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n° 11881Fiche technique18442 caractères18442
Temps de lecture estimé : 11 mn
24/10/07
Résumé:  Mon mari m'a fait découvrir un jeu coquin.
Critères:  fhhh extraoffre inconnu fépilée sauna cunnilingu préservati gangbang yeuxbandés -fhhh
Auteur : Vanille      
Une soirée sympathique

Cette Fois, c’est Guillaume, le mari de Vanille qui raconte :



Après un repas au restaurant agréable et assez arrosé, nous avons décidé d’aller faire un tour au sauna de la ville. Vanille était magnifique, elle avait arboré un petit sourire provocateur tout le repas. Elle semblait plutôt bien disposée, ce qui pouvait augurer d’une bonne soirée. L’ambiance était sympathique. Vanille, habituée des lieux, discutait au bar. Son corps était masqué par un peignoir de circonstance, mais la beauté de son visage et son sourire attiraient les regards des hommes présents ce soir-là.


Après avoir passé un bon moment dans le sauna nous sommes allés au jacuzzi. Je la tenais dans l’eau contre moi, et je lui ai murmuré à l’oreille que j’avais envie que l’on fasse un jeu.



Elle semblait bien disposée, je tentai ma chance, et je lui expliquai en quelques mots mon fantasme. Elle savait qu’elle resterait maîtresse de la situation et que, quoi qu’il arrive, elle pouvait arrêter à tout moment.



Je sais qu’elle a acquiescé pour me faire plaisir plus que par réel désir. Et qu’au moindre faux pas de mes acolytes elle se déroberait.


Elle est retournée au bar pendant que je partais à la recherche de complices. Après quelques longues minutes de recherche, je trouvai quatre hommes, que j’invitai à me suivre dans le sauna. Là, je leur expliquai les règles du jeu et leur donnai des conseils sur ce qu’il ne fallait pas lui faire, sur les choses qu’elle n’appréciait pas. Ils savaient donc qu’elle était la reine de la soirée et qu’il ne se passerait peut-être rien.


Je les quittai pour aller chercher un foulard noir que j’avais laissé au vestiaire, et je passai par le bar pour lui demander de me suivre. Je la conduisis dans une pièce avec des miroirs sur les murs, j’étalai des serviettes sur les matelas et je lui posai le foulard sur les yeux. Après m’être assuré qu’elle ne voyait rien, je l’allongeai sur le dos, l’embrassai tendrement et je suis parti chercher mes quatre complices. Quand nous sommes arrivés dans la pièce Vanille était retournée sur le ventre, ne nous laissant voir que son dos. Nous sommes rentrés et j’ai fermé la porte à clef.



Ils l’ont saluée, tous très intimidés et elle a répondu de la même façon. J’avais alors l’impression qu’elle allait s’enfuir. Je pris donc les devants voyant bien la gêne de tout le monde :



Elle approuva sans grand enthousiasme. Des mains se posèrent donc sur son dos, très délicates, ils la massaient tous les quatre : le dos, les épaules, les mollets, leurs gestes étaient très prévenants, ils savaient qu’il fallait la mettre en confiance, et que les gestes déplacés n’auraient abouti qu’à l’effet inverse. Leurs mouvements se faisaient plus amples, plus précis, ils commençaient à lui parler :



J’étais heureux de voir qu’elle avait déjà accepté cela. Celui qui lui caressait le bas du dos lui provoquait des petits frissons, tandis que celui qui s’occupait de ses jambes posait sa bouche sur le bas de ses cuisses. Les autres l’imitèrent et ce fut un mélange de mains et de bouches qui parcoururent son corps. Je lui pris la main, elle me serra la mienne pour me rassurer, je compris qu’elle commençait à apprécier. Les caresses commençaient à être plus suggestives, ses fesses étaient maintenant touchées avec beaucoup d’attention, mais elle gardait encore les jambes serrées. Celui qui embrassait ses fesses avait des yeux exorbités qui reflétaient son désir, les autres la regardaient avec envie d’aller plus loin, d’en voir plus. Pierre, qui était le plus proche de son oreille, lui demanda :



Elle roula lentement sur le côté pour se placer sur le dos. Ils marquèrent tous un temps d’arrêt pour admirer son corps, leurs yeux la dévoraient, ils remarquèrent tous son sexe superbement épilé et ses seins offerts. Ils ont plongé sur elle, je ne la voyais presque plus, ils la caressaient avec beaucoup d’égard, de respect : ses seins, ses épaules, ses cuisses étaient effleurés, embrassés, cajolés, choyés, massés. Yohan, le plus jeune des quatre, lui caressa le ventre et tenta de passer sur le minuscule triangle qui constituait maintenant l’intégralité de sa toison. J’observai sa réaction ; elle se laissait faire et même se détendait davantage. Ses cuisses très serrées au départ se faisaient moins résistantes, et celui qui lui caressait les jambes remonta ses mains à l’intérieur et à chaque mouvement les écarta un peu plus. Ils changeaient régulièrement de place, deux s’étaient agenouillés à la hauteur de ses seins, contre son torse.


Ses mains, qui étaient restées immobiles le long de son corps, se sont écartées pour qu’ils puissent se rapprocher plus d’elle, et à ma grande surprise, se sont dirigées vers les cuisses des deux hommes. Elle leur caressa timidement le haut des jambes et le bas des fesses en jouant avec leurs poils. C’était divin de la voir enfin participer.


Une caresse très précise, sur le sexe, venait de la faire sursauter. Patrick, le plus grand, qui était assis près de ses hanches, avait la main posée sur sa touffe et son majeur coulissait doucement sur sa fente, frôlant son clitoris. Elle sursautait régulièrement à ces caresses, je crois qu’elle commençait à y prendre goût. Ses mains, simultanément des deux côtés, passèrent par dessus les cuisses qu’elle caressait, se dirigèrent à l’aveuglette vers les toisons pubiennes de Franck et Pierre et elle saisit un sexe dans chaque main. Elle se rendit alors compte de leur désir, ils bandaient fermement.


Elle tâtait, palpait, jaugeait leur queue, une ressemblait à la mienne, mais la deuxième était plus longue, assez fine, avec un gland plus large que la hampe. Ils étaient ravis de ces caresses. Elle referma les jambes quand elle sentit un doigt inquisiteur pénétrer son intimité, puis à ma stupéfaction, les rouvrit aussitôt pour laisser l’intrus continuer son exploration. Sa respiration s’accélérait, je savais à présent qu’elle irait au moins jusqu’à sa satisfaction.


Quand Yohan, qui était resté près de ses pieds et qui ne perdait pas une miette du spectacle changea de place pour remplacer Patrick qui lui caressait le sexe, elle referma les jambes. Je savais qu’elle avait envie d’autre chose. Je me penchai sur son oreille pour lui demander ce qu’elle désirait, mais je devinais déjà la réponse.



Presque honteuse de ses désirs, elle me glissa à l’oreille :



La question était de savoir comment la faire bénéficier de ses quatre galants. Sur le ton du jeu qui avait lancé notre aventure, je leur proposai :



Evidemment ils étaient ravis de ma proposition. Franck, qu’elle masturbait de sa main droite, commença. Son excitation devait être trop forte, car il se ruait sur sa chatte avec fougue. Elle trouva vite la situation insupportable et je dus l’arrêter avant les deux minutes dévolues. Pierre, qui avait bénéficié de sa main gauche, le repris. Il avait bien suivi mes conseils et lui frôlait le clitoris avec une langue extra-douce. Ses reins se faisaient maintenant complices de ses coups de langues en pressant son pubis contre la bouche de Pierre.


Yohan et Patrick qui étaient restés jusque-là sur le bas de son corps se retrouvaient maintenant à genoux au niveau de ses seins. Après quelques furtives caresses, elle empoigna directement les sexes bandés à leur maximum. Celui de Yohan était ce qu’il y a de plus banal, mais celui de Patrick était démesuré, long, gros, puissant, je sais qu’il devait lui faire peur. Les deux minutes écoulées, Patrick alla prendre sa place entre ses jambes, cela semblait moins bien que son prédécesseur, mais elle lui accorda ses deux minutes.


Yohan la fit un peu languir, mais il variait plus les plaisirs, changeait de rythme, de lieu, jouait avec ses lèvres et titillait son clitoris. Elle respirait de plus en plus fort et des gémissements sortaient maintenant de sa bouche. Elle saisit cette tête qui la menait à l’extase et la nuque rejetée en arrière, elle cria sa jouissance pour la première fois de la soirée. Elle resserra ensuite ses jambes toutes tremblantes.



Ils étaient tous ravis de ce qui venait de se passer, surtout Yohan qui l’avait amenée à l’orgasme. Je pensai qu’elle allait en rester là, mais après une courte pause, où fusèrent les compliments sur son corps, elle se remotiva et reprit en main un sexe qui était à sa portée. Elle vérifia, en passant son pouce sur le gland qu’il ne mouillait pas trop et elle le tira doucement jusqu’à sa bouche. Elle le suça quelques minutes en lui malaxant les testicules. Avant que Yohan explose dans sa bouche, elle lâcha sa queue pour annoncer :



Cette fois, elle décidait des règles du jeu :



J’étais surpris qu’elle prenne ainsi les choses en mains. Le jeu reprit donc, Franck la pénétra doucement avec des gestes attentionnés et tendres, elle cherchait sûrement qui cela pouvait être, sachant qu’il n’y avait presque que leurs fesses et leur sexe qu’elle commençait à connaître. Elle semblait apprécier ce coït anonyme. Il était doux, trop peut-être, il cherchait à la pénétrer le plus profondément possible, faisant des mouvements amples et lents, elle appréciait cette douceur, mais la connaissant, je savais qu’elle avait soif de plus de puissance.


Les deux premières minutes écoulées, elle se fit pénétrer ensuite par le sexe beaucoup plus long de Pierre. La pénétration était lente et elle grimaçait sur la fin car il entrait dans des zones rarement explorées de son corps. Après quelques va-et-vient assez doux, il força la cadence, j’espérai qu’elle tiendrait les deux minutes, tant elle commença à haleter. Je la regardai bouger le bassin et je savais qu’il s’y prenait comme elle aimait. J’étais ravi qu’elle apprécie. Mais, il se cambra d’un seul coup et dans un grand râle, il se lâcha. Elle lui tint fermement les fesses contre elle pour qu’il ressente encore plus de plaisir. Elle était un peu frustrée de cet arrêt anticipé, et espérait que le suivant soit aussi doué.


Pierre sortit d’elle, le sexe déjà légèrement mou, avec un préservatif pendant et laiteux de sperme. Yohan prit sa place, la pénétration était moins profonde que précédemment. Il voulait profiter pleinement de ses deux minutes et prudemment, il resta à une cadence assez lente. Elle le laissa faire, même si elle aurait préféré qu’il continue sur le rythme du précédent. Les deux minutes passées, elle sut qu’elle allait devoir affronter l’homme qui était le mieux membré de la soirée. J’étais impressionné de voir cette colonne de chair dressée comme un mât, alors qu’il prenait place entre ses jambes.


Patrick passa la main sur le sexe de mon épouse, et du bout du doigt vérifia que son vagin était suffisamment lubrifié. D’une main, il guida sa verge vers son orifice et doucement, il débuta sa pénétration. Je l’observai, inquiet, mais elle semblait sereine, je pense qu’elle était même surprise que ce gros gland se fraye aussi facilement un chemin en elle. Elle dégustait cette poussée délicate, elle devait bien ressentir la largeur de ce membre, mais elle ne manifestait aucune douleur, je lisais juste une sensation de bien-être sur son visage. La fin de la pénétration fut plus délicate, car elle le retenait de ses deux mains sur les hanches pour éviter qu’il aille trop fort, il était plus long encore que Franck. Enfin, leurs pubis se touchèrent et elle se décontracta complètement. Comme il ne voulait pas lui faire de mal, le rythme fut relativement lent, très régulier, mais les mouvements amples. À chaque fois, il ressortait presque et une nouvelle pénétration complète recommençait. Vu le temps qu’il avait mis à la prendre, les deux minutes passèrent vite. Il se retira et s’assis sur le côté.



Elle attrapa le sexe de Patrick de la main droite, et l’autre main posée sur son épaule l’invita à s’allonger sur le dos. Elle se plaça à cheval sur son ventre, et en une vague, tous les observateurs se placèrent dans son dos. Elle se pencha sur lui, et avec une main lui redressa la queue. Vue de derrière, elle paraissait encore plus grande. Elle s’inclina, souleva les fesses, et nous pûmes voir son sexe luisant gonflé de désir commencer à happer cette tige turgescente.


Elle s’empala jusque la garde sur lui et commença à bouger, doucement au début, puis de plus en plus vite. Tandis qu’elle lâchait des petits cris sauvages, il essayait de garder le rythme. Les gémissements se transformèrent vite en un râle continu, et elle se jeta sur lui pour lui mordre l’épaule pendant que son corps était envahi de spasmes. Sa jouissance était magnifique, tous les hommes présents auraient donné cher pour être à la place de son étalon. Elle est restée quelques instants groggy sur lui, puis s’est libérée de cet instrument de bonheur. Tout le monde avait le souffle coupé, nous ne savions plus quoi faire. En flatteuse radine elle concéda :



J’étais presque prêt à congédier nos hôtes, quand elle décida de relever le défi :



Les trois en questions acquiescèrent, et je fus sidéré de sa réaction.



Elle se plaça en levrette. Yohan arriva derrière elle, la queue bien raide, il tenta de se positionner contre son anus, mais d’une main elle le guida dans son vagin. Je pense qu’au début, elle ne devait pas sentir grand-chose, car elle était encore trop dilatée. Franck s’assit jambes écartées devant elle et lui guida une main vers son sexe débandé. Elle retira la capote qui pendait et débuta une branlette qui lui redonna de la vigueur. Elle commençait maintenant à mieux ressentir le sexe qui coulissait en elle depuis quelques minutes, et cette sensation lui fit activer ses mouvements de poignet. On entendit un grand gémissement, c’était Yohan qui venait de jouir. Pratiquement en même temps, elle esquiva de justesse un flot de sperme que crachait le sexe de Franck. Je sais qu’elle était fière : trois hommes avaient déjà rendu l’âme par son corps.



Elle s’attacha maintenant à redonner de la vigueur au sexe géant par de douces caresses de plus en plus sensuelles. Patrick vint derrière elle. La pénétration ne posait plus aucun problème. Elle devait le sentir à présent encore plus que dans les deux positions précédentes. Il la limait assez fort, ayant vu qu’elle aimait ça.



A ma grande surprise sa respiration s’est remise à augmenter, ses reins à se cambrer pour que ses fesses claquent sous les coups de boutoir. Ces mouvements, presque violents, lui arrachaient des gémissements, et c’est ensemble qu’ils se sont écroulés en râlant de plaisir ; elle, allongée sur le ventre, lui encore sur son dos, en elle. Il ne restait de leur étreinte que quelques soubresauts qui cherchaient à prolonger l’extase.


Après quelques minutes, nos convives prirent congé de nous en la remerciant mille fois pour sa beauté et sa performance. Je restai allongé près d’elle ; fier. Je ne savais pas quoi lui dire.



Nous nous sommes embrassés et je suis venu en elle. Je la pénétrai avec une très grande facilité, elle gardait les traces de ses assauts précédents, mais trop excité, je ne tins que quelques secondes avant de me répandre en elle, comblé de bonheur.