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Temps de lecture estimé : 31 mn
21/11/07
Résumé:  Une jeune femme mariée, exemplaire, tombe amoureuse d'un collègue beaucoup plus âgé.
Critères:  fh hplusag extracon collègues amour entreseins fellation cunnilingu anulingus 69 préservati
Auteur : Chacal
Une jeune femme si exemplaire

Une jeune femme si exemplaire



Sandrine est professeur de français dans un lycée de Tours. Elle a 31 ans, mariée depuis 6 ans à Laurent, deux filles de 4 ans et 22 mois. C’est une belle jeune femme de 1,65 mètre, 58 kg, 38 de tour de taille, un tour de poitrine de 85 D, cheveux châtains clairs, mi-longs et ondulés avec de magnifiques yeux bleus et quelques tâches de rousseur sur les pommettes. Son visage est très fin et exprime beaucoup de douceur. C’est d’ailleurs une jeune femme très maternelle avec ses enfants.


Sandrine prend soin de sa personne, elle se maquille juste ce qu’il faut et s’habille avec, à la fois, beaucoup de goût et de simplicité. Sandrine est un peu complexée par sa poitrine un peu volumineuse par rapport à sa taille, mais cela ne la perturbe pas trop. Les regards appuyés de certains hommes dans la rue ou de certains de ses élèves, notamment parmi les plus âgés la mettent seulement un peu mal à l’aise. Sandrine, depuis sa dernière maternité, a également dû constater que ses cuisses et ses fesses ont un peu forci ; comme sa mère, elle aurait tendance à avoir un peu de cellulite, mais pour l’instant tout son corps reste très esthétique. Elle fait seulement un peu de sport et s’est inscrite pour quelques séances dans un institut spécialisé.


Sandrine aime son métier. Elle enseigne à des enfants de 12 à 17 ans dans un lycée assez renommé dans lequel elle n’a jamais rencontré de problème avec les élèves. Elle aime aussi son mari, Laurent 32 ans, cadre dans une société d’assurances. Laurent est un bel homme de 1,82 mètre pour 75 Kg, d’allure sportive. Ils se sont connus lorsqu’ils étaient étudiants. Avant lui, Sandrine avait connu un autre jeune homme avec lequel elle avait eu quelques rapports sexuels très conventionnels, Sandrine a toujours été une jeune femme très raisonnable.


Laurent est très attentionné pour son épouse, il l’aide beaucoup dans les tâches ménagères et s’occupe également des enfants. Le couple est très uni. Ils habitent une maison à la campagne qu’ils viennent de faire construire et ils ont décidé d’avoir un troisième enfant. Sur le plan sexuel, l’entente est également plutôt bonne. Son époux est très doux et très attentif. Ils ont un ou deux rapports par semaine, souvent le samedi soir ou le dimanche matin et parfois le mardi ou le mercredi lorsque Laurent est demandeur. Laurent est très respectueux.


Le couple pratique la position du missionnaire, ou parfois Sandrine se met sur son mari. Laurent la prend aussi dans la position de la petite cuillère découverte lors des grossesses de Sandrine. Parfois, elle embrasse le sexe de son mari lors des préliminaires mais n’a jamais osé pratiquer de véritable fellation. Laurent ne le lui a d’ailleurs jamais demandé, il est assez timide sur ce plan-là. Il aime en revanche beaucoup caresser ses gros seins pendant l’acte, ce qui parfois la met un peu mal à l’aise, mais elle doit admettre que cela n’est pas désagréable. Laurent a le plaisir un peu rapide, c’est pourquoi Sandrine n’arrive pas toujours à avoir un orgasme et lorsqu’elle y parvient, c’est un orgasme clitoridien.


Sandrine pour plaire à son mari prend soin de sa tenue vestimentaire, elle aime bien aussi la lingerie de qualité. Elle porte des ensembles en dentelle ou en satin avec culotte, boxer ou brésilien. Elle met souvent des collants, à l’occasion des bas auto-fixant. L’été, elle porte parfois un string sous des pantalons blancs ou des jupes un peu moulantes, ce qui semble bien plaire à Laurent. Elle s’épile elle-même le maillot, juste ce qu’il faut pour ne pas que les poils dépassent des sous-vêtements.


Les parents de Sandrine sont instituteurs, elle est fille unique. Ils sont très fiers de leur fille qui ne leur a apporté que des satisfactions. Sa passion est la littérature du XIXème siècle, Sandrine lit beaucoup. Les parents de Laurent sont des cadres moyens, Sandrine s’entend très bien avec eux et elle est très appréciée. Le couple en principe passe la journée du dimanche chez les parents de Sandrine ou de Laurent et cela se passe toujours dans un bon climat.


Sandrine est donc très heureuse dans sa vie, personne ne peut imaginer les événements qui vont suivre et qui vont tout chambouler. À la rentrée des classes, le proviseur s’empressa de présenter à Sandrine un nouveau professeur de français qui venait d’un très grand lycée parisien. Jacques avait 57 ans, divorcé, une fille de 35 ans, il avait décidé de terminer sa carrière dans sa région natale. C’était un professeur très renommé et très brillant, il écrivait dans des revues littéraires et était très connu dans le milieu enseignant. Le proviseur n’aurait jamais espéré récupérer une telle pointure.


Jacques était grand, 1,80 mètre pour 85 kilo avec des cheveux blancs. Elégant, il faisait néanmoins son âge. Dans les semaines qui suivirent, Jacques se montrait très prévenant à l’égard de Sandrine. Sa culture était infinie. Quand il connut la passion de Sandrine pour la littérature, les deux collègues passèrent des heures à discuter dans la salle des professeurs.


Sandrine était pleine d’admiration pour cet homme, elle n’avait jamais rencontré une personne aussi brillante. Sans en être consciente, Sandrine guettait l’arrivée de Jacques pour avoir le plaisir d’engager la discussion. Lorsqu’il n’était pas là, elle était déçue. Après en avoir parlé à Laurent, elle invita Jacques un samedi soir au mois de janvier. Sandrine, sans savoir pourquoi, se mit ce soir-là sur son trente et un, une belle robe rouge décolletée, des bas auto-fixants noirs avec une couture. Jacques ne fut pas insensible, il lorgna plusieurs fois discrètement vers la poitrine et les jambes de Sandrine. Elle ne s’en aperçut pas. La soirée fut agréable, Laurent fut également impressionné par l’érudition de son invité mais aussi son sens de l’humour et sa finesse d’esprit. Les enfants l’apprécièrent également, il leur raconta des tas d’histoires.


Sandrine pensait souvent à Jacques. Selon ce qu’elle faisait ou voyait, elle se demandait ce qu’il aurait dit, ce qu’il aurait pensé. Il était un peu devenu sa référence intellectuelle, en tout cas c’est ainsi qu’elle le voyait. Quelques semaines plus tard, Jacques à son tour invita le couple chez lui, il était très bon cuisinier, il leur prépara un repas original et délicieux. Ils apprécièrent beaucoup la soirée.


Au mois de février, le proviseur informa Jacques et Sandrine, qu’ils devaient partir une semaine fin mars à Paris pour un stage pédagogique. Sandrine était d’abord ennuyée par rapport aux enfants, mais Laurent lui dit qu’il assumerait parfaitement. Intérieurement, elle était ravie de partir avec Jacques, ils allaient pouvoir parler littérature le temps qu’ils voudraient. Les deux collègues avaient réservé deux chambres d’hôtel dans le centre de Paris, ils prendraient le RER le matin pour aller en stage à Nanterre.


Sandrine ne vit pas passer le temps du voyage en train, Jacques lui raconta diverses anecdotes sur sa carrière. Le premier jour de stage, Jacques rencontra beaucoup de monde qu’il connaissait. Sandrine fut un peu déçue, elle aurait aimé pouvoir passer plus de temps avec lui. Il la présenta à ses amis, mais ne s’assit même pas prés d’elle pendant le stage. Le premier soir, ils mangèrent ensemble au restaurant de l’hôtel, mais à 21 heures, chacun rejoignit sa chambre.


Le lendemain, Jacques fut invité à une représentation théâtrale par une amie qui pouvait avoir des entrées, il lui demanda s’il pouvait amener Sandrine, ce qui ne posa aucun problème. Sandrine était ravie d’aller au théâtre. Elle s’était habillée avec une jupe bleue assez longue et des collants noirs. Ils retrouvèrent un groupe d’une quinzaine d’amis de Jacques dont certains étaient des écrivains ou auteurs connus. À l’issue, le groupe d’amis alla prendre un verre dans une brasserie renommée. Sandrine parlait peu, elle se sentait complexée par rapport à ces gens qu’elle n’aurait jamais pensé rencontrer un jour. Ils se couchèrent à 2 heures du matin.


Le lendemain, Jacques annonça à Sandrine qu’il était invité pour fêter les 40 ans d’une amie, Nathalie, dans une boite à la mode réservée à cette occasion. Il lui proposait de l’accompagner. Sandrine déclina l’invitation, pensant que ce n’était pas sa place et qu’elle n’avait pas de tenue pour une telle soirée. Puis, elle ne pouvait concevoir de sortir ainsi sans son mari. Jacques lui dit qu’il l’avait trouvée ravissante au théâtre et que sa tenue ferrait parfaitement l’affaire. Il lui dit que c’était le dernier soir. Sandrine fut très touchée de cette remarque et finit par se laisser convaincre.


Gênée vis-à-vis de Laurent resté seul avec les enfants, elle lui raconta qu’elle sortait au restaurant avec des collègues du stage. C’était la première fois qu’elle lui mentait, elle voulait, pensait-elle, lui éviter de s’inquiéter. Le soir, après les cours, elle fit les magasins et se trouva une belle robe noire qui lui arrivait à mi-cuisse. Elle n’avait pas l’habitude de s’habiller si court, mais ce genre de vêtement lui semblait mieux convenir pour une soirée. Sans trop savoir pourquoi, elle avait envie de se sentir belle pour cette soirée.


Elle acheta des bas auto-fixant noirs, elle faillit même craquer pour un ensemble noir avec string, mais après hésitation, elle reposa l’article. Elle regagna sa chambre pour se préparer. Elle mit un ensemble noir avec slip brésilien puis elle enfila les bas. Sandrine se regarda dans la glace. Elle se trouva très sexy, elle ne savait toujours pas pourquoi, mais elle se sentait bien ainsi. Elle enfila la robe puis elle se maquilla légèrement.


Sandrine avait maintenant très envie d’aller à cette soirée avec Jacques. Elle aimait danser, contrairement à Laurent et cela faisait plusieurs années qu’elle n’avait pas eu l’occasion de s’amuser un peu. Jacques frappa à la porte à 22 heures, Sandrine était prête, impatiente même. Il lui dit qu’elle était très belle ce qui fit plaisir à Sandrine. Ils prirent un taxi qui les amena devant la boite de nuit. Les invités étaient très nombreux et de tous âges. Ils furent accueillis par Nathalie qui accapara immédiatement Jacques. Sandrine, déçue, resta donc seule.


Un serveur lui proposa un verre de punch, elle accepta, ce qui lui permit de se donner une contenance ; sans faire véritablement attention, elle vida assez rapidement le verre et en prit un deuxième. Stéphane, un homme brun d’une quarantaine d’années, grand et svelte vint lui parler ; il tentait de la séduire. Elle lui fit comprendre qu’il ne l’intéressait pas, il n’insista pas.


Sandrine pensa alors à Laurent, à ses filles, elle se demandait ce qu’elle faisait au milieu de ces gens. Elle n’avait qu’une envie, repartir à l’hôtel. Sans y prêter attention, elle but ainsi 5 verres de punch. Elle n’avait jamais autant bu. La soirée commençait à être animée, beaucoup de personnes dansaient, de nombreux couples flirtaient. Jacques vint lui parler, il lui demanda si tout allait bien, mais il fut à nouveau accaparé par d’autres invités. Stéphane revint, il l’invita à danser, Sandrine qui commençait à avoir la tête qui tournait, n’eut pas la force de refuser. Elle dansa sur des airs des années 80. Puis, le DJ passa un slow. Stéphane se dirigea vers Sandrine et la prit dans ses bras sans lui demander son avis.


Sous l’effet de l’alcool, Sandrine tenait difficilement sur ses jambes. Sans y prêter attention, elle posa sa tête sur la poitrine de Stéphane. Celui-ci y vit comme un signal et entreprit aussitôt de lui peloter les fesses, Sandrine essaya de se dégager. C’est alors que Jacques qui avait vu la scène, intervint énergiquement et dit à Stéphane que Sandrine était avec lui et lui demanda de bien vouloir la laisser. Stéphane quitta la piste de danse.


Sandrine dit à Jacques qu’elle ne se sentait pas bien, qu’elle souhaitait rentrer. Ils prirent un taxi ; durant le trajet du retour, Sandrine retrouva un peu ses esprits. Jacques avait passé son bras sur ses épaules, elle s’était blottie contre lui, elle se sentait rassurée. Arrivés à l’hôtel, Jacques l’accompagna jusqu’à sa chambre, elle s’excusa pour avoir gâché sa soirée et pour sa conduite. Elle lui dit qu’elle ne comprenait pas ce qui lui avait pris, qu’elle ne buvait jamais habituellement. Jacques répondit que s’était de sa faute, qu’il était inexcusable d’avoir laissé seule une jeune femme aussi belle et désirable. Sandrine rougit et ne sut que répondre. Il l’embrassa sur le coin de la lèvre et lui souhaita une bonne nuit.


Dès qu’elle eut refermé sa porte de chambre, Sandrine repensa aux dernières paroles de Jacques. Jusqu’alors elle croyait que Jacques la considérait uniquement comme une jeune collègue avec laquelle il aimait partager sa passion pour son métier, elle n’avait jamais pensé que Jacques puisse la voir comme une femme désirable. Cette réflexion lui provoqua comme un serrement au creux de l’estomac, puis pour la première fois, elle s’interrogea sur ce qu’elle ressentait pour lui.


Elle dut admettre que depuis quelques mois, elle avait toujours envie de sa présence, elle ne se sentait vraiment bien que lorsqu’il était là. Elle comprit alors que c’était uniquement pour lui qu’elle s’était habillée sexy à l’occasion de cette soirée. C’est alors qu’elle s’aperçut, que ces quelques moments de réflexion avaient suffit pour que sa culotte soit mouillée. Elle était honteuse de sa réaction, non, ce n’était pas possible, cela ne pouvait pas lui arriver à elle qui adorait son mari, qui était jeune, beau et si gentil pour elle qui était comblée par la vie.


Jacques était plus âgé que son propre père. Elle pensa qu’il devait s’agir d’un simple fantasme qu’elle devait vite oublier. Elle se promit de ne plus y penser et de limiter ses contacts avec Jacques à l’avenir. C’est alors que quelqu’un frappa à la porte. Sandrine ouvrit aussitôt et fut surprise de se retrouver face à Jacques. Ils se regardèrent quelques secondes sans échanger un seul mot. Elle ne lui connaissait pas ce regard. Sandrine avait les jambes comme du coton, elle fut parcourue par un frisson ; c’est alors que Jacques s’avança et posa ses lèvres sur les siennes.


Sandrine ne put résister lorsqu’elle sentit sa langue investir sa bouche. Ils échangèrent un baiser fougueux qui dura longtemps. Elle sentait cette langue qui s’enroulait autour de la sienne, leur salive se mélangeait. Tout son corps réagissait, sa culotte était maintenant trempée. Jacques la poussa lentement dans la chambre, referma la porte, il la prit dans ses bras, la fit pivoter d’un quart de tour et la plaqua contre le mur. Il l’embrassait maintenant dans le cou. Sandrine gémissait. Elle le serrait contre elle, elle sentait son sexe déjà dur contre son ventre. Elle aurait voulu résister, mais c’était plus fort qu’elle.



Sandrine reprit alors un peu ses esprits :



Tout en l’embrassant à nouveau dans le cou, il passa sa main sous sa robe et remonta par l’extérieur de sa cuisse, dépassa la lisière du bas où la peau est nue, puis la positionna sur son slip au niveau du pubis, Sandrine poussa aussitôt un gémissement tellement c’était sensible. Il la caressa de toute sa main à travers le tissu. Sandrine écartait maintenant les jambes pour que le contact soit plus fort. Elle ne résistait plus, elle se donnait, elle ne pouvait s’empêcher de laisser échapper des petits soupirs. Sandrine mouillait tellement que cela finit par traverser le tissus de la culotte.


Jacques ne tenant plus, s’agenouilla, baissa le slip et aida Sandrine à s’en débarrasser. Il aperçut sa fente, ce qui redoubla son excitation. Sandrine, qui pour la première fois de sa vie ne pouvait plus se contrôler, défit la ceinture et ouvrit le pantalon de Jacques qui s’était relevé, puis baissa son slip à moitié cuisse. Elle ne pensait plus à rien, ni à Laurent, ni à ses filles, ni à sa vie. Elle avait seulement envie du sexe de cet homme.


La queue jaillit, elle était longue et épaisse. Sandrine fut surprise et impressionnée, elle n’avait qu’une envie, la toucher, l’avoir en elle. Elle la prit dans sa main et fit coulisser. Elle ne put s’empêcher de penser que ce sexe était beaucoup plus gros que celui de Laurent. Jacques aussi était impatient. Il souleva Sandrine en la prenant sous les cuisses. Celle-ci se tenait à son cou et referma ses jambes dans son dos. Elle sentait maintenant la grosse queue de Jacques qui pointait entre ses lèvres déjà ouvertes.


Elle avait envie d’être prise. Jamais elle n’avait été aussi excitée. Jacques réussit à déplacer ses mains sous ses fesses qu’il tenait fermement. Il la pénétra d’un coup en la faisant descendre sur sa bite, la sensation fut étrange, elle n’avait jamais été pénétrée par un sexe aussi gros. Ils restèrent immobiles quelques secondes. C’était très agréable, elle le sentait au plus profond de son vagin.



Il la pilonna violemment à peine une minute la tenant fermement par les fesses, ainsi plaquée contre le mur, ils râlaient tous les deux. Cette force brutale jusqu’alors inconnue pour elle décuplait l’excitation de Sandrine. Elle sentit rapidement son vagin se contracter, elle ne pouvait plus rien contrôler, une chaleur intense envahit alors son ventre, ils jouirent bruyamment en même temps, Jacques éjacula en elle plusieurs jets chauds et épais. Epuisés, ils s’écroulèrent par terre.


Jamais Sandrine n’avait connu un orgasme aussi fort que celui-là, elle n’avait jamais non plus été prise d’une façon aussi sauvage et fougueuse. Après quelques secondes de répit, Sandrine prit conscience de ce qui venait de se passer. Ce n’était pas possible, elle venait de tromper son mari avec cet homme qui avait presque le double de son âge, mais qu’est-ce qu’elle avait fait ? C’était impensable.


En quelques minutes, tout venait de basculer, elle n’avait rien vu venir, en tout cas elle n’avait pas su décoder ce qu’elle ressentait depuis pourtant plusieurs mois. Elle se mit à pleurer. Elle pensa à Laurent, à leurs filles, à leur projet d’avoir un bébé. Elle sentait le sperme de Jacques qui s’écoulait de son vagin le long de ses cuisses jusque sur le haut de ses bas. Tout à coup, elle fut prise de panique, elle ne prenait plus la pilule et elle était dans sa période d’ovulation. Elle se leva, se précipita à la salle de bain, se déshabilla et se mit immédiatement sous la douche en prenant soin de se laver le sexe. Elle savait qu’il était trop tard mais elle ne pouvait rien faire d’autre. Quand elle ressortit de la salle de bain une serviette enroulée autour de son corps, elle dit à Jacques en pleurant :



Jacques la prit dans ses bras.



Ils s’assirent sur le bord du lit. Jacques était très doux, il embrassait ses larmes sur sa joue, puis sur ses lèvres. Cela était agréable, rassurant.



Jacques recommença à l’embrasser, puis il fit glisser la serviette de bain découvrant ses seins. Il découvrit de gros seins en forme de poire avec de larges aréoles qui tombaient légèrement depuis ses deux grossesses. Elle ne savait plus quoi faire. Jacques lui embrassa les seins, le corps de Sandrine commençait à réagir, elle n’avait plus la volonté de lutter, elle céda de nouveau.


Il aspira chacun de ses tétons, ils pointaient maintenant fièrement vers lui. Sandrine penchait la tête en arrière et appréciait la caresse. Jacques venait de passer une main entre ses cuisses et caressait son clitoris, Sandrine mouillait déjà abondamment. Elle écartait bien les jambes pour lui faciliter l’accès à son sexe. Jacques se redressa, ôta rapidement sa chemise et son slip, il bandait à nouveau. Sandrine constata que de nombreux poils de son pubis étaient blancs.


Jacques comme beaucoup d’hommes de son âge avait un peu d’estomac, ses muscles s’étaient un peu relâchés. Elle se dit que Laurent était beaucoup plus beau, mais c’est de lui dont elle avait terriblement envie, cela allait bien au-delà du physique. Jacques s’avança vers Sandrine qui était toujours assise sur le lit, il prit ses seins entre ses mains, les rapprocha et plaça sa bite au milieu. En oscillant le bassin, il commença à se caresser ainsi entre les deux mamelles. Sandrine fut surprise, Laurent qui lui caressait pourtant souvent la poitrine, n’avait jamais osé faire cela. Elle se laissa faire. La bite de Jacques qui était assez impressionnante venait taper sous son menton. Cela dura deux bonnes minutes.



Sandrine fut surprise de cette familiarité, jamais Laurent ne lui avait manqué de respect comme Jacques venait de le faire. Paradoxalement, elle était maintenant encore plus excitée. Jacques s’arrêta et présenta sa queue devant ses lèvres. Sandrine osa quelques baisers sur le gland poisseux.



Sandrine hésita, elle n’avait jamais fait cela, en même temps, elle avait envie de ce sexe. Jacques posa son gland sur ses lèvres, hésitante elle les maintenait fermées, il passa une main derrière sa nuque et appuya légèrement vers l’avant. Vaincue, elle ouvrit la bouche, Jacques y enfonça la moitié de sa queue. Le goût était âcre, elle était un peu écœurée, ne sachant trop comment s’y prendre, elle faisait coulisser le mandrin entre ses lèvres et donnait des coups de langue sur le bout. Le goût âcre disparut et Jacques commençait manifestement à apprécier.



Sandrine n’était même plus choquée, elle continua en s’appliquant. Il l’arrêta après quelques minutes et dit :



Il se mit à genoux entre ses jambes et commença à lécher sa vulve. Il lui léchait maintenant son clitoris et avait enfoncé un doigt dans son vagin. Personne ne lui avait jamais fait cela. Assise, elle voyait Jacques qui s’affairait entre ses jambes, elle avait honte mais elle dut admettre que c’était très bon, elle aurait voulu que cela ne s’arrête jamais. Maintenant, Jacques lui appliquait de grands coups de langues tout le long de sa fente, ses lèvres étaient bien ouvertes.


Sandrine qui était au bord de l’orgasme s’était allongée, ses fesses étaient au bord du lit. Puis, Jacques cessa et vint se placer sur elle. Sandrine reprit un peu ses esprits :



Il se leva et alla chercher dans son portefeuille un préservatif qu’il enfila. Sandrine fut à nouveau surprise. Il vint se placer sur elle, elle écarta spontanément les jambes et il la pénétra avec douceur. Sandrine sentait à nouveau sa queue qui emplissait tout son vagin. Avec le préservatif, la sensation était toutefois un peu moins agréable que lors de la première pénétration.


Il commença à la limer ; elle était tellement excitée qu’après quelques va-et-vient, elle eut un premier orgasme. Elle gémit fortement. Pour la deuxième fois, elle avait eu un orgasme rapidement, c’était nouveau pour elle, qui en principe avait besoin de beaucoup de temps pour arriver à jouir et d’ailleurs elle était loin d’y parvenir chaque fois. Jacques continuait de limer ; manifestement il n’arrivait pas à jouir. Sandrine pensa qu’il n’était pas tout jeune. Un sentiment de honte l’envahit à nouveau.


Jacques bascula et Sandrine se retrouva sur lui. Elle comprit qu’il attendait qu’elle imprime le mouvement. Elle se pencha en avant et commença à faire onduler son bassin comme elle avait l’habitude de faire avec son mari. Jacques lui pelotait les seins d’une façon presque obscène, elle commençait à y prendre du plaisir, elle a toujours été sensible à ce genre de caresse. La respiration de Jacques commença aussi à s’accélérer.



Puis, il éjacula. Jacques alla prendre une douche. Epuisée, Sandrine n’avait plus la force de penser, elle s’endormit.


Le lendemain, c’est le téléphone sur la table de nuit qui la réveilla. C’était Laurent qui voulait savoir comment sa soirée s’était passée. Sandrine n’était pas loquace, elle dit à Laurent qu’elle était fatiguée. Elle s’aperçut que Jacques était dans son lit, elle ne s’était pas rendu compte qu’il avait dormi avec elle. Sandrine fut encore plus mal à l’aise. Alors qu’elle racontait une soirée imaginaire au restaurant à Laurent, Jacques était passé sous les draps et avait commencé à lui lécher la fente.


Sandrine tentait de résister en serrant les cuisses, mais Jacques les écarta vigoureusement. Sandrine ne pouvait pas se débattre, elle ne voulait pas que Laurent s’aperçoive qu’elle n’était pas seule. Jacques lui aspirait les lèvres et le clitoris, il enfonçait sa langue dans son vagin. Au bout de quelques minutes, elle sentait le plaisir qui commençait à venir, elle n’allait pas pouvoir poursuivre la conversation, elle dit :



Dès qu’elle eut raccroché Jacques vint sur elle, elle sentait sa bite à l’entrée de son vagin :



Il plaça sa bite entre ses lèvres sans la pénétrer et commença à la frotter. Le mouvement de cette colonne de chair sur son clitoris commença à faire réagir Sandrine. Elle n’avait même plus conscience qu’un homme venait de lui lécher le sexe alors qu’elle parlait au téléphone avec son mari. Elle entendait le bruit de la succion provoqué par sa mouille toujours aussi abondante. Cela l’excita encore plus. Après quelques minutes, elle jouit. Jacques continuait, il n’avait pas encore pris son plaisir.


Au bout d’un moment, Sandrine qui ne mouillait plus commençait à être irritée. Malgré tout elle se laissait faire, elle pensait que s’était la dernière fois, qu’elle ne recommencerait plus avec Jacques, que la parenthèse se refermait ce jour. La respiration de Jacques devint plus forte, il finit par éjaculer sur son ventre. Il étala le sperme en la caressant jusque sur ses seins. Sandrine commençait à comprendre que Jacques était assez libéré sur le plan sexuel, cela ne correspondait pas en tout cas à l’homme rangé qu’il paraissait être, mais elle devait admettre qu’il lui avait donné du plaisir comme elle n’en avait jamais eu.


Elle se leva et alla prendre sa douche. Quand elle revint, Jacques était parti dans sa chambre. Toute la journée, ils s’ignorèrent. Sandrine n’arriva pas à se concentrer, elle avait honte de ce qu’elle avait fait, puis elle angoissait à l’idée d’être enceinte. Elle pensait qu’elle ne pourrait plus être heureuse comme avant.


* * * * *


La vie reprit son cours. Sandrine évitait Jacques autant que se peut. Elle fut soulagée lorsqu’elle sut qu’elle n’était pas enceinte. Elle aurait voulu oublier se qui s’était passé à Paris, mais elle y pensait tout le temps. Elle était souvent triste, elle avait du mal à se concentrer, elle était étourdie, distante. Laurent s’en aperçut, il mettait cela sur le compte de la fatigue.


Elle pensait souvent à Jacques, lorsqu’elle le voyait au lycée, elle avait envie de le toucher, de lui parler, mais elle devait se contenir. Leurs longues conversations lui manquaient. Elle éprouvait de l’ennui lorsqu’elle était avec Laurent et lorsqu’il lui faisait l’amour, c’est le visage de Jacques qu’elle voyait. Elle devenait de plus en plus passive. Sandrine avait honte d’elle-même, mais c’était plus fort qu’elle.


En cachette de Laurent, elle avait repris la pilule, elle ne se sentait pas dans de bonnes conditions pour avoir un autre enfant. Souvent, elle se refusait, lui prétextant des migraines tenaces. Plusieurs fois, Jacques voulut la revoir, Sandrine refusa. Elle dut faire preuve d’une grande volonté pour ne pas céder. Elle espérait qu’il changerait d’établissement à la rentrée, mais il était bien toujours là.


Une certaine tension commençait à apparaître dans son couple, Laurent commençait à être impatient, ce qui le rendait parfois agressif ; en outre, sur le plan sexuel, il était en manque. Au mois de novembre, sa fille eut une grosse bronchite. Sandrine devait se lever plusieurs fois la nuit pendant plusieurs semaines, elle était fatiguée et nerveusement elle était prête à craquer ; elle pleurait souvent.


Un soir, après une journée de cours particulièrement difficile, elle appela Laurent pour lui proposer une soirée au cinéma, elle proposait de confier les enfants à une baby-sitter. Laurent était en plein travail et lui dit sèchement qu’elle était inconsciente, leur fille n’était pas encore guérie et raccrocha. Sandrine se sentait abattue. Il était 16 heures 30 et il commençait à faire sombre. Elle sortit du lycée et se dirigea vers le parking.


Elle portait une doudoune grise, un pantalon noir, un pull angora blanc ras-de-cou sur un ensemble slip soutien-gorge blanc en coton avec des mi-bas noirs, ainsi que des bottines. Lorsqu’elle arriva sur le parking, une voiture arriva face à elle. Elle reconnut Jacques. Il s’arrêta à sa hauteur. Avant qu’il n’ait le temps d’ouvrir sa vitre côté passager pour s’adresser à elle, Sandrine sans réfléchir monta dans la voiture. Jacques fut très étonné.


Sans un mot, il démarra, il roula plusieurs minutes et alla se garer à la lisière d’un petit bois où il ne passait personne l’hiver. Sandrine regardait droit devant elle. Jacques lui demanda ce qui se passait. Sandrine qui pleurait.



Elle le regarda dans les yeux, leurs lèvres se rapprochèrent et ils s’embrassèrent longtemps. Leur langue se mélangeait. Sandrine s’abandonnait enfin, elle se sentait soulagée.



Il commença à lui caresser les cuisses à travers son pantalon. Jacques déboutonna le pantalon, passa sa main dans son slip et caressa sa fente. Sandrine se laissait faire. Elle mouillait déjà. Il enfonça son index dans son vagin, il avait l’impression qu’il était aspiré tellement elle mouillait.



Sandrine comme une automate s’exécuta, elle enleva sa doudoune, ses bottines, puis son pantalon et son slip sans penser où elle se trouvait, que quelqu’un pouvait passer. Ce n’était pourtant pas facile à faire dans la voiture, elle dut se soulever du siège pour faire glisser les vêtements. Elle avait toujours ses mi-bas. Jacques baissa son pantalon et son slip, il bandait déjà. Il recula son siège au maximum, il prit un préservatif dans la boite à gant et l’enfila. Il dit à Sandrine de venir sur lui.


Celle-ci hésita, elle n’avait jamais fait l’amour dans une voiture, elle ne comprenait pas ce qu’il voulait. Jacques lui dit de s’asseoir tout simplement sur ses genoux. Sandrine obéit. Elle passa du côté conducteur non sans difficulté, le lieu était étroit. Lorsqu’elle fut assise sur les genoux de Jacques, elle lui tournait le dos, celui-ci lui demanda de se soulever un petit peu en prenant appui sur le volant. C’est alors qu’elle sentit sa bite à l’entrée de son vagin.


Elle ne bougeait plus ; Jacques la pénétra de quelques centimètres, elle laissa échapper quelques gémissements de plaisir, il continua ainsi un petit moment par de petits coups de bassin, il lui tripotait les fesses en même temps, Sandrine avait envie de beaucoup plus, elle se laissa retomber pour s’empaler bien à fond sur le mandrin. Elle n’avait jamais fait l’amour dans cette position. Jacques apprécia. Il se mit alors à la pilonner assez brutalement en prenant appui de ses mains sur le coussin du siège ; Sandrine penchée de plus en plus en avant sur le volant accompagnait le mouvement, elle aimait beaucoup, elle poussait des petits cris. Jacques s’arrêta, passa ses mains sous son pull, prit ses seins par dessous à travers le soutien-gorge et dit :



Il passa ses mains derrière son dos et dégrafa le soutien-gorge. Il prit ensuite les seins à pleines mains et fit rouler les gros mamelons entre son pouce et son index. Sandrine commençait à apprécier. Puis Jacques cessa, reprit appui avec ses mains sur le siège et la pilonna de plus belle. Les deux se mirent à pousser des râles, en deux minutes ils jouirent. Jacques toujours expressif :



Et il éjacula dans le préservatif. Sandrine qui n’y pensait plus, aurait voulu recevoir sa semence en elle, elle fut un peu déçue. Ils se réajustèrent comme ils purent et commencèrent à parler. Jacques lui proposait de se voir tous les jeudis après-midi, ils n’avaient pas cours tous les deux.



Lorsqu’elle reprit sa voiture, Sandrine se sentait plus apaisée. Elle n’avait plus le sentiment de culpabilité qu’elle avait éprouvé la première fois, elle avait l’impression que ce qui était arrivé devait arriver, qu’elle n’y pouvait rien. Lorsqu’elle arriva chez elle, Laurent était déjà là. Il s’excusa pour son attitude et se montra très attentionné. Sandrine se sentait mal à nouveau. Elle avait le sentiment de l’avoir trahi, d’être une garce.


Une semaine passa. Laurent se pliait en quatre pour lui être agréable. Le samedi soir, il lui fit l’amour, Sandrine ne ressentit rien, il l’a prise dans la position du missionnaire et éjacula en elle. Pour ne pas le vexer, elle lui dit que cela avait été agréable. Laurent lui dit qu’ils allaient bien finir par avoir un autre bébé, Sandrine ne répondit pas.


Le jeudi suivant, Sandrine ne savait pas ce qu’elle allait faire. Jacques lui avait dit plusieurs fois qu’il l’attendrait, elle n’arrivait pas à prendre une décision. Elle pensait qu’en acceptant, leur relation allait se pérenniser et elle ne savait pas si elle serait capable moralement de mener une double vie. Elle n’en dormait plus la nuit. Le jeudi à midi, après ses cours, elle se sentait vide, incapable de décider. Machinalement, elle rentra chez elle. Elle s’installa devant la télé, mais elle ne savait même pas ce qu’elle regardait.


Elle pensait à sa vie, à Laurent, ses filles, maintenant Jacques. Lorsqu’elle pensa à lui, à ce qu’ils avaient fait, son estomac se noua de nouveau. Elle tenta d’appeler Laurent pour entendre sa voix, son portable était coupé. D’un coup, elle se leva, elle avait pris sa décision. Elle se dirigea dans sa chambre et se changea. Elle était en pantalon. Elle choisit une jupe grise assez courte, elle mit des bas auto-fixant gris, un ensemble avec culotte en satin à fines rayures marrons et blanches et elle partit chez Jacques.


Elle arriva chez lui à presque trois heures. Il commençait à désespérer. Il sortit l’accueillir jusqu’à sa voiture. Elle se jeta dans ses bras, il la serra très fort et ils s’embrassèrent. Jacques l’entraîna à l’intérieur en la tenant par la main. Il l’amena directement dans sa chambre. Sandrine n’était même pas choquée, elle avait envie de faire l’amour. Il enleva lentement ses vêtements sauf ses bas.



Il lui enleva son soutien-gorge et sa culotte.



Sandrine voulut ôter ses bas.



Il commença par lui lécher la fente. Sandrine sentait sa langue qui passait et repassait dans les plis de ses lèvres.



Jacques toujours le visage placé à quelques centimètres de sa vulve :



Sandrine qui avait déjà vu une amie intégralement épilée dans les vestiaires au volley-ball et avait trouvé ça vulgaire :



Jacques recommença à la lécher de plus belle, il aspirait ses lèvres, son clitoris, il buvait son jus.



Il s’arrêta, se déshabilla complètement se coucha sur le dos. Il bandait. Elle prit son sexe en main et le caressa, elle se demandait s’il fallait qu’elle le suce. Jacques lui dit :



Sandrine qui avait vu un passage de film porno chez des amis lors d’une soirée bien arrosée, comprit ce qu’il voulait. À l’époque, elle n’aurait jamais imaginé pratiquer cette position avec son mari. Elle se plaça dans la position du 69, Jacques lui lécha la fente aussitôt, puis enfonça sa langue dans son vagin. Pour elle, c’était encore une première.



Sandrine avait la queue de Jacques devant sa bouche, elle savait maintenant ce qu’il attendait. Elle commença à lui lécher le gland et le prit en bouche, elle le suçait sur le même rythme que lui. Sa surprise fut grande et elle s’interrompit lorsqu’elle sentit les doigts de Jacques lui écarter les fesses et la pointe de sa langue autour de son anus. Sandrine pour qui cette zone avait toujours été étrangère à la sexualité fut étonnée de ressentir une sensation très agréable. Jacques s’attarda ainsi un long moment avec beaucoup de douceur. Lorsque Sandrine laissa échapper un petit gémissement, Jacques lui dit :



Sandrine se concentrait tellement sur son plaisir qu’elle ne réagit même pas. Alors que son plaisir commençait à venir, Jacques s’arrêta et dit :



Sandrine s’était remise sur le dos.



Sandrine pensait qu’il exagérait mais :



Sandrine se mit en position, un peu inquiète :



Jacques se mit derrière elle, il passa deux doigts dans sa chatte trempée qui était bien ouverte. Sandrine trouvait cela un peu animal, mais son excitation était à son paroxysme. Il la pénétra d’un coup. Elle n’avait jamais reçu un sexe aussi profond dans son vagin, elle poussa un petit cri de surprise au départ, mais Jacques commença à limer et elle ressentit aussitôt une sensation agréable. Elle sentait bien le pieu de Jacques qui s’enfonçait en elle en se cramponnant à ses hanches.


On entendait entre leurs râles, le bruit de succion de sa chatte humide dans la pièce silencieuse, puis les claquements de ses fesses sur le ventre de Jacques lorsqu’il accélérait le mouvement. Elle se voyait dans la glace de l’armoire, elle trouvait cela très obscène, elle n’avait pas l’impression que cette jeune femme qui se faisait prendre comme ça, bestialement par cet homme beaucoup plus âgé était Sandrine, considérée par tous comme la jeune femme si parfaite, si raisonnable, si tout… mais c’était en même temps terriblement excitant et très bon. Pour rien au monde, elle n’aurait voulu laisser sa place.



Jacques en relevant le torse de Sandrine toujours à genoux, mais la queue toujours emmanchée dans son vagin par derrière, prit ses seins par dessous dans ses mains et lui dit à l’oreille :



Jacques continuait à lui malaxer les seins et à faire rouler les tétons entre ses doigts, Sandrine avait l’impression qu’elle allait jouir rien que par ses caresses :



Jacques la fit à nouveau pencher vers l’avant et toujours en levrette la pilonna de plus belle.



Sandrine qui n’aurait jamais imaginé dire de telles choses :



Jacques accéléra :



Maintenant Sandrine hurlait :



Elle n’avait jamais ressenti un orgasme aussi puissant, elle avait l’impression qu’il la perforait :



Jacques éjacula dans son vagin de façon très abondante. Ils étaient épuisés. Lorsqu’il se retira l’air qui était à l’intérieur fit comme un bruit de pet, Sandrine fut mal à l’aise, mais Jacques lui dit gentiment que c’était normal.



Ils parlèrent jusqu’au soir, Sandrine avait encore son sperme sur elle qui était en train de s’écouler, Jacques lui donna un mouchoir en papier, elle essuya ce qu’elle put.

Jacques lui raconta sa vie intime, il avait eu deux femmes. Il avoua à Sandrine qu’avec la seconde, il avait fréquenté des clubs libertins et qu’il avait ainsi épanoui sa sexualité.


Sandrine qui avait entendu parler de ce genre de pratique fut impressionnée, un peu inquiète aussi, il la rassura en lui disant qu’il ne la forcerait jamais à faire ce dont elle n’avait pas envie et qu’il ne pratiquait plus depuis qu’il était à Tours. Il l’interrogea sur sa vie, il lui posa des questions sur sa vie intime aussi, il lui demanda si elle faisait des fellations à Laurent, s’il lui faisait des minettes, les positions qu’ils pratiquaient, elle répondit mais se sentait mal à l’aise, elle avait l’impression de trahir Laurent une deuxième fois.


Avant qu’elle ne parte, alors qu’elle était en train de se rhabiller devant lui toujours nu sur le lit, il lui dit en lui montrant son sexe qui bandait à moitié :



Sandrine n’était pas certaine de comprendre, alors Jacques plus explicite en lui montrant sa queue :



Sandrine qui n’en avait pas particulièrement envie, ne voulut pas se montrer trop prude. Elle s’assit au bord du lit et commença par lui lécher le gland, puis elle le prit en bouche et s’appliqua à bien le sucer. Elle commençait à être plus à l’aise dans cette pratique. Jacques toujours plus exigeant :



Sandrine s’exécuta puis elle reprit son manche en bouche. Elle accéléra le rythme, mais Jacques ne venait pas.



Sandrine lui branla la base de la queue pendant qu’elle continuait de le pomper. Elle se demandait comment elle devait se comporter quand il allait venir, elle n’avait jamais fait jouir un homme avec sa bouche. Jacques lui apporta la réponse :



Sandrine reçut alors les jets de sperme dans la bouche, la première giclée atteignit le fonds de sa gorge, elle avala, le goût était un peu écœurant. Quand elle eu terminé, elle alla à la salle de bain se rincer la bouche, elle ne regrettait pas d’avoir fait plaisir à Jacques. Elle avait cessé de se poser des questions.


Les amants se rencontraient tous les jeudis chez Jacques et faisaient l’amour tout l’après-midi. Jacques lui faisait découvrir plein de jeux sexuels, toutes sortes de positions, il lui disait toutes sortes de paroles très crues, ce qui plaisait particulièrement à Sandrine, même si elle avait un peu honte de l’admettre.


En revanche, même si elle avait toujours de l’affection pour lui, elle ne supportait plus que Laurent la touche. Cela la dégoutait, elle avait envie de n’appartenir qu’à Jacques. La tension devenait importante au sein du couple. Jacques pourtant essaya de la convaincre de faire des efforts, mais ce fut en vain.


Un jeudi alors qu’ils étaient dans la chambre et que Jacques était en train de la prendre en levrette, une des positions préférées de Sandrine, quelqu’un sonna à la porte. Ils durent s’interrompre, Jacques descendit. Il revint rapidement en lui disant que sa fille était là. Sandrine était affolée, la fille de Jacques, 35 ans, était plus âgée qu’elle, elle ne savait pas quoi faire. Jacques lui dit de se rhabiller et de descendre, que tout se passerait bien. La jeune femme, lorsqu’elle vit Sandrine, ne sembla pas étonnée. Jacques était très à l’aise.



Tous trois discutèrent une bonne heure, Jacques appelait Sandrine, chérie, devant sa fille. Au début, Sandrine avait du mal à assumer la situation, puis au fil de la conversation, elle ressentit comme un sentiment de soulagement, pour la première fois le couple se montrait à un tiers, elle comprit qu’elle avait besoin que leur relation soit reconnue, elle avait envie que l’on sache qu’elle était à Jacques.


Florence, très gentille, lui dit qu’elle comprenait mieux pourquoi son père semblait heureux depuis un certains temps, elle leur souhaita tout le bonheur possible. Florence les invita tous les deux à passer un week-end chez elle et son mari près de Nice à l’occasion de son anniversaire.


Une semaine passa, Jacques devait aller passer le week-end suivant chez sa fille. Sandrine l’appela un soir pour lui dire qu’elle avait réfléchi depuis plusieurs jours et qu’elle avait décidé d’y aller avec lui, qu’elle ne voulait plus se cacher, qu’elle voulait vivre avec lui. Jacques lui demanda si elle avait bien réfléchi, il lui parla de leur différence d’âge, mais Sandrine était déterminée.


Le vendredi soir, lorsque Laurent rentra du travail, elle était en train de préparer son sac. Laurent étonné :



Laurent interloqué ne pouvait plus parler.



Sandrine rejoignit Jacques et le couple partit pour l’aéroport, direction Nice.



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Un mois est passé, Sandrine a dû expliquer à ses enfants, mais aussi à ses parents. Ce fut plus difficile avec ces derniers qui ne s’attendaient pas à cela de la part de leur fille unique. Sandrine ne les avait jamais déçus et soudain le ciel leur tombait sur la tête. Son père ne veut plus lui parler, sa mère la voit en cachette, mais elle essaie toujours de la persuader de revenir.


Ses deux filles sont avec elle et Jacques durant la semaine, Laurent ne peut s’en occuper. Lui aussi essaie de convaincre Sandrine, mais elle est bien décidée à demander le divorce. Malgré tout, elle n’a jamais été aussi heureuse. Depuis qu’elle vit vraiment avec Jacques, l’aspect sexuel de leur relation est moins prépondérant, ils ont de longs moments de complicité, leur entente est presque fusionnelle.


Bien entendu, lorsqu’ils font l’amour, une ou deux fois par semaine, c’est toujours très chaud. Il ne peut en être autrement avec Jacques, elle doit reconnaître que cela lui plait bien aussi. À la demande de Jacques, elle est allée se faire épiler le maillot. Cela n’a pas été facile pour elle, mais elle est tombée sur une esthéticienne très gentille qui a su la mettre à l’aise, et sur ses conseils, elle a opté pour une épilation type maillot américain.


Cela lui a fait tout drôle lorsqu’elle s’est vue dans la glace pour la première fois, mais elle trouve cela plutôt agréable et en tout cas Jacques a été ravi. Sandrine a bien conscience que sa relation avec Jacques ne durera que quelques années, mais ces quelques années, elle veut les vivre intensément, elle ne veut avoir aucun regret.