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n° 12015Fiche technique23375 caractères23375
Temps de lecture estimé : 15 mn
30/11/07
Résumé:  Après avoir quitté mon compagnon, je me décide à repartir en chasse.
Critères:  fh asie poilu(e)s collection fellation cunnilingu préservati aliments humour -humour
Auteur : Isilwen            Envoi mini-message
La malédiction de la courgette



La fin des examens, ça devait être la fête, et aussi et surtout, une nuit de sexe !


Après avoir quitté mon compagnon, percluse de questions sur mon orientation sexuelle, pour avoir passé un an en couple avec un spécimen féminin particulièrement chiant, autant que moi quand j’ai mes règles et une rage de dents, c’est dire, je me décide à repartir en chasse.


Le stress et la chaleur conjugués ont fait fondre les éventuelles rondeurs de trop que je pouvais encore porter, le soleil a blondi un peu plus mes cheveux ; je suis grande, élancée, me voilà entrée officiellement dans la catégorie des « canons », des « bonnasses » et des « ultra-baisables ». Je me surprends même à me regarder dans le miroir, en flagrant délit de narcissisme. Il faut que je profite de cette allure, d’autant que les révisions ont été longues — et la diète tout autant.


Deux mois à me branler entre la correction de mon mémoire et un jogging matinal pour me détendre. J’en ai marre, j’ai l’impression que ça se voit sur mon visage que je suis aussi sensible qu’un clitoris géant. Même mon vieux primeur semble l’avoir senti et… Allons bon, me voilà à piquer un fard quand il me demande si mes courgettes, je les veux grosses ou petites. Putain, dans ses mains, on dirait un peloton de grosses bites ! En un battement de cil, je m’imagine avec trois queues rien que pour moi, je serre les cuisses, m’accroche à une cagette :



Les courgettes, en compagnie des poivrons, des aubergines et des oignons, ballottent dans mon petit sac de courses, je fantasme déjà sur la texture si lisse des aubergines, je la sens glisser entre mes lèvres, mais sucer un légume… Non, je ne pourrais supporter ce ridicule-là. Bien qu’à la réflexion, oui, des légumes, j’en ai déjà pompé, c’est sûr…


À la maison, je la lave cette future ratatouille, nourriture officiellement saine des révisions. Je me surprends à caresser cette foutue solanacée comme s’il s’agissait d’une verge entre mes mains. J’hésite, je tergiverse, oh et puis ! Je passe un coup de langue sur la chair tendue, mais rouge de honte, j’entreprends plutôt de la découper. Les courgettes à présent. Combien d’histoires ai-je entendues sur ces coquines longues et dures, amies des femmes esseulées ? De toute façon, elles sont trop minces, autant me servir de mes doigts, à moins que… Oui, elles auraient la bonne dimension pour occuper délicieusement mon petit trou ! Je réfléchis à une utilisation optimale, vais à la salle de bains pour prendre une capote, je sens que je mouille comme une folle en la déroulant sur cette putain de cucurbitacée qui va me sodomiser, j’en tremblerais presque de ce que j’ai besoin de me « faire donner ». Pas de lubrifiant. Bordel !


Quitte à être dans le registre culinaire, je fonce à la cuisine, attrape l’huile d’olive, les aubergines en petites lamelles me regardent enduire de gras la courgette, visiblement mécontentes et jalouses.


J’en ai foutu partout, sur mon ventre, par terre, ce ne serait pas étonnant que j’en aie jusque dans les cheveux. Au point où j’en suis, de toute façon… Je ne sais même pas comment j’ai quitté mes fringues, mais je suis à poils dans la cuisine, pour la plus grande joie du voisin d’en face, qui mate, la queue dans la main.


Beurk ! Ce type est repoussant au possible, vieux, malpropre, je le sens de chez moi ! Et son regard pervers quand il se passe la langue sur ses minces lèvres grimaçantes. Je frissonne et je m’enfuis dans ma chambre. Je saute sur mon lit :



Je mouille tellement que finalement, l’huile n’aurait pas été nécessaire. Je me fous à genoux, la tête dans l’oreiller, je dirige le gode improvisé le long de ma raie, je la joue « à la barbare » en essayant de me pénétrer directement, sans m’avoir mis un ou deux doigts pour m’ouvrir.


Résultat, ça ne rentre pas, mon anus m’annonce qu’aujourd’hui, c’est « closed ». Je le traiterais volontiers de trou du cul, mais je sens bien qu’il n’en serait pas offusqué. Voilà, ça y est, je m’énerve, l’autre conne m’échappe des mains, flinguant mes draps de son huile parfumée. Furieuse, je la balance au hasard de ma chambre, sans regarder, par-devers moi. Bruit étrange qui me fait retenir mon souffle : elle est passée par la fenêtre béante et a tapé contre les volets entrouverts.


Bruit sourd, elle est tombée sur la terrasse de mes voisins du rez-de-chaussée. Je ne bouge même plus un cil. Exactement, je fais la morte. Puis, j’entends ma voisine m’appeler. Non, je suis morte, je n’assume pas du tout que la vieille conasse d’en bas ai ma courgette couverte d’une capote et d’huile dans la main. Si je ne suis pas terrassée par la honte, j’attends pourtant d’être frappée par la mort.


Je m’affale sur mon lit et je me mets à pleurer. Je veux juste baiser, moi !!! Pour la première fois de ma vie sexuelle, je suis frustrée. Quel sentiment affreux !! Je ne gère pas du tout, d’autant que le voisin commente à voix haute ce qui est arrivé sur sa terrasse :



Voilà, je ne peux pas tomber plus bas. Mais c’était me sous-estimer !


Au soir donc de la fin des examens, je suis affamée et je ramène ma proie dans ma tanière. Un peu plus âgé que moi, plutôt mince, mais très musclé, une crevette nerveuse, en gros, il a les cheveux longs et blonds : joie ! Je vais enfin réaliser mon fantasme ! J’aime son regard vert et franc, son côté néandertalien, la nuit promet d’être longue…


Il m’arrache un peu le visage avec sa barbe. Putain, j’avais oublié ce défaut des mecs. Sa barbe est drue, je pourrais râper du parmesan avec, c’est dire l’état de la peau de mon visage et de mes lèvres. Mais je philosophe : cette dureté sera peut-être agréable entre mes cuisses, qui sait ?


Il m’attrape par la taille, me soulève, mes jambes se joignent sur ses hanches et il me pose contre la butée que fait sa queue dans son pantalon. Conclusion : il est monté comme un poney ! Oh Yeah !


Il mordille mes seins à travers mon tee-shirt, ses mains pétrissent mes fesses, il me porte jusqu’au lit, m’arrache mes fringues, en bon sauvage. J’apprécie. Il commence à laper mon sexe trempé, remonte sur mon ventre comme un escargot en laissant une traînée de bave, cache son visage entre mes seins qu’il a empoignés pour les rapprocher. Mignon et coquin, ça me plaît.


J’attrape le bas de son tee-shirt, le lui ôte et là, première blague : l’homme descend du singe, pas de doute, il en a gardé les poils. Partout, il en a partout ! Les épaules, le dos, c’est simple, on dirait qu’il est encore habillé ! Je ne perds pas de vue mon objectif, à savoir : tirer un coup, me faire sauter par ce mec à la bite énorme. Je le bascule sur le lit et déboutonne son pantalon, deuxième blague : je suis en face d’un slip. Moche. Comme ceux que pourrait porter mon père. Irgh, si je puis dire. Je chasse papa de mon esprit, ça fait bien longtemps que j’ai réglé mon Oedipe.


Je m’accroche, me dis que sous ce slip hideux, y’a un titan. Je passe mes mains sur l’étoffe, me laisse le temps de deviner exactement les proportions de monsieur, je lui en fais le compliment, lui ne moufte pas. Bon, il doit être blasé peut-être ? Je passe mes doigts sous le tissu, affolement digital complet, ils n’étaient pas préparés à tomber dans la forêt vierge. Et je fouille, zut, mes extrémités s’emmêlent dans des nœuds, bordel, pourquoi il ne met pas un coup de tondeuse ? Ou qu’il fasse des tresses !


Je me reprends, histoire de ne pas s’égarer de trop : je baisse son slip, parvient à mon nez une odeur légère de déo qui me surprend. Un mec qui sent le déo du bout de la bite, ça fait bizarre. Mais je suis reconnaissante intérieurement, ça aurait pu être une infâme odeur de pisse. Par contre, je renonce à le sucer tel quel. J’attrape une capote et en l’ouvrant, embrasse son torse velu avec l’impression que je vais me taper l’ours en peluche géant sur lequel je faisais la sieste lorsque j’étais toute petite.


Je pince le réservoir sur le gland, mais je le sens tout à coup mollir affreusement. Le propriétaire de l’énorme ver de terre qui gît entre mes mains se redresse :



Oui, c’est ça, occupe-t-en, avoir une bite molle dans la main, c’est affligeant.


Il se place à califourchon sur moi, branle sa verge d’une main, de l’autre, il me caresse. Ah putain ! Qu’est-ce qu’il branle bien ! Je décide de m’occuper de lui : je flatte doucement ses couilles velues, je le prends finalement en bouche, sous le coup de l’excitation. J’aime sucer, surtout quand on me caresse si bien. Un partage, une sorte de juste retour des choses.


Il ne raidit pas, mais ne faiblit pas non plus. Sa main a lâché sa queue pour tenir ma tête. Au moins, il semble aimer ça. Moi, je médite sur la situation : je crève d’envie de me faire… Oh, n’ayons pas peur des mots, dans ma tête mon vocabulaire ne m’effraie pas ! Je crève d’envie de me faire défoncer, d’être écartelée, le souffle coupé, de le sentir me prendre comme un furieux.


Au lieu de ça, il me branle au point que je ne vais pas tarder à jouir, en suçant au choix : un énorme chewing-gum, une souris morte mais depuis peu, une saucisse de Morteau tiède… Non pas la saucisse, elle serait dure, celle-là, au moins… Mes réflexions s’arrêtent là, parce que je suis en train de jouir et que j’éprouve le ridicule de pomper comme une démente une bite qui refuse de durcir. Ah, la loose !


Il se couche à côté de moi, bordel ce qu’il transpire en plus ! J’ai l’impression qu’il sort de l’eau. Dieu merci, il ne pue toujours pas. Sans me démonter, j’opte pour le dialogue. Excuses à la con, fatigue, stress de ne pas connaître mon corps, je demande à être guidée, il accepte, sa verge reprend des proportions chevalines, il choppe la capote, arrive à la dérouler jusqu’au bout et se jette sur moi.


Je soupire d’aise, enfin je vais obtenir ce que je voulais ! Ah, j’anticipe complètement mon plaisir, je suis trempée et en rut et il va enfin me satisfaire !!


Ah, non. Finalement. Je le sens entre mes cuisses qui s’évertue à me pénétrer de sa queue redevenue molle. Fais chier. On parle encore. On essaie encore. Il débande encore. Et moi, je m’assèche.


À 6h du matin, je le mets dehors. Je suis compréhensive, mais seulement jusqu’à un certain point. Et le lendemain, ma meilleure amie qui se fout de ma gueule. Et moi, mauvaise, qui lui réponds :



Deux semaines s’écoulent. J’ai retenté l’affaire avec ce gars : pas moyen de passer la capote. Tant pis, au suivant. Dans un café, un asiatique m’aborde sur le bouquin que je suis en train de lire. Il est charmant comme son accent léger, il s’appelle Long, sa conversation est vraiment intéressante, il m’invite à dîner.


Comme il est encore tôt, nous nous baladons dans la ville, nous et nos allusions coquines de plus en plus précises et intenses. Je me lâche, j’ai besoin de me faire sauter, j’en ai marre de me branler ou de me faire branler, alors je sors le grand jeu. Au coin d’une rue, il m’enlace, je lui roule une pelle monumentale et, sans lui laisser le temps de répliquer, je lui montre du coin de l’œil la pharmacie.


Excitée comme une puce – puce, pas pute, s’il vous plaît – je l’entraîne dans ce lieu où vont les gens qui toussent et qui se grattent. Je suis un peu déçue de l’entendre demander une boîte de capotes normales. Merde, on dirait que j’ai perdu mon flair à me lever des mecs super bien montés. Avant Long, je n’avais jamais vu que des King Size… En repensant au précédent, je me dis qu’il vaut mieux une moyenne qui marche plutôt qu’une grosse défectueuse. Et puis, je vais pouvoir vérifier directement si « la taille compte ».


Le resto est expédié au pas de charge, juste histoire de prendre des forces pour la nuit. Arrivés chez moi, ça commence mal : il embrasse comme un poisson. Je le repousse, lui fais un strip-tease à l’arrache, il fait pareil, mais garde son caleçon. Flottant le caleçon. Y’a un progrès sur le slip.


Il écarte les lèvres de ma chatte, j’adore être ouverte délicatement, du bout des doigts et me branle de ses doigts humectés de salive. Ces allers-retours entre sa bouche et mon bourgeon me gonflent un peu : ne pourrait-il pas me lécher directement ? J’agite mon petit cul pour le lui faire comprendre, il semble s’y résigner. Ah, merci, ça fait plaisir… Je ferme les yeux pour les rouvrir brutalement : à sucer mon petit bouton aussi fort, il va me l’arracher ! Je ne suis pas candidate à l’excision, alors du calme !


Je reprends la direction des opérations et à cheval sur lit, je baisse son caleçon avec une drôle d’intuition. Et là, Bingo ! Je découvre une verge minuscule, avec un gland tout dur en forme de bille. Je revois les Agathes, les Gallos, les mammouths de la cours de récréation de primaire… J’en prends mon parti : qui sait, ça va peut-être me faire un effet d’enfer ?


Je le suce un peu, avec précautions, de peur de l’avaler, et comme ça, je ne lui balance pas toutes les vannes qui me traversent l’esprit. Quoique c’est bien la première fois que j’aurai réussi à articuler clairement en taillant une pipe…


Il enfile lui-même le préservatif et me prend, d’un seul coup de reins. Pour moi, c’est une révélation presque mystique, comme une clarté qui s’impose à moi, une chose que je ne peux nier : je ne sens RIEN ! À tâtons, l’air de rien, je vérifie qu’il est bien en moi. C’est le cas. Bon… Très bien… Pas du tout en fait !


Et là, il entreprend de m’aspirer la figure avec sa bouche. Bordel, ce n’est pas possible, c’est vraiment un Gobi ! Ses lèvres s’ouvrent et se ferment sur les miennes et aussi sur mon nez et mon menton. Il bave un peu sur mes yeux, je tente de trouver sa langue dans cet aquarium visqueux, mais il doit l’avoir avalée, impossible à dénicher. C’est alors que je réalise que sa barbe naissante me pique et une image s’impose à mon esprit : celui du poisson-lune empaillé qui se trouve chez ma Mamie, au-dessus de son téléphone et que j’avais toujours peur de prendre sur la tête.


Je me fous en levrette en pensant :



Et tout en m’assurant qu’elle ne se barre pas complètement, je songe que pour la première fois de ma vie, j’ai un rapport sexuel sans plaisir aucun. Une drôle d’expérience que je mène jusqu’au bout, tant qu’à faire. Me voilà dans la catégorie dont je me suis toujours moquée : les mal baisées. Tu m’étonnes qu’elles sont d’humeur massacrante ! C’est tellement nul, dans le sens « néant » que je ne pense même pas à me branler. Je ferai ça plus tard, tranquille, sans Long (rire étouffé) qui s’agite sur mon dos.


Il finit vite sa petite affaire, j’ai quand même le temps de réfléchir à quoi dire. J’avais bien pensé à simuler, mais non, je ne peux pas faire trop de premières fois en même temps. Il soupire, finit de se coucher sur moi, puis se retire (enfin, je suppose), s’assoit au bord du lit et tapote mon dos avec gentillesse avant de me dire :



Mal baisée, je pouvais l’accepter, souffrir de son manque d’égard et de politesse non.



Je lui ai jeté sa capote à la gueule, suivie très rapidement de ses fringues et j’ai ouvert la porte de ma chambre pour y laisser accéder ma chienne, toutes dents dehors. Ah, j’ai bien ri, et ma chienne a eu une boîte de thon pour avoir si bien joué le rôle du chien méchant. Evidement, ma salope de meilleure amie a conclu mon récit de cette façon :



Le troisième n’est arrivé que des mois plus tard, car mon corps a très mal réagi à ces expériences désastreuses et mes ovaires se sont révoltés. La douleur, y’a rien de mieux pour tuer une libido. Mais après du repos, une échographie de contrôle et l’aval de ma gynéco, je suis repartie à l’assaut des hommes.


J’ai pris mon temps cette fois-ci pour le choisir. Il travaille à la direction juridique, moi à la direction de la communication, on bosse parfois ensemble et il ne semble pas du tout indifférent à mon charme. C’est lui qui a ouvert les hostilités en m’envoyant, à mon bureau, une douzaine de roses. Bien sûr, me voilà la risée de mes collègues. Une petite mise au point plus tard, il est devenu bien plus discret.


Un verre au sortir d’une réunion de nos services, un resto, je joue la carte de la séduction lente. Sa main qui serre la mienne avec émotion sur la nappe, ses yeux de biche prête à être abattue, ce mec m’émeut. Mais pas plus que ça non plus, faut pas déconner. Le premier baiser sur le pas de ma porte, chaste, mignon, que je conclus en passant ma main sur la braguette de son pantalon, histoire de vérifier la marchandise. C’est bon. Et je le renvoie chez lui, je ne suis pas épilée de toute façon.


Quelques jours plus tard, c’est le grand soir. Je le fais pénétrer dans mon appartement, quelques bougies, une bonne bouteille de vin, les baisers qui s’étirent, ses mains qui pressent mes seins avec une certaine timidité… Non, un beau mec comme ça ne peut pas être encore puceau, il doit être intimidé, je fais souvent cet effet aux hommes…


Je me mets sur ses genoux, nos langues s’enroulent, je bouge lentement mon bassin, frottant ainsi mon clitoris sur la couture de mon pantalon ainsi que sa queue bien dure encore emballée elle aussi…


J’adore ce pantalon pour ça, car discrètement, sur ma chaise, le dos bien droit et l’air de rien, je peux me branler. Je n’y peux rien, quand j’ai envie, j’ai envie, et je me branle n’importe où : wagon de train, place dans un car, à mon bureau, mais là, je me finis en vingt secondes dans les toilettes. Et ça me fait rire, car jamais personne n’a réalisé ce que je faisais !


Pour l’heure, je m’agite sur ce mec, je planifie l’envolée de nos fringues, mais c’est lui qui s’envole tout seul : ses mains se crispent sur mes seins, il donne deux petits coups de reins et une tache apparaît sur son pantalon clair. Ah NON ! Je suis sympa, je lui indique la salle de bains et lui disant que je l’attends dans le lit. Il prend ça avec calme, j’avoue être soulagée que cet éjaculateur précoce le gère si bien. Et puis la nuit n’est pas finie !


Il revient, il bande, mais râle un peu pour la capote. Je fais comme si ça ne cassait pas mon excitation. Il l’enfile, je me mets sur lui. Je soupire de bonheur quand je m’empale sur lit : enfin une bonne grosse queue bien dure en moi ! Youpi ! Je savoure cette sensation presque oubliée, je serre mes muscles vaginaux, je prends le temps de me sentir mise jusqu’au fond. Que c’est bon !


Mais il a suffi que je me soulève quelques fois sur la hampe pour qu’il jouisse à nouveau. Là, j’avoue, je le prends mal. Autant, y’a 10 minutes, je me suis forcée à trouver cela flatteur, signe que je lui faisais beaucoup d’effet, mais là, maintenant, je suis frustrée !


Je lui demande de tenir la capote le temps que je me retire. Je me soulève, la capote lui échappe des mains et reste coincée dans mon vagin : je pète officiellement les plombs : J’ai du sperme sur les cuisses, cette horreur qui pendouille lamentablement de ma chatte, c’est visqueux, ça commence à refroidir, j’en ai plein les mains, bordel de merde ! Et lui, qui rigole comme un con en me disant de ne pas en faire une maladie, puisqu’il a vu dans la salle de bains ma plaquette de pilules. Je me calme presque net :



Et moi, perverse, sadique, bien déterminée à me venger :



Et là, il est devenu tout blanc. Et sa quéquette toute petite. J’ai laissé tomber la capote sur son ventre après l’avoir extraite comme si c’était une bombe à neutrons. J’ai eu envie de lui pisser dessus, juste histoire d’en rajouter une couche. Et aussi de cracher un glaviot venu du fond de ma gorge. Pour le coup, j’ai même regretté de ne pas avoir mes règles, histoire de l’enfoncer dans l’horreur. Et comme je déteste vomir, je n’ai pas eu le courage de me mettre deux doigts dans la gorge.


Et puis, et surtout, c’est mes draps. Il est vite parti et a tout aussi vite fait courir le bruit que j’étais une tarée qui avait tenté de le contaminer avec le sida. Il n’a même pas pensé à faire un test. Ce con.


Si je fais le bilan, je me suis donc tapé : un néandertalien impuissant, un asiatique aussi court que malpoli et un éjaculateur précoce aussi stupide qu’immature. Et ça étonne qui que je me sois remise avec mon ancien compagnon ?