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n° 11968Fiche technique26710 caractères26710
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17/11/07
Résumé:  En l'absence de mon épouse , j'ai gardé le fils d'une voisine pour laquelle j'avais toujours éprouvé un fort désir. Lorsqu'elle vint le récupérer, alors que le gamin s'éclatait sur mon ordinateur, nous avons fait l'amour derrière lui.
Critères:  fh extracon voisins groscul poilu(e)s ffontaine cunnilingu anulingus pénétratio -voisins -ffontaine
Auteur : Salvatore  (Homme aimant la femme)      
L'ordinateur complice

Nous étions au mois de juin et en ce début de printemps le soleil réchauffait agréablement l’atmosphère et le moral de la population. Dans les rues les filles, heureuses de vivre, allaient et venaient dans des tenues légères qui laissaient apparaître soit le début d’une gorge blanche, soit un mollet nerveux, soit même la naissance d’une cuisse fuselée. Les hommes, eux, lorgnaient ravis ce que leurs compagnes dévoilaient si généreusement, fantasmant sur ces appas devinés.


Profitant de mon samedi matin, je m’occupais à diverses tâches dans l’appartement. De son coté, Martine mon épouse se préparait pour se rendre à son rendez-vous chez le coiffeur, comme elle le faisait une fois par mois. Soudain la sonnerie de la porte d’entrée nous fit sursauter. Plus véloce que moi, Martine alla ouvrir. Continuant mes travaux, je n’en tendais pas moins une oreille attentive, curieux de savoir qui pouvait nous rendre visite en ce samedi matin.



Michèle était notre voisine de palier avec laquelle nous avions sympathisé. C’était une femme d’une trentaine d’années, dodue sans être vraiment grosse, mais néanmoins bien en chair. Elle possédait un visage rond, agréable, que ses cheveux mi-longs amincissaient quelque peu. Deux yeux noisette éclairaient son regard d’une lueur malicieuse. Un nez un peu fort aux narines palpitantes et une bouche aux lèvres épaisses donnaient à ce visage une forte sensualité. Avec quelques kilos de moins, Michèle aurait pu être une très belle femme.


De sa robe légère à manches courtes jaillissaient deux bras potelés, tandis que sa poitrine gonflait outrageusement le devant du vêtement. La jeune femme devait utiliser un soutien-gorge de grande taille. Sa robe imprimée se plaquait étroitement sur des hanches larges, soulignant un ventre rebondi et une croupe incroyablement pulpeuse.


Lorsqu’il m’arrivait de me trouver par hasard derrière mon accorte voisine dans l’escalier, le balancement sensuel de cette croupe aguichante m’échauffait le sang. La jeune femme possédait un derrière à l’image de son opulente poitrine. Elle n’était pas particulièrement belle, mais je me sentais étrangement attiré par ses formes exceptionnelles. Il m’arrivait de plus en plus souvent, lorsque je faisais l’amour à Martine, mon épouse, de m’imaginer que je m’épanchais dans le ventre ou entre les fesses de notre aguichante voisine.


Cependant, dans l’entrée le dialogue continuait :



Et c’est ainsi que je me suis retrouvé promu « nounou » d’un garçonnet de huit ans, aussi gêné que moi de se trouver là. Songeant qu’il fallait à tout prix lui trouver une occupation, j’optai pour mon ordinateur, dans lequel traînaient un ou deux jeux. Comme tout garçon de son âge, Patrick trouverait le temps moins long si je le laissais pianoter.



Rassuré sur la suite de l’attente, j’installai le garçon devant l’ordinateur qui se trouvait sur mon bureau et chargeai un jeu. Songeant que je ne pouvais pas laisser le garçonnet tout seul, même s’il n’y avait pas réellement de risque, je décidai de rester près de lui. Je m’installai donc sur l’un des fauteuils meublant la pièce servant de bureau, à lire une revue informatique. Ainsi le temps passa plus vite pour nous deux. Patrick malmenait le joystick afin d’abattre le maximum d’Aliens et ne se souciait ni de moi ni de tout ce qui pouvait se passer en dehors de sa « guerre des étoiles ».


C’est au milieu des exclamations du garçonnet, mêlées aux bruits des tirs lasers, que je devinai, plus que je ne l’entendis, la sonnerie de la porte d’entrée. Posant ma revue, je m’empressai d’aller ouvrir à la mère du tueur de monstres.



Précédant ma provocante voisine, je la conduisis jusqu’au bureau où Patrick continuait à se battre férocement contre les envahisseurs.



Saisissant l’occasion qui m’était donnée de garder près de moi cette femme aux si généreux appas, je m’empressai de prendre la défense de son fils :



Curieuse, Michèle s’était approchée de son fils et se tenait derrière son fauteuil, suivant d’un œil intéressé ce qui se passait sur l’écran. D’où je me trouvais, placé au milieu de la pièce, je ne la voyais que de dos. J’en profitais pour fixer avec convoitise la partie de son anatomie qui me faisait tant fantasmer. La robe légère se tendait sur sa croupe, dessinant avec une précision impudique la forme des fesses plantureuses. Ce spectacle terriblement érotique déclenchait en moi une furieuse excitation. J’essayais de m’imaginer à quoi pouvait ressembler ce fabuleux derrière une fois dénudé. Quel volume pouvaient avoir ces fesses une fois libérées de leur prison de nylon ?


Autant Martine, ma femme, possédait un corps mince et souple, presque un corps d’adolescente, autant je me trouvais attiré par celui, tout en chair, de notre voisine. Penchée sur le dossier du siège sur lequel son fils se démenait, Michèle, prise par le jeu, se mit à encourager son rejeton, l’aidant de la voix à combattre les méchants dragons :



Stimulée par la bataille à laquelle se livrait son fils, la jeune femme ne tarda pas à s’agiter fébrilement. À se démener ainsi, elle ne se doutait pas qu’elle m’offrait un spectacle terriblement affriolant. Amusé et de plus en plus excité, je suivais d’un œil concupiscent le ballet érotique de l’opulent derrière qui remuait en tous sens. La gorge nouée par ce spectacle d’une rare lubricité, j’éprouvai alors le désir sournois d’empoigner ces hanches plantureuses qui ondulaient d’une manière terriblement suggestive. Certaines paroles de ma femme, au sujet de notre voisine, me revinrent en mémoire. D’après ce qui se disait çà et là, Michèle n’était pas considérée comme un modèle de vertu, et certaines mauvaises langues lui prêtaient de nombreuses aventures extraconjugales. Or, si ces différentes rumeurs m’encourageaient à oser un attouchement précis, la crainte que tout ce que l’on pouvait dire au sujet de la jeune femme soit faux me retenait encore.


Mais le ballet bouleversant de cette croupe tant désirée, tel un appel à assouvir mon désir, finit par me faire rejeter toute prudence. M’approchant de la femme par derrière, j’osai refermer avec émoi mes deux mains autour de ses hanches potelées. Le cœur battant la chamade, je perçus avec émotion, sous le léger tissu de la robe, la fermeté des chairs féminines. Alors que je m’attendais, inquiet, à ce que Michèle me repousse, scandalisée par mon audace, j’éprouvai un intense plaisir à constater que cette dernière, non seulement ne tentait pas de se soustraire à mon attouchement hardi, mais au contraire semblait l’accepter. Les mains toujours agrippées au dossier du fauteuil de son fils, elle s’immobilisa, la croupe tendue en arrière, comme dans l’attente d’un contact plus précis de ma part.


Confondu par la docilité avec laquelle cette femme avait accepté mon étreinte, je pressai fiévreusement mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, éprouvant un indicible plaisir à sentir ce corps charnu ainsi offert à mes attouchements. Aussi, je ne me privai pas de palper, comprimer, pincer ces chairs fermes, me gavant de papouilles. Pendant tout le temps que je lui malaxais les hanches, Michèle demeura immobile, ne cherchant jamais à fuir mes attouchements de plus en plus précis. Au contraire, il me sembla que sa croupe se tendait de plus en plus dans ma direction, comme pour me faire comprendre que non seulement elle acceptait mes privautés, mais qu’elle m’encourageait à les affiner.


Mais pétrir ainsi fiévreusement ces hanches charnues, objet de mes fantasmes, ne tarda pas à faire naître une formidable érection au bas de mon ventre. Dans le secret de mon slip, ma virilité se gonfla inexorablement en doublant de volume, déformant très vite le devant de mon pantalon. Il fallait que je fasse connaître à ma complice l’état dans lequel ses énormes appas me mettaient. Pour cela je m’avançai légèrement afin de coller mon bas-ventre où se dessinait en un relief important ma verge fièrement bandée contre sa vaste croupe évasée. Remuant doucement des hanches, j’entrepris alors de frotter la bosse que faisait mon membre contre le vaste derrière tendu. Vicieusement, je tachai de faire coulisser ma raideur dans la raie des fesses que je devinais au toucher.


À ce contact, Michèle s’appuya au dossier du fauteuil sur lequel Patrick était installé, et immédiatement lança sa vaste croupe en arrière, recherchant le contact avec ma raideur. Malgré l’impérieux désir qui m’habitait, je remarquai que ma vicieuse partenaire s’était positionnée de manière à ce que le haut de son corps forme un écran aux regards curieux qu’aurait pu jeter le garçonnet.


Rassuré alors sur l’approbation de ma victime à mes désirs, je resserrai mes mains sur ses hanches, crochetant mes doigts dans ses chairs fermes et potelées. Avec une véritable ivresse sensuelle, je pressai et malaxai les rondeurs épanouies. Sachant que nous serions tranquilles pendant environ encore deux heures avant le retour de mon épouse, je pris tout mon temps pour me griser de ces attouchements qui mettaient le feu à mes sens. Je triturais à pleines mains les flancs charnus qui oscillaient sensuellement sous mes doigts, tout en frottant avec volupté ma verge gonflée contre les fesses opulentes.


À sentir la raideur qui lui meurtrissait le derrière, Michèle ne pouvait ignorer la force de mon désir. À un moment elle tourna la tête vers moi et, me souriant d’un air complice, elle glissa vivement sa main droite entre nos deux corps accolés. Sans avoir à chercher, la jeune femme trouva immédiatement ma virilité, tant celle-ci gonflait le devant de mon pantalon. Avec émoi je sentis les doigts féminins se refermer sur l’énorme protubérance qui déformait ma braguette, qu’ils pressèrent avec autant de fièvre que j’en mettais de mon côté à pétrir ses hanches. Malgré l’épaisseur du tissu de mon pantalon, Michèle entreprit de me branler furieusement à l’aide de ses doigts refermés en pince autour de ma verge. C’est alors qu’un étrange dialogue s’instaura entre ma complice et son fils.



Comprenant qu’elle faisait ainsi allusion à ma queue énormément gonflée, je ressentis une nouvelle bouffée de désir m’envahir. Comme une furieuse envie de sentir la main féminine se refermer autour de mon membre viril me tenaillait, je décidai d’en faire part à ma compagne en employant le même stratagème. Je m’adressai donc à elle par l’intermédiaire de son fils :



Oubliant alors toute prudence, je m’empressai de faire glisser le zip de la fermeture éclair de ma braguette. Comprenant à mes mouvements à quelle activité je me livrais, Michèle cessa de me masturber afin de me laisser œuvrer à ma guise. Mais dès que l’ouverture fut pratiquée dans mon pantalon, elle se dépêcha d’y introduire la main, repoussant sans ménagement les tissus qui freinaient son exploration. D’un geste vif, elle plongea ses doigts dans mon slip qu’elle chiffonna, libérant l’objet de sa convoitise. Puis d’une main douce, mais énergique, elle masturba le mandrin de chair qu’elle y avait trouvé. Ivre de luxure, je m’empressai de tendre mon bas-ventre, offrant avec délice mon dard vibrant à la sensuelle caresse. Oeuvrant à l’aveuglette, Michèle ne m’en branlait pas moins avec une douceur extrême, décalottant largement mon gland gonflé. Les deux mains crochetées dans les opulentes fesses, qui continuaient à se mouvoir en un ballet terriblement lascif, je m’abandonnais entièrement aux plaisirs que me procurait ma charmante voisine.


Mais palper les chairs du vaste derrière attisa en moi le désir de contempler cette croupe qui me faisait fantasmer depuis des mois. Alors, sans plus réfléchir à ce que mon geste avait de hasardeux vis-à-vis du garçonnet qui pouvait à tout moment se retourner et découvrir à quels jeux je m’adonnais avec sa mère, je saisis le bas de la robe pour la retrousser. Sans interrompre la sensuelle masturbation qu’elle me prodiguait, Michèle cambra ses reins à l’extrême, m’offrant ses fabuleuses rondeurs, sanglées dans une culotte blanche à petites fleurs. La coquine lingerie, du fait de la position de sa propriétaire, se plaquait étroitement sur le large derrière tendu, laissant deviner par transparence la longue raie séparant les fesses potelées.


Accoudée au dossier du fauteuil sur lequel son fils se démenait toujours, Michèle enserra tendrement de son bras libre le visage du garçonnet, afin d’empêcher celui-ci de se retourner et de découvrir ce qui se passait derrière lui. Je demeurais extrêmement troublé en constatant combien ma sensuelle voisine prenait de précautions pour que son fils ne vienne pas troubler ce qu’elle était prête à m’accorder. Incapable de maîtriser plus longtemps le désir qui me torturait le bas-ventre, je pinçai l’élastique du ravissant slip fleuri et le tirai vers le bas. Avec une ivresse érotique, je dénudai ainsi le merveilleux postérieur. Pour exécuter cette manœuvre, je dus me reculer légèrement, libérant ma queue tendue de la main qui la cajolait.



Détournant son visage dans ma direction, la jeune femme me lança un sourire complice, m’encourageant dans mon entreprise. Me laissant complaisamment la déculotter, elle m’aida même à faire glisser sa lingerie le long de sa croupe, en remuant doucement ses hanches rebondies. Le merveilleux cul féminin m’apparut alors dans toute sa splendeur, énorme, fendu en son milieu par une longue fosse profonde, mystérieuse et combien troublante. Ne pouvant me retenir, je me laissai tomber à genoux face à cette splendide croupe à la peau blanche et veloutée, dans laquelle je crochetai mes doigts, écartant largement les fesses rondes et fermes. Avec une émotion d’adolescent, je dénichai l’affolant orifice brun et plissé. Ivre de luxure, je collai ma bouche à l’orifice anal que j’entrepris de lécher avec délectation. J’enfonçais avec sensualité ma langue à l’intérieur des profondeurs mystérieuses de ce cul émouvant. Aussitôt, ma sensuelle partenaire se mit à tanguer sur place, remuant follement son derrière, lançant son anus à rencontre de ma langue fouisseuse.


Tout en pratiquant ce baiser anal enivrant, je m’imaginais ma bienheureuse victime penchée sur son fils et faisant d’énormes efforts afin de ne pas dévoiler le plaisir qu’elle éprouvait. Je l’entendis le conseiller d’une voix sourde :



Les recommandations qu’elle lui donnait étaient pour moi des encouragements à poursuivre l’exploration de son anus. En maintenant ses fesses largement écartées, je vrillai ma langue dans le cul palpitant, léchant les contours sensibles, me régalant de voir la rosace brunâtre frémir doucement sous mon baiser particulier. Sous cette exploration anale, qui devait certainement lui procurer un certain plaisir, Michèle se déhanchait de plus en plus lascivement, me stimulant dans ma prospection. Mais, me sachant pris par le temps, j’abandonnai à regret l’orifice palpitant et certainement prêt à d’autres pénétrations plus consistantes. Ma chaude voisine avait le cul accueillant. Je glissai alors ma bouche en direction du sexe que je devinais, tapi au centre d’une forêt luxuriante. Michèle possédait une telle pilosité pubienne que je dus m’aider de mes doigts pour écarter les longs poils bouclés, d’un noir de geai, afin de dénicher la longue faille sexuelle. Comme j’approchais ma bouche de la vulve broussailleuse, une forte odeur épicée m’agressa les narines.


Grisé par ces effluves odoriférants qui s’élevaient de la chatte aux lèvres écarlates, j’enfonçai, avec un émoi d’adolescent, ma langue entre les longues babines sexuelles. Aussitôt un jus chaud et au goût âcre m’humidifia la bouche. Longuement je léchai les sucs qui émanaient des profondeurs du vagin en fusion, m’enivrant de ce nectar fortement parfumé. Sous mes coups de langue qui lui fouillaient profondément la vulve, Michèle se mit à agiter sa croupe, frottant furieusement sa fente ruisselante contre mon visage, m’engluant le nez et le menton de ses sécrétions vaginales. Vu l’abondance des liqueurs amoureuses qui m’aspergeaient le bas du visage, je jugeai que ma complice avait atteint un degré d’excitation maximum, et qu’il était temps pour moi d’assumer enfin mes fantasmes. J’allais enfin pouvoir enfoncer mon membre dans ce vagin liquéfié, que j’avais tant convoité.


Abandonnant alors la chatte ruisselante d’une mouille brûlante, je me redressai. D’un rapide coup d’œil, Michèle se renseigna sur les raisons qui m’avaient poussé à abandonner le léchage de sa chatte. Me découvrant debout, la bite hors de ma braguette, elle devina immédiatement mes intentions. D’un hochement de tête, elle me fit comprendre qu’elle était d’accord pour accepter mes assauts. Se cambrant au maximum afin de mieux s’offrir, elle écarta largement ses cuisses grasses, véritables colonnes de chair, fermes et solides.


Tout à son jeu, Patrick, inconscient de ce qui se passait derrière lui entre sa mère et moi, avait dû passer au tableau suivant, car j’entendis sa mère le conseiller :



Puisqu’elle me le demandait, j’aurais eu mauvaise grâce à la décevoir. Saisissant ma verge de la main droite, je la dirigeai entre les cuisses charnues de ma chaude voisine, plaçant mon gland dilaté entre les grandes lèvres sexuelles gorgées de désir.



Comprenant une fois de plus que ces encouragements m’étaient en fait destiné, je lançai mon bas-ventre en avant, faisant pénétrer la totalité de ma queue dans la vulve accueillante. J’eus l’impression de m’enfoncer dans un brasier, tant la femme était chaude.



Puisqu’elle me le demandait, j’obéis sans me faire prier. Crochetant mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, le regard fixé sur sa magnifique croupe qui se tendait vers moi, j’imprimai un mouvement de va-et-vient à mon bas-ventre. Avec un plaisir décuplé encore par la situation, je m’activai dans le fourreau incandescent de ma complice. Malgré la grosseur de ma queue, qui sans être d’une taille phénoménale, possède quand même une dimension raisonnable, je me trouvais au large dans ce corridor charnel. Un excitant bruit de clapotis ne tarda pas à s’élever du sexe féminin baratté. Ma virilité naviguait avec une facilité déconcertante dans un océan de mouille brûlante. Recherchant désespérément l’orgasme qui viendrait me libérer de ce désir qui me torturait le bas-ventre, je me démenais comme un fou contre les fesses tendues, les claquant sauvagement de mon ventre. Ma verge, tendue à m’en faire mal, coulissait rageusement dans la vulve transformée en véritable marais. Michèle mouillait d’une manière incroyable. Sa chatte investie et fougueusement ramonée par mon mandrin de chair ruisselait littéralement, comme si soudain un barrage tapi au fond de son vagin avait cédé et déversait son trop-plein de liquide organique en un flot torride.



Cependant, à me démener de la sorte, je ne tardai pas à sentir le plaisir monter le long de mon membre viril qui s’agitait dans une humidité tropicale. Fixant la large croupe qui avait pris une ravissante couleur rosée, sous les coups répétés que mon ventre lui assénait, je m’acharnai dans le vagin accueillant.


Une fois le processus lancé, tout se passa alors rapidement. Une onde voluptueuse, vertigineuse, incontrôlable, me submergea, me tétanisant de la tête aux pieds. Dans la chatte incandescente, ma verge augmenta encore de volume, avant d’exploser dans un véritable feu d’artifice. Les doigts furieusement plantés dans les hanches rebondies de ma sensuelle partenaire, je me mordis les lèvres pour ne pas laisser échapper le grognement de plaisir que je sentais prêt à jaillir de ma gorge. Tressautant par spasmes réguliers, ma verge cracha sa semence au plus secret du vagin dilaté, lâchant de longues salves de sperme, telle une mitrailleuse tirant ses coups lors d’un combat.


Je ne sais combien de temps je restai ainsi, prostré dans les entrailles de ma volcanique voisine. Ce furent les cris de triomphe de Patrick, qui venait lui aussi d’atteindre la victoire finale, qui me tirèrent de ma léthargie voluptueuse. Délicatement je retirai mon membre quelque peu ramolli de la vulve débordante, puis, apercevant la culotte aux fleurs roses de ma complice à nos pieds, je la ramassai afin d’essuyer les taches blanchâtres qui souillaient mon membre déliquescent. Comme je réintroduisais ma verge ramollie dans mon slip, Michèle abandonna sa position penchée en avant et sa robe retomba, me cachant son fessier généreux et terriblement sensuel.



Tout heureux d’avoir détruit tous les Aliens, le garçon sauta de son siège et se précipita vers la porte. S’assurant que son fils ne pouvait ni nous voir, ni nous entendre, Michèle s’approcha de moi pour plaquer ses lèvres aux miennes dans un baiser rapide et furtif, tandis que sa main droite empoignait mon membre à travers mon pantalon.



Saisissant ma nouvelle amante par la taille je la raccompagnai jusqu’à la porte en lui caressant sensuellement les fesses.



Je lui tendis sa lingerie intime que j’avais gardée à la main. S’en saisissant, elle la rangea dans une des poches de sa blouse.



Sur un dernier rapide baiser donné en cachette de son fils, elle me demanda :



Sur un dernier baiser, Michèle partit rejoindre son fils déjà au bout du couloir, me laissant seul avec ma braguette déboutonnée.