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n° 12058Fiche technique26025 caractères26025
Temps de lecture estimé : 15 mn
09/12/07
Résumé:  Un week-end très coquin à deux.
Critères:  fh
Auteur : Druunachris  (Homme mûr souhaitant partager sa passion de l'érotisme.)
Week-end Coquin




Acte I :



Vendredi, je suis parti travailler, la maison était endormie, ma compagne ne travaillait pas ce jour-là. J’avais une journée chargée et je souhaitais bien la commencer en lui envoyant un petit message pour la rassurer, car nous avions eu quelques mots la veille au soir ! Je pris donc le temps avant mes réunions de lui écrire :



Ma journée fut une succession de réunions et en fin de journée, je pris le temps de vérifier si j’avais un accusé de réception. Elle avait bien reçu mon message, mais je n’avais aucune réponse. Je suis donc rentré à la maison.


Son sourire radieux lorsque j’ouvris la porte confirma que notre petite brouille était oubliée et qu’elle avait bien reçu mon message. Elle me proposa un petit apéritif que nous avons pris tranquillement. Elle s’occupa des enfants pendant que je préparais le dîner. Le début de soirée fût calme et chaleureux, un petit bisou par ci, une main baladeuse par là !


Les enfants couchés, le calme s’installa dans la maison. Elle regretta avec un sourire coquin que la cheminée ne soit pas allumée ! C’est vrai que nous n’avions jamais pris le temps de réaliser ce fantasme de faire l’amour devant la chaleur d’un bon feu de cheminée ! Vu l’heure tardive, nous avons convenu que c’était un peu tard. Nous nous sommes installés dans le salon pour prendre un café et discuter. Elle s’est approchée de moi et nous nous sommes enlacés pour échanger quelques baisers fougueux. Au bout de quelques instants, elle m’a demandé si nous ne serions pas mieux dans notre chambre, plus silencieuse ! Je l’ai précédée, après être passé à la salle de bains, je me suis couché ne conservant que mon boxer noir très transparent. Comme chaque soir, je me suis couché à sa place pour la réchauffer et je n’ai conservé que la lumière de son chevet.


Après plusieurs minutes, elle m’a rejoint habillée de son peignoir, elle m’a souri et s’est tournée en laissant tomber son peignoir. Vu de dos et avec la lumière tamisée le spectacle était magnifique, elle portait une nuisette rouge ajourée sur les côtés, très courte couvrant tout juste ses fesses dont la naissance apparaissait en haut des cuisses. Elle se tourna, la transparence du vêtement laissait deviner sa poitrine et ne cachait presque rien de son sexe épilé.


Elle se glissa dans le lit chaud et se lova contre moi. Ses lèvres rejoignirent rapidement les miennes et nos langues se trouvèrent pour entamer un balai sensuel et érotique. Mes mains frôlèrent le tissu dont le toucher activa mon excitation. Elles glissèrent promptement sous la nuisette pour caresser ce corps qui n’avait qu’une envie : jouir. Je massais délicatement ses seins généreux m’appliquant particulièrement sur ses tétons qui durcirent sous l’effet des légers pincements. Son corps se cambra, son sexe se frottait contre le mien enserré dans le tissu qui devenait trop étroit. Nos bouches se séparèrent, la mienne glissa lentement prodiguant des baisers doux jusqu’à atteindre un téton dressé comme un mini sexe. Il fut immédiatement englouti dans ma bouche et ma langue s’ingénia à le faire durcir davantage, quelques mordillements activèrent le résultat provoquant quelques gémissements de plaisir.


Tout en continuant, je glissais ma main gauche le long de son ventre, effleurant la toison épilée de son pubis pour atteindre son abricot lisse et tout humide de ces préliminaires. Un doigt, puis deux s’immiscèrent entre ses lèvres, l’effet fut rapide et son corps cambré appelait désespérément davantage de plaisir. Je saisis son jouet favori ; un petit gode rigide dont les vibrations ont un effet particulier sur elle. Avant de l’activer, je le présentai devant sa bouche. Malgré ses yeux fermés, elle reconnut sans difficulté l’objet, le sourire qu’elle m’adressa en ouvrant la bouche fut explicite. Elle avala l’objet comme elle le fait de mon sexe. Sa langue s’évertua de lui prodiguer les mêmes attentions qu’à la verge de chair qui d’habitude sollicite ses caresses buccales.


Je retirais le gode pour le glisser lentement vers l’antre de ses plaisirs tout en activant les vibrations. Je le fis pénétrer prestement, elle se cambra pour le recevoir et resserra ses cuisses pour l’enfermer et le maintenir. Sa tête bascula en arrière et son visage affichait le plaisir reçu et les premiers effets de la jouissance qui montait en elle. Ma bouche rejoignit les commissures de son abricot et ma langue fouilla son humidité pour trouver son clitoris. Ses mains cherchaient mon sexe au travers de mon boxer. Je l’écartais pour le libérer, elle se mit à le caresser d’une main, l’autre attrapant, tour à tour, chacun de mes tétons pour les pincer délicatement. L’action conjointe des vibrations et de ma langue activa ses sens, son corps était cambré, ses yeux hagards et ses caresses sur mon sexe et ma poitrine de plus en plus saccadées. Le plaisir montait en elle, c’est le moment que je choisis pour cesser mes caresses buccales et retirer tout doucement le jouet, le faisant glisser entre ses lèvres pour l’appliquer sur son clitoris. Les râles qui surgirent de sa bouche indiquaient l’intensité de l’effet produit. Leur fréquence augmenta, leur intensité aussi. J’enfermais le gode à l’intérieur de ses lèvres humides, le tournant d’un côté vers l’autre, les soubresauts s’accélérèrent son corps se cambra une ultime fois, elle jouit dans un râle intense !!


Après quelques secondes, elle ouvrit les yeux son sourire béat exprimait toute l’intensité de sa jouissance. Elle guida ma main pour retirer son petit jouet et l’arrêta. Elle m’embrassa langoureusement, elle se tourna sur le côté prenant soin de coller son petit cul tout chaud sur mon sexe bandé. Elle mit ses bras au-dessus de sa tête de façon que je puisse les saisir avec ma main droite, ma main gauche s’affairant sur ses seins et prodiguant à ses tétons un massage de plus en plus ferme. Je glissais mon sexe entre ses cuisses sans le faire pénétrer, mon gland était appuyé contre ses lèvres, inondées du plaisir de sa jouissance, encore toute chaude. De la main droite je tirais sur ses bras fermement provoquant la cambrure de son dos, je la pénétrais d’un coup provoquant un spasme de plaisir. Ma main gauche pinçait ses tétons bandés pendant que mon sexe pénétrait de plus en plus profond en elle. Les allées et venues rapides et profondes la maintenaient cambrée comme un arc. Elle aime se faire défoncer ainsi et sa jouissance est d’autant plus intense que la pénétration est profonde et violente. Je continuais ainsi quelques instants avant de lui susurrer des mots crus dont l’effet fut immédiat elle se mit à en réclamer d’autres. Dans ces moments, ses désirs sont des ordres. Elle fut servie par des paroles plus vulgaires qu’elle répétait pour mieux les déguster. Sa jouissance montait et elle jouit un peu avant moi dans un râle bestial qui s’intensifia du mien au moment où d’un dernier coup de boutoir je m’enfonçais en elle pour libérer mon sexe !


Il nous fallut quelques instants pour récupérer. Nous étions sur le dos, collés l’un contre l’autre. Elle se tourna et m’embrassa, elle me susurra des mots d’amour, avant de se lever pour aller dans la salle de bains. Avant de me lever, j’admirais son corps nu qui passa furtivement dans la pénombre de notre chambre.



Acte II :



Chaque samedi, j’ai l’habitude de me lever tôt pour accompagner les enfants à l’école et ensuite aller faire quelques courses, permettant à ma compagne de se reposer et de prendre du temps pour elle. Ce matin-là, je suis parti la tête remplie d’images de notre soirée très chaude. Je voyais son corps onduler sous les caresses, je sentais la texture de sa peau souple et soyeuse, son parfum m’enivrait toujours et son regard coquin et amoureux m’accompagna tout au long de mon absence de la maison.


En faisant mes courses, je me suis souvenu de son regret sur l’absence de feu dans la cheminée. Je sais depuis longtemps que c’est un des fantasmes que nous partageons et notre nouvelle maison contient une cheminée qui ouvre la possibilité de le réaliser. C’est en entrant dans un magasin de bricolage que j’ai vu la promotion sur le bois de chauffage, je n’ai pas réfléchi beaucoup et j’en ai acheté.


De retour à la maison, je l’ai trouvée installée dans la cuisine en train de prendre son petit déjeuner. Elle m’a souri, elle était radieuse et nous nous sommes embrassés.


La journée s’est passée entre le bricolage, les activités des enfants et nos occupations habituelles du week-end. Vers 17h, j’ai nettoyé le foyer de la cheminée et j’ai allumé un bon feu très apprécié avec les premiers frimas de l’hiver. La flambée était belle et les enfants contents de voir les flammes danser au-dessus des braises. Nous avons préparé un petit apéritif que nous avons pris devant le feu profitant du spectacle et de sa chaleur. À 19h, ma compagne s’est absentée pour accompagner l’un des enfants qui était invité à dormir par une amie. Il nous restait que la petite dernière qui déjà montrait des signes de fatigue après cette longue journée commencée tôt à l’école. En son absence, j’ai commencé à imaginer la suite de la soirée : la cheminée, le feu, une couette sur le sol, une lumière tamisée, quelques petits jouets pour pimenter nos ébats…


À son retour, j’avais mis la table et préparé un dîner simple que nous avons pris devant la cheminée. La chaleur de la pièce était très agréable et propice à un scénario coquin. Après avoir fini de dîner et rangé la cuisine, elle s’est absentée pour un motif futile. J’en ai profité pour aller dans la salle de bains. Je l’entendais fouiller dans ses affaires et compris rapidement que c’était du côté lingerie qu’elle cherchait quelque chose. Elle me rejoint au salon et me proposa de regarder un DVD le temps que la petite s’endorme (s’endorme profondément !). Pendant sa pause cigarette, je me suis glissé dans notre chambre : Elle avait préparé une couette et de la lingerie, j’ai sorti quelques jouets dont celui de la veille que j’ai mis en évidence sur la couette, les autres étant cachés.


Vers 22h, le film terminé, j’ai commencé à ranger le salon, elle m’a attrapé par le coup et m’a embrassé langoureusement.



Elle me sourit. Je remis du bois pour activer le feu qui se réactiva très rapidement



Sachant ce qu’elle devait faire je lui indiquai que je devais aller à la salle de bains. Je m’y rendis et attendis quelques instants en épiant tous les bruits pour tenter de deviner son scénario. Quand tout fut calme, je sortis pour la rejoindre. Au passage, je récupérai dans notre chambre les jouets cachés, constatant que la couette avait disparu, mais que la lingerie y était toujours. En avançant dans le couloir, je compris au reflet des flammes que le feu s’était ravivé. En entrant dans le salon, je découvris le fabuleux décor dans lequel nous allions terminer la soirée. La flambée était magnifique, elle l’avait complétée d’une lumière tamisée. Devant la cheminée elle avait déployé la couette sur laquelle elle était allongée. Elle portait une robe très sexy, noire, assez courte, ajourée derrière jusqu’à la naissance de ses fesses et lacée devant de sa poitrine à son nombril. Sa tenue était complétée de bas Dim Up et d’un string noir. Son petit jouet, à peine caché complétait ce décor coquin. Je me déshabillais en dissimulant les autres jouets qu’elle n’avait pas vus. Je conservais un boxer noir en lycra très doux au toucher et je m’allongeais à côté d’elle.


Appuyés chacun sur un coude, nous nous faisions face, elle tournant le dos aux flammes dont la chaleur douce contribuait à créer une ambiance d’un érotisme envahissant. Sans échanger un mot, nos lèvres se sont rejointes pour échanger une série de baisers profonds et fougueux. Mes mains se promenaient sur ses vêtements, la touchant furtivement partout, augmentant l’excitation des baisers. Je l’allongeais sur son dos et détachais le lacet que j’entrepris de desserrer rapidement. Ses tétons pointaient au travers du tissu léger et appelaient désespérément un traitement que j’entrepris avec ma bouche aussitôt après libéré ses deux globes magnifiques. Ma langue attisa le feu qui avait fait bander ses tétons au point de les rendre durs comme un membre bandé. Je passais de l’un à l’autre alors que ma main gauche caressait sa peau entre ses cuisses là où elle est la plus fine, remontant jusqu’à effleurer le tissu de son string sans s’y attarder. Il ne fallut pas longtemps pour que ce contact furtif prouve l’effet des préliminaires, le tissu s’humidifia rapidement, c’est le moment qu’elle choisit pour mettre ses bras au-dessus de sa tête, une main tenant l’autre, comme s’ils étaient attachés par une corde imaginaire. J’étais maintenant à genoux, à côté de ce corps magnifique qui ondulait sous les caresses frustrantes de mes mains. L’une d’elles attrapa le gode qu’elle avait à peine dissimulé et le présenta devant sa bouche qu’elle ouvrit pour accueillir l’objet qu’elle s’évertua de traiter très délicatement avec sa langue. Une fois bien humidifié, je le retirais, je l’activais et commençais à le promener sur ses seins. J’ouvris largement sa robe pour que sa poitrine soit totalement libérée. Le voyage du gode passa par son cou, ses tétons, où il s’attarda un peu avant de descendre sur son nombril, de passer entre ses cuisses avant d’atteindre sa destination finale : son abricot toujours enfermé dans un string dont l’humidité avait considérablement augmenté et était devenu très visible. Je le promenais sur le tissu au contact de son sexe provoquant des gémissements et des ondulations mêlés de plaisir et de frustration. Elle était belle, les yeux fermés, le corps tendu dans l’attente du plaisir inassouvi et toujours enchaînée par une corde imaginaire qui limitait ses mouvements.


Je soulevais délicatement le haut de son string et glissais le petit jouet vibrant entre ses lèvres luisantes du plaisir déjà reçu. Elle gémit de plaisir, j’insistais un peu à la commissure de ses lèvres avant de glisser l’objet entre ses lèvres à la recherche de son petit bouton d’amour. Je perçus le moment où le gode le toucha, car son corps vibra violemment. Je me mis donc à jouer entre cet endroit et son antre béant tout en retirant le string devenu inutile. Elle écarta les jambes pour chasser la pièce de tissu, mais les referma fermement une fois libre de toute contrainte. Le gode se promena plus rapidement plus profondément, son corps se raidit, se cambra, sa tête se pencha en arrière, son souffle devint de plus en plus rapide jusqu’à libérer un cri de jouissance qui traversa la pièce. Ma main libre saisit les siennes pour les maintenir plaquées et de l’autre je continuais les allées et venues du jouet pour prolonger le plaisir au-delà de sa jouissance. Elle ouvrit les yeux qui m’implorèrent de cesser mes mouvements, ce que je fis en lâchant ses mains et l’embrassant tendrement.


Il lui fallut plusieurs minutes pour récupérer. Nous étions assis sans rien dire, savourant l’un et l’autre ce moment intense de plaisir. En un instant elle décida. Elle se mit à genoux et délicatement me poussa pour que je m’allonge. Elle retira mon boxer avec beaucoup de douceur, caressa mon sexe pour le faire durcir. Une fois bandé, elle me chevaucha tenant d’une main mon braquemart bien bandé et le présentant contre son abricot toujours humide de sa jouissance récente. Elle s’enfonça d’un coup provoquant un spasme de mon corps. Elle sourit et me dit :



Elle était magnifique à califourchon sur moi, ses seins sortis de sa robe, son visage radieux éclairé par les flammes toujours vives de la cheminée. Ses mains se posèrent sur ma poitrine et elle s’activa pour faire pénétrer mon sexe au profond d’elle. Mes mains avaient saisi ses fesses chaudes de la chaleur mêlée du feu et de nos ébats. Par instant elle fermait les yeux et ses dents mordillaient ses lèvres montrant le plaisir éprouvé à dominer le mâle et ainsi inverser le déroulement habituel de nos soirées coquines. Elle accéléra pour mieux sentir le membre en elle et le faire durcir encore un peu plus. Au bout de quelques instants, elle ralentit, ses yeux s’ouvrirent et elle me demanda :



Elle se souleva libérant mon sexe, elle se mit à quatre pattes, parallèle à la cheminée. Je me relevais et passais derrière elle. La vue était magnifique : ses deux fesses bien rondes, sa raie luisante du plaisir reçu, sa petite rondelle bien dessinée et son sexe béant de la pénétration récente. Elle se cambra davantage en se mettant sur ses coudes faisant remonter son si joli petit cul. Tout en profitant du spectacle, je rapprochais les quelques jouets que j’avais préparés et mon choix fut vite fait. Je saisis le plus gros des godes pour lequel elle avait une appréciation mitigée qui était fonction de son état d’excitation. Elle remua les fesses pour marquer son impatience. Je présentais l’énorme gland contre ses lèvres humides, sa fraîcheur la fit frissonner, son corps s’avança pour exprimer son refus. J’insistais un peu faisant tourner le gode pour l’humidifier au contact de la cyprine qui coulait de son sexe. En quelques secondes, l’effet escompté se produisit, elle recula ses fesses, se cambra davantage en posant sa tête sur le sol en signe d’acceptation de l’intromission de l’énorme membre. Délicatement j’enfonçais le gland qui, par l’effet du lubrifiant naturel, disparut dans son antre. Elle se cambra au maximum et le sexe de latex la pénétra pour remplir le sien. Elle ondulait de haut en bas pour savourer le plaisir. Je commençais les va-et-vient du phallus surdimensionné provoquant des réactions de plus en plus fortes de son corps. Chaque fois je pénétrais davantage, chaque fois j’accélérais, chaque fois son corps réagissait de plus en plus violemment. Je saisis le petit gode resté près d’elle, je l’activais, le gland brillait encore de sa mouille. Je le posais sur sa rondelle sans le faire pénétrer. L’effet des vibrations et une dernière pénétration de l’énorme pénis eurent raison de sa résistance, elle s’écroula dans un râle de plaisir intense. Je retirai délicatement le gode qui sortit sans difficulté tant il était humide de son plaisir.


Je ne lui laissais pas le temps de récupérer et en tapotant ses fesses lui fit comprendre de se remettre en position. Toujours hagarde, il lui fallut quelques secondes pour s’exécuter. Mon sexe était bandé à l’extrême et mon excitation à son paroxysme. Accroupi derrière elle, je la pénétrais d’un coup provoquant un cri mêlé de surprise et de plaisir. Son vagin se resserra sur mon membre s’humidifia rapidement. J’étais dans un état second et me trouvais maintenant à califourchon, assis sur le haut de ses fesses pour une pénétration maximale. Elle s’effondra un peu et je me trouvais à la verticale de son sexe. J’avais entamé des allées et venues dont je maîtrisais difficilement le rythme et la violence. Ses râles de plaisirs décuplaient mon excitation et il ne fallut pas très longtemps pour que je jouisse en elle en même temps qu’un cri rauque ponctua une nouvelle jouissance pour elle. Nos deux corps s’écroulèrent l’un sur l’autre et il nous fallut quelques minutes pour récupérer de ce moment magnifique. Nous sommes restés plusieurs minutes blottis nus l’un contre l’autre caressés par la douce chaleur du feu qui comme nous avait consumé toute son énergie et doucement s’endormait dans la cheminée.



Acte III :



Les enfants sont ingrats ! Après cette soirée très sensuelle, nous espérions la prolonger par une grasse matinée d’autant plus facile que nous étions invités à déjeuner le midi. Non ! Ils en avaient décidé autrement et je dus me résoudre à me lever tôt !


La journée fut agréable malgré la grisaille et la pluie d’automne qui ne cessa de la journée. Nous passâmes un après-midi agréable à refaire le monde avec nos amis. La journée s’écoula jusqu’à son terme et notre retour à la maison. Plusieurs fois nous avons échangé des regards complices, des caresses furtives, emplis des pensées de nos deux soirées très sensuelles et très mémorables.


La soirée se passa à préparer la semaine : les affaires des enfants, le point sur nos rendez-vous personnels et professionnels, sur nos déjeuners communs ou séparés.


C’est vers 22h30 que je lui annonçais que j’allais me coucher. Elle me regarda, me sourit et me dit qu’elle me rejoignait rapidement. Après un passage à la salle de bains, je préparais mes vêtements pour le lendemain, j’allumais la lampe de son chevet, je me déshabillais complètement et me glissais dans notre lit à sa place pour réchauffer les draps frais. Je fermais les yeux et visionnais quelques images de nos deux soirées. L’effet sur mon sexe fut immédiat et rapidement je bandais fermement en revoyant son corps onduler sous les pénétrations diverses qu’elle avait subies.


Elle arriva rapidement, mettant un terme à mon flash-back, mais pas à mon érection. Elle était nue, elle se glissa dans le lit où j’avais libéré sa place et éteignit la lumière. Couchée sur le côté en me tournant le dos, elle recula ses fesses à la recherche de mon corps. J’étais derrière elle dans la même position et il ne fallut qu’un très court instant pour que ses fesses rencontrent mon membre en érection. Un petit gémissement s’échappa de ses lèvres et ses fesses continuèrent à se frotter contre ma verge en rut. Je me collais contre son dos brûlant, essayant de fondre mon corps en elle pour ne faire qu’un.


Elle continua d’onduler jusqu’à je me recule un peu pour saisir mon sexe dur comme l’ébène et le présenter contre son abricot. L’humidité du contact me fit comprendre tout l’effet rapide de nos préliminaires. Je fis pénétrer juste le gland de mon sexe et commençais à aller et venir très doucement, très lentement. Mes bras l’enlacèrent complètement l’enfermant contre moi. Je la serrai un peu supprimant toute possibilité de bouger. Je sentais sur mes avant-bras son souffle chaud.


J’enfonçais mon sexe au plus profond d’elle sans difficulté tellement elle était mouillée. J’enserrais ses jambes dans les miennes et remontais légèrement mon bassin pour la pénétrer encore plus profond. Nos mouvements se trouvaient limités par la contrainte de nos deux corps enlacés et pourtant l’effet des faibles mouvements que nous pouvions réaliser était d’une intensité surprenante. Pendant un long moment, seuls nos deux bassins ondulèrent, la chaleur de nos deux corps et notre imaginaire firent le reste. Le plaisir monta inéluctablement, progressivement, lentement jusqu’à cet instant magique où nous perdîmes l’un et l’autre le contrôle de nos corps. Les ondulations de nos bassins devinrent de plus en plus amples. Mon sexe ne quitta pas sa pénétration profonde et pourtant je sentis mon gland s’enflammer du désir de jouir. Nos mouvements augmentèrent, l’étreinte se desserra progressivement face à l’amplitude de nos mouvements. Mes mains lâchèrent les siennes pour saisir ses hanches, je me redressais légèrement et, avec une frénésie qui me surprit, j’entrepris de la défoncer par des mouvements d’une intensité rare. Ses mains attrapèrent mes fesses par l’arrière, ses ongles se plantèrent dans ma peau m’invitant à accélérer et à pénétrer plus profond en elle. Il ne fallut pas longtemps pour que j’explose en elle et que nous partagions une jouissance aussi bruyante qu’intense.


Il nous a fallu plusieurs minutes pour récupérer de cet orgasme d’une rare violence. Nous n’avons échangé aucun mot, ils auraient été superflus. Mais nos regards en disaient long sur l’intensité du moment partagé. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Quand le réveil sonna le début de la semaine, nos corps et nos esprits restaient eux embrumés du plaisir partagé au cours de ce week-end particulièrement sensuel et savoureux.


Fin