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n° 11806Fiche technique21973 caractères21973
Temps de lecture estimé : 13 mn
07/10/07
Résumé:  Un jeune homme découvre le plaisir de la soumission entre mains d'une vieille femme dominatrice et lubrique.
Critères:  fh fagée poilu(e)s hsoumis fdomine chantage cérébral odeurs fetiche pied hmast cunnilingu anulingus nopéné sm gifle init -fplusag -hsoumisaf
Auteur : AuxpiedsdeMaîtresse  (Homme passionné par les femmes dominantes)      

Série : Aux pieds de Maîtresse

Chapitre 08
Objet sexuel pour femme dominante

Entre les mains… de Madame Liz



Au matin, je m’étais éveillé de bonne humeur après avoir passé un coup de langue sur la merveilleuse culotte. Mais soudain, un coup de téléphone. Catastrophe : c’était Madame Liz, pas heureuse de s’être aperçue de mes indiscrétions, et qui me demandait de venir m’expliquer chez elle sans délai. J’étais paniqué, j’avais peur d’y aller et de m’expliquer, mais elle menaçait de parler à ma tante et je n’avais pas le choix… Je comprenais que par ma faute j’avais prêté le flanc au chantage d’une femme qui, je le comprenais maintenant, allait faire de moi sa chose. J’étais à la fois pris d’une véritable panique à l’idée de me présenter devant elle, et en même temps terriblement excité de savoir que Madame Liz avait découvert mes indiscrétions. J’étais entre ses mains… Il fallait y aller, et j’y allai…


J’arrivai à l’heure fixée. Madame Elisabeth me fit entrer dans son appartement et referma la porte à clé derrière moi. J’étais terrifié et terriblement excité, les joues toutes rouges, les jambes molles, le cœur battant la chamade… Elle me prit par la main, comme on le fait pour un petit garçon, me regarda sans rien dire, avec un sourire un peu narquois, puis elle m’entraîna fermement jusque dans sa chambre, celle où j’avais fauté. Là, dans son intimité, elle me toisa du regard et me sermonna comme elle l’aurait fait à un petit garçon venant de faire une grosse bêtise.


Sous peine de me dénoncer auprès de ma tante et de mes parents, elle m’intima l’ordre de lui raconter par le menu ce que j’avais fait de ses dessous, sous prétexte de bien cerner ma faute et de trouver une punition adéquate. Totalement sous l’emprise de cette femme habituée à dominer, terrorisé par ce qu’elle pourrait faire et dire à ma tante, je lui racontai mon aventure de la veille, d’abord de façon la plus imprécise possible, puis de façon plus détaillée en répondant pendant près d’une heure à toute une série de questions de plus en plus précises et perverses.


Je fus contraint de tout lui révéler. Elle m’arracha même, certes en insistant beaucoup, que j’avais été jusqu’à lécher le fond de sa culotte. Elle me sermonna longuement en me rappelant que je n’étais qu’un gamin vicieux, qu’elle était une dame de plus de 60 ans, beaucoup plus âgée que moi, et à qui je devais le respect le plus absolu. Pour réparer ce qu’elle considérait comme une faute inexcusable envers elle, qui m’avait fait confiance, elle m’avertit que je devais dorénavant lui obéir en toutes choses, d’autant plus que rien ne l’obligeait à ne pas aller tout raconter à son amie, ma tante. Elle m’ordonna de ne pas parler à ma tante des punitions qu’elle allait être obligée de m’infliger. Afin de me laisser réfléchir à ma faute et à mon acceptation de la servilité qu’elle comptait m’imposer, elle me laissa seul un moment dans sa chambre après m’avoir ordonné de me mettre à genoux devant son lit, pour que je m’imprègne du lieu où je devrais expier ma faute à son service.


Lorsqu’elle revint me voir, j’étais toujours à genoux au milieu de la pièce, n’osant lever les yeux sur elle. Elle me demanda si j’acceptais ses conditions, si j’acceptais, selon ses propres termes, de devenir son « petit serviteur intime », son « esclave domestique ». Je n’avais guère d’autre choix que d’accepter.


Elle me dit alors qu’elle allait tester ma servilité d’esclave et elle me désigna alors la coiffeuse, avec son tabouret molletonné de velours rose.



Timidement, terriblement embarrassé et ne sachant où elle voulait en venir, je répondis un inaudible :



J’exécutai l’ordre de ma Madame Liz, à genoux devant son tabouret. Elle s’approcha de moi, me caressa la tête comme on peut le faire à un petit chien, puis chuchota à mon oreille qu’elle avait l’habitude de s’y asseoir fesses nues, sexe parfois mouillé après s’être caressée avec son gode. À cette affirmation, j’eus un instant la velléité de relever ma tête, honteux de ce qu’elle m’obligeait à faire, mais elle m’en empêcha en m’appuyant sur la tête et en m’ordonnant de continuer à chercher dans le tissu l’odeur de son postérieur.



Lorsqu’elle jugea que j’avais assez adoré l’endroit où elle posait son postérieur, elle m’ordonna de me mettre nu à ses pieds. Rouge de honte, je quittai mes vêtements, et même mon slip qu’elle dû elle-même baisser car je n’osais le faire. Assise sur le bord de son grand lit, elle m’ordonna de m’installer, comme tout esclave devant sa maîtresse, sur un coussin quelle avait jeté devant ses pieds.


J’étais fasciné par ses pieds gainés dans des bas de couleur chair, qu’elle laissait se balancer à quelques centimètres de mes lèvres. J’avais envie de les renifler, de les embrasser, de les lécher, de les prendre dans ma bouche, comme une partie de ma Maîtresse. Mais elle ne l’entendait pas ainsi et me dit :



Elle vit alors que j’allais protester et elle me gifla violemment, en m’ordonnant d’obéir sans faire d’histoires inutiles, sinon elle n’hésiterait pas à me donner la fessée…


Alors je fis ce qu’elle voulait et, toujours à genoux devant elle, rouge de honte, je commençai à caresser ma petite verge. Mon excitation était telle d’être ainsi humilié par ma Maîtresse qu’en quelques allers et retours, je jutai abondamment sur la culotte noire qu’elle avait tirée de dessous son oreiller et placée sur le sol entre ses jambes. J’étais vidé par cette jouissance, humilié d’être à ses pieds, mais aussi terriblement excité par cette situation. Ayant récupéré sa culotte, elle examina ma semence de puceau, la renifla, trempa son index dedans pour y goûter, puis la présenta devant ma bouche :



Je m’exécutai, et elle me caressa alors la tête très doucement pour me montrer son contentement. Elle m’ordonna ensuite :



Pendant ce temps, elle avait croisé et décroisé ses jambes, finissant par écarter ses fortes cuisses pour me laisser le loisir de l’admirer en profondeur. Sa jupe était remontée sur ses cuisses, et je pouvais apercevoir la bande de chair très blanche au-dessus de la lisière de ses bas couleur chair. Tout au fond, je devinais sa culotte blanche.


Elle passa sa main, doucement mais fermement, dans mes cheveux, puis elle poussa mes lèvres serviles contre l’un de ses pieds, gainé dans son bas :



Je n’avais plus qu’à m’exécuter, et je me mis à embrasser le dessus et le dessous de son pied, au contact soyeux de son bas. J’appréciai grandement cette injonction d’adorer le pied de ma Maîtresse, les yeux rivés sur le fond de son entrecuisse, et me laissai aller à flairer autant que faire se pouvait sa légère odeur intime, tout près de sa jupe, non loin de sa culotte.


Elle me souriait en regardant l’amour que je portais à ses pieds, tout en regardant sous sa jupe.



Et en disant cela, elle se mit à me serrer la tête entre ses grosses cuisses plus écartées, tout en poussant fermement ma tête contre son entrecuisse, chaude, odorante, à l’intérieur d’une culotte qui portait une énorme tâche d’humidité à l’entrejambe. Il était difficile de savoir s’il s’agissait d’une tache de mouille ou résultant plutôt d’un petit jet d’urine échappé sous l’effet de l’excitation. Comme ma Maîtresse avait 68 ans, je penchais pour la seconde explication, qui était tout aussi excitante que la première…


La tête toujours maintenue dans l’étau de ses grosses cuisses, ma bouche poussée contre l’entrejambe de sa fine culotte, je n’étais pas resté inactif. Je m’étais mis à lécher le fond de sa culotte où je m’étais rendu compte que c’était bien un peu d’urine que ma Maîtresse avait lâchée, probablement sous l’excitation de me voir ainsi docile à ses pratiques perverses. Je léchais pour essayer de réparer les dégâts au fond de sa culotte, mais aussi pour lui montrer que j’étais bien sa chose et qu’elle pouvait tout me demander, y compris de lécher ses oublis…


Elle comprit ce qui se passait et émit soudain un feulement de plaisir tout en prenant précisément ma tête pour mieux appliquer ma bouche et mes lèvres sur le fond humide de sa culotte, et pour en fait se masturber le clitoris avec ma bouche au travers de sa culotte. Elle agitait son ventre et faisait jouer sa motte contre mes lèvres, d’abord à travers le fin tissu de sa culotte puis, en écartant le bord de sa culotte d’un doigt, directement contre ses lèvres abondamment poilues.


Je m’efforçais alors de la lécher au mieux en passant ma langue fébrile entre l’élastique de sa culotte à l’entrejambe écarté et sa cuisse. Je la suçais un petit moment, puis elle me dit :



Elle me repoussa alors après avoir ouvert ses cuisses pour me libérer, se retourna lentement, releva sa jupe et baissa sa culotte au milieu de ses cuisses. Elle écarta ses grosses fesses avec ses mains et m’ordonna :



Je trouvai ça un peu répugnant et je restai sans bouger le nez près de ses fesses toujours écartées. Elle m’ordonna alors :



Laissant ses fesses, elle prit ma tête dans ses mains par derrière elle, sans se retourner, et elle appliqua mes lèvres dans le milieu de la raie de ses fesses, en m’ordonnant à nouveau de la sucer sans faire d’histoires.


Il fallait bien que je le fasse et, plongeant ma bouche entre ses grosses fesses, j’appliquai mes lèvres sur son anus que j’embrassai avec une certaine répugnance.



Je me décidai alors à lécher son petit trou avec application, comme elle me le demandait, pendant qu’elle s’activait à se caresser le clitoris de plus en plus vite, jusqu’au moment où son anus ressortit, puis se rentra plusieurs fois, pendant qu’elle jouissait en frémissant de tout son corps. Puis elle se retourna et s’allongea pour se reposer sur son lit, toujours culotte à moitié baissée, les cuisses écartées de façon impudique devant un puceau fasciné par la vue de ses lèvres devenues toute rouges.


Madame Liz demeura un long moment allongée sur son lit, pour se remettre de la jouissance qui venait de l’anéantir. J’étais resté à ses pieds comme une bonne petite chienne aux pieds de sa Maîtresse sévère, osant à peine respirer de peur de gêner son repos. Elle finit enfin par se relever lourdement et après avoir lentement relevé sa culotte, elle m’ordonna :



Elle s’est alors placée à revers sur mon visage en le calant entre ses fortes cuisses, m’étouffant à moitié sous ses larges et lourdes fesses. Eh bien, j’étais si impressionné par elle, si maladroit, que je n’avais même pas pensé à prendre ma respiration, et le manque d’oxygène faisait de moi un petit pantin, encore plus docile. Je sentais le parfum chaud et puissant de la culotte de Madame Liz, il m’enivrait, il tournait la tête du petit puceau que j’étais.


Madame Liz resta un long moment ainsi pour jouir du plaisir de m’humilier, de me montrer qu’elle était la Maîtresse sadique et moi le petit esclave soumis à tous ses désirs, même les plus lubriques, les plus sales, tout en sachant très bien que j’y trouvais aussi un précieux plaisir masochiste. Elle savait dorénavant que j’étais prêt à subir toutes ses volontés, que je prenais plaisir à être entre ses mains, et pour signer ce pacte de soumission, elle m’envoya à respirer un pet…


Certaine dorénavant de ma soumission, elle s’exclama :



J’approchai une grande cuvette d’eau tiède qu’elle avait été chercher pour la poser à terre, sur le parquet près de son lit. Elle avait mis quelques gouttes d’eau de Cologne dans l’eau, puis m’avait ordonné de m’accroupir devant la cuvette.



Elle s’est alors assise sur ma nuque, heureusement en mettant ses deux pieds dans l’eau de la bassine.


Elle ajouta en riant :



Malgré les fenêtres entrouvertes de sa chambre, pas un souffle d’air ne passait. La chaleur de cette après-midi de juillet, s’ajoutant aux vapeurs d’eau chaude répandues dans la pièce, le poids de sa personne assise sur moi, et qui comprimait ma poitrine sur ma jambe, me fatiguait beaucoup et je n’aurais pas pu longtemps continuer à ainsi supporter le large postérieur de ma Maîtresse. Je me hâtai donc de savonner ses deux jolis pieds féminins, puis de les sécher, et Madame Liz précisa :



Éperdu d’amour pour cette femme dominatrice, rougissant jusqu’aux yeux, je pris chacun de ses pieds et les baisai religieusement, avant de leur passer les mules roses qui se trouvaient au pied du lit. Maîtresse Liz poursuivit sa séance de dressage de celui qui était appelé à devenir le serviteur de son intimité :



Je fis un oui très timide de la tête, en recommençant à rougir.



Elle me montra alors comment préparer l’injection avec les ingrédients qu’elle me désigna, puis elle me montra avec beaucoup de précisions comment introduire la canule dans son vagin au-dessus de la cuvette.



Quand j’eus fini, elle me dit en souriant :



Bien que toujours intimidé, je me pris à sourire, comme devant une plaisanterie saugrenue. Mais mon sourire se figea lorsque Maîtresse Liz s’exclama :



Je découvrais à cet instant que j’étais tombé entre les mains d’une véritable dominatrice, qui prenait plaisir à exercer son pouvoir sur moi. Cela faisait longtemps déjà qu’elle ne pouvait plus dominer son entourage au travail, et c’est moi, petit puceau sans défense, qui était entre ses mains…


Me résignant à subir une fois de plus sa loi, je me baissai et m’approchai du bord de la cuvette où, accroupie, ma Maîtresse m’avait laissé un petit espace entre ses grosses cuisses pour y placer ma bouche, et boire, les lèvres collées à sa vulve, ce qui s’écoulait du fond de son vagin. Les poils de sa vulve me mouillaient le visage. L’opération dura un moment, car manifestement elle prenait plaisir à me rendre cette tâche difficile, et à me sentir encore plus humilié en tant que cuvette de ses eaux les plus intimes. Je dus en boire une partie, le reste s’écoulant de ma bouche dans la cuvette.


Elle se releva enfin et s’allongea sur son lit, me faisant signe de venir :



Il était tard, il fallait que rentre chez moi sous peine de me faire gronder, et de toute façon j’étais épuisé… J’avais fini mon service intime, il fallait que je parte. J’allai m’éloigner lorsque Maîtresse Liz me rappela à l’ordre d’une voix sèche :



Elle avait relevé une dernière fois sa jupe, un peu descendu sa culotte, écarté les cuisses pour dégager son entrejambe. Il fallait aller l’embrasser à cet endroit, et je m’exécutai en suçant une dernière fois ce sexe de femme mûre et bien en chair, abondamment poilu, parsemé de quelques poils blancs. Et ce baiser d’esclave soumis fit courir sur ma peau un frisson de désir brûlant. C’était les vacances et demain serait un autre jour…