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n° 11933Fiche technique8515 caractères8515
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/11/07
Résumé:  En vacances dans son village natal, un jeune étudiant a bien de la chance.
Critères:  fh fplusag jeunes cocus gros(ses) grosseins vacances voiture autostop voir fellation cunnilingu pénétratio humour -occasion -fplusag
Auteur : Frank Leroux
Un fruit bien mûr

Quand elle passait, toute la bande se taisait. C’était la femme de l’épicier, nous la connaissions depuis toujours. La jeune trentaine, brune, un peu enrobée, elle affichait toujours un sourire désarmant. Plus désarmante encore, sa façon de bouger provoquait immanquablement un désordre étourdissant dans nos têtes d’adolescents boutonneux. Son apparition nourrissait des heures de conversation où l’on tentait de prouver aux autres qu’on était le plus connaisseur sur le seul sujet qui nous intéressait vraiment. Le soir, je me couchais en rêvant à ses seins bien ronds, à sa croupe éblouissante. Je la trouvais tellement… appétissante.



* * * * *



Cinq ans plus tard, je revenais chez moi pour les vacances. Mes boutons avaient disparu depuis longtemps. Grand, mince, et plutôt athlétique, on me disait beau garçon. J’avais déjà un certain nombre de conquêtes féminines à mon actif, même si beaucoup de femmes n’avaient aucun mal à me résister.


Le car m’avait laissé à un carrefour. Il me restait encore une dizaine de kilomètres pour atteindre mon village. Un cousin devait m’attendre à ce carrefour, mais il n’y était pas. Ça ne m’étonnait qu’à demi : il était sûrement encore au lit, avec une bonne gueule de bois. Je décidai de faire le reste du chemin en stop. Plusieurs voitures étaient passées, sans ralentir. Un camion approchait. Je le reconnus tout de suite, c’était celui de l’épicier. J’étais certain qu’il ne s’arrêterait pas. Il m’avait trop souvent surpris à lui piquer des friandises… et des revues pornographiques. Aussi fus-je bien surpris de le voir ralentir, puis s’immobiliser. La portière s’ouvrit, et il me dit :



Le camion s’était remis en marche.



J’étais catastrophé. Il m’avait pris au dépourvu et j’avais eu l’air d’un idiot. Avant que j’aie pu réagir, il s’était déjà garé et était descendu chercher sa femme. Quelques minutes plus tard, il ressortait avec elle. Ce qui me frappa d’abord, c’est qu’elle avait changé. Un peu trop ronde à mon goût, je lui trouvais maintenant quelque chose d’un peu vulgaire. Mais son décolleté fit rapidement disparaître mon esprit critique. Elle monta dans la camionnette en me gratifiant d’un sourire qui me désarma encore une fois. Elle s’assit à côté de moi, sans me dire un mot, ce qui me mit un peu mal à l’aise. Nous reprîmes la route. La banquette de la camionnette était assez large pour trois passagers, mais nous étions tout de même un peu serrés. Je sentais sa cuisse contre la mienne, et j’avais du mal à regarder devant moi. Il me suffisait de baisser les yeux, un peu de biais, pour avoir une vue imprenable sur ses seins. Je crois que si elle s’était penchée un peu plus, j’aurais pu voir ses mamelons. Ses seins, sans être énormes, étaient généreux. L’épicier avait l’air ravi. Un peu avant le village, il tourna à droite et s’engagea dans le petit chemin du cimetière.



Je savais bien que, passé le cimetière, le chemin finissait en cul-de-sac, dans un petit boisé. Il stationna la camionnette au bout du chemin et me dit :



J’étais maintenant seul avec l’épicière. Elle avait une odeur fruitée. Ça peut sembler idiot, mais on aurait dit une odeur de melon…



Je n’arrivais pas à y croire. Elle me croyait vierge et elle voulait me dépuceler. Je n’allais quand même pas la décevoir. Elle se pencha vers moi et j’aperçus un mamelon. Un doux parfum montait de son corsage. Un parfum de framboise, je le jure ! Je bandais comme un cerf. Elle souleva son chandail et me présenta sa poitrine. Dieu, que c’était beau ! Deux globes magnifiques, bien remplis, avec des aréoles larges et foncées, et quelques vergetures qui leur donnaient un petit air « bio ».



C’était vrai. Je plongeai ma tête entre ses seins. J’aurais voulu m’y noyer. Sous mes paumes, je sentais ses mamelons bien dressés. J’en attrapai un dans ma bouche. Je tétais comme un nourrisson, trop fort, à dessein.



Ses doigts caressaient mes cheveux, pressaient ma tête contre sa poitrine. Je posai une main sur son genou, et remontai doucement sous sa jupe. Je tentai de glisser un doigt sous son slip.



Elle passa sa main entre mes jambes, s’attarda sur mes couilles, puis s’arrêta sur ma verge. Elle descendit ma braguette, défit l’attache de mon pantalon et me dit :



Elle descendit mon pantalon, embrassa ma queue à travers mon slip qu’elle abaissa ensuite sur mes chevilles. Son visage était tout près de ma verge.



C’était gentil, car, côté outillage, je suis tout à fait dans la moyenne. Mais l’évidente sincérité de son compliment et la chaleur de ses lèvres, qu’elle venait de poser sur mon gland, me firent gagner miraculeusement deux centimètres. D’une main, elle tenait la base de ma verge pendant que sa bouche coulissait de haut en bas. C’était trop bon – et, après tout, n’étais-je pas puceau – je ne me retins pas plus longtemps. Elle garda mon sexe dans sa bouche et avala ma semence sans en laisser échapper une goutte.



Ce baiser au goût de sperme était tout à fait nouveau pour moi. Je recommençai déjà à bander.



Elle avait écarté ses jambes, et dégagé son sexe. Une toison noire, lisse, fournie, entourait les grandes lèvres bordées de noir. Un joli clitoris pointait tout rose, suppliant. J’enfonçai ma langue dans ce sexe entrouvert. Il avait le goût lourd d’une mangue un peu blette. Un goût enivrant. Je pris son clitoris entre mes lèvres. Elle remuait ses hanches, écrasait ma tête contre son pubis. J’avais les joues pleines de son jus. Elle supplia :



Je me mis à genoux. Elle guida mon sexe vers sa fente. Je m’enfonçai en elle. Ses cuisses enserraient ma taille. Ses seins tressautaient sous mes yeux. Elle se mit à gémir, à crier :



Elle attrapa mes fesses, me tira contre elle, et je jouis au fond d’elle, une seconde fois. Je regardai son visage, ses lèvres pulpeuses, rouges comme des cerises. Ses yeux noirs étaient perdus dans le vide.


Quelque chose me poussa à regarder par-dessus mon épaule. L’épicier venait de gicler sur le pare-brise…