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n° 11894Fiche technique8388 caractères8388
Temps de lecture estimé : 6 mn
30/10/07
Résumé:  Lors d'un covoiturage vers l'Espagne, un jeune homme va découvrir ses penchants pour l'homosexualité.
Critères:  hh hplusag grossexe vacances fellation hsodo init -inithh
Auteur : Adonis            Envoi mini-message
L'impensable

J’avais 20 ans et la rentrée s’annonçait hasardeuse… Les études me gonflaient, ma copine et moi étions un peu en froid, et je ne savais pas trop quoi faire de ma vie. J’ai décidé de descendre tout seul en stop dans le sud de l’Espagne pour faire un break. Sur Internet, j’ai trouvé un site où l’on peut faire du covoiturage à condition de participer. J’ai vite trouvé quelqu’un et il m’a même proposé de passer me récupérer.


Il s’appelait Joël, la quarantaine, genre bel homme mûr et cadre dynamique. Le courant est passé tout de suite. Je me méfie des gens beaux et intelligents, mais lui n’était pas imbu de sa personne. Au contraire, c’était apparemment quelqu’un d’assez sensible. Nous nous sommes présentés, avons parlé un peu de nos vies, puis bouquins, car lui aussi aimait beaucoup lire. À part le fait qu’il était en instance de divorce et qu’il avait un fils de mon âge, je n’en ai pas appris beaucoup plus sur sa vie privée. Il semblait en tout cas peiné et c’était apparemment la première fois qu’il partait en vacances seul.


Ce type m’était vraiment sympathique. Notre différence d’âge n’était pas une barrière. Il m’a même proposé de venir avec lui, quand je lui ai dit que je ne savais pas trop où j’allais.



Pour moi c’était d’accord. J’attendais de ce voyage un peu de fun, de l’air et des rencontres. On s’est arrêtés vers 23 heures. Il était fatigué. Comme il faisait très chaud, on a décidé de dormir à la belle étoile. La lune était presque pleine et l’on s’est mis dans un champ à l’écart de la route. J’aimais beaucoup Joël. Je ne sais pas si c’est le fait que ça n’allait pas très bien avec ma copine, mais je ne pouvais m’empêcher de le trouver beau et de me sentir bien avec lui.


Quand il m’a dit qu’il faisait du naturisme et qu’il allait se mettre nu… Je ne sais pas pourquoi mais… Je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder et de ressentir quelque chose. Il était super bien gaulé. Il avait de belles fesses et un corps musclé, beau gosse comme dans les magazines. J’essayais de ne pas trop regarder sa verge, mais en fait, je n’y arrivais pas. Elle était vraiment épaisse et lourde. Le clair de lune ne m’épargnait aucun détail. Je voyais les veines qui parcouraient la hampe et ses testicules qui étaient très gros. Il devait l’entretenir car il n’avait pas beaucoup de poils. En tout cas, il ne paraissait pas gêné par mes regards curieux sur son intimité.



Puis en rigolant :



Et justement son pénis était en train de grossir. Je le voyais se dresser lentement, s’épaissir. Peu à peu la peau s’est dégagée de son prépuce. J’ai bredouillé un vague « c’est pas grave ». En fait, j’étais plus gêné que lui car je le trouvais beau. Sa verge une fois en totale érection devait faire 25 cm. Elle était vraiment magnifique et il se dégageait de cet homme une puissance et une douceur mêlées. J’avais presque envie d’être une femme pour le séduire. J’ai décidé de me mettre nu moi aussi. Il m’a détaillé quand je me suis déshabillé.



Ça m’a fait plaisir. En fait, je voulais qu’il me désire et j’avais mal au sexe parce que mon érection était très forte. J’avais envie de faire l’amour et, à ce moment précis, j’étais prêt à me damner pour lui.


Nous parlions maintenant plus intimement. Il me posait des questions sur moi, ma vie. Puis doucement, alors que je continuais à parler, il m’a attiré vers lui et j’ai posé ma tête sur son torse. Une barrière avait sauté, il me caressait les épaules et moi, doucement, avec cette délicatesse et cette douceur propre aux femmes, je laissais mes mains parcourir ses muscles et les dessiner.


Je n’osai pas encore toucher son sexe, mais j’allai, de ses cuisses à son torse puissant, à la découverte de ce corps qui se laissait découvrir. Sa main, qui de mes épaules était descendue au bas de mon dos, s’est alors aventurée vers mes fesses. Il me les caressa puis les prit dans sa paume. Quand il a glissé un doigt dans le sillon pour venir me caresser là où personne ne l’avait jamais fait, je me suis collé un peu plus contre lui. Je frottai mon sexe contre sa cuisse. De son autre main il a saisi la mienne pour la mener sur son pénis. Le dernier tabou était tombé. Je pris en main ce pieu veiné qui palpitait et bandait pour moi. Du sang qui battait et du sperme qui attendait de gicler. Elle était chaude, grosse et très dure. Je la masturbai, la frôlai. Ma bouche la voulait. Je suis descendu. Ma langue a parcouru et dessiné d’abord les contours. Je la léchai tendrement et m’appliquai. C’était chaud et c’était doux.


Entre mes lèvres j’ai pris son gland. À lui seul il emplissait ma bouche. Je continuai à le masturber et le suçai doucement. Il me disait des mots tendres et cela fit monter mon excitation. Je me suis mis à quatre pattes entre ses jambes pour être plus libre de mes mouvements. Il gémissait en me regardant. J’aimais à le regarder moi aussi. Je lisais dans ses yeux le plaisir que je lui donnai. Il a éjaculé dans ma bouche. Je l’ai senti venir. Son sexe était devenu d’un coup plus gros et plus dur. Je ne me suis pas retiré. C’était ce que je voulais. Dans un sourire il m’a dit « mon amour… ». Alors, puisqu’il pensait ça de moi, délicatement, comme un chat, j’ai nettoyé le sperme qui, mêlé à ma salive, faisait luire son sexe.


Quand il m’a pris dans ses bras et quand il m’a caressé, j’ai su que plus rien ne serait jamais comme avant. Après avoir joui dans ses mains, je me suis collé contre lui. Nous avons discuté un peu en nous embrassant avant de nous endormir.


Le lendemain, je me suis réveillé dans ses bras. Lui dormait encore. Je me suis écarté tout doucement pour ne pas le réveiller. Je voulais le contempler. Son sexe était au repos. Malgré quelques remords et un peu de honte, j’avais encore envie de lui. Si un jour on m’avait dit…


J’ai déposé quelques baisers sur son sexe. Je voulais le réveiller en douceur. Je l’ai pris dans ma bouche. Sa bite s’est mise à grossir avant qu’il ne se réveille. Nous nous sommes embrassés. Je voulais lui faire un réveil câlin. Je me suis mis à califourchon sur lui. Ses mains me pétrissaient les fesses et j’étais bien. Il m’a demandé de le sucer encore et de me mettre en position de 69. J’ai joui le premier, dans sa bouche.


Quand il m’a demandé s’il pouvait me prendre, je n’ai pu que dire oui. J’avais envie qu’il le fasse. Je voulais qu’il soit ferme et doux. Je voulais être à quatre pattes et qu’il me possède. Je me suis mis en position, après l’avoir sucé une dernière fois pour le lubrifier, pour qu’il me prenne en levrette. Il m’a léché les fesses et passé sa langue dans la raie. J’avais l’impression qu’il me déchirait quand il est entré. La douleur a été forte. Mais, ses mains sur mes hanches, ma position, le savoir derrière moi en train de me sodomiser… Le plaisir était plus fort que la douleur. Il m’a enculé doucement. C’était dans l’enfer de son gros sexe un goût de paradis et d’abandon. Il a joui, m’a pénétré une dernière fois jusqu’à la garde, ses mains agrippées à mes fesses, ses testicules qui me touchaient…


La suite de l’histoire est la même. Nous avons passé quinze jours ensemble. À notre retour, aucun de nous deux n’avait envie de se séparer de l’autre. Depuis, je suis son amant….