n° 11943 | Fiche technique | 12796 caractères | 12796Temps de lecture estimé : 8 mn | 10/11/07 |
Résumé: Ambre va perdre son samedi après-midi pour conduire des amis de son fils au foot. Ne les voyant pas sortir des vestiaires, inquiète, elle va voir ce qu'il se passe. | ||||
Critères: fhh fplusag jeunes grosseins sport voir facial fellation init | ||||
Auteur : Le jeune homme vert |
Ambre ne décolère pas depuis le départ de son domicile. Cette journée de juin est superbe et elle va perdre son samedi après-midi pour conduire deux gamins au foot. Le pire, et c’est ce qui la met en colère, c’est que le sien est resté cloué au lit avec une forte fièvre. Mais le planning a été fixé en début de saison et, tous les deux mois, c’est son tour, avec deux autres parents et l’entraîneur, d’emmener la douzaine de garçons au match quand l’équipe joue à l’extérieur. Et avec ce beau soleil, aucun parent disponible pour la remplacer évidemment !
La route est pourtant agréable. Les frondaisons des arbres dessinent une voûte au-dessus du ruban de bitume. Mais la succession des virages requière toute son attention et elle ne prête pas trop l’oreille aux propos de Frédéric et Christophe, les deux amis de son fils. Enfin, une ligne droite lui permet cependant de jeter un rapide coup d’œil vers le jeune homme assis à ses côtés. Frédéric, surnommé « le gros » par dérision, mesure déjà 1m89 pour 70 kilos à 18 ans. Blond et toujours de bonne humeur. Et un autre tout aussi bref dans le rétroviseur sur Christophe, 18 ans également, rouquin au visage constellé de tâches de rousseur. Tout comme son fils, les deux garçons sont de superbes athlètes sans un poil de graisse. Leur club a un bon petit niveau régional et les entraînements multiples ont façonné leur corps.
Mais c’est suffisant pour qu’elle s’aperçoive que ses jambes intéressent Frédéric. Le regard qu’elle vient de lui jeter l’a surpris en pleine contemplation de son corps et elle découvre, surprise, que les deux gamins sont devenus des jeunes hommes. Mal à l’aise sous ce regard adolescent, elle se maudit d’avoir enfilé une robe légère pour profiter pleinement du soleil. Car, coincée dans le fauteuil, sa petite robe remonte bien haut sur ses cuisses et son décolleté ne cache pas grand-chose des deux obus qui le remplissent. Ambre n’en revient pas de l’envie animale qu’elle a perçue dans le regard de son voisin. Le reste du trajet lui est très pénible, car le désir du garçon est palpable et elle ne peut rien dérober à sa convoitise.
Heureusement, le parcours s’achève et les deux jeunes hommes rejoignent leurs copains dans les vestiaires. Comme son fils ne joue pas, elle ne suit même pas le match, le foot l’a toujours agacée. Elle choisit un petit coin retiré et ensoleillé pour s’allonger et chauffer son corps aux rayons du soleil. Elle porte bien son prénom, car elle profite vite à chaque fois de ses bienfaits et, chaque année dès le mois de mai, un léger hale dore déjà sa peau.
Elle a dû s’assoupir, car un parent vient la réveiller pour lui signaler qu’ils s’en vont. Mais que les deux siens sont encore dans les vestiaires. Un peu inquiète, elle s’y rend pour leur demander de presser l’allure. Évidemment, ils sont encore sous la douche où ils jouent comme les gamins qu’ils sont encore dans leur esprit.
Quand elle passe la tête pour les engueuler, Frédéric sursaute et c’est elle qui reçoit le seau d’eau qu’il destinait à Christophe. Ambre se retrouve trempée de la tête aux pieds et invective copieusement les deux lascars. Mais ses injures ne les perturbent pas, car ils sont cloués sur place, la bouche ouverte. Elle se rend compte que sa robe, complètement plaquée par l’eau sur son corps, dessine les moindres reliefs de son anatomie. Et le spectacle ne laisse pas indifférent les deux garçons dont les sexes sont au garde à vous. La vue de ces deux queues dressées fait renaître son malaise initial.
Frédéric s’approche d’elle, s’excuse pour son geste malheureux et lui propose de retirer sa robe pour la faire sécher quelques instants au soleil. Devant son indécision et son absence de réponse, d’un côté elle n’a pas envie de se retrouver en sous-vêtements devant eux, de l’autre elle ne peut rester trempée, Frédéric passe derrière elle, descend la fermeture éclair puis fait glisser la robe à ses pieds, qu’elle lève machinalement pour qu’il la ramasse. Mais les deux garçons sont figés par le désir devant ce corps à moitié nu et aucun ne bouge. Ambre se baisse pour récupérer le vêtement, offrant involontairement une vue sur ses seins à Christophe et sur ses fesses à Frédéric.
Quand elle se redresse, les deux garçons se sont rapprochés d’elle et elle se fige aussi, entourée par les deux athlètes nus. Elle sent d’abord le sexe de Frédéric heurter ses fesses. Puis des mains qui s’attaquent à son soutien-gorge. Elle proteste, mais déjà Frédéric a libéré ses gros seins et Christophe s’en empare immédiatement. Ses mains sont maladroites et rudes. Mais les lèvres de Frédéric se perdent dans son cou et Ambre sent sa volonté la quitter. À 36 ans, elle se retrouve objet du désir de deux adolescents et cette impression est plutôt agréable. Alors, elle laisse les mains de Christophe malaxer ses seins sans douceur, celles de Frédéric glisser sur ses hanches, entrer dans son slip et se perdre dans les boucles de sa toison. Mais les deux adolescents sont impatients. Ils ne connaissent pas le mot préliminaire. Frédéric fait glisser le slip par terre, la fait se pencher sur Christophe et s’enfonce en elle d’un coup. Pour jouir aussitôt dans sa caverne. Le sperme jaillit, abondant et épais, au fond de sa matrice, la laissant frustrée. Mais déjà Christophe, qui veut sa part lui aussi, lui présente sa queue. Ambre prend dans sa main le mât dressé devant elle et le caresse doucement. Mais cela doit être la première fois pour lui également, car il éjacule tout aussi vite, la laissant remplie de sperme et de désir.
Les deux garçons, un peu penauds de leurs éjaculations précoces, sont bien patauds devant ce corps nu. Ambre les sauve d’une situation embarrassante en leur proposant de prendre une douche. Sous l’eau chaude, Ambre prend conscience qu’elle vient de s’offrir à deux adolescents. Mais les quatre mains qui la savonnent lui ôtent tout remords. Frédéric sur le devant, Christophe dans son dos, ils s’attardent longuement sur ses seins, ses fesses, son sexe. Alors elle s’agenouille dans la douche et prend le sexe des deux garçons alternativement dans sa bouche. Son expérience et la jeunesse de ses amants font merveille, car elle sent rapidement grossir les engins qu’elle lèche avec sa langue pendant que ses mains caressent les couilles. Elle demande à Christophe de s’allonger par terre et, prenant sa queue à pleine main, s’empale sur le mât dressé. Attentive à maîtriser la situation, elle impose un rythme très lent au garçon pour éviter une nouvelle éjaculation trop rapide.
Un regard sur Frédéric, qui regarde les deux amants faire l’amour. Cette exhibition doit satisfaire des pulsions enfouies au plus profond de son inconscient, car elle sent venir rapidement l’orgasme alors que le rythme est toujours lent. Les mains de Christophe emprisonnent ses gros seins qui ballottent au rythme des va-et-vient qu’elle lui impose. Frédéric, lassé de louer les voyeurs, s’approche et lui présente son sexe gorgé de sang. Elle passe sa langue sur le gland, recueillant les premières gouttes du désir du garçon, puis entame sa fellation sur le tempo de son déhanchement. Ambre arrive vite au bout de sa résistance, car il explose rapidement au fond de sa gorge. Dès qu’il s’est retiré, les mains de Christophe abandonnent ses seins et s’accrochent à ses hanches pour accélérer la cadence. Ambre se sent à nouveau partir et elle jouit une deuxième fois pendant que Christophe lâche son sperme au fond de sa chatte.
Le plaisir pris avec ses jeunes amants laisse Ambre effarée. Comment va-t-elle gérer à l’avenir cette situation ? Ils sont totalement inexpérimentés et maladroits, mais leur vigueur est impressionnante et elle n’imagine pas se passer de tels instruments alors que son mari ne lui dispense plus qu’un plaisir rare et ordinaire.
Dans le vestiaire où ils se rhabillent enfin, les garçons ne semblent en tout cas pas du tout gênés par ce qui vient de se passer. Ils se lancent et se partagent ses sous-vêtements, jouant comme des enfants. Elle enfile d’abord sa robe puis s’approche de Christophe pour les attraper, mais il les envoie à Frédéric à l’autre bout du vestiaire. Puis, il l’emprisonne et se saisit de son visage. Et ce n’est que quand la langue de Christophe se lie à la sienne dans sa bouche qu’elle se rend compte qu’elle ne les a même pas encore embrassés depuis le début de la séance de sexe. Elle emprisonne la jolie frimousse pleine de tâches de rousseur de son amant dans ses mains et l’embrasse langoureusement. Frédéric n’entend pas être exclu du quart d’heure sentimental et se colle à son dos pour picorer son cou… Alors, comme sa bouche a passé d’un sexe à l’autre sous la douche, elle se retourne et ses lèvres et sa bouche passent de l’un à l’autre. Des mains repartent déjà explorer son corps. Pour faciliter sa tâche, Frédéric redescend une partie de sa fermeture éclair dans son dos et ses mains passent sous la robe caresser les seins libérés. Devant, Christophe ouvre à nouveau le sillon de son sexe et entre ses doigts dans son ventre, y mettant à nouveau le feu. Elle s’est à peine habillée, la voilà déjà nue. Et la bosse qui heurte ses fesses témoigne de la vigueur retrouvée de Frédéric.
C’est Christophe qui prend pour la première fois l’initiative. Il la soulève dans ses bras et l’allonge sur la table centrale qui sert habituellement à empiler les sacs et les maillots. Il se déshabille à son tour et la pénètre lentement. Ambre noue ses jambes autour des reins du jeune homme pour qu’il s’enfonce en elle au plus profond. Commence un balai entre les coups de reins puissants du garçon et les hanches douces de la femme mariée. Ambre sent dans son ventre la barre de fer qui la pilonne. Chaque coup déclenche un peu plus la montée de son plaisir et sa jouissance arrive, brutale, violente, la laissant désemparée par son intensité. Christophe, toujours bien raide dans son sexe, se retire complètement avant de la réinvestir d’une seule poussée. Il recommence plusieurs fois son manège jusqu’à ce qu’il arrive au bord de l’éjaculation. Alors, il se retire pour calmer son désir et cède sa place à son camarade. Ambre est aussitôt remplie par un autre sexe, différent, mais qui lui procure autant de plaisir, car Frédéric se déchaîne de la même façon et laboure ses reins aussi rudement. Et, de la même façon, quand il se sent au bord de l’explosion, il cède lui aussi sa place à son ami. Christophe et Frédéric se succèdent régulièrement dans son ventre et Ambre n’est plus que jouissance. Elle perd la raison tellement son plaisir est intense.
Le retour sur terre pour les trois amants est difficile. Il faut pourtant quand même rentrer. Mais les deux gamins sont insatiables de ce corps. La voiture quitte à peine le village pour s’engager sur les routes sinueuses de la campagne que Christophe, placé à l’arrière, entoure déjà de ses bras le fauteuil du conducteur et glisse ses mains dans le décolleté d’Ambre. L’absence de soutien-gorge, car elle a finalement abandonné ses sous-vêtements comme trophée à ses amants, facilite son entreprise et ses mains empaument les gros seins. Deux doigts pincent les bouts, délivrant des ondes électriques dans tout son corps. Frédéric, le passager avant, retire sa ceinture de sécurité et celle de la conductrice pour profiter également de la situation. Il fouille l’intimité de sa maîtresse qui écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Pendant qu’une main trouve le clitoris et le titille, trois doigts ouvrent son sexe et s’enfoncent dans le sexe. Ambre sent le plaisir revenir rapidement au creux de ses reins sous les effets conjugués des caresses. Son corps se crispe et, quand l’orgasme la ravage, elle se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir et ferme les yeux.
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Ce n’est que vers 20 heures que la gendarmerie, alertée par les parents des enfants, découvre dans le champ, en contrebas de la route, une voiture encastrée dans le chêne, portières grandes ouvertes. Deux corps, éjectés par le choc, gisent sans vie, éparpillés autour de la voiture. Le troisième est recroquevillé sur le siège arrière.