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n° 12037Fiche technique7105 caractères7105
Temps de lecture estimé : 5 mn
04/12/07
Résumé:  Ma douce compagne me trouve trop peu attentif à son plaisir et arrive sans peine à me convaincre de passer un week-end chez Madame Clémence.
Critères:  hépilé hsoumis fdomine humilié(e) contrainte rasage hdanus hgode sm attache fouetfesse -dominatio
Auteur : Monsieur P      

Série : Madame Clémence

Chapitre 01 / 04
Le vrai visage de Madame Clémence

Depuis plusieurs semaines, ma compagne, que j’appelais affectueusement ma douce, me reprochait de ne pas être assez attentif à son bonheur et à son plaisir. C’était devenu son sujet de grief quotidien, je n’étais jamais assez affectueux avec elle. Amoureux fou, j’écoutais ses remontrances avec bienveillance en lui demandant à chaque fois ce qu’elle désirait, mais elle n’arrivait jamais à me dire exactement ce qui ne lui plaisait pas. Un soir que je rentrais d’une journée de travail particulièrement éprouvante, elle me lança :



Je n’avais vraiment pas envie ce soir-là de me disputer avec ma douce, et lui proposai d’en reparler une autre fois. Bizarrement, elle ne revint pas à la charge et se montra assez tendre ; nous avons passé une soirée des plus agréables comme jamais depuis longtemps.


Quelques jours plus tard, alors que je rentrais du travail, je la trouvai en grande conversation avec une inconnue.



C’était une charmante femme très agréable à contempler, et qui avait beaucoup de classe. La conversation tourna vite au sujet qui tenait à cœur à ma douce. Très persuasive, et aidée par ma tendre, la dame me convainquit de venir passer un week-end chez elle pour aider notre couple. Puisque ma douce était d’accord, et à l’idée de passer quelques jours agréables en compagnie de cette femme désirable, je ne mis pas longtemps à donner mon accord. Comme le week-end suivant nous n’avions rien prévu, il fut convenu que j’irais chez Madame Clémence le vendredi soir à 22 heures.


Ce jour arriva rapidement. À peine arrivé dans sa maison elle me mit immédiatement dans le bain, sur un ton qui tranchait franchement avec la douceur dont elle avait fait preuve lors de notre première et unique rencontre.




J’avais l’impression d’être dans un autre monde.



Comme je tardais à me décider, un premier coup de cravache vint me rappeler ses promesses. En moins d’une minute, je fus entièrement nu devant elle, mes mains cachant mon intimité. Un deuxième coup me fit comprendre que j’avais fait une erreur, et j’enlevai immédiatement mes mains.



J’avais vraiment l’air bête devant Madame Clémence, avec l’impression d’être une marchandise ou un animal en exposition.


Un homme entièrement nu et totalement glabre, autant du corps que de la tête, fit soudain son apparition. Ce qui me surprit le plus, c’est qu’il avait été particulièrement gâté par la nature sur le plan sexuel.



Madame Clémence tournait autour de moi en continuant son examen, j’étais de plus en plus mal à l’aise, la sensation grandissante d’être devant un maquignon qui estime une bête avant de l’acquérir.



Je ne me voyais pas du tout ressembler à Jack, mais Madame Clémence m’apaisa immédiatement.



L’observation reprit de plus belle. Après m’avoir tâté et observé sous toutes les coutures, elle claqua des doigts. Immédiatement son serviteur vint se mettre à genoux devant moi, et entreprit de me faire une fellation. Dès que j’eus pris de la vigueur, il s’effaça pour laisser Madame Clémence continuer son analyse.



Craignant la cravache menaçante qui pouvait me faire beaucoup plus de mal, étant donné ma tenue, je m’exécutai rapidement. Le serviteur s’approcha de sa maîtresse avec un petit pot à la main. De ma position, je ne pouvais voir ce que Madame Clémence manigançait dans mon dos. En sentant le froid et la douleur envahir mon fondement, je compris qu’elle m’avait pénétré avec un de ses doigts préalablement enduit de gel.



Je suivis le valet qui me guida tout d’abord jusqu’à une immense salle de bain, avec une grande table en son centre.



Il s’approcha alors de moi avec un rasoir comme les barbiers en utilisaient auparavant. Il prit son temps pour m’enlever tous les poils, avec un soin particulier en attaquant mes bourses. Puis il me demanda de me retourner et fit de même entre mes fesses. Après m’avoir bien examiné et constaté qu’il ne restait aucun poil superflu, il m’enduisit d’un baume particulièrement odorant. Il me guida ensuite jusqu’à une chambre comprenant juste un petit lit avec des menottes aux quatre coins. Pas de draps, pas de couette, ni aucun autre meuble, le dénuement total.



J’ignorais totalement ce qu’était un plug, et encore plus à quoi ressemblait un numéro un, mais je me doutais bien que cela ne me ferait guère plaisir. J’en eus la confirmation lorsque Jack écarta mes fesses et introduisit quelque chose dans mon petit trou. Je fus surpris par le froid de l’objet, et soulagé que la douleur ne soit pas trop intense.



Depuis que j’étais arrivé chez Madame Clémence, à aucun moment je n’avais eu l’esprit de me rebeller. Maintenant il était un peu tard, je subissais cette situation en me maudissant. J’eus du mal à dormir dans cette position, de nombreuses pensées bizarres envahirent mon esprit durant toute la nuit. C’est les yeux pleins de cernes que je fus réveillé par Jack au petit matin, je n’avais pas eu la visite de la propriétaire.