Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11870Fiche technique13577 caractères13577
Temps de lecture estimé : 9 mn
22/10/07
Résumé:  Première étape vers la réalisation d'un fantasme partagé.
Critères:  fh couplus cocus hépilé voir exhib photofilm fellation anulingus tutu -voyeuract
Auteur : Artnaud  (Jeune épicurien)            Envoi mini-message
A l'essai

Tu le pousses sur le lit dans un élan quasi autoritaire ! Ah ah ! Je n’avais pas imaginé ça comme ça. J’imaginais un long baiser fiévreux, des mains qui partent à l’exploration du corps de l’autre, des vêtements, l’un après l’autre volant de-ci de-là. Rien du tout ! Dès le début, je vois que tu vas me surprendre. L’homme doit lui-même se débraguetter et livrer à notre regard son envie de toi. Il le fait lentement alors que tu le domines toujours, debout au pied du lit.


Comment je le sais ? Très simple : je vois et j’entends nettement ce qui se passe dans notre chambre, assis dans une pièce à côté de celle-ci, grâce à mon PC portable laissé à un endroit stratégique, à une webcam et un micro.


L’homme ignore qu’il est filmé. Il s’agenouille sur le lit, défait sa ceinture, baisse lentement pantalon et caleçon. Au moins, l’annonce disait vrai, c’est une belle pièce qui vient buter contre son ventre, flirtant avec son nombril. Bien sûr, tu ne peux t’empêcher d’y mettre la main… qui n’en fait pas le tour. La scène se fige, tu le tiens, assise près de lui.



Je te connais bien, tu es ferrée, prise à l’hameçon ! Y a des femmes qui s’enflamment à l’idée de manier du gros calibre, la mienne est comme ça. Elle est belle, son audace la rend irrésistible, ce qu’elle peut être garce, quand elle s’y met ! J’adore ce côté « Je suis salope et je l’assume ».


Cet homme, j’ai déjà vu son visage. Une photo échangée sur le net. Un des rares contacts retenus, sur ce site de rencontres bien connu des libertins. Il lui plaît et de plus, il semble accepter le fait que je puisse me joindre à leur partie de baise. Il a demandé à la rencontrer seule dans un premier temps. Pourquoi pas ? Comment ce qui ravit ma femme pourrait me déplaire ? Ma superbe miss court après la réalisation de certains de ses fantasmes et celui-ci, je le partage volontiers. Beaucoup disent que le sexe cimente un couple et dans notre cas, c’est ô combien vrai ! Depuis des mois et des mois, cela ne nous lâche pas. Une fringale de l’autre peu commune, en vérité. Que l’un de nous deux ait envie de baiser, et ça suffit pour tout déclencher. Le résultat : une complicité rare comme je n’en avais jamais connue.


Je m’arrête sur l’image de cet inconnu, des traits et un corps fins, un torse imberbe et cette longue et épaisse queue, c’est peut-être le bon. En tout cas, il ne me rebute pas.


Mais que je vous en dise plus et, notamment, pourquoi cet après-midi, devant l’écran de mon pc, je me régale à l’idée qu’un autre se prépare à prendre ma puce. Tu t’es mise dans la tête de me faire découvrir certaines sensations, selon toi indispensables. Moi, je déclare toujours, dans une telle situation, et sans hésiter : « Oui, chérie, je te suis. » Et voilà que tu m’as parlé de la douceur sans égale de la peau du sexe des hommes, de la délicieuse sensation d’être remplie ou de s’offrir quand on se laisse sodomiser. Je m’arrête deux minutes sur cette idée. Passer un moment seul avec un homme ne m’emballe pas mais là, bizarrement, ce n’est plus juste un homme, mais un instrument au service d’un fantasme que tu souhaites partager avec moi. De plus, il m’est déjà arrivé de trouver certains hommes attirants, si ceux-ci étaient limite androgynes, fins, imberbes. Du coup, tu as décidé de "mettre en branle" la réalisation de ce fantasme commun, avec mon accord, sous certaines conditions. Et pour ce faire, tu offres ton corps à cet homme, comme un premier test de ses qualités d’amant. Et moi, je suis là, à profiter de la démonstration, voyeur et très excité par toute cette mise en scène.


Sans surprise, tu te penches pour l’avaler. Tu as comme un regard de défi lancé vers moi, qui semble dire : « Je peux aller plus loin encore » et tu baves sur cette queue dont quelques centimètres échappent à ta gloutonnerie. Je sais d’avance que c’est peine perdue si tu crois pouvoir tout gober. Il est à peu près pareil que moi et je sais par expérience que, pleinement bandé, tu n’arrives pas à m’engloutir en entier. L’homme a passé une main derrière ta nuque et rythme le travail de ta bouche qui l’avale avec entrain. Du micro, faiblement, me parviennent quelques borborygmes éloquents.


Je sais à quel point tu aimes sucer. Tu n’as pas le clito au fond de la gorge mais parfois je me demande si tu ne pourrais pas jouir ainsi, tant tu frétilles quand tu bois mon foutre.


En tout cas, toute entière à ta fellation, tu n’oublies pas que je te regarde, écartes les pans de ton déshabillé, tends tes fesses vers moi et de deux doigts, ouvres ton sexe qui luit déjà d’une belle excitation.


Voilà un spectacle dont je ne me lasse pas ! Ses petites lèvres sont si développées, ce n’est pas une vulve, c’est une image provenant du test de Rorschach ! De part et d’autre de son vagin, comme deux ailes maintenues par ses doigts, ses lèvres sont véritablement indécentes, de quoi me hanter et souhaiter ne jamais avoir à passer ce test, j’imagine très bien l’accueil du psy si je répondais : « Les lèvres écartelées de la chatte de ma femme » en désignant la tache sur la feuille que chacun identifierait comme un papillon ou que sais-je encore.


Je vois que tu t’appliques, tu le recraches, dardes la langue sur son gland, le reprends en bouche en soupesant ses bourses. Je me demande si déjà, tu as pu le goûter, si quelques gouttes de son foutre ont déjà perlé. En tout cas, il fait preuve d’un sang froid de bon augure, j’en connais plus d’un qui se serait déjà vidé au fond de ta gorge. D’ailleurs il semble que cela soit le résultat recherché, tu le branles maintenant énergiquement tout en coiffant son gland de tes lèvres. Il est allongé, je ne vois plus son visage, tu l’amènes au plaisir, les fesses levées vers moi, deux doigts figés dans le vagin. Et voilà que son foutre fuse, abondamment, en longues traînées qui s’étalent sur son torse.


Ravie, tu ne bats pas des mains en gazouillant comme une gamine qui s’esclafferait devant la surprise d’un diablotin monté sur ressort jaillissant d’une boîte à malices, mais presque - « La belle giclée ! » - alors que celui-ci reprend ses esprits. Allongée contre lui, tu attrapes une serviette, essuies le sperme, rejettes la serviette, te loves plus près de lui encore. Vous êtes alors allongés, imbriqués, nus, lascifs.


Un autre moment se prépare, plus langoureux après cette joyeuse mise en bouche. Je soupçonne ma belle d’avoir voulu s’assurer un moment long et intense grâce à cette première décharge qui devrait permettre à l’instrument de notre libido de mieux contrôler ses ardeurs.


Tu lui parles alors et je crois entendre :



Je le vois t’enlacer, prendre ta bouche, une de ses mains empaume un sein, il roule sur toi, la bouche soudée à tes lèvres dans un long baiser profond, il semble vouloir prendre l’initiative, ce que confirment les deux doigts qu’il glisse en toi sans cesser de t’embrasser. Ton bassin se soulève.



Il lâche ta bouche, mordille tes seins tandis que tu passes tes mains dans ses cheveux. Ton visage prend de belles couleurs, tu gémis et on se tortille tous les deux, toi sous les caresses de cet homme pas maladroit et moi sur la chaise du bureau, dans mon jean, à l’étroit.


L’homme rapproche son visage de ta chatte ouverte, rasée mais je me méprends sur ses intentions. Il saisit à deux mains tes hanches.



Tu obéis et te retrouves le visage dans l’oreiller, les fesses à l’air, cambrées à l’extrême. Pour moi, c’est la posture la plus impudique, celle qui livre tout au regard… et pas qu’au regard, d’après ce que je vois. Placé derrière toi, les deux mains sur tes fesses, il les écarte et y glisse presque tout ce qui peut servir chez lui à goûter, lécher, fouiller, forer, remplir.



Je ne distingue pas le nombre de doigts qui te pompent la chatte, au moins trois ! Et sa langue qu’il darde sur ton anus offert !


Vlam fait le bruit de la ceinture de mon jean quand celui-ci et le caleçon qui va avec tombent à mes chevilles. Décidément trop à l’étroit, je me libère. Après tout, il faut prendre soin de ses outils, m’a souvent dit mon grand-père et là, j’étais au bord de la congestion.


Voilà que le bougre s’aide de ses pouces, de chaque côté de ton cul dressé pour faire plus de place au passage de sa langue, tu t’ouvres. À ce stade je sais qu’il pourrait glisser deux doigts dans ce fourreau génialement si extensible sans que tu en souffres, bien au contraire. Parfois il semble soudé à toi, je devine sa langue au fond des replis de ta chatte, son nez planté plus haut. Je souris, j’ai presque envie de me mettre à compter pour voir combien de temps il va tenir dans cette posture qui le prive d’air.


C’est vraiment chouette, la vie ! Je suis là, peinard, en train de me masser lentement la queue, je regarde ma femme se faire dévorer les fesses avec une technique de fort belle facture, comme dirait un commentateur sportif célèbre et, par-dessus tout, je sais que tu te régales. Tu adores les feuilles de rose que je te prodigue. La preuve, le petit solo de clito langoureux que tu te joues en douce pour accompagner cette langue inquisitrice dès qu’il cède un peu de place à tes doigts. Solo langoureux, solo langoureux… peut-être mais pas longtemps ! Car là tu passes la quatrième ! Je me retiens difficilement d’en faire autant, non pas encore ! Et tu t’emmènes jusqu’à l’orgasme comme l’attestent petits cris, feulements, le roulis de tes fesses…


Break, la posture se casse. Il était temps car moi je commençais à frire. À ce moment, je m’attends à ce qu’il t’enfile sans autre finasserie, mais tu reprends les rênes sans lui en laisser le temps et vous voilà tous les deux à genoux sur le lit, face à face, partis dans un de ces baisers voraces que tu apprécies tant. Tu lui parles doucement. Saleté de micro pas assez sensible pour que j’entende ce que tu lui dis ! Qu’importe, je comprends vite la teneur de tes paroles quand je le vois prendre une posture particulière, la même que la tienne quelques minutes auparavant. Alors ça, cela m’éclate et je commente l’action comme un supporteur qui se tape un match devant la télé :



Cet homme me surprend à accepter cette pose, à genoux, bien cambré, le visage dans les bras à hauteur des draps. Tu as fait en sorte que son cul me regarde. Là aussi, pas un poil et si ce n’est la verge lourde qui pointe vers le matelas, intimidée par cette pose inhabituelle et le paquet remonté par l’excitation, rien d’autre ne le distingue de certaines femmes que j’ai prises ainsi. Voilà qui dénote d’une certaine souplesse, non pas physique, cette position n’étant en rien acrobatique, mais psychique, et je connais peu d’hommes qui seraient prêts à accepter de se lâcher ainsi. Après tout c’est ainsi que depuis des centaines de milliers d’années, les mâles quadrupèdes saillissent les femelles de leur espèce.


Passant derrière lui, tu saisis sa queue, tu la lâches, tu viens flatter ses bourses, tu le reprends en main dans un branle lent et vigoureux. Je devine alors ce que tu as en tête quand je te vois plonger entre ses fesses pour lui lécher l’anus. Voilà qui me rappelle de délicieux souvenirs ! Vas-tu poursuivre comme avec moi ou n’est-ce qu’un interlude vers une suite plus conventionnelle ? Suspense ! En tout cas, tu as l’air bien décidée à l’humecter et à l’élargir de la langue, un bon point pour lui car s’il n’avait pas été d’une propreté absolue, tu n’aurais pas poursuivi, alors que là, tu insistes. Je comprends le message que tu m’adresses : « Vois, il s’offre sans retenue, il m’offre son cul ». Je vais vite savoir si tu as vu juste. Tu lui dis de ne pas bouger et tu attrapes dans le tiroir de la commode proche un des godemichés de notre collection. Celui que tu as choisi est long et plutôt fin, idéal pour la topologie des lieux qu’il va explorer. Je suis à cent pour cent attentif à ce qui se passe sur l’écran, épaté par ta manière de mener le bal, conscient que le fait que je mate influence ton attitude. Le message est clair : tu testes notre futur jouet, ce qu’il accepte, son savoir-faire. Cela t’excite au plus haut point, tu es bien déterminée à jouir à fond de la situation et à la partager avec moi afin que mes dernières réticences tombent.



À suivre…