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n° 11956Fiche technique16055 caractères16055
Temps de lecture estimé : 10 mn
14/11/07
Résumé:  Une collègue exhibitionniste me livre un spectacle merveilleux.
Critères:  collègues travail voir exhib noculotte lingerie odeurs fmast cunnilingu nopéné -exhib -mast
Auteur : Eugene            Envoi mini-message
Une collègue

Mais qu’est-ce qu’elle est craquante, ma collègue !


On travaille dans la même boîte depuis un an déjà et on s’entend très bien. Parfois elle m’invite à prendre un café chez elle et on parle de tout et de rien. C’est une brune de presque vingt-quatre ans, aux yeux marrons. Ses cheveux droits tombent au-dessous de ses épaules. Son corps est mince et ses seins sont plutôt petits. Parfois elle s’habille en jeans moulants ce qui souligne parfaitement ses petites fesses rondes. Parfois elle met une minijupe et dévoile ainsi ses belles jambes.


Je fais beaucoup des rêves sur elle et, j’avoue, ils sont parfois très osés. Mais jamais je n’ai eu le cran d’y faire une quelconque allusion. Ce matin je suis venu jusqu’à son bureau pour récupérer un dossier.



Si elle savait le plaisir que ça me procure parfois de la voir… En plus, aujourd’hui elle était vêtue d’un chemisier blanc qui laissait entrevoir son soutien-gorge blanc se dessinant au-dessous, et portait une minijupe blanche elle aussi. Et c’était vraiment une jupe minuscule ! Légèrement estomaqué, je lui ai dit :



Je lui ai donné le nom du dossier qui m’était nécessaire. Elle s’est levée de sa chaise et s’est dirigée vers l’armoire. Elle s’est accroupie et s’est mise à chercher le dossier dans le rayon tout en bas et alors que sa jupe s’écartait de son dos j’ai vu la ficelle de son string blanc. Une vision très excitante ! Son string c’était vraiment juste deux ficelles : une ficelle horizontale liée à une ficelle verticale se cachant sous sa jupe, quelque part entre ses fesses. À l’endroit de jonction de ces deux cordelettes, il y avait une petite fleur blanche. Elle est restée dans cette position près d’une minute. Je me suis précipité pour prendre un bout de papier, et j’ai déniché des « pense-bêtes » : j’ai griffonné rapidement dessus : Ton string est très beau ! et je l’ai caché sous son clavier de PC. Heureusement, elle ne l’a pas remarqué. C’est l’enivrement de cette belle vision qui me montait à la tête au point de me la faire tourner, sinon je n’aurais jamais laissé un tel message. Finalement, elle a trouvé ce qu’il me fallait et s’est relevée.



Je me rendis compte de ce que je venais de dire. J’avais envie de retirer mon message, mais c’est déjà trop tard, elle était revenue à sa place.


C’est complètement troublé que je quittai son bureau pour retourner au mien. J’ai très rapidement terminé mon affaire tout en pensant à son string : il me tardait de revoir cette belle miss. Bon, un peu de courage ! Me voilà revenu à son bureau, il faut bien lui rendre le dossier. Sans frapper, je clenche la poignée de sa porte, mais – profonde déception - c’est fermé ! « Oh non, ce n’est pas vrai, ce n’est pas juste ! » pensai-je aussitôt. Alors que je réfléchissais quelques instants pour tenter de deviner où elle pouvait se trouver j’entendis soudain la clé tourner dans la serrure avant que la porte ne s’ouvre.



Elle me tendit la main pour prendre ce fameux dossier et c’est alors que je remarquai que ses deux doigts brillaient légèrement. Je lui tendis les documents et attendis tranquillement la deuxième partie de l’exhibition de son string. Au passage, j’ai jeté un regard sur sa table. Mon message avait disparu ! Elle se dirigea à nouveau vers l’armoire avant de s’accroupir comme elle l’avait fait plus tôt. Quelle malchance ! Apparemment, elle avait caché son string sous sa jupe. J’essayai de distinguer les ficelles à travers le tissu de sa jupe, mais en vain, ce n’était pas assez transparent. « Bon, il faut que j’arrête sinon elle va sûrement me prendre pour un taré. » me sermonnai-je…



Sa voix me tira de mes réflexions. Apparemment, tout n’était pas si négatif que ça.



Elle savait très bien quel est le café que je préfère. Elle m’invita à m’asseoir sur une chaise et s’occupa de la cafetière.



Elle se mit à rire. Elle prit sa tasse de café et s’assit sur la chaise en face de moi.



Je remarquai soudain des étincelles dans ses yeux et je décidai de me jeter à l’eau.



Elle recommença à rire.



En voilà une question difficile et une situation un peu bête… Je commençais à le comprendre.



Soudain son téléphone professionnel se mit à sonner. D’un côté j’étais content de cette petite pause improvisée, car ma tête commençait à bouillir, mais de l’autre, j’étais quelque peu déçu de voir notre conversation ainsi interrompue. Sans se lever de sa chaise elle se tendit vers son bureau et décrocha. Je n’entendis pas de quoi elle parlait, tant j’étais tout entier immergé dans mes pensées. Elle écarta un peu sa jambe droite pour accéder au téléphone, sa jupe courte se tendit. À cet instant, j’eus une envie très forte de regarder dessous. C’est comme si des marteaux résonnaient dans ma tête. Elle parlait et souriait. Sa jupe était bien tendue. Sa jambe si belle était découverte très haut. Je détournai le regard de son entrejambes (j’ai dû en chasser mes yeux…). Elle prenait des notes. Sa jambe bougeait un peu. Sa voix… Son string blanc… Ses yeux brillants… Sa jupe… Les marteaux… Je voyais mal… Sa jupe… Sa chatte…


Je me sentis au bord de l’évanouissement. Sa chatte… Elle a enlevé son string, voilà la raison, l’explication du pourquoi je ne l’ai pas vu quinze minutes avant. Elle continuait à parler tout en me regardant. Elle capta mon regard qui était plongé entre ses belles jambes. Sans cesser de parler elle écarta aussi sa jambe gauche, sa main gauche relevant sa jupe pour faciliter cette manœuvre. Je n’en croyais pas mes yeux. D’un autre côté, si elle avait décidé de me montrer son intimité, pourquoi ne pas en profiter ? Je rejetai alors toute gêne et je commençai à contempler cette belle chatte. Elle raccrocha et me dit, la voix tremblante :



J’obtempérai docilement et je partis les jambes coupées vers la porte pour la fermer. Quand je revins, sa jupe était déjà autour de sa taille (elle est rapide, pensai-je), ses cuisses étaient écartées au maximum et sa chatte était impudiquement exposée. Elle me demanda :



Une lueur folle illumina soudain ses yeux.



Sa chatte était vraiment très belle. De petits poils commençaient à pousser. Apparemment, elle s’était rasée récemment. Ses grandes lèvres, minces, elles s’ouvraient désormais, en faisant apparaître les petites lèvres qui s’écartaient elles aussi. Elle leva ses jambes en l’air et les plia au niveau des genoux. Comme ça, sa chatte était bien exposée et totalement offerte. Elle dit alors d’une voix tremblante :



Bien sûr, que je le voulais ! Je m’approchai donc d’elle et j’admirai cette pure beauté de très près. Sa chatte était parfaite ! Un petit grain de beauté était situé près de sa grande lèvre droite, rendant sa fente encore plus séduisante. Une petite goutte de son jus perlait tout en bas de sa fente. J’articulai avec difficulté :



Elle ramassa cette goutte avec son index et commença à masser son clito avec le doigt ainsi lubrifié. Ça dura une dizaine de secondes, puis elle s’arrêta, n’ayant visiblement pas envie de jouir si rapidement. Elle me regarda droit dans les yeux et avec ses deux index elle tira fortement le capuchon de son clito, en le sortant complètement. Il était cramoisi, j’avais l’impression qu’il palpitait. Elle murmura :



Je m’approchai encore plus près de sa chatte. Je voyais très nettement les plis du capuchon de son clitoris. Soudain, ne pouvant plus me retenir, je sortis ma langue et j’effleurai son petit bouton. Son corps entier trembla. Elle tint bien son clito dégagé :



Je ne me fis pas prier et commençai à lui lécher avidement la fente. Elle ferma les yeux, et je me sentis plus libre. Je suçai son petit clito, je fis des cercles avec ma langue autour de lui, le tout en humant l’odeur de son doux nectar. Je plaquai mon visage contre sa fente mouillée. J’aurais pu la lécher pendant des heures. Je voulus voir l’effet que ma langue lui procurait et retirai mon visage de sa chatte. Avec mes deux pouces, tout doucement, j’écartai les lèvres de sa chatte. La chatte, dont je rêvais depuis longtemps, était là, ouverte juste devant mon nez. Elle dit :



Difficile de résister à un tel aveu. J’ouvris donc sa chatte encore plus grand, et l’écartai pour admirer toute sa beauté féminine. Son vagin était complètement inondé de cyprine, un vrai fleuve. En un instant, je ramassai toute sa liqueur avec ma bouche, en faisant le bruit de succion. Elle m’aida à en obtenir davantage en contractant son vagin… encore plus de jus s’en écoulait. Puis je rentrai deux doigts dans son vagin en le distendant légèrement pour voir son tunnel d’amour. J’en admirai les parois et son entrée ourlée… Cette vision couplée à la contemplation de son clito faisait que le tableau était merveilleux. Elle commença à masser à nouveau son petit bouton tout rouge. Ses mouvements devinrent de plus en plus insistants, précis. Elle me regarda à nouveau droit dans les yeux. Incontestablement, elle allait jouir là, sous mes yeux… Je tins sa chatte ouverte, je voulais toujours contempler toute la scène. Sa respiration s’accéléra, ses doigts volaient sur son clito comme un papillon, le vagin commença à se contracter. J’eus peur de perdre une seule miette de ce spectacle et soudain elle explosa. Son visage devint à son tour cramoisi, son bassin trembla fortement (à cet instant j’eus peur qu’elle ne tombe de sa chaise), son vagin expulsa une quantité incroyable de cyprine, qui coula dans la raie de ses fesses. Je tenais toujours sa chatte largement ouverte et j’admirai son orgasme jusqu’à la dernière pulsion de son vagin et jusqu’au dernier tremblement de son bassin. Elle se calma un peu… et je pus enfin nettoyer sa chatte et ses fesses de son jus. Elle me regarda attentivement lorsque je ramassais ses secrétions un peu salées, jusqu’à la dernière goutte. Quand tout fut terminé, elle rajusta sa jupe et s’assit « normalement ». Elle me dit alors toujours à voix basse :



Elle a ri et je compris que tout allait bien. Après avoir bu mon café, je quittai son bureau en emportant avec moi les souvenirs agréables. Et à peine dans le couloir je me rendis compte qu’elle n’avait pas remis son string…