Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11994Fiche technique10183 caractères10183
Temps de lecture estimé : 6 mn
25/11/07
Résumé:  Claire doit enseigner loin de chez elle. Elle trouvera refuge chez nous.
Critères:  ffh collègues pénétratio -amiamour -couple+f
Auteur : Monbel      Envoi mini-message
Claire est bien accueillie

Claire était nommée dans ce lycée à 200 kilomètres de chez elle. Premier poste, pas le choix. Mon épouse, le jour de la rentrée, me dit :



Le lendemain, Claire était chez nous. 24 ans, jeune agrégée, très belle. C’était l’époque des minijupes. Pendant l’apéritif, j’admirai ses longues jambes.


Me retrouvant à la cuisine, Marie me dit :



Je crus rêver quand Marie déclara :



La semaine suivante, Claire arriva chez nous. Elle aimait, comme nous, pratiquer le jogging. Nous partîmes une heure sur les bords de la Somme. De retour, Marie et Claire passèrent, ensemble, dans la salle de bain. Je m’y glissais après. Quand je les retrouvai, Marie était en débardeur avec un short moulant, Claire en robe d’été courte, peu épaisse qui m’offrait des contre-jours superbes.


Quelques cours à travailler occupèrent le reste de la soirée. Quand je retrouvai Marie dans le lit conjugal je la pris avec ferveur, mais le corps et le sourire de Claire étaient dans ma tête. La savoir derrière la cloison m’excitait.


Les semaines passaient sans rien de particulier si ce n’est l’intimité qui se glissait entre nous. Le soir, le matin, nous nous promenions, parfois, peu vêtus. Marie et Claire partageaient souvent la salle de bain pour « gagner du temps ». J’aimais apercevoir le profil d’un sein, le galbe d’une fesse, l’ombre du pubis de notre invitée. Intimité, complicité peut-être, nous étions jeunes et l’époque, le milieu invitait à la liberté.


La « fête de la chasse » était, à l’automne, une tradition d’enseignants. Conjoints invités, ils se retrouvaient pour un « repas de chasseur ». Escargots, gibiers étaient les incontournables du festin. Ce repas avait lieu un samedi.


Claire revint pour l’occasion. Le « repas » tint ses promesses. Le restaurateur proposa que nous terminions la nuit chez lui. Dès le dessert, les disques invitèrent à la danse. Marie et moi adorions danser, Claire ne détestait pas et aimait cette soirée.


Claire fut invitée à la première série de slows. Je dansais avec mon épouse qui, un peu grise, se colla à moi langoureusement. Je remarquais que Claire tenait à distance son cavalier un peu trop chaleureux. Je me sentais jaloux de ce jeune enseignant.


Après les slows, Claire revint vers nous et, imitant Sophie Daumier dans le sketch avec Guy Bedos, nous déclara :



J’attendais avec impatience la prochaine série, mais elle ne vint pas, l’ambiance était plus à la danse qu’à la drague. Quelques anciens étaient là, les valses, tangos, rocks, pasos se succédaient.


Marie et Claire dansaient parfois ensemble, j’imaginais leurs corps se frôler, s’épouser. Quand j’invitais Claire, j’aimais son abandon, sa taille fine, ses seins fermes, son pubis un peu saillant qui, parfois, touchait ma cuisse. Ma main descendait sur ses reins et sur cet endroit magique où les fesses commencent. Loin de s’écarter, Claire semblait venir vers moi. Dans un endroit un peu sombre de la piste je la sentis m’embrasser sur le cou. Un peu surpris je la serrai contre moi, elle me donna un nouveau baiser, puis s’écarta et me sourit.


Vers 5 heures l’ambiance tombât. Le retour fut calme, dans la voiture j’étais seul à ne pas dormir. À l’appartement Marie fit couler un bain dans lequel elle se glissa avec Claire. La porte était ouverte, deux têtes émergeaient de la mousse. Je pris l’éponge et me mis à frotter les épaules et le dos de Marie, puis ses bras et ses seins.



Pour toute réponse Claire sourit, s’avança un peu. Je passais l’éponge sur ses épaules, son dos, ses bras. La mousse qui se dissipait me laisser apercevoir ses seins, son ventre, la tache sombre de son pubis. Je descendis l’éponge sur les seins, les lavai lentement. Puis, ne sachant que faire, je me retirai.


Quelques minutes après, Marie et Claire sortirent, je me glissai dans le bain. Je ne savais plus très bien où j’en étais. Quand je sortis, je retrouvai Marie dans notre lit, elle dormait déjà.


Le lendemain je me levai sans bruit, descendis acheter du pain frais, des croissants. Je préparai le petit déjeuner : thé, café, céréales, œufs. Je mis France Musique. Claire arriva, une chemise de nuit courte pour seul vêtement. Elle vint m’embrasser et resta un instant dans mes bras me disant :



J’avais gardé ma main sur sa hanche. Elle me sourit. Je tendis mes lèvres vers les siennes, elle y posa un petit baiser.


Nous commençâmes le petit déjeuner. Marie arriva peu après, elle m’embrassa, vint embrasser Claire qui lui tendit ses lèvres. Elles s’embrassèrent sur les lèvres.



Claire répondit par un éclat de rire. Un peu plus tard, Claire rapportait du pain toasté. Quand elle passa près de Marie, mon épouse lui prit la taille. Claire lui prit le menton, releva le visage, descendit ses lèvres. Ce second baiser fut plus long.


Mon épouse m’adressa un regard surpris puis, ses yeux prirent l’expression qu’elle avait quand le désir la prenait. Je lui fis un clin d’œil complice. Nous avons fini le repas en riant de tout, surpris et ravis de l’étrange complicité érotique qui se glissait entre nous.


Marie proposa une promenade à la mer. Après un pareil petit déjeuner on pouvait tenir jusqu’au soir. Le temps était beau, la route tranquille. À Saint-Valéry-sur-Somme, nous prîmes une pâtisserie, à Eu un chocolat. Pour rentrer Marie déclara qu’elle avait envie de papoter avec sa copine et qu’elles passeraient, ensemble, derrière.


Après quelques kilomètres, Claire se déclara fatiguée et s’allongea, la tête posée sur la cuisse de Marie. Je ne pouvais voir ce qu’elles faisaient mais des petits bruits, des murmures me laissaient supposer que leurs mains ne restaient pas immobiles.


Puis le silence se fit. Elles dormaient. Arrivés devant notre immeuble elles s’étirèrent en se souriant. Dans l’ascenseur, elles s’enlacèrent et s’embrassèrent. Je posai mes mains complices sur leurs fesses. Marie vint ensuite m’offrir ses lèvres.


Arrivés dans l’appartement, mes compagnes prirent un bain pendant que je préparais une soupe. Je les entendis aller vers notre chambre, ouvrir des tiroirs, rire. Elles arrivèrent, Claire en nuisette, Marie en body sexy.



La soupe avalée, une compote compléta le menu.


Nous nous sommes ensuite levés. Marie pris la main de Claire et l’entraîna dans notre lit.


Je suis passé prendre une rapide douche. Quand je les ai retrouvées Marie embrassait avec ferveur le sexe de Claire. J’ai regardé un moment ce merveilleux tableau, me suis approché, ai pris les seins de Claire dans mes mains. Petits seins fermes et tendus. Claire gémissait, son ventre ondulait, son bassin avançait en rythme contre la bouche de ma femme. Des petits cris sortirent du fond de sa gorge, suivis par des râles et elle cria vraiment quand l’orgasme la submergea.



Elle se redressa, embrassa Marie puis la plaça dans la position qu’elle avait elle même un instant avant. Elle plongea la tête entre les jambes écartées, glissa ses mains sur les seins. Je vins derrière Claire, elle était à genoux, penchée vers l’avant, ses fesses provocantes près du rebord du lit. Je me mis derrière elle et caressai sa vulve trempée. Mon doigt la pénétra.



Je n’attendais que çà. Me plaçant derrière je posai mon gland sur l’entrée de son vagin et d’une poussée la pris.


Elle était étroite et trempée. Ma verge dans cet étroit étui se plaisait. Je pris ses hanches étroites et la pistonnai avec ferveur. Bientôt des plaintes annoncèrent la montée du plaisir, je glissai une main vers son clitoris, et le masturbai, les plaintes montèrent d’un ton. Claire eu un nouvel orgasme. Elle s’écroula sur Marie en ronronnant.


Marie n’avait pas eu sa part de plaisir. J’écartais Claire tendrement et pris Marie comme elle l’aimait, il ne fallu pas longtemps pour la conduire au bonheur. Je jouis à mon tour, la main de Claire sur mes bourses.


Quelques minutes après nous sombrions dans le sommeil. Dans la nuit je me réveillais, vraiment à l’étroit. Je ne voulais réveiller personne et allais finir la nuit dans le lit de Claire.