n° 11909 | Fiche technique | 27398 caractères | 27398Temps de lecture estimé : 17 mn | 03/11/07 |
Résumé: Les autres locataires sont des curistes plutôt du genre casse-bonbon. Il y a en particulier une femme ; appelons-la Louisette - assez revêche, certainement plus de soixante ans, portant moustache et qui trouve toujours un prétexte pour tout critiquer. | ||||
Critères: fh fagée voisins gros(ses) bizarre laid(e)s sales fellation pénétratio uro -attirautr | ||||
Auteur : Henri le Comte (Homme la quarantaine) |
Seuls les noms et lieux ont été modifiés, bien sûr, le reste est authentique.
Il y a deux ans de cela, je sortais d’une année de galère : divorce, perte d’emploi et tout ce qui va avec. J’ai finalement déménagé à Nantes pour y trouver un nouveau job qui avait l’air de me convenir. Trois mois après avoir été embauché, mon patron me demanda si un chantier de longue durée, environ quatre mois, m’intéresserait : je sautai sur l’occasion, car les conditions pécuniaires étaient intéressantes.
Me voici donc parti en Auvergne, dans une ville d’eaux, pour travailler à la rénovation d’un hôtel. Les deux premières semaines, je loge à l’hôtel – pas celui en construction, bien sûr – et comme il est convenu que toutes les deux semaines je reviendrai à Nantes, me voici de retour au bercail. Le lundi, je passe à la boîte pour faire le point et c’est là que je rencontre Georges, un collègue habitué aussi à ce genre de chantier. C’est sur ses conseils que, de retour en Auvergne, je cherche une pension de famille, car j’ai négocié mes frais de déplacement et d’après lui, je peux encore gagner, avec ce genre d’hébergement, environ deux cents à trois cents euros de plus par mois !
Me voici donc installé à la pension de madame Dutier. Une femme pas marrante, mais la pièce, au demeurant confortable, est louée à un prix dérisoire, avec un petit-déjeuner assez copieux. J’ai une chambre au premier, la maison comportant trois étages. Les autres locataires sont des curistes, mais assez peu nombreux car nous sommes en fin de saison. Parmi eux, des hommes et des femmes, pas tout jeunes et plutôt du genre casse-bonbon quand je cause avec eux. Il y a en particulier une femme – appelons-la Louisette - assez revêche, à qui on ne peut donner un âge, mais certainement plus de soixante ans, portant moustache et qui trouve toujours un prétexte pour tout critiquer, jusqu’au temps, car durant une semaine il a plu tous les jours. Je sais qu’elle occupe une chambre au troisième, et ce depuis environ six mois. La raison de sa présence n’est donc pas la cure et pour tout dire, je m’en fiche éperdument.
C’est au cours de mon deuxième mois à la pension que madame Dutier me demande si je veux bien déménager au troisième, car elle envisage des travaux dans les chambres du premier durant l’intersaison. C’est ainsi que je deviens le voisin de palier de Louisette. C’est aussi à partir de ce jour qu’elle s’est mise à me dire bonjour avec le sourire, mais sans plus.
Un soir, quelques minutes avant de me mettre au lit, alors que je suis dans ma chambre en train de lire, on frappe à ma porte. J’ouvre et je me trouve face à une Louisette vêtue d’une chemise de nuit – oh ! pas quelque chose de sexy, non : une bonne vieille chemise de nuit en coton, boutonnée jusqu’au ras du col et qui lui descend jusqu’aux pieds ; elle venait me demander de venir voir si je pouvais redonner vie à sa télé. Ici, je dois dire que les chambres de la pension ne sont pas équipées de téléviseur, mais ce que j’appris ce soir-là, c’est que Louisette avait amené son propre récepteur.
Je me rends chez elle, pas vraiment enthousiaste, mais bon. Sa chambre est située juste en face de la mienne et je n’ai donc qu’à traverser le couloir. La première chose qui surprend, c’est l’odeur : ça sent le vieux, ou plutôt la vieille. Sur une chaise, elle a placé ses affaires et la culotte blanche posée sur l’ensemble indique qu’elle doit dormir les fesses à l’air ; mais pour tout dire, elle n’a rien de sexy, ni l’aspect ni le corps ; on devine simplement ses gros seins sous sa chemise de nuit, mais sans plus.
La télé est du genre portatif et fonctionne avec une antenne intérieure. Je ne suis pas long à trouver la panne ; c’est le câble qui est cassé au niveau de la prise. Je lui fais une réparation de fortune, en lui indiquant que le lendemain, j’amènerai ce qu’il faut pour réparer de façon plus solide. Je regagne ma chambre après qu’elle m’ait remercié, et je continue ma lecture jusqu’à ce que le sommeil me gagne.
Le lendemain soir, en rentrant du travail, je frappe à sa porte et, muni d’une paire de pinces et d’un tournevis, je fais une réparation plus solide. Elle est très satisfaite et me demande à combien se monte ma prestation. Je ne lui demande rien, mais ce dont je me rappelle, c’est qu’elle me dit quelque chose comme « Cela mérite bien une récompense ».
Le même soir, il est environ neuf heures, je viens de me laver les dents et on frappe à nouveau à ma porte. Immédiatement, je pense que ma réparation a lâché et je me prépare à revenir chez Louisette pour reprendre mon travail. C’est bien elle qui est là, toujours avec la même chemise de nuit que la veille, si ce n’est un détail que je ne remarque pas de suite, mais qui a son importance : les quatre boutons ne sont pas attachés. Elle est tout sourire et me dit :
C’est vrai que quelquefois, je suis un peu naïf, et je pense qu’elle va me donner quelque chose du type bouteille de vin ou autre, mais elle ajoute :
Je m’efface, et c’est elle qui ferme la porte derrière elle. Je m’attends à ce moment-là qu’elle sorte de derrière son dos une bouteille, mais non ; elle est venue les mains vides !
Alors là, je ne sais plus quoi dire ! Les bras m’en tombent, surtout - je le redis - elle n’a pas un physique agréable, avec ses moustaches, ses bajoues, rien d’attirant.
C’est vrai que depuis que je suis arrivé dans cette ville, je n’ai pas trouvé chaussure à mon pied, peu de jeunes, pas d’endroit où draguer, et puis mon boulot me prend pas mal de temps. Et là, une vieille, fanée, moche, flasque vient me proposer une gâterie. Je ne sais pas quoi répondre mais, allez savoir pourquoi, je réponds « oui ». Je m’attends à ce qu’elle ôte sa chemise de nuit, ou quelque chose comme ça, et je n’ai pas envie de la toucher, ni même de la caresser au travers du tissu, tellement ma surprise est grande. Elle me dit simplement :
Je fais glisser mon pantalon et mon slip et je m’assieds sur le bord du lit. À cet instant, j’ai vraiment l’impression de me trouver avec une pute que j’ai raquée et qui me fait, vite fait bien (ou mal) fait, une pipe au tarif syndical. Elle s’assoit à ma gauche et, d’un geste, elle m’incite à m’allonger complètement sur le lit, ce que je fais sans chercher à comprendre. À ce moment-là, j’imagine tout et n’importe quoi : en particulier je la vois bien relever ou enlever sa chemise de nuit, et se mettre à califourchon sur moi pour me sucer en offrant sa chatte de vieille à ma vue, et peut-être me demandera-t-elle de la sucer à mon tour, ce qui ne m’enchante guère ! Mais non, elle se penche et, immédiatement, ma queue se retrouve enserrée entre ses lèvres. Elle commence alors un travail que je dois qualifier de remarquable. Je ne sais rien d’elle, ni même son âge, mais ce que je peux affirmer c’est qu’elle sait travailler une queue !
En désespoir de cause, je ferme les yeux, me laissant aller au plaisir, et elle sait y faire. Tantôt aspirant le gland contre son palais, tantôt glissant ma queue entre sa joue et ses dents, tout cela sans aucune morsure, pompant, puis s’arrêtant d’un seul coup, elle prend le gland entre ses lèvres, titille le méat avec sa langue, puis recommence le pompage.
De la façon dont elle est habillée, avec cette chemise de nuit, sous laquelle je sais qu’elle n’a rien, je peux juste caresser un sein, et encore : de temps à autre, elle repousse ma main. Ce qui doit arriver arrive ! À force d’aspirer, de pomper, de sucer comme il le faut, je lui lâche toute ma marchandise dans sa bouche qui demeure collée à mon gland, tandis qu’elle me caresse les testicules avec un savoir-faire d’experte. J’ai l’impression que sa langue est arrivée au fond de mes bourses et qu’elle y nettoie la réserve de sperme ! Je suis vidé comme rarement je l’ai été !
Et elle ne lâche toujours pas le gland. Je la sens déglutir, car elle avale tout le contenu de mon éjaculation ! Puis, sans que ma queue ait le temps de se remettre de ces émotions, elle se remet à me pomper, mais l’effort ayant été ce qu’il fût, ma queue refuse tout service nouveau ! Comprenant rapidement que ce sera vain, elle se détache enfin, se lève :
Je réponds un timide « oui », tout en regardant ma queue flasque et rouge posée sur ma cuisse. Alors, sans rien dire, elle attrape le bas de sa chemise de nuit et l’ôte, se découvrant entièrement nue devant moi ! Elle a le corps d’une vieille femme, des seins gros et pendants, le téton face au sol, quant à son sexe, il émerge au milieu d’une toison des lèvres fripées, noires plus que roses. Elle pose sa chemise de nuit sur mon lit, et s’approche de moi en posant ses mains sur son sexe qu’elle ouvre.
Alors là, la trouille me prend, je n’ai pas honte de l’avouer. Je me vois contraint de sucer ce sexe, dont la partie intérieure légèrement rosée m’apparaît déjà entre ses doigts. Elle masturbe lentement le clitoris, puis elle tire sur ses lèvres qui s’allongent d’au moins cinq à six centimètres ! Je ne sais pas quoi faire devant une telle exhibition. Elle est toujours debout, les jambes écartées autant que ses rondeurs le lui permettent, ses lèvres pincées entre ses doigts, son index passant lentement sur son petit bouton.
Je décide alors de me relever pour m’asseoir sur le bord du lit. Il ne lui en faut pas plus, elle vient se placer de chaque côté de mes jambes, et s’assied sur mes cuisses, en posant ses mains autour de mon cou. J’ai devant moi ses seins qui se balancent, et qui me tentent. Je pose timidement une main dessus.
Je les prends alors à pleines mains, et sans m’en rendre compte, je commence à sucer un des tétons que j’ai relevé en passant une main dessous ! Diable ! me voilà en train de sucer les nichons d’une vieille, et en plus elle aime ça, à voir comment ils sont devenus durs entre mes lèvres et mes dents.
Elle a toujours ses mains autour de mon cou pour ne pas tomber à la renverse, et moi je caresse et suce ces tétons qui durcissent à un point que c’en est pas croyable pour une femme de cet âge. Comme elle s’est assise sur mes cuisses, en fait sur mes genoux, en écartant légèrement mes jambes, je fais de même avec les siennes, et ma main droite abandonne son sein pour se poser sur sa cuisse, et remontant vers son entrejambe, je peux glisser un doigt dans son sexe qui bâille. Je sens distinctement, sans les voir, ses lèvres noires que j’ai vues l’instant d’avant, et que je peux prendre entre mes doigts, et les tirailler comme elle l’a fait quelques minutes plus tôt. Effectivement, je sens qu’en les prenant entre le pouce et l’index, sans qu’elle en manifeste la moindre douleur je peux les tirer de façon à les apercevoir par-dessous son ventre, car assise comme elle l’était, son ventre flasque ne me permet pas de voir son sexe.
J’essaie alors d’introduire un doigt dans son vagin ; il y rentre sans mal, d’abord l’index, puis le majeur, enfin les deux, mon pouce ayant trouvé, sans avoir trop à le chercher, son petit bouton. Elle secoue son ventre, ferme les yeux, et moi je ne sais pas ce que je dois faire d’autre, car ces caresses que je lui prodigue ont eu pour conséquence première de me faire bander à nouveau. Je sens son sexe s’humidifier, et s’écarter sous la pression de mes doigts. Je les ressors, car elle a glissé, et je dois poser mes mains derrière son dos pour la rapprocher.
C’est là que je vois que mes deux doigts sont recouverts d’une pâte blanche, formée de petits grumeaux, assez consistants, et humides ; elle a des écoulements de je ne sais quoi, mais pas quelque chose qui incite à la pénétration sans protection !
Son âge ! Justement, je l’ignore, mais de l’avoir vue là, devant moi, de la tripoter, je lui donne maintenant près de soixante-dix ans ! Et pourtant elle m’excite ! Avec sa moustache, mais quand je la regarde, je ne vois que ses lèvres qui m’ont donné tant de plaisir quelques minutes plus tôt !
Dans le mouvement que j’ai fait pour la rapprocher de moi, elle a collé ses seins sur ma poitrine, ce qui contribue à augmenter mon excitation, et son ventre est à présent collé à ma queue qui pointe vers le haut !
Nous ne nous sommes toujours pas embrassés, et pour tout dire, cette bouche qui m’a sucé un peu plus tôt ne me tente pas ! Surtout la moustache. Maintenant je devine son désir, elle veut que je la pénètre, sans dire un mot, mais je sens son désir se faire plus fort chaque seconde. Je me dis que sous son poids (elle n’est pas maigre) si je bascule en arrière sur le lit, elle ne mettra pas plus d’une seconde à s’enfiler ma queue dans sa chatte largement ouverte !
Mais pour moi, pas question ! D’abord un petit chapeau s’impose. Je me rends compte alors comment j’ai pu me faire piéger ! C’est elle à présent qui mène les débats, ou plutôt les ébats !
Mes mains sont passées sous ses fesses, et j’essaie en vain d’arriver à son sexe, mais elle est assez corpulente et mes tentatives demeurent sans effet. Il me faut quelques instants pour trouver la solution : je me laisse aller à la renverse et la fais glisser sur le côté, de façon à ce qu’elle se trouve allongée en travers de ma couche, me permettant ainsi de me dégager.
Je me retrouve debout, tandis qu’elle, ayant compris ce que je veux, s’est installée en travers du lit, et en remontant ses jambes, elle ouvre son sexe en tirant sur ses lèvres. Quel spectacle ! La chair rose de son entrée vaginale est toute gluante de ces pertes blanchâtres dont j’ai encore les traces sur mes mains, et le pire c’est que ça se met à dégouliner sur le dessus-de-lit ! Je pense à la femme de chambre de madame Dutier qui, trouvant ces traces, se demandera quelle en peut en être l’origine !
C’est la première fois qu’elle me tutoie.
Elle est offerte, son sexe flasque ouvert, ses doigts tirant de façon exagérée sur ses lèvres noires et excitantes, je me pose la question du préservatif ou pas. La seule chose qui m’indispose est en fait cet écoulement blanchâtre.
Disant cela, je lui introduis mon index dans le vagin, et le tournant un peu, je le retire tout plein de cette matière blanchâtre.
En d’autres temps, une femme plus jeune se positionnant comme ça devant moi, je lui aurais bouffé le clitoris, mais là cette vieille, avec ses bourrelets, ses seins qui tombent maintenant de chaque côté de sa poitrine, non, merci bien !
Je bande quand même de plus en plus à cette vue de sexe ouvert, et je n’ai qu’une trouille, hormis les maladies, c’est qu’elle se mette à gueuler à ameuter le quartier ! Je sais qu’à l’étage, il y a un couple d’une cinquantaine d’années, et je veux faire ça en toute discrétion. Au moins, la pipe ça se passait bien !
Je fais un rapide aller-retour dans le coin toilette, et à l’aide d’un gant humide, je lui nettoie l’entrée du vagin, allant même jusqu’à rouler le gant pour essuyer ces pertes blanches. Je remarque que lorsque je ressors le gant de son vagin – il est entré de quelques centimètres – des fils de jus transparents le suivent. Je pose le gant sur le lit, et me penchant en avant, je présente ma queue en face de son sexe qu’elle maintient toujours largement ouvert.
Je n’ai même pas à pousser, elle se cambre, d’une façon étonnante, et ma queue est aspirée dans un milieu chaud, lubrifié, et pour tout dire très agréable ! Elle a à présent lâché ses lèvres, et ses mains sont posées sur mes bras, tandis que je lui imprime de classiques mouvements de va-et-vient au plus profond de son ventre de vieille.
Elle ferme les yeux, mais moi, je n’ai toujours pas envie de l’embrasser, surtout que, regardant de près, je découvre au coin de ses lèvres, des traces de mon sperme, et ce n’est pas trop mon genre de faire bisou-bisou après la pipe ! Mais il faut dire qu’elle semble apprécier la présence de ma queue en elle, ses mains se crispent une première fois sur mes fesses, ses ongles rentrant dans le gras de celles-ci, et deux ou trois coups de reins violents suivis d’un « Oui oui oui » : elle vient d’arriver. Je poursuis encore quelques coups et c’est à mon tour de lâcher, dans son vagin cette fois, ma deuxième décharge de la soirée !
Et elle mouille, elle mouille. Je sens mes bourses devenir moites. Un coup d’œil pour voir s’il s’agit de cette crème blanche vue au début : non, elle perd de l’urine ! Je me retire vivement et, prenant le gant – heureusement qu’il n’est pas loin – je l’applique sur son sexe béant, le méat situé près de son clitoris laisse s’écouler de l’urine, tandis que de son vagin s’écoule ma semence et peut-être aussi ces pertes blanches, le tout mêlé en un liquide visqueux !
Elle applique le gant sur son sexe, tandis que je me dépêche d’aller me rincer la queue afin de prévenir je ne sais quelle infection !
Elle arrive derrière moi, et le plus naturellement du monde s’installe sur la cuvette des WC et se met à uriner. Elle doit avoir une sacrée envie, car le flot fait un bruit de cascade et dure un bon moment. Tout cela sans dire un mot. Ma queue lavée et essuyée se trouve, de par la position relative du lavabo et des WC, à hauteur de son visage. Je tente bien de la lui présenter, espérant qu’elle la prendra une nouvelle fois dans sa bouche, mais non, elle tourne la tête.
Elle s’essuie, se lève et revient toujours sans dire un mot dans la chambre, où elle se revêt de sa chemise de nuit. Je ne sais pas trop quoi dire ; il est vrai que je viens d’avoir une pipe d’enfer, de la satisfaire à son tour, que demander d’autre ! Elle ouvre la porte et me dit simplement, avant de la refermer :
Je l’entends rentrer chez elle et fermer sa porte. Je n’ai qu’à nettoyer un peu, laver le gant plein d’urine et de sécrétions et une petite demi-heure plus tard, je dors.
C’est le lendemain, au petit-déjeuner, que je prends vraiment toute la mesure de ce qui m’est arrivé. Je descends en général vers sept heures, et Louisette arrive invariablement vers sept heures et quart. Elle s’installe à sa place habituelle, sur la table voisine de la mienne. Pas un mot, pas un regard, aussi revêche que les autres jours, alors que nous sommes seuls dans la petite salle à manger. C’est en la regardant d’un autre œil, ce matin-là, que je me dis que quand même, j’ai bien peu de goût : elle est effectivement pas du tout attirante, et pourtant je me dis que cette bouche, entourée de poils noirs, m’a procuré une douzaine d’heures plus tôt un sacré plaisir, comme quoi… Sur ce, je termine mon café, et je vais à ma journée.
Le soir venu, lorsque je rentre, j’entends la télévision dans sa chambre. Je me douche, et je vais ensuite, comme souvent, dîner en ville. C’est en revenant vers dix heures qu’à peine entré dans ma chambre, je l’entends frapper de nouveau à la porte. Ce soir, elle est habillée comme je l’ai vue le matin, c’est-à-dire avec une robe de coton.
Elle entre, je referme ma porte derrière elle. Elle me regarde en souriant :
Je suis stupéfait. C’est Docteur Jekyll et Mister Hyde, du moins au féminin ! Le matin pas un regard, et le soir elle vient chercher son petit plaisir ! Je suis pris au dépourvu, mais je me reprends vite :
J’essaie de l’attirer contre moi, mais elle se refuse. Elle entreprend alors de déboutonner sa robe, et de la faire glisser. Strip-tease de vieille ! On aura tout vu ! Je me recule légèrement, et admire – si on peut dire – ce spectacle. Elle porte sous sa robe une combinaison de couleur chair, comme on dit, mais assez transparente tout de même pour que l’on aperçoive au travers qu’elle a une espèce de combiné qui fait soutien-gorge, gaine et porte-jarretelles, car elle a des bas. Elle ôte sa combinaison comme elle a, la veille, enlevé sa chemise de nuit. Elle n’a plus que ce combiné et une culotte blanche, la même que celle que j’ai aperçue sur la chaise, chez elle, lorsque j’y suis allé. Elle la pose, après l’avoir pliée soigneusement, sur sa robe tout aussi bien pliée, sur une des deux chaises qui meublent ma chambre.
Je n’ai jamais vu un tel spectacle ! Pas un mot. J’ai l’impression qu’elle se déshabille comme si je n’existais pas, comme elle doit le faire chaque soir dans sa chambre. Elle continue, en faisant glisser sa culotte, la pose sur la combinaison, et là, lorsqu’elle se tourne, je découvre quelque chose que je n’ai jamais vu : ses fesses serrées par cette gaine, avec ses jarretelles tenant ses bas tendus à en craquer, tout cela m’excite prodigieusement. Je ne peux me retenir, et ma main se pose sur ces fesses rebondies sous la gaine. Elle ne dit rien ne bouge plus : elle attend mes caresses, à présent.
Je pose la seconde main sur l’autre fesse et commence à les lui masser. Elle pose ses mains sur le dossier de la chaise, et ainsi penchée en avant, elle offre à mes yeux une vue nouvelle sur son sexe. Vu de derrière, je distingue ses lèvres noires et charnues. En fait, la surface de chair qui m’est offerte est très réduite, entre le bas et la gaine, c’est tout. Je lui écarte légèrement les jambes, elle se laisse faire ! Le plus compliqué pour moi, c’est de défaire mon pantalon et mon slip, car j’étais encore habillé lorsqu’elle est entrée. Comme la veille, je pose mon index entre les bourrelets formés par ses lèvres, et je pousse : il y entre sans forcer. Quelques allers-retours plus tard, je le ressors, mais là, pas de pâte blanche, comme la veille. Son sexe est propre, ce soir. Il ne m’en faut pas plus, si ce n’est qu’elle se déplace, d’elle-même, posant ses mains sur le bord du lit, plus stable que la chaise, écartant ses jambes autant que la gaine le lui permet, et c’est pas mal ! Je remplace avantageusement mon index par ma queue, et là, plaisir, jouissance, un sexe serré, humide, chaud, des contractions internes amplifiant mon plaisir. Chacune de mes poussées se traduit par des ondes sur la partie visible de ses fesses, ondes qui s’arrêtent à la limite de la gaine, mais la pénétration se limite aussi par ce butoir contre lequel mon ventre se heurtait.
Et toujours pas un mot, simplement quelques gémissements très faibles, lorsque ma queue entre au maximum permis par ses fesses. Au bout d’un moment de cette position, je veux changer, et je me retire.
Je vois alors, en prenant un peu de recul, son sexe ouvert. C’est là que je comprends que chez les vieilles, le vagin étant moins souple, il reste béant lorsqu’on se retire. Cette vue m’excite et je m’amuse à glisser ma queue, la retirer, mais elle me demande de rester : elle attend que je l’inonde. Je l’attrape alors par les hanches et je la défonce de plus belle, jusqu’à ce que mon sperme s’épande en elle en longues giclées. Les « Oui, oui » qu’elle prononce, sans parler de certaines contractions ressenties m’indiquent qu’elle est arrivée, elle aussi.
Je me retire, tandis qu’elle se laisse aller sur le lit, allongée en travers, son sexe tout gluant de mon sperme qui coule. Je pense alors à l’urine : si elle pisse maintenant, elle inonde mon lit ! Aller expliquer ça à la mère Dutier ! Mais non, c’est juste mon sperme qui coule, d’autant plus que je ne l’ai pas déchargé complètement au fond, mais plutôt à l’entrée. Je lui passe un coup de gant entre les cuisses, puis elle se relève. Elle reprend alors sa robe, la passe et, prenant sa combinaison et sa culotte à la main, elle repart. C’est au moment où elle ouvre la porte qu’elle se retourne et me dit :
La porte refermée je reste un moment à me demander ce qu’elle cherche. Je me douche pour la seconde fois de la journée, et je m’endors.
Je suis resté encore six semaines chez la mère Dutier. Tous les soirs, je dis bien tous les soirs, à l’exception des week-ends où je rentrais à Nantes, elle est venue. Pipe, baise, parfois les deux, mais jamais elle n’a passé la nuit dans la chambre. Cela s’est toujours passé entre dix heures et minuit, et toujours aussi peu de paroles.
Je suis reparti à Nantes, je ne savais même pas quel âge elle avait.
En tout cas, à de nombreuses reprises, je n’ai pas honte de le dire, j’ai pris beaucoup de plaisir à me faire sucer par cette bouche, même si elle avait de la moustache.