfilé un préservatif, Arnaud prit le temps d’admirer une nouvelle fois cette croupe tendue, qui lui offrait cette fois toute sa volonté d’être dominée. Se plaçant derrière Clémentine, il lui inséra deux doigts dans son vagin dilaté et commença à la masturber, caressant son clitoris avec le pouce. Clémentine ne retenait plus ses gémissements quand un objet chaud se présenta à l’entrée de sa chatte. Le phallus pénétra presque sans effort dans le vagin musclé, mais lubrifié. Alternant les rythmes de va-et-vient, Arnaud limait avec expérience ce corps bandant et ondulant. Julie avait entrepris de se masturber, quand voyant le plaisir grandissant de Clémentine, elle vint se placer à sa tête et lui intima de lui donner du plaisir à elle aussi. Tentant de se concentrer, Clémentine entreprit de lui lécher la vulve avec soumission, titillant pour la première fois un clitoris autre que le sien.
Après quelques minutes de plaisir, Arnaud se retira, permettant à Clémentine de lécher Julie avec application jusqu’à ce que celle-ci jouisse des coups de langue rapides et de plus en plus assurés de sa maîtresse. Quand les cris de jouissance furent passés, Arnaud revint se placer derrière Clémentine et lui écarta les fesses avec douceur. Quand son sexe vint prendre appuis sur l’anus de la jeune femme, celle-ci comprit en sursaut qu’Arnaud allait pénétrer ses entrailles, Clémentine allait le lui interdire avec vigueur quand Julie lui rappela que plusieurs personnes se trouvaient dans la pièce à côté. Un instant interdite, la vitesse d’Arnaud, qui avait commencé son travail d’introduction dans son anus serré, la poussa à tenter l’expérience, inédite pour elle. La douleur lui déchirait le ventre, mais quand son amant commença son travail de va-et-vient, le plaisir fut le plus fort. L’homme qui s’enfonçait au plus profond de son corps faisait claquer son bassin contre les fesses encore rouges de Clémentine. La tenant fermement par les hanches, il se régalait de ce corps si docile et souple, de ces fesses si douces et musclées.
Elle resta ainsi un long moment, prise comme une chienne par des voies détournées. Julie vint se placer à ses côtés, et entreprit de se donner du plaisir d’une main, tandis que l’autre caressait le clitoris de Clémentine. Cette double sensation emporta les dernières réticences de la jeune femme qui ne tarda pas à jouir bruyamment, son corps s’écroulant sous elle. Arnaud se retira une dernière foi, et retirant son préservatif, il éjacula avec puissance sur les fesses de Clémentine et les seins de Julie que celle-ci tenait à pleines mains.
Clémentine resta de longues secondes allongée sur le ventre, nue, l’anus béant, écartelé par cette bite. Lui claquant le postérieur une fois de plus, Arnaud annonça la fin de la punition « consentie » et lui permit de s’en aller. Il abaissa la trop courte jupe sur les magnifiques cuisses bronzées, et lui tendit la culotte sale que Clémentine saisit avant de sortir le cœur battant et le sourire aux lèvres.