Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11926Fiche technique10455 caractères10455
Temps de lecture estimé : 7 mn
06/11/07
Résumé:  Une jeune femme esseulée revient, vingt ans après, sur les lieux de son enfance. Mais si les choses n'ont guère changé, les hommes, eux...
Critères:  fhh voisins exhib noculotte fellation pénétratio fsodo journal nostalgie -journal -voisins -fhh
Auteur : Adonis            Envoi mini-message
Souvenirs mélancoliques et bucoliques

Amandine a perdu sa grand-mère. Elle décide d’aller passer trois jours, seule, dans la maison de famille. Elle veut retrouver la douceur de ses souvenirs d’enfance et faire le point sur sa vie. Elle n’a pas d’enfant, elle n’aime plus son mari et l’a quitté il y a maintenant quatre mois. Elle a aujourd’hui 33 ans, et cela fait vingt ans qu’elle n’est plus revenue ici.




1° jour


Voilà, je suis enfin arrivée. La route a été longue, j’ai des courbatures et il commence à faire très chaud pour un mois de juin. J’ai retrouvé avec bonheur la petite route qui monte jusqu’au village, les forêts à perte de vue… Apparemment rien n’a changé. C’est toujours aussi joli. Les corps de fermes sont magnifiques même si, depuis quelques années, il n’y a plus personne pour les entretenir. On dirait qu’ici le temps s’est arrêté. Mon père m’a dit qu’il ne restait plus dans le village que Pierre et Jean, deux frères qui doivent approcher la cinquantaine. Leur maison est juste en face de la nôtre. Le temps de sortir mes bagages et d’ouvrir la maison pour l’aérer, les deux frangins arrivent. Ils doivent venir du jardin. Je suis très contente de les revoir. Les retrouvailles sont gaies, sincères et nous sommes émus. Ils ont vieilli un peu. Ce sont maintenant deux hommes dans la pleine force de l’âge. Eux, sont encore plus étonnés. La petite Amandine est devenue une femme et je sens leur regard évaluer les formes et les courbes qui, depuis, ont poussé. Je ne leur en veux pas. Deux vieux garçons qui n’ont pas le loisir de voir souvent de femme…


Bien que j’aie grandi, Pierre, l’aîné, m’impressionne toujours. Il a encore la stature imposante et un corps musculeux. Avant, je n’étais pas sensible à ça, mais il se dégage de lui une virilité brute. Je me dis qu’avec ce corps, cette gentillesse et son visage buriné, bien des femmes tomberaient sous le charme. Jean est de deux ans son cadet. Il est moins imposant que son frère, mais lui aussi très bien foutu. Il est doté d’une musculature beaucoup plus fine. Dans sa façon de se déplacer, de bouger et de parler, il est toujours empreint d’une certaine classe innée qui lui confère des allures de dandy. Il a gardé un visage juvénile et un sourire qui fait craquer. J’ai envie de le prendre contre mes seins et de le cajoler. Toujours aussi gentil, toujours aussi prévenant : c’est un gentleman bucolique et un dragueur impénitent qui ignore combien il peut être attirant.


Je les invite à manger à la maison ce soir. Ils sont contents. Moi aussi. Je retrouve la maison de grand-mère, la cour, les bâtiments. Comme dans le bon vieux temps, après être allée me doucher, je lave mon linge au lavoir et le mets à sécher dans le jardin. Pour finir la journée, j’ai opté pour un mini-short moulant et un top tout aussi moulant que léger. Pas de soutien-gorge, ici je peux libérer ma poitrine. Tant pis si les deux frères me lorgnent. J’ai envie d’être à l’aise et ils ont droit de se rincer l’œil, eux qui ne voient presque jamais personne.


Pierre et Jean sont venus vers sept heures et demie. Le repas était prêt. On a mangé et bu du vin. Je sentais leurs yeux rivés sur mes fesses quand je leur tournais le dos. Quant à mes seins, ils n’en pouvaient plus de les regarder. Vers dix heures trente on est allé se coucher. J’étais pompette et excitée. Il est bon de se sentir désirée. Dans le lit, je me suis caressée. Je me suis imaginée en train de faire l’amour avec eux. J’ai laissé mes doigts caresser et pénétrer la fente secrète nichée entre mes cuisses. J’ai joui et je me suis endormie pour voguer vers des rêves érotiques.



2°jour


J’ai passé la journée vautrée sur le transat. Je n’ai pas osé me découvrir les seins, mon bikini en laisse voir déjà bien assez. Je ne sais pas pourquoi, d’habitude, je ne suis pas une allumeuse… Mais peut-être les premières chaleurs, ces deux mâles à proximité, je suis toute chose et j’aime m’exhiber à moitié nue devant eux. D’ailleurs, ça ne fait de mal à personne et ils en profitent pour se rincer l’œil. À part dans leur regard, aucun geste déplacé… De savoir qu’ils me désirent, m’épluchent des yeux et peut-être se sont masturbés hier en pensant à moi… J’ai des envies d’exhibition, de sexe et de me laisser aller. J’ai envie qu’ils posent leurs mains sur moi, qu’ils explorent mon sexe, mes fesses et mes seins. J’ai envie d’être prise, désirée… Je veux me soumettre à eux et qu’ils me soient soumis.


J’allume dans leurs yeux des étincelles et des envies. Dans les miens luisent les mêmes lueurs et je sens au bas de mon ventre, un appel et une chaleur, qui me donnent envie de leur plaire. Je me pose des questions que je ne me suis jamais posées. Vont-ils de temps en temps en ville pour voir des prostituées, est-ce que le reste du temps ils se masturbent (ce qui me fait monter immédiatement le feu aux joues et au bas du ventre), regardent-ils des films pornos et des revues cochonnes ? Ce n’est pas possible de vivre sans faire l’amour. Il y a des désirs sexuels que l’on est obligé d’assouvir. Là, allongée, je m’imagine leur pénis au repos ou en érection, le sperme jaillissant, leurs fesses dures entre mes doigts et me pilonnant… J’ai des fantasmes plein la tête et j’ai envie de me caresser. Ce soir, j’ai envie d’une orgie de muscles et de bites. Une envie de me faire prendre et d’être désirée, caressée, léchée…


Cette fois-ci, ce sont eux qui m’ont invitée à manger… J’ai décidé alors que cette nuit je m’offrirais à eux. Trois bonnes raisons pour cela : je n’avais jamais couché avec deux hommes en même temps, j’avais envie de leur faire plaisir et j’étais un peu manque de sexe… J’ai mis une jupe ultra-courte et pas de culotte, un haut très échancré et pas de soutien-gorge. Devant un des miroirs de la maison, je me suis préparée. C’était impeccable. Quand je me baissais, on pouvait voir le bas de mes fesses et même mon sexe que j’avais épilé. Pour le haut, il suffisait que je me penche pour que mes seins apparaissent dans toute leur volupté. On pouvait les voir bouger sous le tissu et on devinait les mamelons qui pointaient. C’était parfait.


Je me présente chez eux vers huit heures, un peu gênée finalement d’être aussi courtement vêtue. Nous prenons l’apéro, et l’alcool, comme d’habitude, me monte vite à la tête. La gêne s’estompe pour faire place à nouveau à une douce chaleur au bas de mon ventre. Pendant le repas, je mets en valeur mes atouts, j’adopte des positions provocatrices et laisse voir ce je n’ai pas l’habitude de montrer… Je laisse mes seins se balancer et découvrir leur naissance. Je me penche, cambre mes fesses… Le vin et leur regard pénétrant m’enivrent. Je me dis que maintenant, les dés sont jetés. Ils me désirent et je les veux.


Je suis chez eux, prête à consommer et à me faire consommer. J’offre ma croupe et mes seins à leurs yeux qui brillent. Le vin me fait tourner la tête. Je deviens de plus en plus impudique et les deux frères boivent plus que de coutume. Je sens qu’ils ont du mal à canaliser leurs envies. J’ai envie qu’ils posent leurs mains sur moi, qu’ils me déshabillent. C’est Pierre qui cède en premier. Je suis assise sur ses genoux et je sens son sexe dur sous mes fesses, à travers le pantalon. J’expose mes seins bombés et les colle presque contre son visage. Il en sort un et le caresse. Je me laisse faire et le regarde dans les yeux. Il l’embrasse et le mordille et je me sens fondre. Il m’entraîne dans sa chambre. Jean nous suit. Il me jette sur le lit.


Tous deux ont le regard fiévreux et se déshabillent. Je vois leur sexe jaillir, luisant d’envie, obscène et déjà bandé. Ils sont beaux et musclés. À la fois doux et impatients, ils me dénudent complètement. Je sens leurs mains, leurs bouches qui explorent toutes les parties de mon corps. Je les caresse moi aussi, je griffe, je prends leur verge dans ma main. Tous trois sommes désormais hors de contrôle. Je n’ai jamais aussi bien fait l’amour. Je suis endiablée. Je prends leur queue dans ma bouche, les suce, lèche, j’écarte mes cuisses impudiquement, je m’ouvre, je fonds… Deux beaux sexes pour moi, mon corps pour eux. Je me mets à quatre pattes pour me faire prendre. Ils passent à tour de rôle. Leur bite me pénètre, m’emplit et me fait jouir. Dans ma bouche, je les cajole, entre mes doigts, je les branle, entre mes cuisses, ils vont et viennent.


Nous avons fait l’amour pendant quatre heures et je ne sais combien d’orgasmes. Malgré la taille de leur pénis, même la sodomie, qui m’avait toujours fait peur, a été agréable et m’a fait jouir. Je voulais les sentir entre mes fesses, entre les lèvres de mon sexe et de ma bouche. Je voulais qu’ils me possèdent entièrement. Quand nous avons eu fini, j’avais du sperme partout : bouche, visage, sexe, raie des fesses, cuisses… J’étais bien, j’étais leur reine, ils n’avaient d’yeux et d’envie que pour moi. J’ai dormi avec eux, entre eux deux, leurs mains posées ou parfois caressantes sur moi.



3° jour


Voilà, il est temps pour moi de partir. Nous avons passé une nuit magnifique, un réveil aussi, plein de sexe et d’amour. Ils m’ont lavée, préparé le petit déjeuner. Ils ont été aux petits soins pour moi. Nous nous sommes promenés nus toute la matinée, nous touchant et nous caressant souvent. Maintenant, je me suis rhabillée et eux aussi. J’ai fermé la maison et avant de partir, je les embrasse sur la bouche, leur caresse une dernière fois le sexe à travers l’étoffe de leur pantalon. Nous sommes tristes tous les trois. Ils demandent à embrasser mes seins une dernière fois et je les laisse tendrement déposer un dernier baiser sur chacun de mes mamelons. Je les presse contre moi comme deux grands bébés… J’ai pour eux autant de désir sexuel que de tendresse. Je leur dis que je suis impatiente de les revoir. Je compte bien revenir… Et je reviendrai.