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Temps de lecture estimé : 9 mn
30/11/07
Résumé:  Une soirée chez nos amis qui nous surprend.
Critères:  2couples noculotte facial fellation
Auteur : Syrius
Soirée chez nos amis

Ce soir, nous sommes invités chez deux de nos amis, France et Claude, un couple souriant, d’une quarantaine d’années. Lui est un peu plus âgé. Elle est de taille moyenne, plutôt souriante, même riante… des yeux sombres.


Nos relations sont amicales, nous avons déjà passé quelques soirées ensemble.


Préparation, l’eau qui coule sous la douche… puis devant la glace, maquillage.

Je me sens fraîche, jeune, vivante… Mes yeux rient !

Toi, déjà prêt, rasé, jean et décontraction, ton style, ton parfum m’envoûtent, m’enivrent doucement.

Moi, jupe serrée, corsage fleuri, sous-vêtement léger, seule une culotte discrète, blanche, pas de soutien-gorge !


Avant de partir, tu m’attires à toi, m’embrasses, ta main s’impose entre mes jambes, remontant ma jupe…


Il est tard, nous partons…


Voyage gai, accompagné des Creedence, un de tes groupes préférés.


Je ris, tu chantes… à ta façon, tu es sur scène, je le vois bien, et moi, je suis une groupie !


Un village, quelques virages, une ligne droite. On voit au loin, nos arbres-repères quand nous allons chez eux ! Malgré la nuit tombante, il fait bon ! Le vent s’engouffre dans la voiture, nous décoiffant !


Accueil chaleureux, France m’enlaçant à sa façon, très expressive. Claude, m’embrasse, me serre dans ses bras… Apéritif champagne sur la terrasse, dans une demi-pénombre, maintenant.


Propos échangés sur tout, sur rien… Repas, crudités, viandes grillées. Les deux hommes sont devant le barbe-cul… évidemment ! Le vin coule, les rires résonnent, du vin blanc, un sancerre savoureux, mon vin préféré ! Le dessert… des glaces.


Comment la discussion a-t-elle commencé ? On ne sait ! Mon conjoint avec Claude, discourt sur les femmes, les plaisanteries habituelles. La soirée est bien avancée, nous sommes dans le salon, savourant un digestif champagne !


France a chaud, moi aussi ! Seulement, elle est chez elle, elle se change et revient en robe d’été, courte, boutonnée sur le devant… Les pieds nus, les jambes nues ! On parle des femmes sur la plage, ils parlent du plaisir qu’ils ont à les regarder, en maillot de bain. Nous, on rit ! Puis, soudainement on en vient aux sous-vêtements féminins. Claude a les yeux qui pétillent, le rire coquin… le sujet lui plaît ! D’un seul coup, il parle des vêtements intimes de France ! Elle rougit, puis rit franchement en l’entendant ! Tu es partie prenante dans cet échange, tes yeux brillent. Je sens que les propos de Claude t’excitent. Moi aussi…


D’après lui, France aurait une forte et belle poitrine qui nécessiterait des dessous de qualité. Tout le monde rit ! En riant, tu demandes à voir, Claude rit aussi. Je ne sais plus où je suis et me demande comment France va réagir ! Elle n’hésite pas une seconde et ouvrant sa robe, nous montre un soutien-gorge effectivement bien rempli ! Ses seins apparaissent, suffisamment pour pouvoir imaginer le reste ! Les secondes qui passent se chargent en tension érotique… Les hommes sont nerveux et rient. Jamais, nous n’avions connu cette atmosphère.


Je sens que Claude espère aussi voir mes sous-vêtements. Mais je n’ai pas de soutien-gorge !!!


France se tourne et se retourne comme pour provoquer son mari, elle s’approche de moi, se frotte presque, s’approche de toi. Je vois tes mains qui tremblent. Tu cherches une contenance, alors tu dis cette phrase…



Tu as oublié que je n’en avais pas !!! Les secondes passent, ton regard, rieur tout d’abord, change quand tu comprends ton erreur ! Comment vas-tu réussir à nous libérer de ce piège…


France et Claude en rajoutent !!!



L’alcool est bien présent… Je te sens perdu, je me sens perdue. Alors, je défais un bouton, un deuxième… Rien n’est encore décelable, nos amis en rajoutent !



Toi, tu es tétanisé, ton regard est braqué vers ce décolleté dont tu es si jaloux !Je défais le troisième bouton, leur tourne le dos. Ils ne peuvent rien voir, mais mon geste les excite encore plus. J’ouvre les derniers boutons, mes seins sont libres. Ils ne savent pas encore…


Je me tourne et écarte le chemisier !!! Un « Ouaohhh » impressionnant semble sorti de vos trois bouches… Un silence oppressant se fait !!!


Je vois le regard de Claude sur mes deux seins, il ne les quitte pas des yeux. France fait de même. L’ambiance est devenue électrique.


Alors, je retire le chemisier et fièrement, mais je ne le suis pas vraiment, et j’annonce :



La soirée n’est plus la même, les hommes sont différents, les racines anciennes ressortent, le mâle, la femelle, le sexe. Je me sens forte, libre, je suis incroyablement excitée ! Je sens mon sexe qui m’appelle !!!


Toi, tu reprends pied et tu comprends vite que peut-être, France n’aura plus le choix. Ta jalousie semble absente et ma poitrine exhibée te stimule dans tes phantasmes ! Claude aussi comprend. Tes paroles tombent :



France comprend, elle sait qu’elle doit suivre, elle rit, elle se tourne vers son mari et l’embrasse longuement, profondément. Elle revient vers nous et sans hésiter passe ses mains dans son dos et dégrafe le soutien-gorge ! Nous voyons ses deux seins, elle les exhibe, nous les montre, les prend dans ses mains et les remonte pour les faire grossir, elle nous provoque, provoque son mari.


Elle s’approche de moi, colle sa poitrine à la mienne et m’embrasse furtivement sur les lèvres. Elle rit, tout le monde rit ! La soirée a changé, elle se recule et décide de continuer son jeu…


S’adressant à mon mari, elle lui dit :



Se reculant, elle ôte sa robe et apparaît en string rouge ! Elle me regarde et nous partons toutes les deux dans un éclat de rire… La soirée avait pris un tour nouveau, jamais je n’avais connu cette excitation. Cependant, je comprends vite que ma jupe est en danger… je cherche comment m’en sortir. Jamais je ne m’étais ainsi exhibée devant un autre homme que mon ami !



L’idée me paraît bonne, pensant ainsi contrôler la situation. Quelle erreur ! Claude retire sa chemise, ses chaussures, chaussettes et jean en un rien de temps. Il est là devant moi, en caleçon… pas un maillot de bain qui nous protège un peu du regard des autres, non un caleçon bleuté qui moule en partie son sexe… Mon regard est bloqué, je devine la tige qui ne me semble pas complètement au repos… il ne bande pas vraiment, mais c’est un début… Tu t’exécutes aussi, tu n’as pas le choix… jean, polo, chaussures, tu es en slip… noir… France t’observe, elle te dévore presque des yeux, je suis sûre qu’elle est excitée !


Vous trois, en culotte, en caleçon et en slip…


L’atmosphère est lourde, je sens qu’étant la plus habillée… je suis maintenant le centre de vos regards ! J’ai envie de vous provoquer, mais je ne sais si je vais contrôler la situation. Je fais durer. Ils insistent, tu es avec eux.



Pour gagner du temps, mes sandales tout d’abord… Claude s’est rapproché de France et lui caresse les épaules… Je vois qu’il aimerait prendre ses seins à pleines mains, mais n’ose… Il me regarde dans les yeux ! Il me déshabille de son regard ! Toi, tu les observes, puis me fixes !


Je ne sais ce que tu penses. Les paroles montent… j’entends toujours « la jupe », doublé d’un « Anna, la culotte !!! » Ils rient, l’alcool fait son effet ! Je ris aussi…


Alors, mes mains tirent cette jupe vers le sol… Le silence est devenu soudainement intense ! Ma culotte apparaît blanche… J’ai chaud.


Je ne te reconnais pas, d’habitude si jaloux… Et là presque nue, devant un autre homme… Soudainement, ils applaudissent, ils rient, je ris…


Pourquoi, à ce moment-là, je prononce ces phrases, ces quelques mots si provocateurs ?



Un silence immédiat, toi, lui, elle, vous trois, vous me fixez…


Je passe mes mains sur le tissu, comme une professionnelle, comme un début de caresse ! Et l’incroyable se produit. Doucement, je tire ma culotte vers le bas, découvrant mes poils. Je ne me tourne pas, je veux qu’ils me voient en temps réel !


Je suis incroyablement excitée… Mon sexe apparaît, discret, mes jambes resserrées. J’ôte ce vêtement inutile ! Je suis nue !!! Devant eux, devant toi, devant France.


Mais surtout devant Claude dont les yeux fixent ma toison, fixent mes seins. Il bande et ne s’en rend pas compte ! Il me regarde, je regarde son sexe qui s’échappe du caleçon, il comprend, il rougit !!!


Toi aussi tu bandes. France le voit. Elle s’approche de toi, en riant, et effleure de sa main ton sexe…


Elle le sort délicatement et passe sa main le long de la tige, maintenant bien dressée. Tu passes ta main sur sa poitrine, puis tu l’introduis sous son string…


Je vois tes doigts qui se glissent dans son sillon. Elle gémit et tu la branles lentement… Claude se place derrière elle, lui enlève le string, vos sexes se frôlent !


Claude se rapproche de moi. Il passe ses bras autour de ma taille… à mi-distance de mes seins, de mon sexe… Il emprisonne mes seins de ses deux mains. Sa bouche s’approche de mes tétons, il les suce.


Où sommes-nous ? Que faisons-nous ?


L’alcool, la complicité, l’excitation, tout nous emmène vers une voie… nouvelle…


Je saisis sa bitte de ma main droite et la caresse doucement… Ses deux mains sont sur mon sexe et il me branle doucement, parcourant le sillon, sentant combien je suis excitée. Je te vois en train de caresser France, elle se cambre pour mieux laisser bouger ta main… Elle-même va-et-vient sur ta bitte, découvrant le gland, le recouvrant… Ton érection est brutale. Claude est plus doux, il malaxe ma poitrine, agaçant les pointes. Je sens le sang cogner dans ma main, je descends très bas, jusqu’aux couilles. Ma main les emprisonne, les serre, les soupèse, comme une marchandise…


Tu cries et je vois ton sperme jaillir entre les doigts de France. Elle te branle doucement, faisant jaillir à chaque mouvement ton sperme… tu jouis longuement, dans un râle de mâle !


Claude et moi, nous vous regardons… il me glisse à l’oreille :



J’en suis émue et rassurée… tout comme nous, ils ne maîtrisent rien ! Nous sommes spectateurs de votre jouissance. France vient rapidement aussi, une de tes mains sur son sexe, l’autre sur son ventre… elle murmure, elle chante presque !!!


D’un seul coup, Claude repart à l’assaut de mon sexe, ses doigts sont partout, ils m’explorent, me caressent, me pénètrent, ses mains m’ont investi tout le bas ventre. Son majeur survole mon anus. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de caresse, il reste pudique dans cet attouchement et… soudain j’explose !!! Je jouis, une fois, deux fois. Ses doigts ne font plus rien, ils sont juste présents… trois fois !!!


Un grand silence !!!


Mon corps vibre encore…


Et encore… et encore…


Les secondes passent, aucun bruit…


Je rouvre les yeux… vous êtes trois à me regarder !!! Je tiens encore le sexe de Claude dans ma main…


Je te regarde, tu sembles attendre, tu sembles d’accord…


Alors, je me mets à genou. Mon visage est juste au-dessus de sa bitte… il attend, il espère, il bande comme un fou. Je te regarde à nouveau, tu sembles fasciné de voir ton amie si proche de ce sexe, de cette bitte !!! Mes yeux ne quittent pas les tiens et doucement j’approche mes lèvres… Tes yeux, mes yeux. Mes lèvres… J’ouvre ma bouche et tout doucement je rentre cette bitte qui n’est pas la tienne entre mes lèvres !


Je vais à fond, je sens la peau de son ventre, mon visage est dans ses poils. Je recule… je le suce en douceur. Il se raidit !!! Je le veux, je veux le voir se tendre, je veux voir son sperme jaillir !


France et toi êtes maintenant très proches, je sens les mains de France sur mes épaules, elle veut que son mari jouisse en moi, je le sens, je sens tes mains posées sur mes cheveux, accompagnant mes mouvements ! Ma langue lèche, mes lèvres aspirent.


Claude est au bord, il s’agite, me rentre sa bitte au fond de la gorge, la ressort, me pénètre à nouveau. Et soudain, il se raidit, prend ma tête entre ses mains pour mieux m’imposer sa cadence. Vos mains doivent se toucher ! Et il jouit, m’envoyant son sperme au fond de la gorge. Il se recule, éjacule à nouveau sur mes lèvres. Je suis folle, seul compte cette bitte et sa jouissance… Mon sexe est en feu, je le sens… Son sexe s’engouffre à nouveau tout au fond, je lèche, j’aspire. Je sens le sperme couler dans ma bouche… et chose que je ne fais jamais, je l’avale…


Il se retire en douceur laissant ce sexe devant mon visage. France s’approche, elle va le lécher, c’est sur ! Erreur, ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue prend ma langue, en un baiser passionné qui me fait jouir… Ma main et le sexe de Claude se retrouvent…


Comme pour une union !