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n° 11962Fiche technique25881 caractères25881
Temps de lecture estimé : 15 mn
16/11/07
Résumé:  Aménia me signe un contrat de soumission, puis Nat initie Aménia.
Critères:  fh ff ffh collègues fsoumise voir exhib fellation cunnilingu sm -fsoumisah
Auteur : Monsieur Pat      
Aménia




Cadre dans une grande entreprise, j’avais, de par mes fonctions, droit à une secrétaire particulière à mon service. Sans être une véritable pin-up, son visage était plutôt ordinaire, son corps d’un peu plus de vingt ans avait une certaine sensualité, en particulier ses seins qui avaient à chaque fois le don de me mettre dans tous mes états. Malheureusement, il était dommage qu’elle s’habille de jeans et de sweat-shirts, sa féminité s’en trouvait masquée. Plutôt du genre timide, nos relations n’étaient que purement professionnelles, encore que je la surprenais parfois à me regarder avec des yeux plutôt pétillants. Je dois dire qu’elle m’attirait, d’abord par son corps et plus particulièrement par sa timidité.


À l’époque, j’avais déjà une petite amie, Nat, avec qui j’avais eu au départ des rapports tout à fait normaux, puis que j’ai amenée petit à petit à l’obéissance, jusqu’à ce qu’elle soit prête à signer un contrat de soumise à mon égard. J’ai voulu faire d’une pierre deux coups, faire signer le contrat à Nat et tester Aménia, ma secrétaire. J’avais convoqué Nat à mon bureau et appelé Aménia pour qu’elle me tape ce contrat.



J’ai commencé alors à énoncer tous les devoirs que Nat s’engageait à respecter : que sa principale préoccupation serait de me donner du plaisir, qu’elle devrait vivre nue dans son appartement et sans sous-vêtements à l’extérieur, que son corps m’appartiendrait entièrement et que je pourrais le prêter à qui bon me semblerait, et toutes autres formes de don de soi, ainsi qu’une attitude de déférence envers moi.


Au fur et à mesure que j’énonçais ces obligations, je sentais Aménia être de plus en plus mal à l’aise. À la fin du texte, j’avais fait préciser que Nat signait ce texte sans contrainte, en prenant ma secrétaire à témoin, et que cette dernière devrait elle aussi parapher ce pacte. Le plus terrible a été lorsque je lui ai demandé de relire ses notes, elle était plus rouge qu’une pivoine du début à la fin.



Pendant ce temps, Nat s’était mise nue et m’avait donné un petit avant goût de la soirée que nous passerions ensemble. Aménia arriva et n’osa pas regarder Nat dans sa tenue d’Ève, les jambes écartées et les mains derrière la tête.



Tout le temps de la lecture, ma secrétaire ne regarda que ses pieds et ne leva les yeux qu’à la fin de la lecture.



Une fois le traité signé, j’ai demandé à ma secrétaire d’en conserver un exemplaire dans les archives, un autre serait pour Nat, et le dernier pour moi. Puis je l’ai remerciée pour ce travail personnel et lui ai demandé de reprendre son travail.


Ma secrétaire est revenue plusieurs fois dans mon bureau dans la journée, sans que nous n’évoquions ce petit intermède du matin. Sauf le soir, avant qu’elle ne quitte, je lui ai demandé ce qu’elle en pensait.



J’avais marqué un petit point et lui tendis la perche avant de la libérer.



Je savais très bien qu’elle n’avait pas de petit ami, car elle ne se trouvait pas suffisamment jolie pour attirer les garçons et sa timidité n’arrangeait rien. J’avais hâte de la retrouver le lundi, pour voir si les regards qu’elle me portait parfois laissaient envisager quelque chose de plus concret.


Le lundi à 8h précise, elle entra dans mon bureau pour m’apporter le courrier, en jupe et chemisier.



J’eus le temps de la voir rougir, avant qu’elle ne retourne à son poste. Maintenant il s’agissait de la mettre en confiance sans la brusquer. Lorsqu’elle revint me voir avant de partir, je lui lançai :



Le lendemain, elle revint avec un nouveau chemisier, mais cette fois il n’était pas fermé jusqu’en haut. Je décidai de la laisser tranquille aujourd’hui, je ne lui prodiguerais mes conseils qu’un jour sur deux, juste avant de la quitter le soir. Mercredi, la journée se passa tranquillement, mais je revins à la charge en fin d’après-midi.



Nouveau rougissement avant qu’elle ne me salue. Le jeudi la vit arriver avec une jupe plus courte, pas encore assez mini à mon goût, mais cela viendrait. Le vendredi je repasserais à l’attaque.



Elle avait le week-end pour réfléchir et franchir le pas. Le lundi, lorsqu’elle m’apporta le courrier, je m’aperçus avec satisfaction que ses seins étaient libres sous son chemisier. Feignant de ne pas l’avoir remarqué, je la complimentai sur sa tenue.



Ses rougissements m’excitaient au plus haut point. Je décidai d’attendre le mercredi pour passer une vitesse supérieure. Ce jour-là, j’étais bien décidé à ce qu’elle me montre sa poitrine avant de partir. Je l’appelai à mon bureau en milieu de matinée pour une raison professionnelle futile.



J’allais bien voir si elle éprouvait pour moi autre chose que du respect professionnel. De plus, il ne lui restait plus que quatre boutons à dégrafer. Évidemment, je trouvai facilement quatre raisons de la faire venir ici. En fin de matinée, il n’y avait plus que trois obstacles à mon but, et en milieu d’après-midi plus qu’un seul au niveau de ses seins. Lorsqu’elle revint me dire au revoir, le regard vers ses pieds et les joues toutes rouges, plus rien ne reliait les deux pans du chemisier ensemble, mais malheureusement ils étaient encore trop serrés l’un contre l’autre, étant retenus par sa jupe. Je la remerciai pour ce magnifique cadeau d’anniversaire, et une fois n’étant pas coutume je lui fis la bise avant de partir. Je sentis en l’étreignant qu’elle était tout émue par ce geste d’affection.


Le lendemain, elle se présenta à moi avec le chemisier de nouveau boutonné. Je lui fis remarquer que j’avais beaucoup apprécié sa tenue de la veille au soir, et lui demandai d’ouvrir tous les boutons. Elle se retourna pour partir à son bureau en approchant les mains de son chemisier pour tout déboutonner. Je la rappelai et demandai de les ouvrir face à moi, ce qu’elle accepta avec beaucoup d’hésitation. Et c’est en rougissant de la tête aux pieds qu’elle s’exécuta, pour mon plus grand bonheur. Je ne m’étais pas trompé dans mon jugement, même si je n’avais pu les découvrir totalement, elle avait véritablement des seins splendides.


Le vendredi elle revint à nouveau totalement boutonnée, je lui fis remarquer que la veille, plus aucun bouton n’était attaché. Maintenant que j’avais eu le bonheur d’admirer sa poitrine, rien ne me ferait plus plaisir qu’elle se présente toujours dans mon bureau le chemisier totalement dégrafé. Elle revint à chaque fois à mon bureau dans la journée, la poitrine libre, mais toujours cachée par les pans retenus dans sa jupe. N’y tenant plus, je la fis approcher de mon bureau juste à côté de moi en lui disant :



Une nouvelle fois, elle se plia à ma demande et écarta son chemisier, pour confirmer ce que je pensais depuis le début, sa poitrine était vraiment divine, et n’avait besoin d’aucun secours pour être maintenue. Devant m’absenter pour un séminaire d’une semaine, je lançai un nouveau jalon.



Je partis donc pour cette semaine de séminaire un peu anxieux, Aménia allait-elle continuer à me faire plaisir, ou allait-elle réfléchir et faire machine arrière ? J’eus la réponse dès le lundi de la semaine suivante en arrivant au bureau.


Aménia se présenta à moi avec une magnifique jupe blanche assez transparente, légèrement fendue sur un côté, et véritablement plus courte, par rapport à celles des semaines précédentes bien sûr. D’après ce que je pouvais voir, elle ne portait rien dessous, et elle s’était présenté le chemisier ouvert, laissant voir sa poitrine parfaite. Mais je voyais à sa tête que le fait d’être sans dessous la perturbait beaucoup.



Je savais que cette petite phrase allait de nouveau lui faire monter le rouge aux joues, situation qui la gênait considérablement, mais qui me plaisait énormément.



Elle vint timidement près de moi et releva à peine sa jupe.



Elle la retroussa entièrement cette fois, rouge de honte, en regardant ses pieds.



J’eus alors le plaisir de contempler son côté pile, qui n’avait rien à envier au côté face.



Nous n’étions qu’à quelques jours des congés, et je voulais absolument finir cette petite initiation en beauté avant la fermeture de l’entreprise. Il était temps que je passe la vitesse supérieure en exigeant et non plus en souhaitant.



Ne l’ayant pas revue dans l’après-midi, c’est le lendemain qu’elle me surprit agréablement. Elle arriva dans mon bureau uniquement vêtue d’un chemisier assez court, le bas de son corps entièrement visible, et le sexe totalement glabre.



Le vendredi, veille des congés, Nat arriva vers 11h à mon bureau, et comme je le lui avais appris, elle se mit entièrement nue à peine la porte franchie. Aménia arriva quelques instants après dans une tenue qui lui était maintenant devenue familière, uniquement vêtue d’un chemisier largement ouvert. Elle tenait à la main plusieurs feuillets dactylographiés.



Aménia prit position et lut avec quelques troubles les différentes clauses qui allaient maintenant gérer sa vie. Elle signa ensuite le texte et présenta le stylo à Nat qui en fit de même.



Étant sensiblement de la même taille, Nat s’approcha d’Aménia et se colla à elle, seins contre seins. Elle commença par se déhancher souplement pour frotter la pointe de ses seins sur ceux d’Aménia. Les quatre tétons durcirent à vue d’œil et Aménia commença à être agitée de légers soubresauts. Après avoir embrassé fougueusement Aménia, les lèvres de Nat descendirent ensuite en direction des seins qui s’offraient à elle, Aménia affichait à présent un sourire des plus heureux. La langue caressante de Nat arriva enfin à la fourche des cuisses de sa compagne, en très peu de temps Aménia arriva à l’extase ultime. Il sembla qu’il y ait longtemps qu’elle n’avait connu un tel orgasme.



J’étais enfin arrivé à mes fins, j’allais avoir deux magnifiques créatures pour qui le but principal de leur vie n’était que de se préoccuper de mon plaisir. Les vacances s’annonçaient sous les meilleurs augures.



- 2 -




Elles étaient nues dans l’entrée de l’appartement, debout les mains derrière la tête, et les cuisses écartées. Ma position d’attente préférée. Comme je le faisais chaque fois avec Nat, je les embrassai toutes deux tendrement sur le front en caressant leurs seins. Le baiser sur la bouche était assez rare : il fallait le mériter.



Nat se saisit de l’appareil et commença à prendre Aménia en tournant autour d’elle. Je vis à la couleur du visage de cette dernière qu’elle n’appréciait guère les photos, mais elle n’osait rien dire. Puis ce fut au tour de détails en gros plan de son anatomie d’être figés pour l’éternité : son visage, ses seins, ses mamelons, son nombril, son sexe glabre, les deux globes de ses fesses, puis enfin le reste du corps. Là encore, Aménia ne dit rien, mais elle était encore plus rouge.


Puis Nat fit asseoir Aménia sur le bord du lit et recommença son manège. Elle lui écarta ensuite les cuisses au maximum et demanda à Aménia d’écarter ses grandes lèvres. Aucune partie de son intimité ne fut oubliée.


Aménia se retrouva ensuite couchée sur le dos, bras et jambes écartelés au maximum, et de nouveau tout son corps exposé aux flashes. Nat en profitait pour caresser discrètement Aménia, prétextant une amélioration de la pose. Pour la dernière série de photos, Aménia était à quatre pattes, les cuisses, naturellement, bien écartées par les bons soins de Nat. Ses seins pendant légèrement, Nat les lui tira vers le bas, « pour bien les voir » précisa-t-elle. Pour terminer, ce fut au tour du petit trou d’Aménia de faire l’objet de toute la bienveillance de Nat. Les dernières prises virent Aménia les seins aplatis sur le lit, les reins bien cambrés, et surtout écartant de son mieux ses fesses, pour offrir sa petite rosace à l’objectif.


J’étais aux anges, Nat avait bien rempli son contrat, près de 200 photos viendraient grossir la collection de celles que j’avais déjà d’elle.



Nat s’allongea sur le lit et expliqua à Aménia ce qu’elle attendait d’elle. Elle lui proposa tout d’abord de caresser lentement et tendrement toutes les parties de son corps, en commençant par son visage, et en descendant progressivement. Nat en profitait au maximum, elle ne recevait que trop rarement des caresses aussi tendres de ma part, c’était elle qui était mon esclave sexuelle et non le contraire. Aménia s’appliqua à faire de son mieux, en étant aussi douce que possible.


À voir l’air ravi de Nat, j’en conclus qu’Aménia savait y faire, ou alors qu’elle apprenait vite. Nat pensait aussi et surtout à me faire plaisir, en écartant doucement le corps d’Aménia lorsqu’il me masquait ses caresses, ou en se tournant pour m’offrir une meilleure vue. Décidément, Nat était très bien éduquée, il ne lui restait qu’à transmettre ses qualités à Aménia.


Lorsqu’elle fut satisfaite par les caresses manuelles, elle demanda à Aménia de faire la même chose, mais avec sa bouche et ses lèvres cette fois. Aménia ne savait pas trop comment s’y prendre, ou plutôt hésitait à apposer son premier baiser. Nat résolut son dilemme en l’embrassant à pleine bouche, tout en la plaquant contre son corps. Aménia semblait n’attendre que ce signal pour se lancer. Elle eut vite compris le pouvoir des caresses de sa langue, Aménia se trémoussait déjà dès les premiers frôlements. À mesure du temps les câlineries se firent plus précises, mais Nat ne voulait pas uniquement du plaisir sur ses seins, elle guida doucement Aménia plus bas. Celle-ci semblait avoir vaincu ses premières appréhensions, et se dirigea vers les cuisses ouvertes.


Pour ma part, j’étais aux anges, le spectacle de ces deux filles m’excitait au plus haut point. Mais je n’étais pas pressé, je savais qu’elles s’occuperaient entièrement de moi dès que j’en aurais envie, même si leur show les laisserait toutes les deux sur leur faim, elles se rattraperaient plus tard.


Après les avoir laissé s’amuser ensemble un moment, je jugeai qu’elles avaient assez profité de la situation.



Elles s’approchèrent de moi et entreprirent de me déshabiller tendrement, leurs mains courant sur tout mon corps. Lorsque je fus nu, je m’allongeai sur le canapé entre mes deux compagnes. Je sentis rapidement leurs mains, puis leurs seins frôler mon corps tour à tour. Avec le spectacle qu’elles m’avaient donné juste avant, je n’allais résister longtemps à ce régime.


Je me mis alors debout et les vis se mettre à genoux devant moi, la position de soumission par excellence. Ce fut d’abord leurs longues chevelures qui caressèrent ma partie intime, leurs cheveux s’emmêlant dans un tourbillon de douceur. Je sentis alors des milliers de doux baisers s’emparer de moi, leurs mains occupées à me caresser les cuisses et les fesses.


Puis ce furent aux langues de se mélanger à mon extrémité dans un véritable baiser de passion. Elles descendirent et montèrent de concert, comme si elles se partageaient un esquimau. L’une d’entre elles continua sa descente pour finir par caresser passionnément mon petit sac. L’autre n’était pas restée inactive et était partie à la pointe de ma turgescence. Comme si elles s’étaient donné le mot, je fus aspiré simultanément par deux bouches gourmandes, leurs langues continuant leur manège infernal. C’était véritablement trop divin pour que je veuille résister, et je me libérai en quelques secondes. Je vis alors que c’était Nat qui m’avait recueilli, elle approcha sa bouche des lèvres d’Aménia, et l’embrassa avec fougue en lui transmettant une partie de mon bonheur. Ces deux-là étaient vraiment faites pour s’entendre, et pour me donner beaucoup de plaisir.