n° 11900 | Fiche technique | 12293 caractères | 12293Temps de lecture estimé : 8 mn | 01/11/07 |
Résumé: Exhibition discrète dans un parc. | ||||
Critères: fh couple jardin exhib photofilm fellation cunnilingu pénétratio tutu -exhib | ||||
Auteur : Claude Rousseau |
Nous nous sommes retrouvés en tout début d’après-midi pour passer quelques heures tranquilles en ce samedi du mois de juillet. La température est estivale, et une chaleur agréable règne sur la ville déjà vidée d’une grande partie de ses habitants partis profiter de leurs vacances.
Nous flânons un peu le long du boulevard, nous racontant ce qui nous a fait sourire ou nous révolter pendant ces quelques jours que nous avons passés loin l’un de l’autre. Tout en discutant, je te regarde. Tu es habillée de blanc, une jupe légère en tissu judicieusement froissé qui descend jusqu’à tes genoux, un haut pas trop moulant, rouge, qui met en valeur tes magnifiques cheveux châtains. J’adore ta façon de marcher, ta façon de tourner ta tête vers moi et me sourire. Le balancement de tes cheveux me fait rêver. Tu es si belle. Mon regard descend aussi à la dérobée sur tes fesses, j’essaye de deviner si tu portes quelque chose sous cette jupe. Une culotte même blanche se verrait je pense, je tente de deviner un string. Je croise ton regard, tu sais très bien ce que je fais et me jette un regard qui veut dire à la fois : « petit cochon » et « continue », délicieuse fausse pudeur que tu manies si bien.
Nous croisons quelques mecs qui te regardent, certains sans aucune retenue, ceux-là, je les méprise car je sais que tu n’aimes pas le manque de classe. D’autres me rendent fou en te détaillant de manière si détachée que je les sais sensuels à tes yeux. J’ai tellement pratiqué ce jeu-là que je sens la jalousie me tordre le ventre, car je sais aussi que tu connais ces regards. D’instinct, je t’attrape la taille ou la main, te colle contre moi. Ton sourire à nouveau vers moi, sans un mot, tu sais ce que je ressens et en joues.
Nos pas nous dirigent vers le parc, promesse d’un peu de fraîcheur sous ce soleil de plomb. L’envie de nous isoler un peu de ce bruit ambiant. Nous partons sur un chemin qui s’enfonce dans une petite forêt, longeant le lac. Dans une petite clairière, se dressent deux tables de pique-nique juste un peu en marge du chemin, et nous nous dirigeons vers l’une d’elles. J’ai fait quelques photos lors de mon dernier déplacement, et je te propose de nous asseoir un petit moment pour les regarder sur mon appareil.
Côte à côte, tandis que l’appareil s’allume, je me rapproche encore de toi, jusqu’à ce que nos jambes se touchent. Ton sourire à nouveau, ton magnifique regard qui s’allume. Feignant l’indifférence, je parcours la dizaine de photos que je voulais te faire voir. Mais je ne suis déjà plus sur ce que je te montre, ton parfum m’enivre, l’envie de toi…
Cette clairière me donne des idées, nous sommes seuls tout en ayant l’impression que quelqu’un peut surgir à tout moment. Pourtant, depuis que nous sommes installés à cette table, personne n’est passé…
Cette phrase ne te surprend pas, bien que n’étant pas photographe chevronné, j’ai déjà réalisé des milliers de clichés de toi. Lentement, je t’embrasse dans le cou et me lève pour prendre un peu de recul. La lumière est belle, le lac au fond donne une touche presque irréelle au décor.
Les premières photos sont sages, tu prends des poses très glamour, souriante ou boudeuse, toujours tellement belle. Je fais différents cadrages, du gros plan sur ton visage à la totalité de ton corps. Tu joues de ta position sur ce banc. Ta main passe dans tes cheveux, tes lèvres qui s’entrouvrent… Tu mets en valeur ta poitrine en te cambrant, délicieusement sensuelle. Tu restes pourtant tellement chaste, rien d’obscène ni de provoquant dans tes gestes. Mais tellement désirable…
Tu souris à cette phrase, et viens t’assoir sur la table, les pieds sur le banc, face à moi. Lentement, tu fais monter ce petit haut rouge, dévoilant ton nombril et la peau de ton ventre, qui bien que pas très musclé reste très plat. Le fait de voir ce simple nombril, que j’ai si souvent embrassé, dans lequel ma langue est quelquefois entrée, dans ce lieu insolite, me fait un effet incroyable. Tu t’en rends compte, et fais remonter encore ton haut jusqu’à découvrir tes seins. D’abord, simplement le petit renflement de chair, puis ce sont tes tétons qui apparaissent. À chaque déclic de l’appareil photo, ton visage change d’expression, de plus en plus provocante. Ton regard mi-clos semble être une demande, presque animale…
Tout en me disant ces mots, tu écartes les genoux lentement, toujours la poitrine nue. Délicieusement cambrée, tu joues de ce que je devine, mais ne peux pas voir, la jupe tombant entre tes jambes. On devine juste… mais le jeu fait que je sais ce que j’ai envie de voir, je sais que j’ai envie d’en voir plus, mais toi tu ne sais pas ce que je vois. Je pose un genou à terre, tu es maintenant persuadée d’être offerte à cet objectif.
Tes mains abandonnent ton haut qui retombe et cache tes seins pour lentement faire remonter ta jupe. De quelques centimètres d’abord.
Ta jupe remonte maintenant lentement tandis que je retiens mon souffle. Elle passe sur tes genoux, puis continue lentement à monter jusqu’à mi-cuisses…
Tes mains laissent ta jupe en place et se posent de nouveau sur ton haut. Tu te trouves bientôt offerte, jambes ouvertes et seins libres. Tu es belle comme ça, je fais encore quelques photos puis m’approche de toi. Je me place en face de toi, entre tes jambes et pose mes lèvres sur les tiennes. Tes mains quittent ton tee-shirt qui redescend un peu pour passer derrière ma tête. Notre baiser dure longtemps, je te mordille les lèvres, nos langues se touchent.
Ma main descend sous ton tee-shirt à la recherche de tes seins. Ils attendent mes caresses, dressés et durs. Tu gémis quand je passe mon doigt autour de chacun de tes bouts de seins, puis un peu plus fort quand je te les pince un peu.
Nos bouches se trouvent à nouveau. Nos regards se croisent. J’aime lire ton désir dans tes yeux… Le désir et le défi aussi… Mes mains quittent tes seins pour se poser sur tes genoux. Je caresse l’intérieur de ses genoux si doux, en profitant au passage par jeu pour les faire s’ouvrir un peu plus.
Nos regards se croisent à nouveau, tu rougis un peu tandis que tu fais glisser tes fesses au bord de la table. Lentement, mes mains remontent l’intérieur de tes cuisses d’une caresse légère qui te fait frissonner. Je m’approche de l’aine, ta peau est chaude et un peu humide… Mes deux pouces se rejoignent de part et d’autre de ton sexe, caressent tes grandes lèvres… Nous nous embrassons de nouveau.
Je pose un genou à terre et me place entre tes cuisses. Ce sont maintenant mes lèvres qui remontent lentement la peau douce de l’intérieur de tes cuisses. Mélange de baisers légers et de petits coups de langue. Je m’approche de ton sexe, ma tête passe sous ta jupe, ton odeur m’enivre. Le premier petit coup de langue sur ton clitoris te fait sursauter, je sens ton frémissement du bout de ma langue. Tout en continuant cette caresse, j’entre un doigt en toi. Petit à petit, lentement. Tu es trempée, je lèche mon doigt et recommence. Je relève un peu la tête et te donne, à ton tour, mon doigt à lécher. Ta langue tourne comme une furie autour de mon doigt parfumé de ton plaisir. Je sais que maintenant plus rien ne pourra t’arrêter…
Je replace ma bouche sur ton sexe, c’est maintenant ma langue qui pénètre l’entrée de ton sexe trempé. Ma main cherche un accès à ton petit trou, je sens que tu bouges, t’approchant encore plus du bord de la table, t’écartant d’avantage, la plus belle des invitations. Mon doigt trouve rapidement le chemin que tu désires pour lui, et je te masse doucement l’entrée que je sens s’ouvrir doucement, tout en continuant mon jeu de langue et de mordillements sur ton sexe.
Une voix lointaine me fait me relever, accompagné par un gémissement de réprobation.
Ton premier réflexe est de refermer un peu les cuisses, mais je suis entre elles et ma main est toujours sur ton sexe.
Je place ma tête à-côté de ton oreille, la tête contre la tienne. Je sens ton souffle dans mon cou, et tes gémissements qui reprennent avec le mouvement de ma main sous ta jupe. Je surveille les passants au loin, ils ne nous regardent pas, mais tu ne le sais pas. Et vu notre position, pas de doutes sur ce que nous sommes en train de faire.
Tu adores ce genre de paroles dans le creux de ton oreille, et la peur d’être vue t’excite encore un peu plus, même si ta totale confiance en moi te fait penser qu’ils sont loin. Je sens que tu n’es pas loin de jouir, c’est le moment que je choisis en général pour ralentir un peu, pour essayer de faire durer ce moment hors du temps le plus longtemps possible pour toi. Tu le sais, et te mets à gémir et à bouger de plus belle. C’est maintenant toi qui donne le rythme sur mon doigt quasiment immobile… Et tu jouis d’un coup dans un gémissement plus long, essoufflée de ton plaisir. Je te serre contre moi pour profiter de ces ondes qui te traversent le corps. Ta bouche cherche la mienne, ta langue tourne.
Tes mains s’affairent sur ma ceinture, dégagent mon sexe de mon boxer. Tu me diriges vers toi, j’entre d’un coup sans aucun effort tant tu es trempée. Tu ondules sur moi, j’ai l’impression que tu m’aspires en toi. Nos regards se croisent, j’aime le regard sérieux et voilé que tu as lorsque tu prends du plaisir. Tes gémissements m’encouragent, tu me dis que tu vas jouir à nouveau. Je viens en toi, et tu m’accompagnes un ou deux coups de reins plus tard dans un petit cri. Nous nous serrons l’un contre l’autre, je reste en toi, presque prêt à recommencer de suite tant notre plaisir a été intense. Nous restons un long moment sans bouger, puis je me retire. Tu glisses le long de moi pour me prendre dans ta bouche et récupérer les dernières gouttes de sperme. Tu n’es jamais aussi sensuellement belle que dans ces moments-là, ces moments où tu fais tout pour me faire comprendre que tu aimes le sexe, que tu aimes ce que nous faisons ensemble…
Nous repartons alors vers l’entrée du parc, tandis que tu me fais la confidence à l’oreille que tu adores avoir mon sperme chaud qui coule le long de tes cuisses…
Claude Rousseau