n° 11961 | Fiche technique | 29852 caractères | 29852Temps de lecture estimé : 16 mn | 16/11/07 |
Résumé: Vanille Violette était une fille superbe, prête à tout et même plus pour devenir mannequin vedette. Et ce jour-là, elle avait enfin rendez-vous... Rendez-vous à L'AGENCE de ses rêves. | ||||
Critères: fhh hplusag inconnu travail contrainte exhib photofilm hmast fellation cunnilingu pénétratio double sandwich fsodo sm attache baillon humour -humour -fhh -bureau | ||||
Auteur : Gredine |
Elle avait enfin rendez-vous. Et elle marchait à grands pas, sûre d’elle, la tête haute, le long du trottoir de l’avenue Montaigne. Grande, élancée, la peau mate et les traits fins, des cheveux de jais, d’immenses yeux noirs, Vanille était ce que l’on peut tout simplement appeler une superbe fille. Et pour l’occasion, elle avait sorti le grand jeu. La totale. Veste cintrée sur décolleté plongeant. Bas couture et escarpins pointus. Lunettes de soleil Gucci, regard charbonneux, bouche vermeille. Sourire Ultra Brite, deux semaines à l’Émail Diamant trois fois par jour. Savant brushing Maniatis, tout frais du matin même. And, of course, déhanchements chaloupés et œillades langoureuses à tout va.
Cette fois, c’est la bonne. 138, j’y suis…
Elle prit une profonde inspiration et pénétra dans le luxueux siège de l’agence « Wonderful Models ».
Vanille s’assit élégamment dans un fauteuil trop doré et croisa ses longues et fines jambes. La posture d’attente la plus classe qui soit. C’est parfait. Elle attrapa nonchalamment un numéro de Vogue sur la petite table rococo et se mit à le feuilleter d’un oeil distrait.
Je suis un top-model né. Cette fois… Ils ne peuvent pas me jeter encore. No way.
Perdue dans ses pensées, Vanille n’avait même pas remarqué à quel point la pièce dans laquelle elle se trouvait était splendide. Vaste, lumineuse. La décoration était le fruit d’un savant mélange de moderne et d’ancien.
Des murs d’un beige chaud et accueillant cernaient une grande verrière, ouverte sur une cour intérieure pavée, au centre de laquelle trônait une composition végétale faite de fougères, de lierre et d’herbe à chats. Un grand lustre de cristal étincelait de mille feux. La classe… Le parquet en acajou massif craquait juste assez sous les pieds pour être du meilleur goût. La table basse qui supportait les magazines était un modèle milanais de verre et fer forgé, assorti aux portes d’entrée. La position du moindre grain de poussière semblait calculée pour être au top de la hype attitude.
C’est vraiment joli… Quand je pense que je vais travailler ici… On vient ! Pouvoir de persuasion, c’est à toi !
Effectivement, un type venait de pousser la porte qui lui faisait face et s’avançait vers elle, sourire aux lèvres. La cinquantaine friquée, plutôt bien conservé quoiqu’un peu bedonnant, il cadrait assez mal avec l’endroit. Un genre de John Casablancas du pauvre, style jeune retraité californien. Quand il passa à sa hauteur, l’hôtesse d’accueil lui donna du « bonjour monsieur Jeff ».
C’est bon signe. Ça doit être quelqu’un d’important. On ne m’a pas envoyé le petit stagiaire coincé de la maison.
Vanille se leva en ondulant du popotin et serra la main de son hôte. Poignée de main numéro 3 : d’abord franche et solide, puis très légèrement caressante…
Le directeur ! Va falloir assurer sec, ma grande… Sourire numéro 2 : aguicheur, limite salope, celui des grandes occasions.
Et Vanille et le Wonderboy disparurent dans les entrailles de la bête.
Il la guidait d’un pas pressé à travers un dédale d’escaliers et de couloirs, tout en l’abreuvant d’informations diverses.
Et Jeff Wonder disparut aussitôt. Vanille, plus confiante que jamais à l’idée d’être castée par le directeur de l’agence, déposa sa serviette sur le vaste canapé d’angle qui occupait un coin de la pièce et se mit à fureter à droite et à gauche. Même style de déco que dans le hall de l’agence. Parquet flottant en acajou, un grand bureau itou avec chaises assorties, des photos de mode encadrées, un miroir rococo plein de dorures qui trône au-dessus d’une cheminée décorative de marbre clair… Et dans le coin de droite, au fond, un mini-studio de prises de vues. Un peu comme ceux qu’utilisent les photographes qui font les clichés des mômes dans les écoles. Mais en mieux !
Pour les petites joueuses qui viennent se faire caster sans book…
Vanille glissa en direction du miroir, face auquel elle entreprit une inspection de dernière minute.
Bon. Maquillage impeccable, coiffure parfaite, tenue vestimentaire… hummm…
Tout en se regardant d’un oeil mutin, elle ouvrit un autre bouton de son élégante veste noire. On pouvait maintenant clairement deviner la naissance de ses seins, bien en place dans leur soutien-gorge minimaliste.
C’est beaucoup mieux… Maintenant, je peux dire objectivement que je suis PARFAITE ! Hummm…mais pas si je veux mettre toutes les chances de mon côté.
Elle passa une main sous sa courte jupe fendue et fit glisser son string de fine dentelle noire le long de ses cuisses galbées. Et se redressa dans un mouvement d’hésitation.
Finalement, point trop n’en faut. Gardons un minimum de décence !
Et le petit bout de tissu retourna illico se loger entre les fesses de la déesse. Puis, après s’être contemplée encore quelques instants, elle se lova dans le canapé hors de prix pour mieux savourer le moment.
L’attente. C’est parfois si… voluptueux.
Peu de temps après, Jean-François Wonder refaisait son apparition dans la pièce, suivi de son acolyte. L’oeil torve, le regard biaiseur, le ventre mou et le cheveu gras, le bonhomme était assez peu appétissant.
Après tout, c’est un artiste. Tous les artistes ont ce style un peu négligé… Courage ma grande !
Poignée de main numéro 5 : celle qui s’éternise… sourire numéro 1 : celui qui respire à la fois le sexe et la pudeur virginale. Imparable…
Tous trois s’assirent et l’entretien débuta.
Vanille écarta légèrement ses jambes de gazelle, histoire d’offrir un début de vue intéressante à ses interlocuteurs.
Tu l’as dit, bouffi !
Vanille parlait d’une voix posée en plongeant ses yeux dans ceux de Wonderboy.
Wonderboy attrapa l’album et se mit à le feuilleter nonchalamment.
Ah non ! Hors de question ! La conversation ne doit pas prendre ce genre de tournure. JE suis la future Kate Moss, j’ai tout pour, merde, merde… et merde !
Jeff Wonder leva les yeux d’un air surpris, puis lui rendit le même genre de sourire. L’asticot se taisait toujours et regardait ses pieds.
Ça y est, le mot d’ordre est passé. Peut-être a-t-il enfin compris que je ne suis pas une fille farouche. On va faire des cochonneries tous les trois, puis je signerai enfin…
Elle sentit son entrejambe s’humidifier légèrement à cette seule pensée. Celle du futur contrat, of course.
C’est facile. Trop facile et trop bon, se réjouissait-elle intérieurement, tandis que l’excitation montait en elle. Quel bonheur de plaire aux mâles et de savoir s’en servir à bon escient…
Wonder venait de refermer le book et l’avait reposé sur le bureau.
Ca y est ! Tu vas y passer, ma fille !
Ce vocabulaire, bordel… Difficile de ne pas s’y tromper.
Mike se leva et fit signe à Vanille de prendre place sur le siège du petit studio.
La séance de pose avait duré à peine une dizaine de minutes. Vanille, un peu perplexe, commençait à se demander si on les prenait vraiment au sérieux, elle et sa détermination. Wonder rompit rapidement le silence.
Vanille avança d’un pas décidé vers la petite porte, tourna la poignée et la referma derrière elle. Elle était maintenant seule face à elle-même dans le petit dressing-room, devant un grand miroir.
Allons-y gaiement !
Et, pleine d’entrain, elle entreprit de se déshabiller.
De l’autre côté de la porte, Hypeman et Wonder débattaient au sujet de leur nouvelle recrue potentielle.
Le Mike avait les yeux fixés sur la porte du dressing-room, perdus en plein rêve érotique. Visiblement, il ne la trouvait pas si mal, la petite dernière…
Hypeman rougit jusqu’aux oreilles et se renfrogna en reprenant son attitude ramollo habituelle.
Vanille prit place devant l’objectif et fit effectivement tomber son peignoir, provoquant l’ébahissement du boss et de son subalterne. Elle fit glisser lentement le tissu rose sur sa peau, dévoilant un sein, puis l’autre, un ventre rond et ferme, un sexe rebondi et appétissant à la toison minutieusement taillée, puis ses fines et longues jambes de gazelle. Elle s’avança à pas feutrés vers Jeff Wonder, toujours interdit, et l’enlaça avec un regard suggestif et coquin.
Que rien du tout mon cochon, tu vas voir de quoi je suis capable.
Et Vanille de glisser la pointe de sa langue dans la bouche ouverte pour la faire taire…
Et ni une ni deux, la jeune femme se mit à genoux et entreprit avec expertise de débraguetter le gros monsieur qui commençait sérieusement à rougir.
Mike Hypeman, interdit, fixait la scène, bouche ouverte.
Arrêtez votre char, les cocos, vous ne me ferez pas croire que ce genre de choses ne vous est jamais arrivé.
Quels hypocrites ! songea la jeune femme avant d’engloutir furieusement le membre encore flasque de son futur patron.
Enfin… Futur patron, c’est vite dit. Ne jamais crier victoire avant d’avoir remporté la bataille.
Et Vanille se mit à pomper avec ardeur le dard qui commençait déjà à durcir.
On tourne autour avec la langue, que l’on promène ensuite de bas en haut. De bas en haut, de haut en bas… Puis au moment où il s’y attend le moins, on enfourne le tout… Putain qu’il me saoûle, celui-là, à nous regarder comme un abruti ! Mais qu’il me saoûle !
Sur cette pensée, Vanille fit signe à Hypeman de les rejoindre, ce qu’il fit timidement. Il faut vraiment tout faire soi-même !
Après un second débraguettage express, la jeune femme reprit ses caresses buccales alternativement sur le patron et sur son employé. Et se trouva rapidement face à deux sexes de bonne taille, bien durs, et surtout face à deux types qui avaient cette fois totalement repris possession de leurs moyens.
Sur ces entrefaites, il souleva Vanille d’un geste pour aller l’allonger sur le grand bureau. Toute en proie à sa satisfaction de sentir la victoire bientôt acquise, elle ne réalisa ce qui l’attendait qu’au moment où elle sentit la langue s’approcher dangereusement de son fruit défendu. Comme un éclair, la bouche avide de Wonder s’y précipita et se mit à la sucer avec fureur, à la pomper comme un aspirateur, à la coller comme une ventouse. Titiller, lécher, mordiller… Pendant ce temps, Hypeman s’était approché avec un air conquérant et entreprenait de son côté de lui dévorer les seins. Livrée, explorée dans ses moindres recoins par les deux langues râpeuses et curieuses, Vanille sentit son corps chauffer puis brûler d’un plaisir de plus en plus intense.
Je vais jouiiiir ! hurla-t-elle intérieurement, tandis qu’un feulement rauque s’échappait de sa gorge. Il ne faut pas ! Je dois absolument garder le dessus, se reprit-elle. Et, glissant comme une sirène, elle se dégagea vite fait bien fait de l’emprise de ses deux oppresseurs.
Sur ces mots, elle se rallongea d’elle-même, de façon à avoir les fesses au bord du bureau. Puis elle leva ses jambes et les écarta avec indécence.
Wonder fut le plus prompt à répondre à l’invitation, ou plutôt le plus rapide, et se précipita sexe en avant dans la voie offerte. Il s’enfonça en elle, d’un coup d’un seul, jusqu’aux gardes, arrachant un gémissement à notre héroïne, qui replia immédiatement ses jambes autour de la taille de son baiseur. Plaquant ses larges mains sur les hanches de la jeune femme, il entreprit alors de la labourer avec application.
Hypeman, que la reprise de contrôle de Vanille avait refroidi de toute prise d’initiative, se contentait de regarder le pénis luisant de son patron aller et venir, se perdre dans le vagin puis reparaître, tout se branlant avec fureur.
Vanille, toute à son plaisir d’accueillir cette queue chaude et épaisse en elle, de la sentir aller et venir, cogner tout au fond, n’avait pas vraiment entendu l’ordre du patron. Ou peut être n’avait-elle pas vraiment voulu l’entendre. Elle sentait les prémisses de la jouissance, prête à exploser comme un feu d’artifice. Partout dans son corps. Ouiii… et non. Elle ouvrit les yeux, pantelante, déjà ruisselante de sueur, se demandant pourquoi plus rien ne la pénétrait depuis quelques secondes. C’est alors qu’une main autoritaire la saisit par les cheveux et guida son corps de manière à ce qu’elle se retrouve à quatre pattes sur le sol.
Avant d’avoir eu le temps d’émettre la moindre protestation, Vanille se retrouva dûment bâillonnée.
Meeeerdeu ! Va pas être facile de reprendre le dessus cette fois… Enfin, si c’est ce qu’ils veulent… Hors de question que je passe pour une loque incapable de… WOUCHH AÏEUH !
Wonder venait de lui passer la fine corde de soie autour du cou de la jeune femme et la forçait en tirant vers le haut à redresser la tête plus que de raison. Ainsi, elle avait tout à fait la posture élégante d’une chienne de race en promenade avec son maître. Sauf que la plupart des propriétaires de chiennes de race ne les forcent pas à avancer tout en les bourrant de coups de pine. Sinon ça se saurait, je pense…
Question maîtrise de la situation, tu repasseras, ma chérie. Tu est tombée sur plus fort que toi. Mais je ne m’avouerais pas vaincue aussi facilement, foi de Vanille Violette !
Le grand Jeff Wonder semblait avoir totalement perdu la tête.
Le dégoût de se sentir ainsi totalement à la merci de ce porc, soumise comme un vulgaire animal, conjugué à la pression de la corde sur son cou, aux brûlures de la moquette sur ses genoux et à ce sexe qui la défonçait sans ménagement excitèrent encore davantage la jeune femme… Jusqu’à ce que le gros Wonder décharge à grands cris toute sa semence dans le ventre de la jeune femme.
Epuisé, ivre de plaisir, il lâcha la corde et se laissa lourdement tomber sur la moquette en soupirant. Fatale erreur.
Libérée, Vanille se débarrassa de son bâillon et se jeta comme une furie sur le sexe ramolli du boss, auquel elle entreprit de redonner une nouvelle vigueur. Elle attrapa en même temps le sexe de Mike Hypeman qui, à force de se masturber avec fureur, venait lui aussi d’éjecter sa semence à grands jets laiteux. En le menant ainsi, par le bout de la queue, elle le guida jusqu’à ce qu’il fut allongé à côté de son patron. Elle se mit alors à sucer et à branler alternativement les deux manches, qui se redressèrent bientôt fièrement, pointés vers le plafond.
Et sans lui laisser le temps d’entreprendre quoi que ce soit, elle se jeta sur le corps de Wonder et s’empala sur le petit soldat. Bien au fond. Bien profond. Maligne, elle avait ainsi mis le mâle dominateur hors d’état de nuire, dans un rôle de gode vivant. Rien de plus. Un crétin de petit soldat tout raide, au garde à vous. Hahaaa !
Hypeman, étant bien plus malléable et paisible, n’avait pas encore osé bouger. Il attendait, toujours allongé, en jetant de temps à autre un regard apeuré vers ses voisins agités.
Il est bien ce jeune, il va avoir sa récompense.
Sur ces entrefaites, elle l’attrapa à nouveau par le vit, le forçant ainsi à se redresser, et le guida derrière elle. Relâchant son étreinte, sans dire un mot, elle écarta ses fesses en signe d’invitation, tout en continuant à onduler sur le pieu de Wonder. Le binoclard, trop heureux de pouvoir participer, ne se le fit pas dire deux fois et commença à pénétrer avec beaucoup de douceur le petit trou de la démone.
Une blonde jeune femme venait d’ouvrir la porte et l’avait déjà refermée. Un pas pressé résonna dans le couloir et se fit de plus en plus lointain. Elle s’en allait.
Tout à leur plaisir, nos trois baiseurs n’y prêtèrent guère attention. L’espace d’un instant, Vanille se dit seulement qu’une autre femme n’aurait pas été de trop pour lui prêter main forte. Mais la pression torride des deux chibres la tira toute suite de ses pensées. Elle sentait les deux paires de couilles battre en cadence contre son intimité tendue, au bord de l’explosion. Au creux de ses reins, au fond de son ventre. Des mains sur ses seins. Une langue au fond de sa gorge.
À cet instant, le créatif se mit à jouir en déversant de longs jets de sperme dans les entrailles de Vanille. Elle sentit alors ces vagues de liquide chaud tout au fond d’elle se répandre dans tout son corps, dans ses seins, son sexe, sa tête, jusqu’aux yeux et fut alors traversée par plusieurs longues décharges électriques de plaisir qu’elle accueillit en hurlant comme une bête, tandis que Wonderboy jutait une nouvelle fois en elle, remis hors de lui à la vision de cette bête déchirée de plaisir.
Après un instant d’anéantissement, le trio se déboîta avec le plus grand mal. Enfin, chacun s’écroula sur son bout de moquette pour retrouver les idées claires…
En bon boss qui se respecte, Wonder fut le premier à reprendre ses esprits. Il se redressa lentement en s’aidant de ses bras. La petite chose rouge et flétrie qui pendouillait lamentablement entre ses jambes n’avait plus rien d’un sexe.
Retour au placard. Cette fois, c’est gagné !
Vanille exultait. Elle renfila prestement ses vêtements sexyssimes et posa sa main sur la poignée de porte quand le doute vint la saisir…
Il vaut mieux que je leur laisse plus de temps pour discuter… Et puis non !
Et ni une ni deux, elle déboula dans la salle de casting. Hypeman et Wonder, tous deux rhabillés, étaient déjà installés derrière le bureau. Le créatif affichait la moue furieuse d’un enfant privé de son jouet.
Massacrer. Bousiller. Ruiner cette agence. Foutre en l’air sa réputation. Violée, molestée, moi, la bombe éplorée ? Tiens, tiens, en voilà une bonne idée !
Sourire numéro 4, carnassier, démoniaque, presque cannibale. Poignée de main 5, avec les ongles.