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Temps de lecture estimé : 21 mn
06/12/07
Résumé:  Après une période de crise, le mari et la femme se réconcilient. Les retrouvailles vont être aussi une découverte pour tous les deux.
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Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : C'est du Feydeau

Chapitre 02 / 03
Soir de retrouvailles

Bernard fait de nouvelles vérifications des valises des enfants. Le reste de la famille arrive vers 10 heures. L’effervescence règne, pour finir les préparatifs du départ en colonie qui a lieu à 15 heures. Sans qu’ils aient eu besoin de se consulter, les parents ont remis leurs démêlés à plus tard. Une fois les enfants partis ils auront tout le temps de s’expliquer.


Le car les emmenant démarre presque à l’heure. Comme ils ramènent la mère d’une copine de leur fille en voiture, ils doivent attendre d’être rentrés chez eux pour se retrouver seul à seule.


La porte à peine fermée, Bernadette, les larmes aux yeux, lui refait le récit qu’elle lui avait déjà laissé sur le répondeur. Il veut l’arrêter, mais cela fait tellement longtemps qu’elle attend de pouvoir s’expliquer que rien ne peut l’interrompre. Elle lui jure qu’il ne s’est rien passé entre Pierre et elle, qu’elle l’aime et, sur sa lancée, comme pour se libérer d’un poids, lui avoue son infidélité vieille de sept ans, qu’elle a toujours regrettée, que le sort s’était chargé de rétablir les choses en la mettant dans cette situation. Elle espère qu’il lui pardonnera. Il la rassure et la prend dans ses bras. Elle lui demande :



Il parlent encore quelque temps, serrés l’un contre l’autre, avant qu’il ne dise qu’Isabelle a passé la semaine à la maison, de son arrivée lundi à ce matin. Hier soir elle a répondu à Pierre au téléphone et lui-même lui a parlé. Il relate le contenu de cette conversation. Bernadette dit aussi que Pierre lui téléphoné pour s’excuser et qu’il allait essayer de le contacter lui aussi. Il a tenu parole.


Après avoir hésité, Bernard décide de se montrer un minimum honnête, lui aussi. Il lui raconte la soirée de l’avant-veille. Comment la conversation a dérapé, comment Isabelle lui a montré des sites pour adultes, puis la chute dans la salle de bain et l’engrenage jusqu’à passer la nuit ensemble. Il s’abstient quand même de préciser qu’ils ont récidivé cette nuit, et que pendant le coup de fil de Pierre il sodomisait Isabelle. En entendant les aveux de son époux, Bernadette s’est reculée d’un pas et le regarde incrédule :



Il acquiesce, sans chercher d’excuses, il n’a pas su résister à la tentation. Il est résigné à des explications orageuses, il faut bien assumer ses actes.


Que Bernard ait couché avec une autre lui paraît presque invraisemblable. Elle sent la colère bouillonner en elle. Elle pense partir, claquer la porte, mais elle se domine, Elle s’est rendue compte que ce n’est pas une bonne solution. Il lui faut reconnaître une chose, il a eu la probité de lui avouer. Il aurait pu se contenter de profiter de l’avantage de ses aveux à elle. Elle sent qu’il faut tourner la page, même si c’est difficile. C’est peut-être même l’occasion de rebondir sur de nouvelles bases avec son parfois trop sérieux mari. Il vient de montrer qu’il peut se laisser aller. Elle se suspend à son cou :



Bernard la regarde, sidéré. Il ne s’attendait pas à cette réaction.



Et de le pousser vers l’ordinateur. Il ouvre la bouche, mais elle enchaîne, sentant ce qu’il allait dire :



Elle fait la moue en hochant de la tête.



Ils éclatent de rire et se retrouvent devant l’ordinateur. Pendant plus d’une heure, ils surfent, gloussant et s’esclaffant, avant qu’elle ne propose de faire un jeu. Cette fois, toutes les cartes gages sont imprimées, découpées et groupées en différents tas pour Madame et pour Monsieur, sans trop prêter attention au contenu. Après un début de partie équilibrée où chacun gagne quelques bisous ou caresses, le jeu bascule. Bernard, grâce à sa mémoire, retient l’ordre des cartes et prévoit largement le jeu de sa chère petite femme. Sur une série de coups particulièrement brillants, il oblige Bernadette à tirer des cartes gages de valeur élevée. Elle les lit et rosit, avant de les lui montrer. Il lui propose d’en tirer d’autres. Cela lui rappelle ce qui s’était passé avec Isabelle avant-hier, et tout comme cette dernière, elle refuse. Le jeu, c’est le jeu. Elle se lève en disant :



Resté seul, Bernard est perplexe. Il n’aurait jamais imaginé que Bernadette accepte comme ça… Il va de surprise en surprise.


Après avoir soigneusement choisi sa tenue pour la soirée, tandis qu’elle se change Bernadette se demande si elle n’est pas devenue folle. Elle est sur le point de renoncer. Non ! Elle ne va pas se dégonfler. Elle se regarde dans la glace. Elle porte une jupe bleu pastel, qui arrive à mi-cuisse, Ils l’aiment tous les deux. Pour le haut, un bustier assorti. Quand elle réapparaît, il émet un petit sifflement admiratif. Elle lui tend la sacoche.



Ils décident d’aller au restaurant l’Île Saint Louis. Comme il n’est pas tard Bernadette propose pour rejoindre le métro à Château-de-Vincennes, de prendre le chemin des écoliers et de passer par le bois. Au détour d’un chemin, elle lâche la main de Bernard et déboutonne prestement son bustier, libérant ses seins. Elle l’encourage :



Il obtempère et prend des photos. Elle soulève sa jupe, montrant le côté pile et le côté face en précisant :



Elle va jusqu’à retirer complètement son haut, gambadant simplement vêtue de sa jupette virevoltante. En entendant des voix approcher, elle le remet rapidement, mais elle profite de toutes les occasions pour faire voler sa jupe. Elle pose un pied sur une barrière, pour rattacher son lacet qui d’ailleurs n’en avait nul besoin. Un peu plus loin, elle renouvelle l’opération pour l’autre chaussure. Elle se montre exceptionnellement maladroite, faisant tomber à plusieurs reprises ses clés. Jambes légèrement écartées, elle les ramasse sans plier les genoux, en prenant son temps, en s’arrangeant bien pour que sa jupe remonte suffisamment pour que Bernard profite de la vue et puisse prendre des photos. Il est ébahi par la prestation de sa chérie :



Ils arrivent enfin au métro. Elle l’entraîne au milieu de la rame, le fait asseoir, face à elle et fait un festival de jupe troussée et de cuisses largement ouvertes, dévoilant tous ses trésors intimes, alors que des gens sont assis juste derrière elle. Elle fait signe à Bernard de prendre des photos.


Bernadette jubile de voir la tête de son mari. Elle s’étonne elle-même. Jamais elle ne se serait crue capable de ce genre d’exhibition, en plus elle se sent troublée. Quand elle passe, et même un peu plus, un doigt entre ses lèvres du bas, il en ressort humide. À Nation, elle doit cesser son petit jeu, le métro se peuplant. Ils descendent à Saint-Paul et par les petites rues rejoignent l’île. Bernard en profite pour explorer de la main ce qui était tout à l’heure offert à sa vue. Il constate que sa représentation a fort émoustillé sa chérie. Lui-même n’y est pas resté insensible, la grosseur déformant son pantalon en porte témoignage.


Commande passée, ils sirotent leur apéro. Il est en train de lui faire part de son ébahissement de ce qu’elle a fait depuis le départ de la maison, quand il sent un pied venir se poser sur sa braguette et le caresser. Un large sourire aux lèvres, elle lui dit :



Il se raidit un peu et regarde alentour. Toujours aussi souriante, elle enchaîne :



Il est vrai que dans leur salle il n’y a que trois autres couples, installés à des tables éloignées. Elle continue de le taquiner, jusqu’à l’arrivée des entrées. La dernière bouchée avalée, elle se lève de sa chaise et descend par l’escalier voisin vers les toilettes. Bernard la suit des yeux un instant, avant de revenir à son assiette encore à moitié pleine. Il pense même qu’il doit y avoir urgence pour qu’elle ait mangé aussi vite. Du coin de l’œil, il s’aperçoit que Bernadette s’est arrêtée à mi-escalier. Elle s’accroupit pour remonter les marches. Il s’apprête à lui demander si elle a perdu quelque chose, quand profitant de l’écran fait par leur table, vive comme un feu follet, elle se glisse dessous. Il sent les mains de sa femme déboutonner sa braguette, libérer son sexe et… non ! il n’a pas la berlue, elle le prend dans sa bouche et commence une pipe d’enfer !


Il avance sa chaise pour se coller à la table, et arrange la nappe pour essayer de rendre l’activité buccale de sa femme la plus discrète possible. Le plus dignement qu’il le peut il finit son entrée, non sans mal, car la coquine y met une belle ardeur. Pour comble, la serveuse arrive pour débarrasser. Non ! Elle hésite un instant, contourne la table et descend aux toilettes. À sa remontée, elle s’arrête devant la table et dessert.


Ces allées et venues n’ont pas perturbées Bernadette qui continue imperturbable à sucer son homme. Cela lui a même provoqué une poussée d’adrénaline et un délicieux frisson. Il faut dire qu’une fois la serveuse descendue, elle s’était trouvée coincée sous la table. Bernard n’en peu plus, il finit par tout lâcher. Sa chérie continue de pomper implacablement, elle qui avait toujours été un peu réticente pour avaler, avant de soigneusement nettoyer à coups de langue son service trois pièces, de le ranger et d’obligeamment refermer sa braguette. Elle ressort de sa cachette pour rejoindre l’escalier et revenir à sa place avec un sourire encore plus large qu’avant de la quitter.



Il va répondre, mais la serveuse arrive avec une petite coupe contenant un sorbet, qu’elle dépose devant Bernard qui l’arrête et lui indique qu’elle a oublié sa femme. Elle prend un petit air d’en avoir deux avant de répondre :



Bernadette ouvre des yeux inquiets. Devant son air confus la serveuse précise, la mine réjouie, en se penchant vers eux :



Bernadette vire au rouge brique et Bernard s’agite mal à l’aise. La serveuse, enchantée de son petit effet, enchaîne :



Ils sont soulagés, mais elle continue :



Bernard qui commence à s’agacer se prépare à répondre, mais Bernadette lui pose une main apaisante sur le bras et pour la première fois prend la parole :



Bernard va décidément de surprise en surprise. Il n’en croit pas ses oreilles et en reste bouche bée. La serveuse, l’œil luisant, sourit de toutes ses dents. Bernadette enchaîne :



La serveuse s’empresse :



Dès qu’elle a tourné les talons Bernard dit :



Bernard éclate de rire :



Ils s’interrompent, la serveuse revenant avec un comparse pour placer le paravent. Le garçon parti, Bernadette demande en se levant :



C’est au tour de la serveuse de sembler hésiter. Bernadette se rassoit en se rajustant :



Comme on se jette à l’eau, Ophélie proteste :



Et elle s’en va. Bernadette fait un clin d’œil à son époux :



C’est vrai que c’est un beau petit lot, Bernard ne peut qu’en convenir. Dans les vingt cinq ans, environ 1,75 m, avec des rondeurs là où il faut, de longs cheveux châtains tressés et un joli minois éclairé par des yeux bleus.


Elle revient un peu plus tard servir le plat principal. Et annoncer que bientôt il n’y aura plus d’autres clients qu’eux dans la salle. Avant de partir, en rougissant, elle déboutonne son corsage, dévoilant deux superbes seins, comme ceux de Bernadette, de la taille d’un beau pamplemousse, mais aux aréoles moins larges et moins foncées. Puis elle soulève sa jupe, montrant qu’aussi bien en haut qu’en bas, plus aucun sous-vêtement ne la couvre. Elle remet sa tenue en ordre et retourne s’occuper des derniers autres clients qui veulent régler leur addition.


Bernadette se lève, déboutonne son bustier, retire carrément sa jupe, contourne la table, pose un pied sur la chaise de son mari, lui prend la main et la pose sur sa chatte. Il lui fait remarquer que la situation lui fait de l’effet, car ses doigts sont déjà trempés et qu’en plus elle accomplit son dernier gage : « Se faire caresser dans un lieu public ». Il joue avec ses lèvres, agace son bouton, Elle a le souffle court. En annonçant le retour de la serveuse, qu’il aperçoit à travers une fente du paravent, sa main s’immobilise ; elle le conjure de ne pas s’arrêter.


Quand Ophélie découvre le spectacle, elle marque un temps d’arrêt et sa bouche s’arrondit de surprise. Puis les yeux rivés sur l’intimité triturée, elle se rapproche. Bernard lui tend l’appareil photo. Elle s’en empare avidement et se met à l’œuvre consciencieusement, alternant plan large et gros, et même très gros plan. Bernadette halète doucement et ferme les yeux.


La serveuse pose l’appareil et après une brève hésitation avance les mains pour s’emparer des seins de sa vis-à-vis. Cette dernière sursaute, mais à la surprise de son mari ne fait rien pour se dégager. Ce que voyant Ophélie accentue sa prise de possession, massant les doux globes, pinçant et étirant les pointes. La « victime » ainsi manipulée à tous les étages perd pied. Enfin, pas tout à fait car elle réussit à rester debout, mais en s’appuyant de plus en plus lourdement sur Bernard. Elle a oublié où elle se trouve, seules comptent ces mains qui la traitent en objet. Peu lui importe maintenant qu’elle soit dans un restaurant et qu’une donzelle, qu’une heure avant elle ne connaissait pas, lui cajole la poitrine pendant que son mari lui trifouille la chatte et même son petit trou. Peu lui importe de se conduire comme une bacchante. Peu lui importe que son mari se soit saisi de l’appareil photo de sa main libre, pourvu qu’ils n’arrêtent pas… et la fille qui porte la bouche à ses seins… C’est bon ! C’est trop bon !


Bernard est subjugué de voir sa femme perdre toute inhibition et s’offrir ainsi. Il réussit à prendre quelques photos de la si improbable scène, tout en continuant à s’occuper activement de ses trésors humides où il enfonce parfois jusqu’à trois doigts et aussi de sa porte étroite. Malgré les bruits de succion divers et variées, il distingue celui de la porte battante. Il avertit ces dames. Tandis que Bernadette remet prestement sa jupe, la serveuse lui reboutonne son chemisier avant de desservir.


C’est un autre membre du personnel qui vient d’entrer, il ne s’approche pas de leur table, n’a même pas un coup d’œil vers le paravent, il prépare la salle pour le service du lendemain. Cette présence les rend prudents et sages, mais plutôt frustrés, surtout Bernadette, ramenée brutalement sur terre alors qu’elle commençait à planer. Ophélie revient un peu plus tard avec les desserts. Mais c’est quelqu’un d’autre qui vient leur faire payer l’addition.


Ils quittent l’établissement et vont s’asseoir sur un banc au bout de l’île. Ils commencent à se bécoter, mais il y a décidément trop de passage. Ils regagnent le métro pour rentrer, il est trop tard pour le cinéma. Dans la rame, la trop grande affluence les oblige à être sages. À Château de Vincennes, ils vont s’installer au fond du bus, à contre-courant, les autres passagers étant restés à l’avant. Il l’enlace de son bras et elle pose la tête sur son épaule. Le bus démarre au bout d’une dizaine de minutes, pendant lesquelles ils commentent la soirée. Bernard avoue que vraiment ce soir elle l’a abasourdi, surtout au restaurant, mais ils conviennent tous deux que leurs retrouvailles méritent bien le grain de folie qu’ils y ont mis.


Au feu, le chauffeur fait monter quelqu’un qui, à leur regret, s’avance vers l’arrière du bus. Quand la personne se retourne pour s’installer de l’autre côté de l’allée dans le sens de la marche, ils se figent tous d’étonnement. C’est la serveuse ! Elle vient, la surprise passée, s’asseoir en face d’eux. L’air le plus innocent du monde, elle ouvre les cuisses, leur faisant constater de visu que l’accessoire qui normalement aurait dû se trouver dessous était toujours absent. Aimablement Bernadette lui rend sa politesse.


Chacun s’étonne de se retrouver céans. Ils découvrent qu’ils sont presque voisins, eux habitant Vincennes limite de Fontenay-sous-Bois et elle Fontenay-sous-Bois limite Vincennes. Au moment de descendre, Bernadette, poussée par le trouble plaisir de la séance du restaurant, lui propose de venir prendre un rafraîchissement chez eux. Comme elle fait cette proposition, elle se dit qu’elle est folle, mais il est trop tard pour rattraper ses paroles. Ophélie, hésite, se tâte, au figuré seulement, et poussée par le petit démon qui sommeille en elle et la douce chaleur qui irradie de l’endroit qu’elle vient de montrer à ses vis-à-vis, finit par accepter, en se disant, elle aussi, qu’elle est folle. Quand à Bernard, il partage totalement cette double opinion.


Arrivés à l’appartement, Bernard sert les rafraîchissements annoncés, enfin pour lui qui prend un jus de fruit, ces dames optant pour une Marie-Brizard. Il ne dit rien mais trouve qu’après un repas bien arrosé cette boisson forte ne s’imposait pas. C’est son côté raisonnable qui refait surface. En sirotant, ils discutent, parlent de leurs vies. Elle leur raconte ses études d’histoire à la Sorbonne, ses petits boulots pour les payer, son copain qu’elle vient de plaquer. Eux lui disent leur vie rangée avec les enfants.


Bernadette, en veine de confidence, raconte la crise qu’ils viennent de traverser – omettant toutefois l’épisode Isabelle – de leur retrouvailles ce soir, du jeu et des gages. Ophélie demande à voir, tout le monde se lève pour lui faire voir le jeu encore étalé sur la table. Bernard explique qu’il y a plusieurs versions plus ou moins hard, eux ayant fait quand même très fort. Elle dit que c’est une idée à retenir. Bernadette, un peu euphorique, propose de faire un petit tour de démonstration. Bernard la tempère, de mauvaise grâce elle renonce, jurant que ce n’est que partie remise.


En revenant s’asseoir, elle sert à la serveuse – un comble ! – ainsi qu’à elle-même une généreuse rasade de liqueur. Bernard fronce un peu les sourcils et prudemment fait disparaître la bouteille déjà bien écornée, avant de venir se poser sur le canapé. Il pense que la soirée touche à sa fin quand sa chérie se lève et se dirige vers leur invitée. Elle se penche et murmure à cette dernière quelques mots à l’oreille en gloussant. Il sait qu’il vient de se faire des idées.


En effet, elle se retourne vers lui et commence un strip-tease, sa complice s’emparant de l’appareil photo pour immortaliser la scène. Vu le peu de vêtements qu’elle porte, elle se retrouve rapidement nue. Elle s’approche alors de lui et entreprend de le déshabiller. Il reste passif, mais elle n’en a cure et insiste jusqu’à ce qu’il se retrouve dans la même tenue qu’elle. Il ne va quand même pas se battre. Ophélie, l’œil brillant, continue son reportage. Sa chérie s’installe sur ses genoux et l’embrasse à pleine bouche, tandis que de la main elle s’empare de sa tige dressée pour la branler doucement. Il n’est pas de bois et il lance aussi ses mains à l’assaut de sa partenaire, qui lâche prise et écarte largement les cuisses pour lui faciliter l’accès à ses trésors dévoilées. Voulant la pousser dans ses retranchements, après l’avoir largement chauffée, il s’arrête et lui dit que c’est une grande fille et qu’elle devrait se prendre en mains. Ni une ni deux, elle quitte ses genoux, s’assoit au bord du canapé qu’il a déplié en un tour de main, pose les pieds à côté de ses fesses, sa main sur sa motte et se masturbe sans retenue. Décidément, les retranchements sont plus profonds qu’il ne l’aurait cru.


Hé bien, il va continuer à pousser le bouchon de plus en plus loin. Il se tourne vers Ophélie, qui regarde fascinée Bernadette s’astiquer, et lui signale qu’il y a encore de la place sur le canapé et qu’elle peut en profiter. Elle saisit parfaitement et sans tergiverser se met nue et s’installe aux cotés de son hôtesse, prend la même position pour se livrer à la même activité avec le même allant. Il récupère l’appareil photo et met la scène en boîte.


Une nouvelle idée lui vient. Il prend la bougie qui avait servi à Isabelle, qu’il avait soigneusement nettoyée et remise en place, s’agenouille devant sa chérie et présente l’objet à l’entrée de sa chatte. Elle a les yeux fermés quand elle sent que quelque chose gêne les mouvements de sa main, elle les ouvre. Voyant ce qui lui est proposé, elle écarte ses lèvres. L’offrande est ingurgitée sans problème et disparaît dans le puits d’amour. Il lui fait faire quelques allers et retours. Le con envahi et ramoné par cet engin aux aspérités prononcées, la victime en a le souffle coupé. Mais il se lève pour aller chercher une autre bougie, sœur de celle qu’il vient lâcher. Abandonnée à son triste sort, elle attrape la chose et se met à se pistonner avec détermination.


Cette fois-ci, il s’installe devant le compas ouvert d’Ophélie, celle-ci regarde un peu inquiète la taille de l’objet, mais ne fait rien pour se soustraire à l’envahissement massif de son sexe, au contraire, elle essaye d’offrir le meilleur accès possible. Bernard n’a guère de mal à faire absorber l’instrument. Comme avec Bernadette, il amorce la pompe, avant de lui laisser prendre en main sa destinée, ce qu’elle fait avec la même résolution. Il ne lui reste plus qu’à reprendre l’appareil photo.


Brusquement il pense au caméscope. Voilà une bonne idée ! Il va chercher l’objet. Ce sera la preuve complémentaire des photos qu’il ne rêve pas, que sa femme et une inconnue il y a quelques heures à peine, se défoncent côte à côte la chatte avec une bougie de belle taille.


À propos de belle taille, il repense à des images vues sur la toile avant le dîner, il y a une éternité ! Il hésite à pousser jusque là, mais un diablotin qui se réveille en lui l’incite à continuer de repousser les limites. Il murmure quelques mots à l’oreille d’Ophélie, qui à regret cesse son activité et retire la bougie de son inhabituel bougeoir. Il lui explique le fonctionnement du caméscope et retourne vers sa femme. Il lui retire son gode improvisé, qu’elle tente de retenir et se met à lui sucer le bouton, ce qu’elle a toujours apprécié. Après un moment de flottement, elle repart et est bientôt secouée d’un orgasme. Il insiste pour ne pas laisser retomber la pression. Quand il voit qu’elle a repris une vitesse de croisière, il se redresse, dégoulinant de ses sucs intimes, et l’enfile d’un coup. Elle sursaute. Il la baise un long moment avant de se répandre en elle.


Son index et son majeur remplacent sa queue, tandis que son pouce titille le bouton. Le traitement plaît à sa dame, aussi introduit-il délicatement son annulaire en plus. Sa chérie continue d’onduler, et lui d’œuvrer quelque temps, avant d’envoyer son auriculaire rejoindre ses frères, en observant les réactions de sa chère et tendre. Elle tressaille à peine à ce qui est pourtant une première. Bon, il peut donc continuer, il ne pensait pas qu’il pourrait aller jusque là, mais il va essayer ce qui tout à l’heure les avait laissé perplexe quand ils avaient découvert les images. Il va tenter de lui mettre toute la main. Il cherche le mot… Fist, oui c’est ça fist. Bon, il ne faut pas brusquer les choses. Côté lubrification pas de problèmes, entre leurs deux liqueurs, il y a ce qu’il faut, surtout que sa chérie continue à produire. Bernadette est largement ouverte, ses quatre doigts sont gobés jusqu’à la paume. Il se rassure en pensant que les bébés sortis par là étaient largement plus volumineux que sa main. Mais ce n’est pas pareil et ce n’était quand même pas une partie de plaisir. La crainte de faire mal le reprend et le fait hésiter.


Il va renoncer, quand Bernadette lance son bassin en avant à la poursuite de sa main qui recule. Cette invite, indirecte, le décide. Il met sa main en cône et l’enfonce doucement par palier. Sous sa poussée, le con de sa femme se dilate encore plus. Il progresse, elle halète, la bouche ouverte. C’est quand même un sacré morceau à avaler. Ça y est ! C’est incroyable ! Toute sa main a disparue. Il la bouge un peu, en avant, en arrière, en rotation. Bernadette se redresse un peu s’appuyant sur le coude et regarde son entrejambe. Elle bégaye :



Elle avait bien senti que c’était gros, qu’elle était plus qu’envahie, mais de là à penser que Bernard allait… Fascinée elle regarde ce bras planté en elle. Il lui sourit :



De sa main libre il dégage le clitoris et y pose ses lèvres. Elle chavire et retombe en arrière. Bernard insiste sur son bouton si sensible pendant qu’Ophélie s’empare de ses seins. Elle frissonne et ne contrôle plus son corps. Sa tête va de droite et de gauche, ses hanches tanguent. Les spasmes de jouissance la foudroient. Elle n’en peut plus, mais ses deux « tortionnaires » continuent de la travailler au corps et réussissent à la faire redémarrer. Elle prend son pied une deuxième fois ou plutôt une série de deuxième fois. Elle crie grâce, elle ne sait plus où elle en est. Bernard retire sa main, elle entend à peine le « sluurp » qu’elle fait en quittant son intimité. Elle a seulement une sensation de vacuité. Elle reste inerte, les bras en croix, les jambes écartées et l’esprit embrumé de jouissance. Elle sombre dans le sommeil. Elle n’entend pas Ophélie lancer à Bernard :



Il ne peut être que de cet avis. Décidément il va de surprise en étonnement. Il savait que sa chérie avait toujours apprécié les jeux de l’amour, lui aussi d’ailleurs, mais ce soir… Il ne l’avait jamais vue aussi déchaînée. Ophélie reprend la parole :



Il lui répond que c’est une première, que d’ailleurs ce soir est la soirée des premières, depuis la sortie sans culotte, la pipe sous la table au restaurant, se faire peloter la chatte devant la serveuse, se limer le con avec une bougie et baiser devant témoin, se faire caresser par une fille.



Il reste un moment interdit. Et puis, au point où ils en sont. Il hoche la tête en signe d’assentiment. Avec un air gourmand, elle s’installe pendant qu’il va chercher le lubrifiant. Ce n’est pas qu’elle n’ait pas mouillé, bien au contraire, mais elle n’a pas bénéficié du supplément masculin.


Il commence par s’intéresser à son bouton, avec les doigts, puis avec la langue, puis il met, un, puis deux, puis trois doigts sans difficultés, En voulant ajouter le quatrième, ça commence à coincer, la donzelle, malgré toute sa bonne volonté, a du mal à avaler. Il y met toute la douceur possible, mais seul le bout des doigts réussit à entrer. Si Ophélie grimace, ce n’est pas de plaisir. Il préfère mettre fin à l’expérience. Il revient gentiment à deux doigts, avant de reprendre la bougie pour les remplacer, sans cesser d’agacer son bouton, Le résultat ne se fait pas attendre, la demoiselle décolle.


Après qu’elle eut atterri, il dégage le vagin de son occupant, se lève et lui propose d’aller faire une petite toilette. Il la conduit à une salle de bain et se prépare à rejoindre l’autre, quand, fort cavalièrement, elle l’attrape par sa queue, qui a retrouvé toute sa fierté, pour le retenir. Elle s’agenouille et commence à lui tailler une pipe de belle facture. Elle y met du cœur, joignant la main à la bouche, mais ne précipitant pas les choses, faisant durer le plaisir. Elle sait s’y prendre. Mais les meilleures choses ont une fin et il finit par cracher son foutre au fond de sa gorge. Elle avale sans rechigner avant de nettoyer consciencieusement, comme Bernadette tout à l’heure sous la table, son sexe à petits coups de langue. Il pense par devers lui qu’elle aussi a un sacré tempérament. In fine chacun va faire ses ablutions.


Bernard revient dans le séjour. Sa chérie n’a pas bougé d’un pouce. Il prend quelques photos de sa femme affalée, les jambes ouvertes et le sexe encore baveux. Il n’a pas le cœur de la réveiller. Il la couvre et la laisse à son sommeil.


Quand Ophélie émerge de la salle de bain, encore en tenue d’Ève, à la vue de l’heure plus que tardive il lui propose de dormir dans la chambre d’ami. Elle accepte avec reconnaissance, car même si elle n’habite pas très loin, elle se sent les jambes un peu molles. Il l’emmène, elle se couche illico sans attendre la chemise de nuit qu’il lui propose et s’endort promptement. Lui non plus n’a pas besoin d’être poussé pour rejoindre sa chambre et les bras de Morphée. D’ailleurs, il n’y a plus personne pour le pousser.