n° 11884 | Fiche technique | 13380 caractères | 13380 2484 Temps de lecture estimé : 9 mn |
25/10/07 |
Résumé: Un ami de mon père... Je le voulais... Je l'ai eu! | ||||
Critères: fh hplusag frousses boitenuit cérébral intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio -diffage | ||||
Auteur : Lexicharlie Envoi mini-message |
Bientôt trois heures que je tourne en rond dans cette boîte de nuit. Une bise par-ci, un bonjour par-là. Il faut dire que c’est un peu ma deuxième maison et que je connais beaucoup de monde depuis le temps que j’y viens. J’ai laissé mes amies au bar et je me promène en évitant de me faire marcher sur les pieds par les gens qui commencent à être bien imbibés. Et soudain, il est là, nonchalamment appuyé au bar. Lui, c’est Alex, un ami de mes parents et qui incarne l’un de mes grands fantasmes. Ne me demandez pas pourquoi, mais c’est comme ça. Cela fait presque deux ans qu’il hante parfois mes nuits.
Je vais vers lui, l’air de rien, lui fais un bisou et engage la conversation. J’ai très envie de sauter sur l’occasion, à défaut de sauter directement sur lui, de lui dire ce que je ressens. J’ai une petite bière dans le nez, je pourrai toujours me cacher derrière s’il n’est pas réceptif à ce que je veux qu’il sache. La conversation reste gentillette, mais me semble parfaite pour en venir au sujet qui me tient à cœur et soudain, sur un coup de tête, je me lance. Je lui dis explicitement qu’il est un fantasme pour moi.
Premier bon point, il n’a pas l’air d’être choqué, bien au contraire. Il se dit très flatté. De mon côté, je me dis que tant qu’à prendre une jeune, il en voudrait peut-être une plus jolie que moi. C’est qu’il a beaucoup de charme et de charisme et doit rencontrer de par sa position sociale énormément de femmes. Je suis plutôt voluptueuse, comme disent certains pour être polis, grande, rousse, la peau diaphane et un brin complexée. En même temps, je sens un rapprochement discret s’effectuer, alors je cesse de penser et me concentre sur le moment présent. Il est tout en délicatesse, pas pressé. Il me fait un petit bisou sur la joue, je me colle un peu plus à lui. Je ne sais pas comment réagir face à cet homme d’une autre génération. On sent d’ailleurs bien la différence, il prend son temps, contrairement aux jeunes de mon âge qui ont tendance à vous sauter dessus avant même de vous avoir demandé votre nom.
Un autre petit bisou léger, mais un peu plus audacieux sur la commissure de mes lèvres et je me sens fondre entre ses bras comme un chocolat laissé en plein soleil. Il est si tendre que je n’en reviens même pas et nous restons là, serrés l’un contre l’autre, appuyés au bar. Puis, il tente un baiser, toujours léger, mais sur mes lèvres que je lui tends avidement. Pas besoin d’un dessin, il saisit le message et m’embrasse un peu plus profondément, toujours en douceur et sans se presser.
Soudain, prise d’une espèce de panique, je cherche la première excuse pour faucher compagnie à cet homme que je désire pourtant. Je prétexte mes amies et le laisse là, au bar. En me retournant, je regrette déjà mon comportement. Je pourrais être sa fille, mais n’ai pas envie qu’il me considère comme une jeune femme. Je veux être une femme rien que pour lui. Je repars donc dans l’autre sens mais le temps de revenir où je l’avais laissé, il était parti. La mort dans l’âme, je me mets à sa recherche, l’air de rien. Et je le retrouve en grande conversation avec un couple d’amis de son âge. Je passe derrière lui comme si de rien n’était, je ne veux pas l’embarrasser alors je ne fais que passer discrètement ma main le long de sa taille.
Je continue mon chemin vers la sortie où je m’installe contre le flipper. À peine quelques minutes plus tard, il est là, tout sourire, en face de moi, et moi qui n’attendait que ça. Il reprend la place qu’il occupait à mes côtés quelques instants plus tôt et me fait un tendre bec. Soudain, je sens ses doigts se glisser lentement sous le petit top noir que je porte. Je m’enhardis et glisse ma main entre son blazer et sa chemise, ne pas aller trop vite surtout, ne pas aller trop vite. Pourtant, je ne demanderais que ça, mais je me retiens… jusqu’à ce que je sente sa main tout entière se glisser contre ma peau nue et là, je passe à mon tour trois doigts entre deux boutons de sa chemise. Il a un ventre un peu rond et la peau toute douce, j’en veux plus. Mais je reste une petite fille face à cet homme et, bien que ça ne me ressemble pas, j’attends qu’il prenne l’initiative de la suite.
Je regarde ma montre, il serait plus que l’heure de rentrer, je dois me lever tôt le lendemain. Mais je n’ai pas envie d’abandonner si près du but. Surprenant mon regard, il me demande si je veux rentrer. Si oui, il me propose de me raccompagner. Ni une ni deux, je récupère ma veste, fais un petit signe à mes amies et nous voilà partis. Je ne dors pas chez moi ce soir-là, il serait donc malvenu de lui proposer de monter pour un dernier verre. Je lui explique, il me propose de le prendre chez lui, il habite à cinq minutes. Je me tâte, mais pas longtemps, et accepte l’invitation avec peut-être un peu trop de véhémence, mais ma patience à ses limites.
Le long du chemin, je prends son bras. Nous marchons en discutant comme nous avons l’habitude de le faire, bien que la situation soit un peu exceptionnelle. Arrivée chez lui, je découvre à quoi ressemble l’intérieur d’un homme de son âge qui a retrouvé son célibat après un divorce un peu difficile. Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais, sauf le canapé que je m’imaginais confortable et très grand. Il allume sa chaîne stéréo, ouvre le bar et me demande ce que je veux. À part lui, rien et je le lui dis. Il me fixe, une lueur amusée dans le regard et se sert un verre de whisky. Je lui certifie que je ne veux rien et il vient enfin s’installer à mes côtés. Je n’ose toujours pas lui sauter dessus, comme si j’attendais une autorisation de sa part. Je me sermonne intérieurement, est-ce que j’ai véritablement besoin d’une invitation écrite ?
Il est là, les yeux fermés en train de savourer son verre avec une petite chanson sympa en arrière-fond et moi qui hésite toujours. Soudain, n’y tenant plus, je me penche vers lui et cherche ses lèvres. Il ouvre des yeux un peu surpris et me rend mon baiser avec beaucoup plus de fougue qu’il n’en avait démontré jusque là. Enfin, ce moment tant attendu est arrivé. Je l’embrasse goulûment et m’installe à califourchon sur lui. Je retrouve mes réflexes et prend l’initiative de m’attaquer aux boutons de sa chemise tout en faisant glisser mes lèvres le long de son cou. Il respire plus vite et pose sans retenue ses deux mains sur mes fesses qu’il malaxe avec douceur mais fermeté.
Plus qu’un bouton et voilà son petit ventre tout à ma merci. J’en profite sans vergogne. Je le léchouille un peu partout, je veux en profiter à fond depuis le temps que je m’imagine cet instant. Sans presque que je m’en rende compte, à moitié dans un état second, il me retire mon haut noir et décroche mon soutien-gorge d’une seule main. C’est qu’il sait y faire, le bougre. Soudain, plus fort que prévu, il me retourne sur le canapé et s’attaque à mon pantalon tout en s’occupant de mes seins du bout de sa langue tendue. Ma respiration s’accélère à son tour et je savoure ce traitement de faveur. Je passe mes mains dans ses cheveux courts mais terriblement doux.
Il a réussi à me défaire de mon jeans et je sens maintenant l’un de ses doigts courir sur l’élastique de mon string. Un joli string noir avec un cœur en strass. Ne voulant pas le laisser en reste, je me redresse un peu et tends la main jusqu’à sa braguette. À travers le pantalon, je me rends nettement compte qu’il n’a pas besoin de petite pilule bleue… Je le repousse légèrement pour avoir le champ libre et libère son sexe en érection. Il est beau, c’est le seul mot qui me vienne en le regardant. Lui tout entier est beau. En temps normal, je ne suis pas sentimentale ni rien de ce genre mais avec cet homme, je suis une autre.
À mon tour je le pousse et je reprends la lente procession de ma langue où je l’avais laissée, sur son sein gauche. Je tente quelques petits suçotements sur son téton et il y répond plus que favorablement, alors je m’y attarde encore un peu avant de continuer la descente vers l’objet de mes convoitises. Je n’aime pas tant ça d’habitude mais là, après avoir exploré son nombril, comme une évidence je commence à faire jouer mes lèvres sur sa verge. Il sent bon, je craque totalement. Après mes lèvres, ma bouche tout entière s’occupe de lui et je le prends en bouche. Je ne suis peut-être pas une spécialiste, mais je mets beaucoup de cœur à l’ouvrage et il a l’air d’apprécier le traitement.
Il ne force rien, n’appuie pas sur ma nuque, il me laisse totalement maîtresse de cette caresse que je lui offre de tout mon cœur. Avant que je n’aille trop loin, il me redresse, me colle contre son torse et m’embrasse longuement. C’est à peine si je sais encore où je suis et quand il fait descendre mon string et commence à me caresser délicatement, c’est mon propre nom que j’oublie. Délicatesse, savoir-faire et tendresse me font totalement chavirer. Je n’en peux plus, je le veux en moi. Comme je suis prévoyante, je me penche sur mon sac et en sort un préservatif que je lui montre. Plutôt que de le laisser se débrouiller avec, comme je le fais d’habitude, je m’occupe de l’habiller moi-même.
Il continue de me caresser de sa main gauche et je suis déjà au bord de l’extase. Sans lui laisser le temps de souffler, je reprends ma position à califourchon sur lui et le guide vers mon vagin. J’en ai presque le souffle coupé quand son gland effleure mes grandes lèvres et commence à se forger un passage en moi. J’en hurlerais presque de plaisir rien que de le sentir buter au fond de moi pour la première fois. Lentement, je remonte le long de sa verge puis redescend, à la même vitesse. Est-ce le désir ou juste son sexe mais je suis déjà au bord de la jouissance. Il le sent et, une fois bien ancré en moi, m’empêche de bouger. Il me serre dans ses bras, lové au fond de moi et m’embrasse passionnément le temps que la pression baisse. Puis, quand mon souffle s’est calmé, il me lâche un peu, me permettant ainsi d’onduler délicatement du bassin. Mon clitoris frotte contre son bas-ventre et je sens la vague de plaisir remonter en moi. N’y tenant plus, je me mets à bouger de plus en plus rapidement et en quelques secondes à peine, j’atteins mon premier orgasme de la soirée. Je ne vais pas le laisser comme ça alors j’ondule, je monte et je descends le long de sa hampe jusqu’à ce qu’à son tour, il hurle son plaisir. Puis, nos corps couverts de sueur se collent, nos lèvres se cherchent et ce baiser semble durer des heures.
Je suis bien, heureuse et comblée dans les bras de cet homme. Nous n’échangeons pas un mot, alors qu’on parle tellement d’habitude. Mais là, la musique, nos respirations et le bruit de nos cœurs nous suffisent. Je pense que nous nous sommes endormis quelques instants et quand j’ouvre les yeux, il est là, à me regarder. Sachant que je dois me lever tôt, il me propose de passer dans sa chambre, qu’on y sera plus à l’aise pour finir notre courte nuit. OK, même si je ne suis pas très motivée à l’idée de sortir du cocon que me font ses bras. Il se lève, s’étire, me regarde et surprend mon regard gourmand posé sur son sexe qui est très appétissant, même au repos. Ce seul regard suffit à lui faire retrouver un peu de vigueur et je me dis qu’il ne faut pas rater l’occasion.
Il n’a pas eu le temps d’atteindre le seuil de sa chambre que je suis déjà vers lui, collée contre son dos, ma mais droite sur sa verge. Comme s’il n’avait attendu que ce moment, il se retourne vivement et m’embrasse plus violemment qu’auparavant. Cette petite marque de sa virilité n’est pas pour me déplaire et je me pends à son cou. Quelques instants plus tard, nous voilà couchés par terre et je remercie le ciel qu’il ait le chauffage au sol. Comme des gamins, nous roulons par terre, rions à gorge déployée et nous taquinons comme dans la cour de l’école. Jusqu’à ce que sa main se pose sur ma vulve et que je sente son majeur s’introduire lentement en moi.
Je suis excitée comme une puce et en très peu de temps, il me masturbe non plus avec un mais avec trois doigts. En m’efforçant de laisser ses doigts où ils sont, je me retourne pour me trouver nez à nez avec son pénis. Je léchouille, je suce, je mordille juste ce qu’il faut… Je me découvre un nouveau talent. Pendant ce temps, il s’occupe merveilleusement bien de moi et sa langue a pris le relais de ses doigts. Le nez dans ses poils poivre-et-sel, je le respire pendant que mes lèvres le caressent. À ce rythme-là, lui comme moi ne mettons pas longtemps avant de jouir ensemble, chacun sous la bouche de l’autre. Nous nous redressons et c’est main dans la main que nous atteignons enfin son lit. Je me couche, radieuse, dans ses bras. Le sommeil ne met pas longtemps à nous emporter dans de doux rêves.