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n° 11811Fiche technique19448 caractères19448
Temps de lecture estimé : 10 mn
08/10/07
corrigé 30/05/21
Résumé:  De nouveau quelques phrases récentes qui m'ont fait rire.
Critères:  humour -perles -humour
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #9

Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.






Je bande bien dur au plaisir de l’odeur de ses pieds.


Hmmm ! Miam !



Je sens son jus couler entre ses cuisses. Quel gâchis, tout ce bon jus perdu !


Je suis donc allé chercher une bouteille de pinard vide et un vieux bouchon de liège, et, désormais, je m’en sers un petit verre en apéro, le soir.



Elle m’attrapa par les couilles.


« Haaaaaaa !!! » répondis-je.



Elle passa les doigts de sa main dans ses cheveux.


« Elle passa les doigts dans ses cheveux » aurait peut-être suffi. Normalement, y a peu de chance qu’on se goure avec les doigts de pieds… À moins que ça ne puisse être pour l’odeur…



Elle était bi, mais n’avait aucun préjugé.


Tandis que vous autres, tristes hétéros…



Mais j’y pense, je ne nous ai pas décrits. Alexandra est évidemment magnifique […] Pour ma part, je suis grand, et plutôt pas mal.


Évidemment.



Nous nous sommes alors levés à l’unisson.


Comme dans la pub pour Danette !



Avec elle, l’amour était très agréable, elle semblait vraiment aimer ça.


Oh vous croyez ? Non, honnêtement je ne pense pas qu’une femme puisse aimer cela…



À la suite de ce fâcheux incident, il a proposé de me punir.


« Tu veux une claque ? »



Les techniciens sont en théorie obèses.


À l’inverse des ingénieurs qui sont grands, beaux et sveltes.



Elle me lève en me tirant par le sexe et me traîne vers la salle de bains.


« Haaaa ! Haaaaaaaa ! »



J’aimerais bien être plus gros pour mieux t’enculer.


Tiens, je t’ai amené mon pote Marcel, il est sumotori…



J’entends que sa chatte est trempée.


Quand elle marche, ça fait : « Sloup ! Sloup ! »



Diane attrape ses tétines et tire dessus, puis elle pétrit très fort ses seins.


Meeeeuuuuhhh !



Je lui fis alors signe d’approcher, ce qu’il fit sur les genoux tellement il n’était pas loin.


Encore un qui n’a pas goûté aux nouvelles Danette…



Une autre fois, j’ai joui sur mon vélomoteur.


 !



Elle me prodigue une fellation de derrière les fagots.


C’est-à-dire : une fellation de grand-mère…



Petite description : je suis une jolie femme avec de beaux gros seins.


C’est vraiment une petite description.



Il saisit un portemanteau dont il m’enfonça une des boules dans le cul et, tenant le manche à deux mains, il me laboura avec force l’intestin.


On appelle ça du sexe expérimental… Demain, elle me branlera avec une clé à molette tandis que je lui mettrai des céréales dans la chatte, pour voir…



De mon sceptre je flatte ses lèvres charnelles, titille son clito de mon gland et l’embroche sans coup férir.


(Porthos, mousquetaire du roi.)



C’était le Sud, avec toute sa richesse et ses contrastes. Le monde de la virilité, des hommes qui en ont, des femmes qui en veulent.


Contrairement au Nord, pauvre et triste, peuplé de tarlouzes et de connasses soumises.



Elle jouissait de plus en plus vite.


Alors, qu’en pensez-vous ? Ses multiples orgasmes sont de plus en plus rapprochés, ou bien la voiture accélère ?



Paul vit seul, c’est l’amant de ma femme Sylvie, mais Nadine ne le sait pas encore. Ma femme se fait baiser souvent par Paul, on a convenu qu’il ne devra plus aller voir les putes, pour une question de santé.


À l’instar de ces braves gens, faites chacun un effort pour combler la dette de la Sécu…



Nous voulions plus qu’un simple trio.


Bah oui, c’est chiant, c’est trop classique. On s’emmerde à force…



J’eu un peu honte en pensant à la pénétration anale, à moi à quatre pattes en train de me faire sodomiser. Que penseraient mes parents, ma famille, mes amis s’ils me voyaient dans cette position que d’aucun juge humiliante, abaissante, soit-disant réservée aux faibles et aux gens passifs.


Aux gens du Nord, quoi…



Une fois, il lui a montré son sexe. Elle n’a pas trop compris pourquoi il faisait cela, mais elle était curieuse donc elle a regardé.


« Meeeeuuuuuhhh ! » lui a-t-elle finalement répondu, en détournant le regard et en retournant brouter.



Nous habitons une grande ville de Lorraine.


Exercice : cite trois grandes villes de Lorraine…



Nous avons échoué dans la tentative de nous accoupler.


Meeeeuuuuhh !



Lorsque je l’ai sodomisée, la première fois, mon sexe n’a eu aucun mal à entrer. Je lui ai dit :- Tu n’es pas vierge, de ce côté ?

Elle m’a répondu : - Non.

Était-ce pour m’exciter ? Elle a enchaîné :



En fait, elle est tellement large devant et derrière que cela ne me surprend pas, car moi aussi j’ai eu le plaisir, durant ma vie de bisexuel passif avec les hommes, de me faire baiser - je dirais défoncé - par des hommes de couleur. C’est merveilleux, car on en prend plein le cul, en longueur, grosseur et quantité de sperme. De plus, moi aussi j’ai le trou largement dilaté. C’est un gros avantage, car on ne redoute pas une bite lorsqu’elle est au-dessus de la taille normale.

Donc nous avons baisé sans relâche pendant trois semaines, pipes avec éjaculation, cunnilingus, sodomies pendant qu’elle se brossait les dents…


 !!!



Mon sexe est lui aussi rasé du jour.


Et toute l’équipe se joint à moi pour remercier nos sponsors : Gillette et Williams.





  • — Euh, en fait, non.
  • — Ah bon, tant pis.




Je tenta d’y ariver.


Mais je n’y parvenus pas et resta pussot.



Ce ne fut pas long qu’elle ait un orgasme fulgurant. Je bois tout ce que je peux, mais la quantité de cyprine est trop importante et elle m’inonde une partie du visage.


Je m’écroule à la renverse et manque de me noyer sous le flot incessant. Quand je reprends mes esprits, elle est en train de récurer…



Je les quittai pour aller me chercher une autre Smirnoff. Je m’étais déshydraté avec tout ça.


Oui, et puis c’est une bonne idée d’essayer de se désaltérer à coups de vodka…



Ses seins magnifiques, opulents et fermes nous pointent de leurs deux yeux borgnes.


Un œil borgne, c’est un œil qui n’a qu’un œil… Variante : les deux borgnes nous pointent de leurs deux yeux seins… euh, sains, pardon…



Nous nous sommes dirigées vers la seule et unique toilette mixte du bar !


À gauche, les toilettes pour les mecs, à droite pour les filles et au milieu, les toilettes mixtes. Hélas, il n’y en a qu’une, et c’est devant celle-ci qu’il y a le plus de queue(s).



J’avais le goût d’y goûter.


Meeeeeeuuuuuuuhhhh !



On a dîné chinois dans le dix-septième, un restaurant original avec des aquariums partout.


Méfiez-vous des aquariums dans les restaurants chinois… c’est un peu leurs frigos !



J’essaie de gémir en silence mais je n’y arrive pas.


Non, c’est un peu comme monter en bas…



Quelle étrange sensation que celle du frôlement de ses poils pubiens contre mon torse qui, sans avoir le volume d’un chippendale, est bien musclé de par mon activité agricole !


Meeeeeuuuuuhhhh !



Elle se retourna, cambra son postérieur qui laissa son empreinte sur sa robe serrée.


Une empreinte marron foncé ?



Nous parlons de choses et d’autres pour amorcer la discussion, puis elle m’explique qu’elle vit seule.



  • — Bonjour.
  • — Bonjour.
  • — Il fait beau, hein ?
  • — Ah, oui alors !
  • — Et la bourse qui n’arrête pas de grimper…
  • — Je dois vous avouer que je vis seule…




Je mis deux doigts de plus, puis carrément toute la main. Elle était complément dilatée et elle poussait de plus en plus fort avec son bassin pour que je la pénètre plus profondément.


Profession : inséminateur bovin.



Elle se pâme d’aise.


Non, ce n’est pas une correction par Word…



Une fois rentré, j’ouvris le réfrigérateur, en sorti une bouteille de rosé bien fraîche et alla méditer sur une chaise. […] Après avoir ouvert les fenêtres et fermer les persiennes, je me mis tout nu et m’allongea sur mon lit.


Ça non plus, mais là il n’y avait aucun doute. Mais je suis médisant, il y a quand même deux verbes bien conjugués et deux participes passés corrects.




… avant de gémir en silence en montant en bas.



Il commande deux spaghettis.


Traduction : il invite deux nouilles.



Je vis une jeune femme ayant la quarantaine.


(Maurice, très retraité, Charleville-Mézières.)



Elle se retourne, lève sa jambe gauche qu’elle enroule autour de ma cuisse et plaque son sexe contre le mien.


Badaboum !



Elle est grosse, elle a envie de jouir.


Euh… je ne sais pas, moi… Maïté ?



Elle voulait récupérer ma semence dans un petit sac. Elle voulait s’habituer au sperme et s’entraîner à l’avaler tranquillement chez elle.


Moi, le mien, je le vends. Mais c’est de l’AOC…



Autant Camille est brune aux yeux sombres, autant Alice est brune aux yeux verts.


Il semblerait donc qu’elle soient toutes deux brunes.



Anna et moi avons aussi partagé nos ébats avec Luc. Un soir, dans un hamac.


C’est un hamac géant, ou alors il s’agit de trois nains…



Marc a eu une idée de génie que je vous recommande, il a sorti une bouteille de champagne qu’il a débouchée et secouée comme à la fin des courses de Formule 1, à la seule différence qu’il me l’a enfilée dans la chatte.


Moi je fais mieux : je la secoue et je me la fous dans le cul avant de la déboucher. Sensations garanties !



Elle jouit une première fois.


Ça, ce doit être ma phrase préférée parmi toutes : elle jouit une première fois, ou encore je jouis une première fois, qu’on trouve dans un récit sur trois. Écrit comme ça, froidement. Y a un côté hyper banal, comme si on parlait de quelque chose absolument sans intérêt : « Elle se leva une première fois de sa chaise », ou encore « Elle tira une première fois la chasse d’eau… »



Elle approche sa rosette de mon bambou […] J’empoigne fermement ses pamplemousses.


Saucisson aux agrumes ! La nouvelle recette de Maïté.



Elle me demande « Tu bandes ? »

Je réponds « Comme un âne ! »



  • — Meeeuuuhh ?
  • — Hi han !




Trouver la partenaire idéale ne fut pas une mince affaire. Nous la voulions plus jeune que nous (nous avons 34 ans), nous la voulions fine et jolie et pour ma part, j’ajoutais un critère de « taille », une poitrine lourde et ronde. Nous voulions une personne « soumise » bien que je n’affectionne pas trop ce terme, voyeuse et exhibitionniste, évidemment bisexuelle et ayant déjà vécu des expériences de trio.


Nous achetâmes finalement une poupée gonflable…



Il s’empresse de la mettre à l’aise en jetant quelques condoms sur le lit.


Essayez donc de faire cela quand une fille se sent mal à l’aise avec vous…



Assez rapidement il me rappela que je n’étais pour lui qu’une femelle et une salope.


Aujourd’hui, il m’a détachée et autorisée à sortir de la cage pour utiliser un peu l’ordinateur.



Elle me regarde de son regard.


« Meeeeeuuuuuhhh ! » dit-elle avec sa bouche.



Lio râle de plaisir et passe sa fine main droite sous sa croupe pour me griffer les bourses de ses ongles. Elle se contracte, lance plus en arrière sa croupe qui me plaque contre la paroi, cela devenait bestial, elle crie, sa poitrine balance, mes mains enserrent ses reins, j’entraîne sa croupe parfaite dans un va-et-vient effréné, puis tel le rut dans la savane, je vide puissamment une énième fois mes bourses.


Exercice :

a/ Qu’est-ce qu’un rut ?

b/ Dans quelle partie de la savane peut-on le trouver ?

c/ Pourquoi l’auteur se compare-t-il à un rut ?




Je regarde ma femme, elle dort bien, elle ronfle. Tant mieux !


Au moins, pendant ce temps, elle nous fait pas chier !



C’est alors que j’ai goûté ma première chatte. La sienne était agréable à manger.


Vous croyiez que c’était une image, hein ? Eh ben non ! J’ai vraiment bouffé le chat.



L’été je ne porte pas de sous-vêtements, mais là j’ai l’impression que mes seins sont un peu trop gros pour ce tee-shirt ; vous ne les trouvez pas trop gros ?


Si, ça va être l’heure d’aller traire… Mais qui que c’est-y donc qu’a essayé de mettre un tee-shirt à ma vache ?



En fait, je mouille depuis ce matin… Heureusement que je n’ai pas mis de culotte aujourd’hui, elle serait foutue ! C’est d’ailleurs pour ça que je n’en porte presque jamais, en fait je mouille très souvent ! Je dois être un peu cochonne finalement…


Alors j’emporte partout avec moi ce seau, et le soir je mets tout ça en bouteilles.



N’appréciant pas trop le goût du sperme, et le sien n’étant pas particulièrement goûteux, je n’ai pas pu réprimer mes sentiments et j’ai fait la moue.


Je vous jure, il faut goûter le mien ! Et quitte à choisir, prenez du "Gufti Shank 2004" en "cuvée du patron", c’est le meilleur…



Elle prend la savonnette et langoureusement n’épargne pas un brin de son corps, jouant à la faire pénétrer dans ses orifices encore dilatés.


Et soudain, sloup ! Le savon lui échappe et glisse à l’intérieur de son cul !



Pendant ce temps, je jouis.


Soit le verbe est au présent et le narrateur jouit vraiment longtemps, soit le verbe est au passé et l’action ne présente aucun intérêt…



J’espère qu’en lisant ce texte ma femme sera excitée et se caressera peut-être.


Ou peut-être qu’elle dira : « Oh le salaud ! Il pourrait me dire qu’il écrit des histoires de cul ! »



Anne vient de me dire qu’elle n’a jamais joui dans un parking ! Tu te rends compte !


Quelle misérable sexualité !



Je ne vous relaterai pas tous nos ébats, je terminerai seulement avec la conclusion de cette sodomie-ci.


J’en finis avec mon dénouement, puis je continuerai avec la suite.



Pourtant je suis allée fumer une cigarette, nue sur une chaise du balcon et je me suis caressée, les cuisses grandes ouvertes vers l’extérieur, en me léchant le bout des doigts après avoir éteint mon mégot.


… d’un petit flot de cyprine, bien entendu.



Nous partons chez moi, elle ne peut attendre et se déshabille dans la voiture.


Puis, excitée, elle s’assoit sur le levier de vitesse, et, oscillant des hanches, se met à passer les vitesses dans n’importe quel ordre, avant de jouir dans un long râle en passant soudain la marche arrière…



C’est une règle chez moi : jamais de string sous une robe.


Mais plutôt une bonne grosse culotte de grand-mère !