n° 11811 | Fiche technique | 13846 caractères | 13846 2498 Temps de lecture estimé : 10 mn |
08/10/07 corrigé 30/05/21 |
Résumé: De nouveau quelques phrases récentes qui m'ont fait rire. | ||||
Critères: #revebebe #humour | ||||
Auteur : Gufti Shank Envoi mini-message |
Collection : "Best of" des phrases douteuses |
Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.
Je bande bien dur au plaisir de l’odeur de ses pieds.
Je sens son jus couler entre ses cuisses. Quel gâchis, tout ce bon jus perdu !
Elle m’attrapa par les couilles.
Elle passa les doigts de sa main dans ses cheveux.
Elle était bi, mais n’avait aucun préjugé.
Mais j’y pense, je ne nous ai pas décrits. Alexandra est évidemment magnifique […] Pour ma part, je suis grand, et plutôt pas mal.
Nous nous sommes alors levés à l’unisson.
Avec elle, l’amour était très agréable, elle semblait vraiment aimer ça.
À la suite de ce fâcheux incident, il a proposé de me punir.
Les techniciens sont en théorie obèses.
Elle me lève en me tirant par le sexe et me traîne vers la salle de bains.
J’aimerais bien être plus gros pour mieux t’enculer.
J’entends que sa chatte est trempée.
Diane attrape ses tétines et tire dessus, puis elle pétrit très fort ses seins.
Je lui fis alors signe d’approcher, ce qu’il fit sur les genoux tellement il n’était pas loin.
Une autre fois, j’ai joui sur mon vélomoteur.
Elle me prodigue une fellation de derrière les fagots.
Petite description : je suis une jolie femme avec de beaux gros seins.
Il saisit un portemanteau dont il m’enfonça une des boules dans le cul et, tenant le manche à deux mains, il me laboura avec force l’intestin.
De mon sceptre je flatte ses lèvres charnelles, titille son clito de mon gland et l’embroche sans coup férir.
C’était le Sud, avec toute sa richesse et ses contrastes. Le monde de la virilité, des hommes qui en ont, des femmes qui en veulent.
Elle jouissait de plus en plus vite.
Paul vit seul, c’est l’amant de ma femme Sylvie, mais Nadine ne le sait pas encore. Ma femme se fait baiser souvent par Paul, on a convenu qu’il ne devra plus aller voir les putes, pour une question de santé.
Nous voulions plus qu’un simple trio.
J’eu un peu honte en pensant à la pénétration anale, à moi à quatre pattes en train de me faire sodomiser. Que penseraient mes parents, ma famille, mes amis s’ils me voyaient dans cette position que d’aucun juge humiliante, abaissante, soit-disant réservée aux faibles et aux gens passifs.
Une fois, il lui a montré son sexe. Elle n’a pas trop compris pourquoi il faisait cela, mais elle était curieuse donc elle a regardé.
Nous habitons une grande ville de Lorraine.
Nous avons échoué dans la tentative de nous accoupler.
Lorsque je l’ai sodomisée, la première fois, mon sexe n’a eu aucun mal à entrer. Je lui ai dit :- Tu n’es pas vierge, de ce côté ?
Elle m’a répondu : - Non.
Était-ce pour m’exciter ? Elle a enchaîné :
En fait, elle est tellement large devant et derrière que cela ne me surprend pas, car moi aussi j’ai eu le plaisir, durant ma vie de bisexuel passif avec les hommes, de me faire baiser - je dirais défoncé - par des hommes de couleur. C’est merveilleux, car on en prend plein le cul, en longueur, grosseur et quantité de sperme. De plus, moi aussi j’ai le trou largement dilaté. C’est un gros avantage, car on ne redoute pas une bite lorsqu’elle est au-dessus de la taille normale.
Donc nous avons baisé sans relâche pendant trois semaines, pipes avec éjaculation, cunnilingus, sodomies pendant qu’elle se brossait les dents…
Mon sexe est lui aussi rasé du jour.
Je tenta d’y ariver.
Ce ne fut pas long qu’elle ait un orgasme fulgurant. Je bois tout ce que je peux, mais la quantité de cyprine est trop importante et elle m’inonde une partie du visage.
Je les quittai pour aller me chercher une autre Smirnoff. Je m’étais déshydraté avec tout ça.
Ses seins magnifiques, opulents et fermes nous pointent de leurs deux yeux borgnes.
Nous nous sommes dirigées vers la seule et unique toilette mixte du bar !
J’avais le goût d’y goûter.
On a dîné chinois dans le dix-septième, un restaurant original avec des aquariums partout.
J’essaie de gémir en silence mais je n’y arrive pas.
Quelle étrange sensation que celle du frôlement de ses poils pubiens contre mon torse qui, sans avoir le volume d’un chippendale, est bien musclé de par mon activité agricole !
Elle se retourna, cambra son postérieur qui laissa son empreinte sur sa robe serrée.
Nous parlons de choses et d’autres pour amorcer la discussion, puis elle m’explique qu’elle vit seule.
Je mis deux doigts de plus, puis carrément toute la main. Elle était complément dilatée et elle poussait de plus en plus fort avec son bassin pour que je la pénètre plus profondément.
Elle se pâme d’aise.
Une fois rentré, j’ouvris le réfrigérateur, en sorti une bouteille de rosé bien fraîche et alla méditer sur une chaise. […] Après avoir ouvert les fenêtres et fermer les persiennes, je me mis tout nu et m’allongea sur mon lit.
Il commande deux spaghettis.
Je vis une jeune femme ayant la quarantaine.
Elle se retourne, lève sa jambe gauche qu’elle enroule autour de ma cuisse et plaque son sexe contre le mien.
Elle est grosse, elle a envie de jouir.
Elle voulait récupérer ma semence dans un petit sac. Elle voulait s’habituer au sperme et s’entraîner à l’avaler tranquillement chez elle.
Autant Camille est brune aux yeux sombres, autant Alice est brune aux yeux verts.
Anna et moi avons aussi partagé nos ébats avec Luc. Un soir, dans un hamac.
Marc a eu une idée de génie que je vous recommande, il a sorti une bouteille de champagne qu’il a débouchée et secouée comme à la fin des courses de Formule 1, à la seule différence qu’il me l’a enfilée dans la chatte.
Elle jouit une première fois.
Elle approche sa rosette de mon bambou […] J’empoigne fermement ses pamplemousses.
Elle me demande « Tu bandes ? »
Je réponds « Comme un âne ! »
Trouver la partenaire idéale ne fut pas une mince affaire. Nous la voulions plus jeune que nous (nous avons 34 ans), nous la voulions fine et jolie et pour ma part, j’ajoutais un critère de « taille », une poitrine lourde et ronde. Nous voulions une personne « soumise » bien que je n’affectionne pas trop ce terme, voyeuse et exhibitionniste, évidemment bisexuelle et ayant déjà vécu des expériences de trio.
Il s’empresse de la mettre à l’aise en jetant quelques condoms sur le lit.
Assez rapidement il me rappela que je n’étais pour lui qu’une femelle et une salope.
Elle me regarde de son regard.
Lio râle de plaisir et passe sa fine main droite sous sa croupe pour me griffer les bourses de ses ongles. Elle se contracte, lance plus en arrière sa croupe qui me plaque contre la paroi, cela devenait bestial, elle crie, sa poitrine balance, mes mains enserrent ses reins, j’entraîne sa croupe parfaite dans un va-et-vient effréné, puis tel le rut dans la savane, je vide puissamment une énième fois mes bourses.
a/ Qu’est-ce qu’un rut ?
b/ Dans quelle partie de la savane peut-on le trouver ?
c/ Pourquoi l’auteur se compare-t-il à un rut ?
Je regarde ma femme, elle dort bien, elle ronfle. Tant mieux !
C’est alors que j’ai goûté ma première chatte. La sienne était agréable à manger.
L’été je ne porte pas de sous-vêtements, mais là j’ai l’impression que mes seins sont un peu trop gros pour ce tee-shirt ; vous ne les trouvez pas trop gros ?
En fait, je mouille depuis ce matin… Heureusement que je n’ai pas mis de culotte aujourd’hui, elle serait foutue ! C’est d’ailleurs pour ça que je n’en porte presque jamais, en fait je mouille très souvent ! Je dois être un peu cochonne finalement…
N’appréciant pas trop le goût du sperme, et le sien n’étant pas particulièrement goûteux, je n’ai pas pu réprimer mes sentiments et j’ai fait la moue.
Elle prend la savonnette et langoureusement n’épargne pas un brin de son corps, jouant à la faire pénétrer dans ses orifices encore dilatés.
Pendant ce temps, je jouis.
J’espère qu’en lisant ce texte ma femme sera excitée et se caressera peut-être.
Anne vient de me dire qu’elle n’a jamais joui dans un parking ! Tu te rends compte !
Je ne vous relaterai pas tous nos ébats, je terminerai seulement avec la conclusion de cette sodomie-ci.
Pourtant je suis allée fumer une cigarette, nue sur une chaise du balcon et je me suis caressée, les cuisses grandes ouvertes vers l’extérieur, en me léchant le bout des doigts après avoir éteint mon mégot.
Nous partons chez moi, elle ne peut attendre et se déshabille dans la voiture.
C’est une règle chez moi : jamais de string sous une robe.