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n° 11831Fiche technique9016 caractères9016
Temps de lecture estimé : 6 mn
14/10/07
Résumé:  Quand un problème de plomberie "débouche" sur une soirée de rêve !
Critères:  fh inconnu hotel massage fellation nopéné -occasion
Auteur : Humoureux            Envoi mini-message
Une pipe à Saint-Claude

Cette histoire m’est arrivée il y deux ans et je ne l’ai toujours pas oubliée. À l’occasion d’une visite de clientèle dans le Jura, j’avais réservé une chambre dans un hôtel à Saint-Claude, ville où les possibilités hôtelières sont très limitées. J’arrivais tard et en avais avisé la réception. À mon arrivée, le gérant de l’hôtel, visiblement gêné, m’annonça que son établissement était en cours de rénovation et que, suite à un gros problème de plomberie, j’aurais à partager la salle de bains toute neuve avec la personne occupant la chambre voisine.



Je jetai un coup d’œil vers le bar. Une dame, la quarantaine, bien mise, plongée dans son ordinateur, serait donc celle avec laquelle j’allais partager cette salle de bains ?


Nous fîmes rapidement connaissance. Elle m’expliqua qu’elle était divorcée, obligée de travailler pour vivre et assurer les études de son fils, maintenant étudiant à Paris. Guère enthousiaste pour la vie de bureau, elle avait décidé de "faire la route". Nous étions donc collègues.


Comment vous la décrire ? Grande, blonde, un rouge à lèvres assez fort sur des lèvres charnues, bien en chair certainement. Une robe noire stricte et droite cachait plus ou moins ses formes, mais laissait supposer une belle paire de seins. Oh, elle n’avait pas dû faire les gravures de mode, mais sa classe, son élégance m’impressionnaient.


Quelques whiskies-soda et nous convînmes qu’elle occuperait la salle de bains en premier et qu’elle frapperait à ma porte quand la salle de bains serait libre.


J’en profitais donc pour regarder à la télé allemande la fin d’un match de football, allongé sur le lit. De longues minutes s’écoulèrent et, craignant de n’avoir pas entendu frapper à ma porte, je décidai d’entrer dans la salle de bains. Marie-Hélène était encore allongée dans l’immense baignoire et semblait endormie. Je toussotai pour manifester ma présence



En gentilhomme, j’amenai la serviette de bain grande ouverte vers la baignoire, me cachant le visage derrière la serviette



Je pus ainsi découvrir partiellement le corps de Marie-Hélène, cette paire de seins que je subodorais et qui surnageait sur l’eau de la baignoire. Volumineux certes, mais bien formés, un peu lourds, deux grandes aréoles brunes et deux tétons que l’eau chaude du bain avait fait se hérisser…


Marie-Hélène se leva. Je pus ainsi mieux découvrir son corps, son ventre soyeux, son mont de Vénus dont la pilosité était admirablement taillée en forme de triangle…



Et, pendant que la baignoire se remplissait à nouveau, je frottais le corps de Marie-Hélène, m’attardant d’abord sur ses épaules, puis le long de son dos, sur ses reins, puis ses fesses, avant de m’immiscer délicatement dans son intimité.



Et comme elle s’était retournée, j’en profitais pour lui frotter – je dirai plutôt caresser – les seins, puis le ventre dont se dégageait une chaleur qui n’était pas générée seulement par la température du bain.


Alors que j’allais approcher de son sexe, Marie-Hélène me prit la serviette des mains, s’en enveloppa et m’invita à me plonger dans la baignoire.



Comment refuser une telle proposition ?


Le bain était parfumé, à bonne température. J’en profitais pleinement pour me détendre et reprendre des forces après une longue journée.


Au bout d’une vingtaine de minutes, Marie-Hélène revint. Elle avait enveloppé ses longs cheveux blonds dans une serviette et elle était vêtue d’un simple déshabillé de soie transparent qui ne cachait rien de son corps.


Je feignais de dormir. Elle s’approcha de la baignoire, une grande serviette de bain et me susurra à l’oreille :



Comme je sortais de la baignoire, la vue du corps de Marie-Hélène me provoqua une érection que j’essayai tant bien que mal de cacher avec mes mains.



Sans répondre, Marie-Hélène se mit à me sécher le corps, à me frotter avec beaucoup de délicatesse les épaules puis le ventre, une jambe puis l’autre, ce qui me permettait de me mettre sur le tapis de bain.



Et, joignant le geste à la parole, elle commença à s’attarder avec le drap de bain sur le bas de mon ventre, sur mon sexe. Elle descendit élégamment le long de la hampe puis s’attarda sur mes bourses avec beaucoup de sensualité. Un petit bisou chaste fut déposé sur mon gland, ce qui fit encore augmenter mon excitation.


Comme je m’assoyais sur le bord de la baignoire, je pris sa tête dans mes mains, l’invitant ainsi à plonger mon sexe de plus en plus chaud dans sa bouche.


Ses lèvres charnues irradiaient une chaleur, une sensualité, comme j’en avais rarement connu. Sa langue était d’une douceur incroyable et je sentais mon sexe s’enfoncer de plus en plus profondément dans cette bouche torride.


Marie-Hélène m’avoua plus tard qu’elle sortait d’une longue abstinence et que ces moments étaient extraordinaires pour elle. Il en fut tout autant pour moi, surtout qu’elle me pompait de plus en plus violemment.


Comme je souhaitais faire durer ces moments sublimes le plus longtemps possible, je sortis mon sexe de sa bouche, m’agenouillai et enfilai mon sexe entre ses deux gros seins pleins de transpiration. Marie-Hélène prit elle-même ses seins en mains et, avec beaucoup de dextérité, elle entreprit de me masturber le sexe, happant au passage la petite goutte de bonheur qui perlait lorsque mon sexe s’approchait de sa bouche.


Je profitais de ma nouvelle position pour lui caresser la chatte, ses deux lèvres de plus en plus gonflées par le désir, atteindre son clitoris en pleine érection et brûlant.


J’avais atteint, à l’évidence, sa zone la plus sensible. Sous mes caresses, Marie-Hélène se mit à trembler de tout son corps. Elle allait crier et, afin d’éviter de réveiller l’hôtel, je suppose, elle me reprit le sexe dans la bouche afin d’étouffer ses cris, ses râles.


Soudain, je sentis Marie-Hélène jouir, éclater, inonder ma main baladeuse et le tapis de bain. Quasi simultanément, je me mis à jouir abondamment dans sa bouche.


Au bout de quelques instants, nous tombâmes à même le sol, nous allongeâmes côte à côte. Marie-Hélène, qui avait gardé toute ma jouissance dans sa bouche, vint m’embrasser tout aussi goulûment que lors de la fellation. Nos langues se croisèrent, s’enlacèrent. Nos corps pleins de transpiration se mêlèrent. La chaleur de ses seins était incroyable.



Ainsi fût fait. Nous nous endormîmes dans la baignoire. Le lever du jour nous réveilla, transis mais heureux de ce que nous venions de vivre.


Nous ne nous sommes jamais revus.