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Temps de lecture estimé : 19 mn
21/10/07
Résumé:  Plusieurs aventures érotiques, dans la vie d'un homme ordinaire.
Critères:  h fh hh fplusag jeunes inconnu vacances plage bain forêt campagne collection voir exhib fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo hsodo init nostalgie -occasion
Auteur : Codem  (Médocain; marié, des enfants; rêveur et coquin...)            Envoi mini-message
Parcours d'une vie érotique ordinaire

« Elle »

Du fantasme à la réalité


Elle était belle ; je fantasmais sur elle. J’avais des idées coquines plein la tête. Je passais des nuits en sa compagnie, virtuellement bien sûr, pour mes plaisirs solitaires. Tout ça m’empêchait d’avancer dans la réalité depuis qu’elle m’obsédait. Les copines ne m’intéressaient plus de la même façon. « Elle », c’était du matin à une heure très avancée de la nuit. Mes nuits étaient de plus en plus courtes ; je vivais dans le virtuel et ça devait me convenir ; je me sentais heureux comme ça ! Les journées devenaient de plus en plus difficiles.


J’avais déjà eu des aventures très poussées avec quelques copines de lycée ou des voisines de mon quartier. Sans trop d’expérience à ce moment de mon adolescence. Je draguais beaucoup et les filles m’intéressaient énormément à cette époque. J’avais 19 ans ; c’était mon premier travail et je préparais mon Brevet Professionnel. « Elle » avait 31 ans ; c’était l’épouse de mon patron ; elle m’aidait dans mes cours et avait décidé de passer l’examen en même temps que moi, pour être autorisée à seconder son époux dans sa profession.


Tout a commencé par des livres qu’elle me prêtait pour m’inciter à lire, chose que je n’aimais pas trop ! Le blé en herbe, La main au… cœur… Et par la suite d’autres littératures de plus en plus érotiques ; quand je rendais le livre, elle me demandait mon avis sur le bouquin ; les conversations étaient de plus en plus chaudes ; elle me fascinait par la façon qu’elle avait de me parler de sexualité ; elle me posait beaucoup de questions intimes qui m’embarrassaient parfois. Je m’en suis souvent trouvé gêné par des érections que j’avais du mal à dissimuler. Le faisait-elle exprès ? Je m’étais aperçu qu’elle recherchait ma compagnie. À plusieurs reprises, je m’étais isolé dans une pièce, et immanquablement elle me suivait quelques minutes plus tard. J’étais troublé ; peut-être une coïncidence ?


À partir de là je me suis mis à cogiter, je me posais de plus en plus de questions : « A-t-elle envie de moi ? ». Une seconde après, je me disais : « Arrête de rêver, ça va pas ! T’es trop jeune ! Elle est trop belle pour toi ! »


Cela a duré plusieurs mois comme ça ; mes fantasmes étaient de plus en plus précis. J’imaginais toutes les situations possibles ! Vivre toute la journée à ses côtés. Jeune, je roulais des épaules, mais je n’étais pas du tout sûr de moi ! Je paniquais à l’idée de faire des avances à cette femme plus âgée que moi. Je sentais bien quand même que quelque chose pouvait se passer.


Dans notre métier, il y a des tours de garde ; le patron avait son père malade au village voisin et allait le rejoindre pour la nuit ; vrai ou pas vrai, je n’en sais rien, comme il était très coureur, était-ce un alibi ? Il m’a demandé de venir faire la garde à sa place, parce que sa femme ne voulait pas rester seule.


Cette nuit de garde, je ne l’oublierai jamais.


J’avais éteint la lumière, mais le réverbère dans la rue éclairait faiblement ma chambre ; en face, la sienne était encore allumée. Nos portes étaient ouvertes pour entendre la sonnette qui se trouvait au rez-de-chaussée en cas d’urgence. Je la voyais faire des va-et-vient dans sa nuisette que la lumière de sa lampe de chevet rendait transparente ; je commençais à fantasmer ; mon sexe gonflait, j’avais de plus en plus chaud, je retirai les draps et je me caressai en regardant vers sa chambre ; un vrai régal ! J’étais très excité ; j’avais envie de la rejoindre ; d’avoir un peu de culot ; mais je me dégonflai au dernier moment.


Panique ! Je la vis traverser le couloir et se diriger vers ma chambre ; juste le temps de fermer les yeux, de faire semblant de dormir ; je n’eus pas le réflexe suffisamment rapide pour me couvrir ; je pensai :



La radio sur la table de chevet était restée allumée. Avait-elle pensé que je m’étais endormi en oubliant d’éteindre le poste ? Je ne bougeais pas, cette situation m’excitait : nu sous ses yeux… quel effet je pouvais lui faire ? Mon sexe avait des soubresauts ; je sentais sa présence, que faisait-elle ? Je me risquai à entrouvrir un œil ; elle était là, penchée sur mon corps, je sentais son souffle ; elle me regardait ; mon cœur battait très fort. Je n’osais plus bouger. Qu’allait-il se passer ? Pouvais-je espérer une caresse de sa part.


Elle posa sa main sur mon torse, je fis mine de me réveiller ; maintenant je la regardais dans les yeux et je compris qu’elle avait envie de moi. Elle commença à m’embrasser partout sur mon torse, dans mon cou ; elle cherchait mes lèvres ; je la sentais très excitée et mon sexe s’était fièrement dressé ; après quelques gentils bisous sur ma queue, elle la prit entre ses mains et l’engloutit dans sa bouche ; sa langue tournait au tour de mon gland ; elle recommençait ses va-et-vient avec sa bouche sur mon sexe ; elle me suçait divinement. J’ai eu, ce jour, la fellation la plus jouissive que j’aie connue jusque-là.


C’était la première fois que je la tenais dans mes bras ; après avoir tant fantasmé sur elle, j’avais du mal à le croire ; elle sentait bon ; son parfum, je n’oublierai jamais. J’entrepris de la caresser ; j’étais tellement intimidé qu’elle s’en aperçut ; elle prit ma main et la guida sur son corps ; elle la passa sur ses beaux seins, ses tétons érectiles ; je vis son autre main glisser vers sa chatte ; elle se caressa, attrapa mon autre main pour la poser sur son minou et me demanda de la caresser ; elle m’expliquait ce que je devais lui faire :



Mes doigts pénétraient son sexe trempé ; j’étais fou d’excitation ; mon sexe avait repris de la vigueur ; elle me calmait en me disant :



J’étais impatient. Elle me demanda de me mettre sur le dos. Mon sexe était extrêmement dur ; elle s’empala dessus et se mit à bouger énergiquement. Elle lâcha des petits cris ; je compris qu’elle venait de jouir. Elle s’allongea, sur moi, essoufflée ; j’avais joui en même temps qu’elle. Elle me fit des bisous partout, comme pour me remercier ; elle semblait heureuse ; moi j’étais comblé.


Nous avons été amants pendant trois ans, dans la plus grande discrétion ; nous avons eu beaucoup de rencontres intenses ; elle m’a initié à tous les plaisirs ; mon premier cunnilingus, ma première sodomie, c’était avec elle. Je ne pensais pas que cette histoire entre nous aurait duré si longtemps. Après tant de bonheur, de bons souvenirs, ça s’est mal terminé quand j’ai voulu faire un bout de chemin avec une amourette de mon âge, que je fréquentais en même temps ; elle l’a très mal vécu ; elle a fait une tentative de suicide à la suite d’une dépression. Heureusement les choses se sont améliorées. J’ai quitté mon travail pour partir vers d’autres lieux.


L’amour a ses plaisirs et ses souffrances !






Au bord de la rivière

Voyeur et exhibitionniste


J’avoue avoir été, une certaine journée, à la fois voyeur et exhibitionniste. Là où j’ai souvent l’habitude de m’installer avec mon chevalet et ma palette au bord de la rivière, j’avais remarqué que deux jeunes filles venaient souvent se faire bronzer, profitant des rares rayons de soleil en ce mois d’août. Ce jour-là, je n’ai aperçu qu’une seule jeune fille ; elle est venue s’allonger sur la berge en contrebas, au bord de l’eau, pour prendre son bain de soleil.


Assis devant ma toile je ne pouvais pas ne pas la voir ; celle-ci était la plus mignonne des deux et avait une silhouette de rêve qui me faisait fantasmer. Ce genre de fille que l’on suit du regard jusqu’à ce qu’elle disparaisse de notre horizon. Curieux, j’ai laissé quelques instants mes pinceaux pour admirer la beauté de cette jeune fille ; elle était là, allongée, les seins nus, un petit maillot de bain en bas ; elle avait une main posée sur un sein, l’autre sur son ventre ; je l’observais depuis un instant. Non, je ne rêvais pas : elle caressait bien son sein et, avec l’autre main à plat sur son bas-ventre, elle faisait des ronds autour de son pubis. Je ne bougeais plus ; le rythme de ma respiration était modifié ; une chaleur m’envahissait. Je me sentais comme si j’étais ailleurs. J’avais du mal à croire ce que je voyais.


Voulant assister à la suite, je me suis planqué derrière un bosquet pour ne pas me faire remarquer ; la coquine avait décidé de se faire plaisir et moi, dans mon coin, je commençais à avoir de sérieuses envies ; la fille continuait ses caresses ; ses mouvements étaient plus réguliers, plus rapides et semblaient plus appuyés. N’en pouvant plus, j’ai sorti mon sexe en érection et j’ai commencé des va-et-vient. Je prenais des risques : elle pouvait me voir ou m’entendre à tout moment ; je n’arrivais plus à me contrôler.


La jeune fille a dû entendre le bruit d’une branche cassée sous mes pieds, elle s’est redressée, surprise, et s’est assise aussitôt ; elle a regardé dans ma direction ; je ne me cachais presque plus, maintenant ; j’étais trop excité et, tout le temps de ma masturbation, elle ne m’a pas quitté un seul instant des yeux. Ce qui m’excitait encore plus. Comme si cette scène faisait aussi de l’effet à la demoiselle ! Ma jouissance atteinte, je retournai sagement à mon chevalet.


Ce plaisir je ne l’ai pas oublié ; quand je croise cette jeune fille, dans le village, nous échangeons un petit sourire complice ; j’attends maintenant de la revoir au bord de la rivière, pour plus de complicité. J’en conclus que l’exhibitionniste est devenue voyeuse et le voyeur est devenu exhibitionniste. Je n’avais plus qu’une seule idée en tête, comme une obsession : la revoir !






Au bord de la rivière

Partie 2 : Le modèle


Cette journée tant souhaitée est arrivée quelques semaines plus tard ! Je venais de m’installer à l’endroit habituel ; j’avais placé mon chevalet, sorti mon nécessaire pour peindre ; je retournai à la voiture pour fermer le coffre et, au fond à la prairie, j’aperçus la silhouette de la belle jeune fille qui me faisait fantasmer depuis plusieurs jours et qui m’avait accompagné dans mes séances de masturbation ; en la voyant se rapprocher de plus en plus de moi, je pensai :


« Si un de mes fantasmes pouvait se réaliser… »


Je la regardai venir, avec sa façon très sexy de se déhancher ; je sentais mon cœur battre de plus en plus fort ; l’émotion, le plaisir de la voir et l’imaginer comme dans mes rêves, tout ce que j’aimerais faire avec elle. C’était la première fois qu’elle revenait ici depuis notre petit jeu coquin et improvisé. Surpris, je la vis dévier son parcours et s’avancer dans ma direction ; j’étais de plus en plus troublé ; quelle attitude avoir ? Avait-elle été choquée par mon comportement de la dernière fois ? Elle m’a tendu la main et, avec un grand sourire, me dit :



Ouf ! J’étais soulagé : elle ne m’en voulait pas. Sans réfléchir, je lui répondis :



Elle répliqua aussitôt :



Ma réponse fut immédiate.



Nous avons plaisanté un petit moment et soudain elle m’a dit :



Je lui ai répondu :



Me voilà déplaçant mon matériel en contrebas au bord de la rivière ; une fois installé, je la regardai s’allonger sur sa serviette ; elle avait enlevé sa jolie robe bleu clair avec des petites fleurs jaunes imprimées sur le tissu, enleva son soutien-gorge et ne garda que sa culotte. Ses seins étaient mignons. En plaisantant, je lui dis :



Et je m’enhardis ; je m’avançai vers elle et fis le geste de vouloir lui enlever sa culotte ; elle m’attrapa le bras pour m’empêcher de la déshabiller. Dans une position très instable, elle me déséquilibra et je me suis retrouvé sur elle ; là, tout alla très vite ; elle me fixa de son beau regard avec insistance et, sans réfléchir, je l’ai embrassée, attiré comme un aimant ; elle attendait visiblement ce baiser, qu’elle me rendit avec passion ; nos langues se sont cherchées, mélangées ; mes mains se sont vite empressées de la caresser partout, dans sa chevelure, sur son superbe corps ; sa peau était douce et sentait bon ; elle me serrait très fort contre son corps, comme si elle avait peur que je parte ; ça ne risquait pas d’arriver, j’étais trop bien dans ses bras ! Je déposai quelques petits baisers dans son cou. Ses beaux petits seins s’écrasaient sur mon torse ; j’étais déjà très excité et mon sexe en érection appuyait sur son pubis ; elle se mit à se frotter contre moi et à faire des mouvements qui me firent comprendre son désir ; ma main glissa lentement vers ses cuisses ; je commençai à la caresser à travers le tissu de sa culotte ; je sentais l’humidité de sa chatte ; je fis glisser sa culotte à ses pieds qu’elle dégagea avec un habile petit jeu de jambes ; la voilà nue s’offrant à moi.


Je revoyais défiler tous les fantasmes que j’avais eus en pensant à elle ! J’ai voulu réaliser mon rêve ! J’ai mis ma tête entre ses cuisses, qu’elle écarta aussitôt, comme une invitation à boire sa liqueur d’amour, à butiner son petit bouton ; ma langue taquinait son clitoris et mes doigts s’activaient aussi le long de ses lèvres intimes ; avec sa cyprine, je glissai mon majeur de sa chatte à son petit trou que j’essayai de pénétrer ; je m’aperçus que la fille n’avait pas été visitée à cet endroit ; n’y tenant plus, elle cherchait mon sexe qu’elle prit avec sa petite main et guida vers son minou tout mouillé d’envie ; je l’ai pénétré avec un grand « Ouah ! » de plaisir ; non, je ne rêvais pas ! Elle me serrait de plus en plus fort ; je sentais les contractions de son vagin serrant ma queue ; elle commençait à s’agiter de plus en plus vite et j’entendais des gémissements de plus en plus bruyants suivis d’un grand cri de soulagement ; elle venait de jouir en même temps que moi ; je venais d’exploser à mon tour, me déversant dans son intimité ; agréable fusion de nos corps ! Un moment inoubliable d’intensité.


Nous sommes restés longtemps enlacés, comme si nous ne voulions plus nous séparer ; un long silence s’ensuivit. Nous étions si bien comme ça, ensemble. Quel bon souvenir ! J’avais été comblé ! L’était-elle aussi ? Je le pense, elle m’avait semblé heureuse ! Le tableau n’a jamais été commencé ! C’est sans trop d’importance, maintenant. Nous nous sommes revus plusieurs fois, mais ça, c’est d’autres histoires…






Dans les dunes avec Léa


Je me souviens de la première fois que j’ai fait l’amour avec Léa.

Elle était accompagnée par un surfer qui faisait partie d’une bande de jeunes que j’avais l’habitude de retrouver sur cette plage et avec laquelle j’avais sympathisé, malgré une différence d’âge, pour la même passion de la mer.


Après la baignade, j’ai dit aux jeunes :



Nous avions l’habitude de le signaler pour ne pas inquiéter le groupe. Léa m’a crié :



Nous voilà partis tous les deux ; nous avons traversé un endroit fréquenté par des nudistes ; je fis remarquer à Léa :



Une jolie femme était à côté de lui ; ils formaient un beau couple ; tous les deux étaient superbement bronzés et des silhouettes de rêves.


Excité par cette vision, gêné même, je me suis dirigé vers les dunes. Une fois en haut, je me suis aperçu que Léa m’avait suivi ; mal à l’aise, j’ai fait semblant de pisser ; mais mon sexe était en érection et elle l’avait remarqué ; en penchant la tête, elle m’a dit, avec un petit sourire :



Très excité par cette réflexion, j’ai entamé une masturbation devant elle ; j’avais compris qu’elle aussi était excitée. Je lui ai pris la main, je l’ai posée sur mon sexe et, ensemble, à deux mains, je me branlai. J’ai stoppé, sentant venir ma jouissance ; je l’ai allongée sur le sable ; nous nous sommes enlacés, caressés, embrassés avec passion. Je sentais son envie monter, son corps était chaud. J’étais impatient de lui faire l’amour, tellement j’étais excité ; on se fixait dans les yeux et je lisais dans son regard son désir. Je lui ai présenté ma verge qu’elle a prise dans sa bouche : elle me pompait avec application. Elle voulait me plaire : elle me dévorait des yeux, observait mon plaisir qui se lisait sur mon visage.


Je la sentais prête à tout, de plus en plus excité, j’ai retiré ma bite de sa bouche. Je l’ai ceinturée pour la retourner délicatement sur le ventre et je lui ai soulevé ses belles fesses ; j’avais subitement une envie folle de la sodomiser. Mon gland glissait le long de sa raie fessière, allant de son vagin à sa rosette, en frottant avec un immense plaisir, chatouillant au passage son clitoris, l’introduisant avec douceur dans son vagin pour récolter un peu de cyprine et revenir vers son petit trou. J’enfonçai lentement mon pénis dans ce passage étroit et je poussai avec douceur, tout en lui caressant les seins et les fesses. D’un coup de reins brusque, je fis disparaître une partie de ma queue dans ses entrailles ; elle poussa un petit cri de douleur ; un autre coup de reins, et mon sexe s’enfonça complètement.


Bien vite, mes va-et-vient devinrent un immense plaisir. J’ai appris tout de suite après que j’avais dépucelé le petit trou de Léa : j’en étais étonné. Tout s’était si bien passé que je pensais que la belle avait déjà pratiqué la sodomie. Ce doux et agréable moment est resté notre secret. Elle est mariée avec le surfeur, qui était présent ce jour-là sur la plage. Ah s’il savait ! Vingt ans après, nous nous rencontrons souvent dans le village.






Drôle de cueillette


Les jours de repos, je n’aime pas rester à la maison ; le bricolage n’est pas une grande passion ; je préfère le vélo, cueillir des champignons ou faire des balades en forêt avec ma femme, quand elle est décidée et, bien sûr, être sur le net.


Un bel après-midi d’octobre, il y a trois ans, je suis parti seul, dans l’espoir de ramasser quelques cèpes, girolles ou autres champignons comestibles. Je me suis enfoncé dans un bois que je n’avais jamais visité. Prudent, j’ai suivi un petit chemin ; je ne voulais surtout pas me perdre. Je scrutais le sol, un coup d’œil à droite et à gauche ; j’avançais lentement en suivant ce chemin qui se rétrécissait de plus en plus ; des branches de part et d’autre m’empêchaient d’aller plus loin ; sur ma droite, un coin me sembla plus dégagé et intéressant pour la recherche des cèpes ; je fouillai l’endroit, regardai sous les grandes fougères à l’aide de mon bâton ; je trouvai toutes sortes d’espèces de champignons, mais non comestibles, ou sans grandes valeurs gustatives ; je ne trouvai rien d’appétissant. Après un bon quart d’heure de recherche infructueuse, je commençais à désespérer.


Soudain, un bruit attira mon attention ; je relevai la tête. Là, à deux-trois mètres de moi, un jeune homme d’une vingtaine d’années me regardait fixement en se masturbant sans retenue. Cette vision me fit un drôle d’effet, après la surprise de cette situation. Quand il vit que je l’avais remarqué, il vint vers moi, d’un air décidé, et mit, sans aucune hésitation, sa main sur ma braguette. Surpris, je l’engueulai :



Le jeune, très arrogant, me répondit :



Je comprenais mieux ces quelques préservatifs usagés que j’avais remarqués par terre, par-ci, par-là ! Il continuait d’exhiber son pénis en érection devant moi, sans aucune gêne. Je lui demandai ce qu’il attendait de telles rencontres. Il me répondit grossièrement :



Je lui répondis aussitôt, sans réfléchir :



Après tout, ça ne peut pas me faire de mal. Le jeune ne s’est pas fait prier ; il se jeta sur ma braguette, fit glisser la fermeture Éclair de mon jean et passa sa main pour en sortir mon sexe qui commençait à gonfler. Il entama une masturbation. J’eus une forte érection subitement. Je laissai tomber mon bâton et mon panier. Le bougre avait un bon coup de main. Il prit mon sexe dans sa bouche et me fit une fellation. Sa main caressait mes couilles, les malaxait. Il ne se débrouillait pas mal du tout, le petit jeune ! Il me passait sa langue autour du gland, me happait entièrement la queue au fond de sa gorge, se retirait et à nouveau me suçait habilement le gland ; j’étais sur un nuage. Fermant les yeux, j’imaginais la bouche d’une femme me donnant ce plaisir. Le jeune avait l’air de se régaler, lui aussi ; il était super concentré sur ma bite et fit durer ce moment délicieux. Visiblement, il prenait beaucoup de plaisir. Moi aussi !


Quand il baissa son pantalon, je m’aperçus qu’il avait un slip de femme et un beau cul de fille. Il frotta son cul sur ma bite toute dure et me demanda de l’enculer, en me tendant un préservatif. Le mec était à point, me sembla-t-il. Il était tout excité. Je déroulai la capote sur mon sexe extrêmement tendu ; j’étais tellement excité que je ne me posais pas de question ; je ne pouvais plus tout arrêter maintenant ! J’étais trop excité, il fallait que j’aille au bout de mon plaisir. Mon gland frotta un moment son anus ; après quelques va-et-vient sur sa raie fessière, en insistant sur son petit trou, j’essayai de le pénétrer en y allant doucement ; mon sexe rentrait assez facilement, sans effort. Une fois passée la barrière, je m’enfonçai entièrement. Je devinai que son cul était fréquemment visité ; c’était divin ! Ma bite bien enserrée dans son cul me donnait un immense plaisir. Il me demanda de lui donner des claques sur ses fesses ; de le caresser, de lui dire des grossièretés, de le traiter de « petite salope »… pendant que je m’activais avec des va-et-vient, il se branlait activement ; mon excitation atteignit le sommet. Je ne pouvais plus me retenir ; je m’agrippai fermement à ses hanches, mes coups de reins étaient de plus en plus violents et j’accélérai mon mouvement, je sentais venir ma jouissance ; j’explosai dans son cul avec un puissant orgasme. Je me suis retiré et j’ai fini de me vider sur ses fesses ; mon sperme coulait le long de ses cuisses. Il continuait de se branler et je vis jaillir son sperme avec des giclées saccadées.


J’ai déjà connu une aventure avec un homosexuel, à l’armée, il y a une vingtaine d’années, mais je ne me souviens pas que ce fût si bon. Le gars me regarda, s’approcha pour m’embrasser ; d’un geste de la main je le repoussai ; il me dit :



Me voilà en train de donner rencard à ce jeune. J’allais virer de bord, si ça continuait. Il me remercia et me dit :



C’est vrai que j’y ai pris un certain plaisir ; je ne culpabilisais pas du tout et n’avais pas l’impression d’être devenu homosexuel, bien que ce ne soit pas une tare. J’aime trop les femmes ! Après tout, ça compensait : comme ma femme n’était pas trop portée sur la sodomie ou la fellation, il fallait que je la sollicite chaque fois pour obtenir ces plaisirs.


Ma femme trouva curieux que mon panier soit vide ; le voisin avait trouvé cinq kilos de cèpes. Je lui ai fait, comme réponse :



Cette aventure m’obsède encore ; j’ai résisté pour ne pas retourner dans ce bois. En attendant, je continue de solliciter ma femme pour une sodomie ou une fellation ; elle m’a étonné en acceptant à plusieurs reprises ; je devais être tellement excité par le souvenir que j’ai gardé de cette aventure que je devais mieux m’y prendre avec elle. La nuit, quand ma femme s’endormait avant moi et que je repensais à cette histoire, immanquablement je me masturbais, lentement pour ne pas la réveiller, ma main à plat sur le bout de mon sexe plaqué contre mon ventre, avec des pressions bien dosées. Les orgasmes sont plus intenses quand je pratique cette méthode. Bon, maintenant, il faut que je pense vite à autre chose.






« Raconte-moi ton rêve »


Elle est là, devant la porte de ma chambre, dans sa nuisette blanche transparente ; elle s’approche de mon lit ; je sens son regard sur moi ; mes yeux sont fermés, faisant semblant de dormir ; je sens son corps me frôler ; elle ose tirer les draps qui m’enveloppent ; je suis nu, elle ne bouge plus. Que fait-elle ? Je sens son souffle, sa main se pose sur mon torse ; elle commence à me caresser ; ses mains parcourent maintenant mon corps ; j’ouvre les yeux ; je vois son visage tout prêt de moi ; elle dépose un doux baiser sur mes lèvres ; je la laisse faire, mon corps lui appartient ; une main glisse entre mes cuisses et commence à me masser le sexe ; sa main est douce et me fait du bien ; elle m’embrasse sur le torse et continue avec de petits baisers en descendant vers mes cuisses ; elle prend ma verge et y dépose des baisers, la prend dans sa bouche et me gratifie d’une bonne fellation.


La suite…






« Non je ne rêvais pas ! »


J’ai les yeux grands ouverts ; elle a son visage entre mes cuisses, devant moi ses belles fesses dépassent de sa nuisette que je soulève pour mieux les caresser ; je change de position en basculant ma « visiteuse » sur le côté ; nous voilà tête-bêche ; elle écarte ses cuisses, me sollicitant pour un cunnilingus ; pendant qu’elle s’affaire sur mon pénis, je commence à lui donner quelques coups de langue le long de ses lèvres intimes luisantes de cyprine ; je me délecte de sa liqueur ; je pince son clitoris entre mes lèvres ; le bout de ma langue tourne autour de son bouton tout gonflé et tout brillant ; j’écarte le capuchon pour mieux le sucer ; je commence à la sentir se tordre ; elle appuie sa chatte sur mon visage et se frotte ; je retire mon sexe de sa bouche pour retarder ma jouissance ; elle me rejoint ; la voilà maintenant blottie dans mes bras ; nous nous caressons mutuellement ; mes mains passent dans sa chevelure blonde, lui massent la nuque, je dépose plusieurs baisers dans son cou ; je lui palpe les seins, m’amuse avec ses tétons, mon doigt tourne autour de ses aréoles ; elle ne dit plus rien, je la sens heureuse d’être près de moi ; elle me serre très fort en frottant sa chatte contre ma cuisse ; m’embrasse sur la bouche, sa langue cherchant la mienne ; nos langues se mélangent, elle ne lâche plus ma bouche, je la sens très excitée. Elle me dit :



Je me mets sur le dos, le sexe fièrement dressé, elle vient s’empaler dessus ; elle remue, elle se frotte ; assise sur mon ventre, elle s’amuse avec ma queue qu’elle tient dans sa main ; elle frotte mon gland sur son clitoris ; je la sens ravie. Sentant ma jouissance proche et ne pouvant plus me maîtriser tellement l’excitation était forte, je la couche sur moi et accélère mes va-et-vient en lui tenant fermement les fesses ; nous jouissons tous les deux ensemble ; nos corps se relâchent et nous restons un moment sans rien dire, côte à côte. Je me retourne et lui donne de doux baisers, comme pour la remercier de cet instant merveilleux passé ensemble… Non, je ne rêvais plus !