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n° 12065Fiche technique20080 caractères20080
Temps de lecture estimé : 12 mn
10/12/07
Résumé:  Si je vous dis que c'était un fantasme de trop, vous pouvez me croire.
Critères:  fhh cocus alliance cunnilingu pénétratio fsodo -couple+h -cocucont
Auteur : Le jeune homme vert      
Un fantasme de trop

Tout avait commencé par une banale discussion avec mon beau-frère. Paul était venu nous rejoindre un vendredi soir de septembre, en moto, en Dordogne où je vivais avec Sarah. Depuis l’Alsace, c’était une belle balade et le temps superbe de l’été indien avait dû rendre le trajet encore plus somptueux.


C’était la première fois que Paul débarquait ainsi à l’improviste, car s’il était déjà venu à plusieurs reprises, c’était toujours en voiture et en compagnie de Laure son épouse. Mais je l’avais accueilli avec plaisir, car c’était un invité charmant et il avait toujours une réserve inépuisable d’excellentes histoires pour meubler les soirées.


Paul était entré dans notre vie en épousant Laure, la sœur cadette de Sarah. Le contraste entre les deux sœurs était étonnant. À trente-huit ans, Sarah avait une superbe silhouette, pleine de courbes et de reliefs. Ses longs cheveux bruns, ses seins lourds et ses yeux superbes m’avaient tout de suite foudroyés quand je l’avais rencontrée quinze ans plus tôt. Pourtant elle était très introvertie et sa réserve naturelle ne l’ouvrait pas aux autres. Nous avions donc peu d’amis, et la venue de Paul était l’occasion de bousculer notre quotidien.


Sa sœur Laure était beaucoup plus jeune, elle n’avait que trente ans, et faisait vingt centimètres de moins. Elle était aussi complètement extravertie, et ses petits seins pointus, ses jolies boucles blondes et ses yeux bleus avaient longtemps fait des ravages parmi les Alsaciens. Et j’avoue que moi-même j’avais fantasmé à de nombreuses reprises sur ces petits seins, libres sous les chemisiers transparents, et sur le duvet blond de son sexe, à peine caché par les minuscules maillots de bain que Laure portait l’été. Jusqu’à ce qu’elle épouse Paul, trente ans comme elle aujourd’hui, mais une stature de bûcheron et solide comme le roc dans lequel il avait dû être bâti.


Sarah était absente quand Paul est arrivé. Elle était partie courir un peu pour entretenir sa ligne. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour prendre un verre en attendant son retour. Et, sans plus tarder, Paul m’a annoncé la raison de sa venue : Laure et lui se séparaient, et il avait besoin d’un peu de temps et de distance pour faire le point. Je fus totalement surpris par cette décision que je n’avais absolument pas vu venir. Petit à petit, Paul me fit découvrir la face cachée de son mariage avec Laure. D’abord de façon un peu détournée. Puis de plus en plus crûment. Et c’est là que tout dérapa.


À chaque fois qu’il me dévoilait un pan de son intimité, il me demandait comment cela se passait pour nous. Et si je découvrais avec stupeur que Laure, malgré son exubérance apparente, n’était pas portée sur le sexe, je lui ouvrais en retour les portes de notre vie sexuelle, beaucoup plus riche. En même temps que je prenais connaissance des formes de Laure, je lui faisais découvrir les seins lourds de Sarah, sa toison brune toujours soigneusement épilée, ses fesses charnues. Si j’appris que Laure refusait catégoriquement de le sucer ou de se faire enculer, il n’ignora bientôt plus rien des cris que poussait Sarah pendant le plaisir, de ses talents de suceuse et de sa croupe accueillante quand je la sodomisais.


La conversation était de plus en plus chaude et j’avoue que la réaction dans mon pantalon trahissait mon excitation. C’était vraiment la première fois que nous avions une conversation de ce genre, et Paul commençait à douter de mes propos tant le contraste entre la froideur apparente de mon épouse et l’abandon de son comportement au lit lui paraissait incroyable. Il me demanda comment Sarah, qui lui avait toujours paru si distante, même avec lui, pouvait être aussi libérée dans un lit quand Laure, plus jeune et plus démonstrative, était en fait un vrai glaçon. L’excitation avait dû troubler mon jugement.


Je me dis que le moment était venu de réaliser un fantasme que je nourrissais depuis longtemps et que je n’avais jamais osé proposer à Sarah : la partager avec un autre. Cela me semblait un excellent moyen pour prouver à Paul que je ne mentais pas et pour lui montrer que mon épouse adorait faire l’amour et n’avait aucun tabou. Je lui dis qu’il pourrait peut-être en juger par lui-même. Il me restait cependant à trouver comment parvenir à mes fins. Cela se passa pourtant de la façon la plus simple qui soit.


Nous avons passé un premier week-end tranquille. Paul avait évidemment le moral à zéro et nous avons à tour de rôle essayé de lui donner des pensées moins moroses. Je notais cependant qu’il regardait désormais Sarah différemment, comme s’il la découvrait soudain avec des yeux nouveaux. Apparemment, mes propos n’étaient pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Son regard s’attardait plus longuement sur la poitrine opulente, traînait sur les fesses rebondies. La chaleur de cette fin septembre était encore très lourde dans le Périgord et Sarah portait des tenues légères qui dévoilaient ses formes généreuses.


Quand nous nous sommes retrouvés dans l’intimité de notre chambre, la première nuit, nous avons surtout parlé de ce divorce annoncé et qui nous désolait tous deux. Mais la seconde nuit, je lui ai demandé si elle avait constaté comme moi les regards intéressés de son beau-frère. Elle m’avoua que oui mais je ne pus lui faire dire ce qu’elle avait ressenti. Quand ma main glissa sur son sexe, je le découvris trempé et je me suis enfoncé en elle brutalement. Je l’ai chevauché longuement, la faisant jouir à plusieurs reprises avant de me répandre en elle. J’avais ma réponse. Et Paul avait pu entendre les cris de son plaisir qu’elle n’avait même pas cherché à masquer.


Le dimanche matin, elle a pris son petit déjeuner comme d’habitude, dans une nuisette de soie qui épousait parfaitement ses gros seins lourds et ses fesses rebondies. Et quand elle s’est penchée pour me servir le café, j’ai constaté qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, comme les autres dimanches matins. J’ai cru que Paul allait renverser sa tasse quand il a pu contempler à son tour les deux gros fruits qui pendaient devant lui. En fait, Sarah se comportait de façon tout à fait habituelle. C’est simplement moi qui, devant la détresse de mon beau-frère, redécouvrait mon propre bonheur.


Toute la semaine, elle s’est habillée simplement pour aller travailler mais je trouvais à nouveau que ses petites jupes et ses chemisiers la rendaient fort désirable. C’est seulement moi qui, avec le temps, ne lui prêtais plus l’attention que ses efforts méritaient. Et Paul, qui reprenait un peu du poil de la bête, ne se lassait plus de regarder tous les soirs les cuisses pleines et dénudées de Sarah. Tous les soirs, je lui ai fait l’amour et elle ne m’a jamais dit non.


Le vendredi soir, nous avons pris notre temps pour dîner sur la terrasse et profiter de la douceur de l’été qui s’achevait. Après un repas simple mais délicieux et bien arrosé, je leur proposai de mettre un DVD pour finir la soirée. Bien qu’il soit déjà 23 heures, tous deux acquiescèrent et, après avoir glissé la galette dans le lecteur, je me rassis rapidement à côté de Sarah tant je craignais sa réaction. Le film commençait très doucement mais il ne fallut quand même pas longtemps à mon épouse pour comprendre que j’avais mis un film érotique.


J’avais posé ma main dans la sienne et je la sentis se crisper quand la première fille commença à se déshabiller à l’écran. Nous regardions quelques fois ce genre de film et, malgré le caractère particulièrement limité des scénarios, les images suffisaient à donner un petit coup de fouet à notre libido. Sarah n’était donc pas opposée par principe à ces films, mais la présence de Paul sur sa droite la réfrigérait un peu.


Je pris tout mon temps, laissant les images agir sur son cerveau, pour qu’elle se détende progressivement. Et quand sa main fut enfin totalement relâchée, je l’abandonnais pour glisser la mienne sur sa cuisse. Le regard qu’elle me jeta disait clairement d’arrêter. Mais je restais à nouveau immobile quelques minutes pour qu’elle se détende à nouveau.


J’avais choisi avec beaucoup d’attention le film, très soft pour ne pas l’agacer, mais suffisamment suggestif pour que son imagination fonctionne. Et surtout avec un beau mec, car bien souvent mon épouse était déçue par les acteurs de ces films fait par des hommes pour d’autres hommes. Et la magie fonctionna, car elle se détendit à nouveau, lentement.


Je ne me précipitai pas mais entamai très doucement l’esquisse d’une caresse sur sa cuisse. J’avançai doucement, très attentif à ne pas aller trop loin en la brusquant et, progressivement, ma main glissa vers l’intérieur de sa jambe. Les images et ma caresse semblaient faire de l’effet à Sarah et j’en profitai, très prudemment, pour passer sous sa jupe. Puis, comme elle se laissait enfin faire, encore plus lentement, sous le voile fin de son string qui masquait à peine son sexe bien épilé.


Sa chatte était trempée et elle ne protesta même pas quand mon doigt la pénétra. Je n’en revenais pas moi-même, de l’endroit où j’étais parvenu. J’allais bientôt la branler discrètement mais devant un Paul qui n’avait rien perdu de mon avance discrète et qui n’ignorait pas où se trouver ma main. Mon désir était incroyable et je devais mobiliser toute mon énergie pour ne pas la prendre devant lui.


Sarah ne semblait pas s’apercevoir des coups d’œil de plus en plus fréquents que Paul jetait sur ses cuisses, de plus en plus dénudées par ma caresse. D’ailleurs, elle avait fermé les yeux pour profiter pleinement du désir que je faisais monter doucement dans ses reins. À sa respiration haletante, je voyais l’effet de mon doigt dans son sexe. Paul, lui, ne perdait plus une miette du spectacle que je lui offrais.


Je me penchai pour embrasser Sarah et, à ma grande surprise, elle ne me repoussa même pas mais se tourna vers moi pour faciliter mon baiser. Son désir était trop fort également. Je compris que j’avais gagné et que la présence de Paul n’était plus suffisante pour l’inhiber face à la violence de ses envies. Elle avait déjà décollé et quand j’empaumai doucement un sein, tout en l’embrassant, elle frissonna entre mes bras. Pour se crisper aussitôt. Paul avait profité de mon abandon de ses jambes pour y déposer doucement sa propre main. Dans mes bras, Sarah n’avait rien dit mais son corps tendu trahissait son inquiétude. Je continuai doucement à caresser son sein tout en l’embrassant et en la maintenant contre moi. Petit à petit, elle se laissa faire, les yeux fermés.


Paul s’enhardit lui aussi très lentement, pour ne pas perdre le bénéfice de ce qu’il avait déjà obtenu. Et progressivement sa main refit, millimètre après millimètre, le même chemin que la mienne le long de la cuisse de Sarah, pour finir sous sa jupe légère. Je me demandais s’il oserait aller jusqu’au bout, mais quand son doigt pénétra son ventre, Sarah laissa échapper une plainte entre nos bouches. Nous avions franchi tous les trois une frontière qui interdisait toute marche arrière.


Paul l’avait bien compris et empauma l’autre sein de mon épouse, tout en déboutonnant le chemisier qu’elle portait. Il était beaucoup plus adroit que moi pour ce genre d’exercice et quand mon épouse, tout en m’embrassant, se dégagea du fond du canapé pour l’aider dans sa tâche, il en profita pour dégrafer également son soutien-gorge et libérer les deux seins lourds qu’il retenait. Je fus le premier surpris quand mon épouse, quittant ma bouche, offrit ses lèvres à Paul pour un baiser passionné et sans retenue.


Paul la plaqua dans le fond du canapé avec sa bouche pendant que ses mains palpaient les gros seins de Sarah. Le spectacle était incroyablement érotique. C’était autre chose que ce qui passait à la télé et que plus personne ne regardait.


Quand Paul bascula la tête de mon épouse sur mes genoux, l’allongeant ainsi dans le canapé, je ne fus pas surpris de la voir soulever légèrement les reins pour aider Paul à faire glisser sa petite culotte le long de ses jambes. Depuis que la barrière initiale avait été franchie, je savais que ce dont j’avais rêvé pendant quinze ans allait enfin se réaliser.


Mon épouse était une perfectionniste et faisait tout avec passion, se donnant entièrement dans ce qu’elle faisait, que ce soit son travail, des activités de loisirs ou l’amour avec moi. Qu’elle participe pleinement à la séance était vraiment dans l’ordre des choses, maintenant qu’elle avait dépassé son blocage initial. Mais j’avoue que la voir offrir sa chatte aux regards de Paul me fila une trique d’enfer.


Quand Paul, après lui avoir entièrement retiré son string, se pencha pour admirer puis goûter le trésor qu’il convoitait, elle écarta les cuisses pour mieux laisser la langue pénétrer son intimité. Paul n’avait plus, lui non plus, la moindre réticence, et il dégrafa son jean pendant que Sarah feulait déjà sous ses caresses. Il ne prit pas le temps de se mettre nu et sortit simplement son sexe qu’il enfila d’un coup dans le ventre humide de mon épouse. La scène n’avait pas pris trente secondes et Paul était maintenant dans le sexe de Sarah. Les yeux clos, la tête posée sur mes genoux, elle gémissait doucement sous les coups de reins de Paul.


Moi qui en avais tant rêvé, je voyais enfin mon épouse faire l’amour avec un autre homme. Et je ne ressentais aucune trace de jalousie. J’étais simplement émerveillé de la voir, encore une fois, se donner totalement à ce qu’elle faisait. Ma queue tendait mon pantalon au point de me faire mal. Sarah commençait à jouir doucement mais sans retenue. Je voyais la queue de Paul, plus courte mais plus épaisse que la mienne, aller et venir dans la toison brune bien entretenue de Sarah. À chaque fois qu’il butait au fond de son vagin, il provoquait une contraction supplémentaire de tout son corps, qu’elle subissait les yeux clos, la bouche ouverte.


Puis les mains de Sarah se crispèrent sur mes genoux, son corps se tendit et elle jouit longuement en hurlant sa jouissance comme elle le faisait si bien avec moi. Son orgasme libéra la jouissance de Paul et je vis son sexe tressauter dans le ventre de Sarah. J’avais fantasmé un scénario similaire pendant des années et quelques minutes avaient suffi à le réaliser. Je me dégageais de la tête de Sarah, que je posais doucement sur le canapé, et sortis mon sexe de mon pantalon, de la même manière que Paul l’avait fait précédemment, sans me déshabiller plus.


Il venait de se relever pour s’essuyer et je pris sa place entre les jambes de ma femme. La sensation de pénétrer dans son vagin trempée par les sécrétions de Paul fut inouïe. C’était la première fois que je la prenais après quelqu’un et le sperme chaud tapissait encore ses parois. Je ne pus me retenir bien longtemps tant mon désir était immense et la sensation exceptionnelle. Mon propre sperme se mélangea rapidement à celui de Paul sans apporter le moindre plaisir nouveau à Sarah.


Un peu plus tard, je voulus discuter dans l’intimité de notre chambre du plaisir qu’elle avait pris et de mon fantasme réalisé, mais Sarah refusa toute discussion et se coucha sur le côté pour dormir. J’avoue que je fus particulièrement déçu par son attitude.


Le lendemain matin, nous avons pris, un peu gêné au début, le déjeuner tous ensemble. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour profiter du soleil qui chauffait déjà bien fort, il était quand même 10 heures. Sarah avait mis un petit ensemble d’intérieur léger, shorty et caraco saumon, sous lequel on pouvait deviner son corps nu. Quand elle me servit le café, je vis ses gros seins qui pendaient sous mon nez. Paul n’en perdit pas une miette quand ce fut son tour, et je soupçonnai fort Sarah de tout faire pour l’allumer. Quand elle se colla à nouveau contre lui pour lui présenter le sucre, Paul ne put s’empêcher de lui caresser les fesses. Je pensais que mon épouse s’écarterait enfin de lui mais elle subissait la caresse avec de plus en plus de plaisir.


Et Paul fit une chose inimaginable. Il baissa la culotte de mon épouse et, tout en lui caressant les fesses d’une main, il la doigta de l’autre. Le spectacle était d’une crudité incroyable. Ma femme debout à côté de Paul, la culotte baissée et le sexe à l’air, fermait les yeux et se concentrait sous la caresse de plus en plus précise de Paul. Il entrait trois doigts dans son ventre et les faisait aller dans un mouvement de va-et-vient qui déclencha la jouissance de Sarah. Je ne pus me retenir plus longtemps moi non plus devant ce spectacle et j’éjaculai au fond de mon short bien malgré moi.


Mais Paul était, lui, toujours bien raide. Il fit signe à mon épouse de venir sur lui. Sarah retira non seulement le shorty qui était en bas de ses jambes pour pouvoir l’enjamber mais elle ôta également son caraco pour lui offrir ses seins. Elle saisit le sexe bien dur et le guida dans son ventre. Paul l’accrocha par les hanches et la fit monter et descendre de plus en plus rapidement sur le pieu dressé pendant qu’il dégustait à pleine bouche ses seins lourds. Elle jouit une seconde fois.


Puis Paul la fit se retourner et la réembrocha, me présentant ma femme totalement offerte au sexe épais qui la besognait. Je voyais les doigts de Paul enfouis dans sa toison noire, sa vulve qui frappait régulièrement les couilles velues à chaque fois qu’elle s’empalait sur lui. Pendant qu’une main malaxait un sein, l’autre caressait le clitoris turgescent et Sarah jouit interminablement comme elle ne l’avait encore jamais fait avec moi. Quand Paul a enfin éjaculé au fond de son ventre, le sperme a coulé lentement le long des jambes de Sarah. Tout au fond de moi, j’ai senti que Sarah m’échappait.


Après le repas de midi, Paul a proposé à Sarah son aide pour essuyer la vaisselle et j’ai profité du soleil pour fermer les yeux. Je crois bien que je me suis endormi. Ce sont les cris du plaisir de Sarah qui m’ont sorti de la torpeur dans laquelle je m’engourdissais. Je les ai rejoints dans la cuisine. Le caraco de Sarah était roulé sur son ventre, libérant les deux seins qui oscillaient sous les coups de boutoir de Paul. Le shorty gisait par terre. Et, accrochée au bord de l’évier, Sarah hurlait maintenant sa jouissance. Paul, accroché à ses reins, la sodomisait lentement, régulièrement, longuement. Sa queue entrait et sortait des fesses rebondies de Sarah et j’ai eu l’impression que cela ne finirait jamais. À chaque coup de rein, j’avais l’impression qu’il s’enfonçait encore un peu plus au fond d’elle. Et qu’elle criait un peu plus fort à chaque fois.


Le soir, Sarah m’a laissé seul dans notre grand lit froid, sans même me demander mon avis. Dans la chambre d’à côté, les «han» de bûcheron de Paul à chaque fois qu’il baisait Sarah l’ont fait hurler de plaisir. Toute la nuit, elle lui a offert sa bouche, sa chatte et son cul.


Lundi soir, quand je suis rentré du travail, la maison était désertée. Paul s’est vite consolé de sa rupture et a vite remis sa vie sur de bons rails en emmenant mon épouse. Mais la mienne est brisée.