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Temps de lecture estimé : 12 mn
06/12/07
Résumé:  Une jeune femme se remémore le soir de sa première année avec son homme.
Critères:  fh jeunes couple caférestau anniversai douche amour intermast fellation cunnilingu pénétratio -couple
Auteur : Jade2  (Jeune étudiante qui écrit ses "confessions intimes")
Le soir de notre première année...

Le soir de notre première année…



C’est le premier jour de l’été aujourd’hui. La douceur et la chaleur des rayons du soleil m’ont réveillée. Je me retourne. À côté de moi, un visage angélique, celui de mon homme. Il a l’air si paisible. De quoi rêve-t-il ? Sans être présomptueuse, de moi peut-être. En le regardant ainsi, je ne peux m’empêcher de repenser à la soirée d’hier, elle était si…



****


Samedi était un jour spécial pour nous. Nous fêtions notre première année d’entente, de complicité, de fou-rires et de prises de tête. Quand j’y repense, elles ne sont rien à côté de ce que nous partageons aujourd’hui. Nous attendions ce jour avec impatience. Nous étions devenus des victimes de l’amour. On aurait pu s’inscrire à une association appelée "les handicapés sentimentaux chroniques" ! Notre rencontre a été tout à fait fortuite. Elle s’est faite dans le cadre du boulot, je suis médecin du sport, c’est un grand sportif, un tennisman. Je le suis à tous ses matchs dorénavant.


Une fois l’heure arrivée, je me prépare. Contrairement à ce que l’on dit des femmes, je ne suis pas de celles qui passent des heures dans la salle de bain. Néanmoins, je consacre ce qu’il faut pour le sacro-saint rituel auquel toute femme doit procéder en une telle occasion : bain moussant avec quelques sels de bain à la vanille, shampooing, gommage, masque et épilation.


La porte de la salle de bain entrouverte, je le vois enfiler un jean délavé et une chemise blanche. C’est simple mais qu’est-ce qu’il est classe et sexy ! Voyant qu’il est presque déjà prêt, je me dépêche quelque peu. J’enfile la robe blanche que j’ai achetée la semaine dernière, spécialement pour l’occasion. Je l’aperçois dans l’entrebâillement de la porte. Il me dit qu’elle me va à ravir. J’esquisse un sourire pour le remercier de ce compliment. Je finis de m’apprêter, de me maquiller, un peu de fard à paupières et deux traits d’eye liner, et je suis fin prête. Je n’ai jamais aimé ressembler à un pot de peinture ! Nous pouvons y aller.


Dans l’ascenseur, je me colle à lui. Il dépose un délicat baiser sur mon front, je le lui rends fougueusement sur la bouche. Il m’ouvre la portière de la voiture, je m’engouffre dedans. Je ne veux pas perdre une minute de cette soirée.


Nous arrivons au "Il Punto", mon restaurant italien préféré. Il a réservé une table en terrasse. Il me fait m’asseoir et s’asseoit à son tour. Le serveur nous apporte la carte et nous demande si nous voulons un apéritif. Deux coupes de champagne feront l’affaire.


Il remarque que le jeune homme ne me laisse pas indifférente. Au lieu de me faire une remarque, il me laisse séduire le jeune homme et ce dernier me séduit. Mon homme sait que je suis à lui, rien qu’à lui. Je lui appartiens corps et âme. Il me connait et sait que j’aime séduire, que j’aime que l’on me regarde et je crois qu’il en est fier d’un certain côté.


Une fois les plats commandés, il ne nous reste plus qu’à attendre. Il me parle de ses entraînements, de ses matchs ; je lui parle de fractures, de foulures et de plâtres. Puis, je sens sa main se poser sur ma cuisse. Je lui souris comme pour acquiescer. Nous continuons à parler de tout et de rien et je sens sa main remonter lentement sous ma robe, en haut de ma cuisse. Je soupire. Il sait ce que j’attends. Il la glisse pour la poser sur mon sexe. En sentant sa chaleur contre celui-ci, celle-ci m’envahit. Avec sa paume que je sens au travers du tissu, il me caresse. Le désir s’empare de moi. Il sait que j’en attends plus et ne se fait pas attendre. Un doigt se faufile en dessous de mon string pour venir frôler mes lèvres. Ses attouchements me procurent toujours autant de plaisir mais je dois contrôler mes sursauts face à ses assauts.


Nos plats ne sont toujours pas arrivés. Peu importe, un autre appétit s’éveille en moi, celui-ci est bien plus grand. Un deuxième doigt est venu rejoindre le premier. Tous deux se fraient un chemin jusqu’au trésor tant convoité. Enfin, ils y arrivent. Je ne peux m’empêcher à ce moment d’avoir un léger sursaut, non de surprise mais de plaisir. Mon petit bouton rose désire autant que moi attirer son attention. Il le caresse de ses deux doigts, le roule, le titille. Il sait exactement quels gestes me procurer pour faire monter en moi l’envie. J’ai mouillé dès l’instant où il a posé sa main sur mon sexe, mais à présent je suis trempée. Il le remarque aussi, il aime me savoir dans un tel état sous ses doigts et accélère le mouvement. Nous savons tous les deux que l’orgasme est proche. Des frissons me parcourent. Je ne peux que contrôler un minimum mes sursauts, je jouis. J’aime quand il me masturbe et me fait atteindre le 7ème ciel, rien qu’avec ses doigts !


Les plats arrivent enfin. Alors que je mange mes penne all’arrabiata, je le vois se débattre quelque peu avec ses spaghettis. Cette scène peut paraître anodine mais elle me fait rire. Mon homme me fait rire. C’est ce qui m’a séduite, outre son corps d’athlète. C’est un homme, un vrai mais aux attitudes de petit garçon qui parfois m’attendrissent au lieu de m’agacer.


Tout en le regardant, une pensée me traverse. J’ai envie de lui, qu’il me fasse l’amour maintenant, tout de suite. Je le lui fais comprendre mais il n’en attendait pas moins de ma part, après la vague de plaisir qu’il vient de me donner. Je le regarde et je pose donc ma main sur son entrejambe, il sourit. Je le touche à travers le jean. Mais lui aussi en veut plus, d’autant que son membre commence à se durcir avec les caresses que je lui prodigue. Je défais les quelques boutons qui enferment son sexe pour y poser ma main au travers de son boxer. Il se penche sur moi, m’embrasse comme pour me dire que je peux commencer. Je le branle d’abord doucement. Sentant sa queue gonflée sous mes doigts, je le masturbe de plus en plus vite puis quasi frénétiquement. Si je pouvais, je me glisserais sous la table et lui ferais une pipe comme il aime et comme j’aime. Je ne peux qu’être patiente et attendre que l’on soit rentrés.


Nous avons fini nos plats, le serveur nous demande si nous voulons prendre un dessert, et moi, tout en continuant, à le branler, je lui réponds non. Nous étions trop pressés de rentrer, et si dessert il y a, on le prendrait à la maison… Une fois l’addition réglée, nous nous empressons de rentrer mais nous ne pouvons attendre d’être dans la chambre. Nous nous jetons l’un sur l’autre, nous embrassons, nous touchons, nous caressons, dans le parking, dans l’ascenseur, dans le hall. Je me dépêche de trouver les clefs de l’appart. Une fois la porte refermée, plus rien ne nous retient et le désir de l’autre se transforme en une envie sauvage, quasi animale. J’aime l’amour tendre autant que l’amour bestial.


Quelques secondes nous suffisent pour enlever tout ce qui sépare nos deux corps et nous nous jetons dans le canapé. Nous nous embrassons, mélangeons nos langues pendant des minutes interminables. Puis, il m’embrasse dans le cou et y laisse un suçon. Il descend et laisse un baiser sur chaque centimètre de mon corps. Il s’attarde sur mes seins, me les masse. Je sens ses doigts se rapprocher des aréoles pour venir titiller mes tétons qui durcissent à chaque seconde où il les caresse à deux doigts. Je laisse échapper quelques gémissements. Ses doigts laissent place à sa bouche. J’aime l’effet que je ressens lorsqu’il me tète. Pour ne pas faire de jaloux, il s’occupe de mes deux tétons et s’y affaire avec ardeur. J’aime quand il s’occupe de mes seins, j’ai l’impression que s’il pouvait, il me les dévorerait ! Il y a de quoi faire avec un 90E ! Plus jeune, j’ai pu être quelque peu complexée, mais aujourd’hui, je ne mets quasiment que des décolletés pour le plaisir de mon homme, pour le plaisir de tous les hommes…


Doucement, je sens une de ses mains descendre le long de mon ventre. Je sens ses doigts me frôler la hanche, ce qui me fait frissonner de plus belle. Il libère mes seins de sa bouche pour la poser sur la mienne et m’embrasser avec ferveur. Peu à peu, je sens qu’il descend le long de mon corps pour y parsemer de nombreux baisers et s’arrête soudainement pour me dire qu’il va me donner beaucoup de plaisir. Dès cet instant, mon corps se relâche, ma respiration se fait plus lente, plus posée afin d’apprécier chacun de ses gestes. Arrivé à mon entrejambe, il l’embrasse… Il entrouvre mes cuisses pour apercevoir l’objet tant convoité. Il adore me donner du plaisir en me léchant et moi, j’aime succomber sous sa langue. Aimant me titiller et faire monter en moi le désir, il contourne mes lèvres, les frôle. Excitée, j’en tremble.


Sentant mon corps en ébullition, il passe enfin sur mes lèvres. Tout d’abord, il use de gros coups de langue pour ensuite enchaîner avec des petits coups du bout de la langue. Cette manière de faire lui permet de venir chatouiller mon petit bouton rose, l’épicentre de mon plaisir. Gonflé, le sentant bien sous sa langue, il le lèche, le suce, l’aspire. Mon homme sait comment manipuler cette chose en moi. Avec lui, j’ai découvert l’orgasme procuré par un simple cuni. J’adore quand il me lèche. Mais s’il me doigte en même temps, c’est l’extase. Bien mouillée, il rentre un, deux, trois doigts facilement. La combinaison cuni-doigté m’amène à l’orgasme plus vite. Au bout de 20-30 minutes d’un tel traitement, je jouis. De la cyprine s’écoule de moi, mais il ne laisse rien. Il aime mon odeur, encore plus lorsqu’il m’a fait jouir.


Me redressant quelque peu, je vois que me faire plaisir l’a fait bander. À mon tour de lui donner une telle jouissance, au moins égale à celle qu’il m’a fait ressentir à l’instant. La fellation ne m’a jamais posé de problème, je fais partie de celles qui aiment pomper leur homme, ce qui tombe plutôt bien dans la mesure où tous les hommes aiment ça ! J’aime le sucer quand il est allongé ou bien debout ; cette fois, ce sera allongé. Il se cale donc dans le canapé et je viens m’installer entre ses jambes. Je commence par le branler doucement, son sexe étant déjà bien dressé par ce qui s’est passé depuis le restaurant. J’alterne des mouvements de va-et-vient plus ou moins vite, histoire de le laisser languir d’impatience.


Enfin, je me penche sur sa queue et la lèche sur toute la longueur, aucun centimètre ne doit échapper à mon coup de langue. Je me relève quelque peu et voit qu’il profite de cet instant pleinement. Je continue donc, en aucun cas je ne m’arrêterai en si bon chemin, tant pour son plaisir que pour le mien. Je commence par ne lui lécher que le gland, avec des coups de langue d’abord de haut en bas puis avec d’autres qui tournent autour. Après un tel traitement, j’aspire son gland dans ma bouche tout en continuant à faire tournoyer ma langue autour. Il ne peut s’empêcher de laisser s’échapper un gémissement de plaisir. Par là même, il m’incite à continuer.


Je le masturbe alors en même temps. Je ne veux plus m’attarder que sur son gland mais sur sa queue toute entière. Je l’engouffre alors dans ma bouche et commence d’abord par de longs et lents mouvements de va-et-vient. Je sais qu’il aime ce que je lui fais, il vient de poser ses mains sur ma tête. Je passe donc à la vitesse supérieure, les mouvements de va-et-vient deviennent plus courts et plus rapides. Je pourrais le sucer pendant des heures, comme lui pourrait me lécher pendant des heures. D’ailleurs, nos 69 me paraissent interminables !


D’un coup, il se relève, me prend par la taille, se lève et me soulève en même temps pour me porter et nous conduire dans la chambre. Là, il m’allonge sur le lit et vient se caler entre mes jambes. Il dégage une mèche me tombant sur les yeux, me regarde longuement et m’embrasse tendrement. La bestialité que l’on a pu avoir en se jetant l’un sur l’autre en rentrant va laisser place à un moment de tendresse. Il m’embrasse partout, dans le cou, sur les épaules, sur la poitrine, sur le ventre. Il remonte vers moi et entre en moi. Une vague m’envahit, c’est, je crois, le moment que je préfère lorsque je fais l’amour, le moment où son sexe entre dans le mien. En même temps que de ressentir de la chaleur et du plaisir, c’est une sorte de délivrance. Bien évidemment, j’aime les préliminaires et que ceux-ci durent le plus longtemps possible mais j’ai aussi hâte qu’il me pénètre, et sentir qu’il me possède.


Il commence par de lents mouvements de va-et-vient. Il me caresse la joue, descend sa main le long de mon corps pour venir prendre la mienne et la serrer fort. Nous ne formons qu’un. Il finit par me prendre les deux mains, les remonte au-dessus de ma tête, colle son torse à ma poitrine, et accélère le mouvement. Je sens son souffle au creux de mon oreille, lui mes gémissements. J’écarte mes jambes de plus en plus pour qu’il aille au plus profond de moi, et finis par l’enlacer de mes jambes. Il lâche une de mes mains pour venir la mettre sous mon bassin, et me cambrer encore plus que je le suis. Je le sens encore mieux, il va plus loin en moi.


Nous sommes maintenant collés l’un à l’autre, au point qu’il me compresse la poitrine et qu’il m’est difficile de respirer, je me dégage donc légèrement. Ses mouvements se font de plus en plus rapides et secs. Mais pour faire durer le plaisir, il alterne des mouvements de bassin plus lents avec d’autres plus saccadés. Il sait que j’aime quand il me donne de grands coups imprévus pendant les moments de relâchement, ils me surprennent toujours.


La fin est proche. Il accélère de plus en plus, je m’accroche à lui de plus près afin que nos corps se mélangent et ne fassent plus qu’un. Il est rare que nous jouissions ensemble, mais en me masturbant en même temps qu’il me pénètre, il y a des chances pour que notre plaisir soit commun. Et c’est ce qui arrive, deux cris accompagnent notre jouissance. Il reste encore un long moment en moi, m’embrasse, passe sa main dans mes cheveux. Je fais de même et lui caresse le dos, caresses qu’il affectionne particulièrement. Il se dégage, je viens me bloquer dans ses bras et nous nous endormons ainsi.



*****


Je m’éveille. Je le regarde pendant un long moment, il dort si paisiblement. Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Je profite qu’il dort encore pour prendre ma douche et lui préparer son petit déjeuner que je lui apporterai à son réveil. Ni une, ni deux, je vais sous la douche, règle la température et me mets sous le jet d’eau.


Soudainement, je sens deux mains se poser sur mes hanches. Il se tient là, derrière moi. Dégageant ma nuque, il y dépose un délicat baiser. Je sens ses mains remonter le long de mon corps. Je me retourne et l’embrasse. Le premier baiser du matin veut dire plein de choses pour moi : bonjour, tu as bien dormi ? Je t’aime, j’ai aimé comment tu m’as fait l’amour hier soir… Il acquiesce en me rendant mon baiser. Il m’embrasse longuement tout en caressant mon corps dans ses moindres recoins. Il s’attarde évidemment sur mon sexe, écarte mes lèvres pour venir trouver mon p’tit bouton. Il le caresse d’abord avec son majeur, puis un deuxième doigt vient rejoindre le premier. Il le fait rouler entre ses doigts, quel délice ! J’écarte les cuisses pour qu’il puisse mettre ses doigts au plus profond de moi et me fouiller comme j’aime.


Je vois que m’infliger un tel traitement le fait bander. Je m’occupe de lui et commence à le branler. Sous la douche, nous nous branlons mutuellement. Après un long moment de masturbation, il me retourne et me plaque contre la paroi. Je sens ses mains remonter sur mes cuisses, sur mon ventre, venir presser mes seins, pincer mes tétons ; il me pénètre enfin. Me tenant par la taille, il commence par de longs va-et-vient, je l’accompagne en ondulant du bassin. Tout en me pénétrant, il me lèche et mordille le cou, le lobe des oreilles, il sait que j’aime ça car y étant très sensible. Pour qu’il me prenne plus profond, je lève une jambe qu’il soutient à son tour. Il vient renfermer ses mains dans les miennes. Dans une telle position, je suis à lui toute entière, il peut faire de moi ce qu’il veut. Les longs mouvements de va-et-vient ont laissé place à des coups plus courts, plus rapides avec des moments de répit.


Il sait que j’aime quand je suis à sa merci, car je ne sais pas quand il va reprendre et c’est l’effet de surprise qui m’excite d’autant plus. Je sens sa queue se durcir de plus en plus en moi, se gonfler de plus en plus aussi. Il ne va pas tarder à jouir… Je sens son sperme couler entre mes cuisses… Je me retourne et nous nous embrassons. Nous sommes restés un long moment enlacés sous la douche, moi dans ses bras, le meilleur endroit où je peux me trouver…




Jade