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Temps de lecture estimé : 8 mn
09/12/07
Résumé:  De drôles d'amies ont été invitées par Madame Clémence. Il nous est donné l'ordre de les satisfaire, toutes ensemble et en même temps.
Critères:  fh hh grp fplusag fagée inconnu hsoumis fdomine cunnilingu 69 hgode hsodo -groupes -dominatio
Auteur : Monsieur P      

Série : Madame Clémence

Chapitre 03 / 04
Les amies de Madame Clémence

Absorbés par notre besogne, Alex et moi n’avions pas vu arriver l’heure du repas. Jack avait tout préparé dans la salle à manger. Je fus préposé au service, et Alex au service particulier et personnel de Madame : tout le temps du repas, il dut lui butiner le minou, à quatre pattes sous la table. Dès qu’elle eut terminé son repas :



Le repas, un sandwich, fut avalé rondement et la douche prise tout aussi prestement, même si le fait d’être deux dans un mètre carré ne soit pas des plus aisés. D’autant que Madame nous avait interdit l’usage d’eau chaude. Jack nous renvoya dans le salon où Madame nous attendait. À peine arrivés, elle nous fit mettre à genoux sur des petites estrades, bien droits, les genoux écartés au maximum, les mains derrière la tête, et le sexe bien en avant. Elle nous recouvrit d’un tissu indien en nous recommandant de ne pas bouger d’un millimètre. La position n’était pas des plus confortables.


Peu de temps après, ses amies arrivèrent et s’installèrent à proximité de nous. Aux différentes voix qui me parvenaient, il me semblait qu’elles devaient être quatre ou cinq. Les conversations étaient plutôt anodines au début de la rencontre, et devinrent plus chaudes à mesure que le temps passait. Il y avait peut-être une heure que nous étions là, immobiles, lorsque Madame Clémence annonça à ses amies :



Des bruits de pas se dirigèrent dans notre direction, les tentures se levèrent et la lumière brusque nous fit cligner des yeux. Nous découvrîmes les cinq invitées de Madame, des femmes très élégantes. Les deux premières étaient assez âgées, je dirais entre cinquante et soixante ans, et plutôt bien enveloppées, pas trop le genre de femmes qui m’attiraient. La troisième ressemblait fortement à Madame, une quarantaine d’années et un corps magnifique. Les deux dernières étaient splendides, aux alentours de trente ans, un corps de rêve d’après ce que je pouvais en voir. Madame Clémence et ses amies étaient toutes en jupes et avec des chemisiers plutôt du genre bien remplis.


Après une rapide période d’observation, Madame leur annonça :



Les premières à venir nous palper furent les plus anciennes, et bien évidemment ce fut uniquement sur nos sexes qu’elles se lâchèrent. Les commentaires graveleux allaient bon train sur la comparaison de nos intimités. Il devait y avoir longtemps qu’elles n’en n’avaient pas vues, ni touchées, car elles ne se gênèrent pas avec nous. Nos sexes furent pressés, masturbés, allongés et tirés dans tous les sens. L’une d’elle essaya même de m’enfoncer un de ses doigts boudinés entre les fesses. En constatant la présence du plug, elle le tortilla en tous sens en gloussant. Le regard froid de Madame ne nous encourageait pas à broncher. Lorsqu’elles furent satisfaites de leurs palpations, elles regagnèrent leur place sur le sofa.


Les trois autres s’approchèrent à leur tour, leurs manières avaient nettement plus de classe. Nos visages, nos bras, nos torses, nos fesses furent l’objet de douces caresses. Lorsqu’elles arrivèrent à nos bas-ventres, elles furent encore plus tendres. Nous n’étions plus des objets sexuels, mais de véritables œuvres d’art. Les commentaires avaient nettement plus de chic, et les caresses plus intimes étaient destinées à nous faire plaisir. Nous ne tardâmes pas à montrer notre ravissement, nous étions droits comme des I et durs comme du bois. Madame, satisfaite de notre présentation, nous souriait tendrement. Lorsque toutes eurent regagné leurs places devant les petits fours, Madame Clémence leur fit cette annonce :



Elle s’approcha d’Alex et le stimula avec sa cravache. Elle le guida directement vers une des deux rombières. Il s’en approcha doucement à quatre pattes, et enfouit directement son visage sous la jupe de la mégère ; il devait avoir l’habitude de ces présentations.


Mon tour vint ensuite, la badine me guida de la même manière vers la deuxième dame mûre. Sans en avoir vraiment envie, j’imitai mon camarade par crainte du courroux de Madame. Ce ne fut pas une partie de plaisir, d’autant que la vue que j’avais ne m’inspirait guère. Néanmoins, dans la perspective de m’occuper ensuite des autres convives, je m’acquittai de ma tâche du mieux et du plus rapidement que je pus. Elle devait être en manque, car elle ne tarda pas à se trémousser de plaisir sur son coussin. Après l’avoir honorée, en m’écartant, je jetai un coup d’œil à mon compagnon d’infortune, et eus une pensée d’encouragement pour lui. Malgré son ardeur, la dame restait de marbre à ses injonctions. Madame Clémence me fit reprendre ma place et ma position sur la stèle en attendant que mon condisciple termine. Heureusement pour lui, il parvint à ses fins quelques minutes plus tard.


Après leur bonne fortune, les deux anciennes firent part de leur désir de partir. Elles demandèrent à Madame qu’elle leur prête quelquefois ses statues magiques. Madame objecta qu’elle était désolée, mais qu’elle devait les rendre rapidement à leur propriétaire. Heureusement pour nous !


Lorsqu’elles furent parties, l’ambiance devint nettement plus conviviales entres les quatre compagnes encore présentes. Je pense que Madame, par politesse, n’avait pas eu d’autre choix que d’inviter les deux autres femmes désormais absentes. Elle proposa que tout le monde se dirige vers sa chambre. Bien évidemment, notre déplacement se fit comme les précédents, sous la directive de la cravache et à quatre pattes. Les invitées de Madame ne semblaient pas choquées par cette situation.


Une fois sur place, Madame nous invita à les dévêtir avec tendresse. Pour une fois, l’ordre donné ne nous déplaisait pas. Alex et moi prîmes un plaisir particulier à obéir, en nous occupant une à une aux participantes, et en terminant par Madame. À mesure qu’elles étaient dévêtues, elles allaient s’allonger lascivement sur le lit. Deux hommes pour quatre femmes, il allait falloir être à la hauteur. Madame, malgré ses bonnes dispositions présentes, ne se priverait pas d’utiliser son stick pour nous stimuler.



Très simple, c’est elle qui le disait, nous n’étions pas des surhommes ! Mais nous étions fermement décidés à les contenter. Placées comme elles l’étaient et vu notre position, l’évidence s’imposait à nous. Je m’occuperais de Madame et de sa plus jeune voisine de gauche, et Alex se consacrerait aux deux autres grâces. La solution la plus simple était d’en câliner une de notre bouche, et de laisser nos doigts courir sur tout le corps de la seconde, et d’inverser régulièrement.


En approchant ma bouche de l’intimité de Madame, j’avais un petit avantage : l’ayant pratiquée le matin même, je connaissais déjà un peu son point faible. Il fallait que je me concentre sur mon autre partenaire, qui était tout aussi désirable que Madame. Cette dernière voulait absolument me voir puni, car chaque fois que je lutinais son amie, elle alternait les caresses sur le corps de celle-ci et sur mon sexe, pour essayer de me faire craquer. Ma jeune partenaire commençait à se libérer sous nos doubles caresses, elle se trémoussait nerveusement. Je jetai un œil à Alex, car il fallait absolument que nous aboutissions de concert.


Je ne fus pas inquiet en le voyant se débrouiller très bien avec ses deux femmes, qui se caressaient mutuellement elles aussi. Mais par contre, il était un peu en avance sur moi, il fallait donc que j’accélère le rythme. Je mis les bouchées doubles pour rattraper mon retard. Quelques secondes plus tard, mes partenaires prirent leur plaisir simultanément. Avant que je n’aie eu le temps de me tourner vers Alex, j’entendis les deux autres femmes crier leur jouissance : nous avions gagné. Le temps que les quatre dames reprennent leurs esprits, Madame proposa à ses compagnes :



Les trois autres furent unanimement d’accord pour que l’on ait également du plaisir. Madame, dans son rôle de Maîtresse autoritaire, indiqua que si nous avions pu les voir se câliner entre elles, elles seraient très heureuses de nous voir faire de même.



Ce n’était pas la récompense à laquelle j’aspirais, mais j’étais trop gorgé de sève pour attendre plus longtemps. Madame Clémence intima l’ordre à Alex de se mettre sur le dos et moi au-dessus. À peine dans la bouche de mon compère, je me libérai à grand trait, les caresses de Madame avaient été très efficaces. Par contre, Alex eut un peu plus de difficulté, c’est donc sous l’encouragement des quatre filles que je prolongeai mes mouvements de tête. Il finit par se libérer, sous de quadruples applaudissements. Madame proposa d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter notre réussite, champagne auquel nous n’avions pas droit naturellement.


Après un petit moment de relâche, Madame Clémence proposa de remettre ça, mais sans contrainte cette fois : nous devions uniquement leur procurer le plus de plaisir possible. Nos bouches et nos mains furent à nouveau sollicitées ; à priori nos attributs masculins ne les intéressaient pas. C’est tout de même avec un peu de mal que nous avons contenté une seconde fois nos compagnes d’un jour. Une fois la maisonnée devenue plus calme, ses invitées parties, Madame Clémence reprit les rênes des opérations.



Décidément, notre prestation lui avait fait forte impression pour qu’elle nous invite à sa table. La douche fut prise comme le matin, froide et les deux ensemble. Arrivés à la salle à manger, notre surprise fut grande de voir trois couverts préparés par Jack, mais un seul siège seulement.



Quoi que nous fassions, elle ne changerait pas. Nous dûmes dîner debout, nos attributs bien au-dessus de la table. Le repas fut succulent et réparateur après le seul petit en-cas que nous avions pris à midi. À la fin, Madame nous congédia en nous remettant aux mains de Jack. Il nous guida vers la chambre où j’avais passé la nuit précédente. Je me demandais comment nous ferions, Alex et moi dans ce petit lit. Jack nous annonça sans détour :



Le diamètre encore plus gros que le précédent me fit une douleur assez vive, Alex ne semblait pas en souffrir. Jack fit ensuite allonger Alex sur le dos en lui entravant la main gauche et le pied droit. Je dus me coucher sur lui, sur le ventre, avec les mêmes membres prisonniers. Nous nous retrouvions donc face à face sans aucun moyen d’être bien installés : une drôle de nuit s’annonçait.