n° 11879 | Fiche technique | 19955 caractères | 19955Temps de lecture estimé : 13 mn | 24/10/07 |
Résumé: Et là, je le vois !!! T-shirt rouge, pantalon beige, une bonne cinquantaine... dégarni, bedonnant... Le temps que je réagisse, il a compris que je ne voulais pas de lui et il s'en va... Alors je prends mon courage à deux mains et le suis. | ||||
Critères: hh hplusag jeunes inconnu complexe fellation préservati hdanus hsodo -inithh | ||||
Auteur : Kikoo75 |
J’avais, à l’époque, une vingtaine d’années. Les hommes ne m’intéressaient pas trop, je m’étais un peu forgé à l’hétérosexualité.
Mes rapports « entre hommes » n’avaient lieu que dans mes fantasmes, avec une jouissance très forte à chaque fois. J’avais eu, quelques années auparavant - suite à des « jeux de mains » qui se sont vite transformés en des caresses de sexe contre sexe avec un camarade de classe plus âgé - une petite relation qui m’avait fortement excité et surtout fait naître cette envie d’aller plus loin avec un mec. Qui, à l’époque, s’était terminée par une honte mutuelle, parce que très excitante… Mais très troublante pour ce camarade de classe, qui par son statut parmi les autres ne pouvait être qu’un « sale petit pd » et « attiré par un petit mec même si mignon qu’il voulait embrasser en permanence et… c’était inconcevable !!! »
On s’arrêta donc là.
Quelques années plus tard, je rentrais chez moi, à pied, après une soirée bien arrosée, les idées fusaient dans ma tête… Ne me rendant pas compte que Paname pouvait parfois être dangereux dans certains endroits…
J’avais envie de sexe. Juste de sexe !!!
Mais cette fois, pas avec une fille… Avec un mec, un vrai… Probablement que cette pseudo première relation, m’a donné le ton sur mes goûts, mais je voulais un mec beaucoup plus âgé que moi. Là, je ne voulais pas deux ou trois ans d’écart mais beaucoup plus.
Je fais un léger détour, je passe par un lieu connu (à l’époque) pour des rencontres homos. Je marche le long du canal et regarde les mecs en présence… Rien… Je me fais un peu suivre et surtout repérer, car ma teinture blonde de l’époque fait sensation. Mais rien d’intéressant… Dégoûté d’être comme au marché, je décide de rentrer et de me finir tout seul chez moi, en rêvant à ce mâle… Et déçu, car je ne connais que cet endroit et n’ai aucun contact avec le milieu gay.
Je passe sous un pont et ressors de l’autre côté. C’est alors, que j’entends :
Je n’ose me retourner. Et puis si !!! Et là, je le vois !!! T-shirt rouge, pantalon beige, une bonne cinquantaine… dégarni, bedonnant… Le temps que je réagisse, il a compris que je ne voulais pas de lui et il s’en va… Alors je prends mon courage à deux mains et le suis.
Il tourne à gauche (aïe ! c’est vers chez moi). J’hésite et je tourne aussi… Il fait demi-tour, mon cœur bat la chamade, on va se croiser, et je ne pourrai pas le fuir… Ça y est, il me croise, et me dit :
Je lui renvoie aussi ce bonsoir avec un beau sourire. Je ne peux plus faire marche arrière… c’est pour ce soir. Voyant que je suis le souffle coupé, il commence par me dire :
Et je le suis comme un toutou. Il s’assoit en écartant légèrement les jambes, je vois une légère bosse sous son pantalon. (Ouaouuu ! il bande déjà !)
Ce à quoi je réponds :
(Eh oui ! comme quoi le ridicule ne tue pas !)
Voyant son pantalon gonflé, je fus pris de panique, jeune vierge effarouché… Et je crus me sortir de ce piège dans lequel je m’étais fourré par un :
(Eh oui ! Deuxième cas de ridiculisme aigu)
Il sourit, et on se leva. Le trajet me parut une éternité… On parlait peu, j’avais l’impression d’être une pute qui amène son mec au plumard, sauf que la chambre, c’était la sienne. Il coupa ce silence en disant :
Je le coupai :
On tourna dans sa rue, et il me prit la main… Je la lui serrai, me sentant être sa copine. On arriva dans son immeuble, l’ascenseur s’ouvrit, on y entra, puis les portes se refermèrent. Là, il me tourna face à lui, me caressa le ventre d’une main et de l’autre m’attira vers sa bouche. Il me roula une pelle d’enfer !!! Je n’eus comme réflexe que de me dire « Ça y est !!! Je passe de l’autre côté ! ». Je nous regardais en même temps dans la glace de l’ascenseur, ce qui augmentait mon désir. Je lui passai une main dans le dos, et l’ascenseur s’ouvrit. Il ouvrit la porte de chez lui, me faisant visiter son magnifique appartement.
Je bus d’un trait, planté devant la fenêtre. Il vint se positionner derrière moi, m’embrassant l’épaule. Moi, je lui touchai la cuisse, pensant l’exciter. Il me retourna, et m’embrassa. Nos langues tournaient et il enfonçait la sienne de plus en plus profond… Ouch, je n’arrivais plus à respirer… Il m’allongea sur le lit, sur le dos et s’allongea sur moi… Il me demanda de retirer mes lunettes, et lui garda les siennes… Pour mieux me voir.
Et moi ??? Je me mis à regretter de vouloir le faire dans le noir, ou éclairé par ce qu’il y avait dehors. Mais complexé comme je suis, je ne voulais pas le décevoir. Alors que je voulais voir son corps. Mais bon, quel bonheur d’avoir un mec avec son poids de mec sur moi…
Il releva son T-Shirt et sa bedaine vint contre mon ventre, j’ondulais du bassin et commençai à avoir une respiration forte…
Je n’avais qu’une obsession : sa queue.
Il déboutonna mon jean et je fis de même avec son pantalon. Je ne bandais pas, mais lui si !!! J’avais peur qu’il me considère comme un mec… Et moi je voulais être sa femme !!! Je pris donc les choses en main. Je lui caressai la cuisse et remontai sur sa verge. Ce qui l’arrêta net et il se laissa faire… Enfin, je faisais mon rôle, si souvent imaginé ! Je me sentais fille faisant plaisir à son mec.
Me calquant sur ce que les nanas me faisaient en général, je caressai doucement sa verge à travers son slip avec un doigt pour en dessiner les contours. Sa bite ne demandait qu’à sortir… Je la sentais longue, et très dure. Je descendis jusqu’à ses testicules et je finis par caresser totalement avec ma main. Elle me paraissait tellement belle que je finis par la tâter… jauger ce bel instrument.
Lui, il essayait maladroitement de me déshabiller, mais il paraissait tellement apprécier qu’il en était bloqué. Ce fut un moment génial…
J’ondulais du bassin, haletant comme une femelle en chaleur ne demandant qu’à être baisée. Et de l’autre main, je lui sortis sa queue qui ENFIN prenait l’air !!! Je le branlais doucement, essayant de la voir, elle était plus grande que la mienne, ce qui me réjouissait mais d’un autre côté me bloquait à l’idée de lui montrer la mienne.
Et puis je serais femme et lui homme !!!
Il m’embrassa de plus belle, ce qui me surprit… Je la voulais en moi… Elle était pour moi. Je tournai la tête pour l’apercevoir, et gardai la bouche ouverte, comme pour le sucer à distance… Il me dit :
Je le coupai net en lui chuchotant :
Il s’allongea sur le bord de son lit. Moi, je me mis à genoux au sol. Je baissai son slip jusqu’à ses genoux et enfin je pouvais la voir !!! Mon dieu qu’elle était belle !
Je ne sais pas pourquoi, mais je lui fis un bisou sur les testicules, puis un autre sur le milieu de la verge, et enfin, le moment tant attendu… je déposai mes lèvres sur son gland. Je recommençai ce manège avec ma langue. Pour finir sur son gland. Il sourit, car il savait que je faisais durer le moment, le plaisir de cette première. Je ne sentais aucune odeur particulière qui me ferait rebrousser chemin, mais en même temps, j’étais enfin là, enfin je m’offrais à un mec !
Je passai ma langue sur son frein et lui fis un sourire.
Cela m’encouragea et j’ouvris la bouche, je gobai la totalité de sa verge, jusqu’au bout. Étonné que ma gorge puisse accueillir un si bel organe, mais je voulais qu’elle soit totalement dans ma bouche, qu’il ne puisse plus la voir.
Cela a dû lui faire plaisir car il partit dans un râle. Je remontai longuement et m’arrêtai sur son gland, faisant tournoyer ma langue, bouche fermée. Voyant qu’il me regardait, par-dessus sa petite bedaine, bandant toujours aussi fort, cela m’encouragea à commencer une pipe en règle. Il me prit la tête ce qui m’excita encore plus. Je baissai mon jean et mon boxer pour me branler. Un coup je me caressais la bite, un coup je me caressais les fesses, pensant déjà à la suite.
J’étais quasi à quatre pattes, le cul à l’air, en train de sucer un bonhomme qui me regardait faire… J’étais sa copine d’un soir, peut-être le seul, mais peu importait, j’étais dans une relation que je ne tolèrerais même pas avec une fille. J’étais à lui, soumise, il était à moi en tant que Mâle.
Je repris son gland dans la bouche et roulai une pelle à sa bite.
Je sentis alors un liquide amer titiller mes papilles, me prévenant que l’éjaculation était proche. J’arrêtais donc ce traitement, car tailler une pipe n’était plus une fin en soi. C’est mon cul qui prenait l’air qui avait faim !!!
Mais trop tard, il ne put se retenir et éjacula sur son torse. Dans un « Ohhh ouiiii ! putain, que c’est booon ! »
Ah ! j’étais déçu, car mon anus en resterait là… Mais j’avais fait jouir un mec et j’étais déjà content de cela. Je m’allongeai à côté de lui, posant ma tête sur son épaule. On resta silencieux quelques minutes. Je me sentais bien. Il me caressait les cheveux. Il tenta de parler mais je n’écoutais pas… J’étais dans le bonheur et dans la déception que ça s’arrête là. Je me levai pour partir, le cul encore à l’air, et je me baissai pour ramasser mes chaussures, tentant au passage de lui montrer ce qu’il louperait…
Il me dit :
Je m’assis sur le bord du lit pour mettre mes chaussures et lui se positionna en face de moi. Très près de moi. Je posai ma tête sur son ventre et il me caressa. Et je lui dis que ce « Joli p’tit cul était pour lui ». Il alluma la lumière.
* * * *
Je vis que sa queue n’était pas totalement molle… J’ai essayé de la laper mais il se retira… Je pus néanmoins prendre quelques gouttes de sperme qui me donnèrent un haut-le-cœur. Il rit. Je pris ça pour de la moquerie, alors d’un geste, je lui rebaissai son slip et lui gobai son sexe. Je restai ainsi sans bouger, le regardant dans les yeux.
Je sortis sa bite de ma bouche, me caressai le visage avec, et lui dis :
Il me repoussa sur le lit, et là, tout alla vite. Je me suis retrouvé nu, je ne sais comment, sur le ventre. Lui sur moi, ondulant du bassin. Que c’était bon, de sentir sa queue dans ma raie. Puis il s’arrêta net. (Nooon ! pas encore !) Il ouvrit sa table de chevet pour en sortir une capote et du gel. (Enfiiiin !) Puis il me massa. J’écartai les jambes pour lui montrer que je n’attendais que ça. Il me retourna et pesa de tout son poids sur moi. Nos bites se mêlaient, et il me pilonnait déjà. Il me roulait de monstrueuses pelles que je n’aimais pas trop, puis de petits coups de langue sur ma langue qui augmentaient mon désir. Il descendit sur mes seins. Je tenais sa tête sur ma poitrine, tant la situation me faisait rêver.
Puis il me remit sur le ventre, me re-massa le dos puis les fesses.
Il me les embrassa, puis un moment s’écoula sans que rien ne se passe. Je sentis alors le gel couler sur ma raie et lui l’étaler. Mon dieu que c’est froid ! Comment pourra-t-il me pénétrer si je ferme tout ? Puis un doigt vient me titiller et rouvrir l’accès. Puis deux, puis :
Je le pris et essayai de la lui mettre.
Je me suis exécuté, et c’est vrai que c’est plus facile…
Il me remit deux doigts et je sentis la capote pousser mon orifice
(Putain ! ça y est ! je passe à la casserole !) Je sentais sa queue me pénétrer doucement millimètre par millimètre. Alors que je faisais des « Ouuuuuh c’est bon ! » (alors que j’avais mal). Je sentis les centimètres par centimètres, puis son ventre contre mes fesses, puis je regardai le spectacle tout en grimaçant. Je vis mes fesses disparaître sous son petit ventre et ses poils toucher mes fesses. Il était tout en moi. Je souffrais, mais quel bonheur de voir cela, de se sentir comme ça, et surtout de sentir sa queue au plus profond ! Mes jambes ne répondaient plus, je ne pouvais plus bouger.
« Trop gros, » me dis-je.
J’ai essayé de me retirer, mais il me prit par la taille pour me ramener à lui.
Voyant que je grimaçais :
Eh oui ! je voulais quand même qu’il me baise ! Il est resté comme ça pendant quelque temps, sans bouger. Sentant que je m’apaisais, il a fait marche arrière. Ce qui fit revenir la douleur.
Il m’embrassa dans le cou, ce qui fit revenir sa queue au fond… Mais cette fois, j’avais moins mal.
Ce que je fis. La pénétration fut moins douloureuse. Il commença alors de lents va-et-vient que j’acceptais par des petits cris. Des hans hans hans qui l’excitaient de plus en plus. Voyant que j’acceptais son chibre en moi et que je prenais vraiment du plaisir, il passa à la vitesse supérieure. Ses mains se serrèrent encore plus ma taille et il me pilonna le cul avec des cris gutturaux. J’avais encore un peu mal mais j’étais aux anges !!! Il ralentit la cadence et demanda si ça allait.
Je lui dis :
Et il s’arrêta. Je me suis mis alors à me cambrer autour de son chibre, à arrondir le dos, à tournoyer autour de sa queue qui mettait le feu à mon anus. Et cela a eu le don de l’exciter.
Il me mit sur le ventre. Il s’occupa de mes seins puis me pénétra.
D’avoir un mec comme ça, au-dessus de moi, mes jambes autour de sa taille, en train de me poutrer le cul, me fit jouir. Je lui arrosai alors le ventre jusqu’au sternum. Lui, en plein effort, me dit :
Il fit des allers-retours si rapides que je ne sentais plus mon anus, si j’en avais un encore… Puis se retira, me laissant avec un trou béant vide… Enleva sa capote et éjacula sur ma poitrine.
Il s’allongea sur moi en me faisant des bisous. Puis quelques minutes plus tard, il s’est mis sur le côté et s’est endormi. Nous n’avons pas échangé un seul mot.
Je me suis levé.
Habillé.
Et j’ouvris la porte.
J’entendis un mot désastreux.
Ce à quoi je répondis par un :
Il ne m’avait pas traité de pute ou de chienne, mais là, il venait de le faire… J’ai donc claqué la porte.
Je ne l’ai jamais revu ni eu d’autres relations homosexuelles. Même si j’avoue que j’y repense de temps en temps, et que cela me fait toujours fantasmer. Cela n’a pas été un blocage, bien au contraire, puisque je me dis que je le referai et que c’était vraiment bien. Que vivement que ça se reproduise.
À quoi servent les **** du milieu du texte ?
Ce qu’il y a avant est vrai. Après, ce n’est que ce que je voulais qu’il y ait. Ce que je pense en fin de texte est toujours vrai…
Peut-être qu’avec un peu de chance, il lira et se reconnaîtra… Alors il sait ce qui l’attend…
Merci pour vos commentaires