n° 12066 | Fiche technique | 6879 caractères | 6879Temps de lecture estimé : 5 mn | 11/12/07 |
Résumé: Un soir bien arrosé, ma jolie compagne asiatique se livre à des jeux dangereux avec mon meilleur ami... | ||||
Critères: couleurs asie extracon humilié(e) -extraconj | ||||
Auteur : DorianGray |
Concours : Les tutus |
Homme de 37 ans, je vis depuis une dizaine d’années avec Kim, une jolie asiatique de 30 ans. Nous avons un enfant, et une vie sexuelle normale sans être très épanouie. Ma jeune et jolie compagne plaît beaucoup aux hommes. Métissée franco-vietnamienne, elle est très bien faite et possède un charme particulier. Jusqu’à ce jour, je n’avais jamais imaginé qu’elle pourrait me tromper d’une manière ou d’une autre. Elle n’avait jamais montré d’intérêt pour un autre homme, et si elle aimait le sexe, elle pouvait très bien s’en passer sans que ça ne la préoccupe.
Ce soir-là, nous recevions à notre domicile Philippe, mon meilleur ami depuis l’adolescence, et sa femme Virginie. En général, chacune de nos soirées était identique. Nous mangions, discutions de tout, puis arrivait le moment où moi et Philippe étions saouls, et là en général, on commençait à délirer. Depuis quelque temps, Philippe, lorsqu’il avait bu, se montrait insistant auprès de Kim et lui faisait un rentre-dedans non équivoque. Il le faisait devant mes yeux et je m’en amusais, car je savais qu’elle repousserait ses avances. Il ne l’avait jamais attirée, et elle me le répétait souvent.
Moi-même, je m’étais parfois amusé à pousser mon ami dans son lit, sachant qu’elle le jetterait séance tenante. En général, Philippe et moi finissions ces soirées seuls au salon à finir les bouteilles d’alcool du placard. Le lendemain, j’avais droit à un sermon et ma compagne en avait assez de ces jeux avec mon ami qui ne l’intéressait pas. Ce soir-là fut différent. Exceptionnellement, l’alcool m’assomma et je dus passer une bonne partie de la nuit dans les toilettes avant d’aller me coucher. La femme de mon ami se retira elle aussi assez tôt dans sa chambre, épuisée par son travail de la journée. Kim avait bu aussi, elle qui habituellement restait très sobre.
En cours de nuit, toujours dans le cirage, je descendis dans la cuisine pour boire un verre de lait. Et je fus surpris de voir Kim et Philippe encore éveillés et seuls au salon. En temps normal, ils n’étaient jamais seuls ensemble. Kim étant la première à abréger la soirée. Cela dit, rien de trop suspect. Kim était allongée sur le ventre, mais habillée, sur un des canapés, et Philippe, lui aussi habillé assis près de ses pieds. Je remontai dans ma chambre sous leurs yeux, un peu perturbé mais sans plus et sans mot dire.
Le lendemain, nos amis rentrèrent chez eux assez tôt, nous les avons salués comme d’habitude. Toujours nauséeux, je m’attendais à avoir des remontrances habituelles sur ma propension à trop boire avec mon pote et à faire que la soirée tourne en eau de boudin. Pourtant rien de tout cela. J’ai trouvé une Kim au comportement bizarre, mais dans le bon sens. Elle semblait très joyeuse et épanouie. Je ne posai pas de question, car pour moi rien ne s’était passé. Un peu plus tard dans la journée, Kim aborda le sujet d’elle-même en ces termes :
À sa mine souriante et naïve à la fois, je compris que quelque chose s’était passé, mais quoi ? Je lui dis :
C’est alors que je l’interrogeai plus directement sans montrer une quelconque réprobation et même en souriant :
Et là, toujours sûre d’elle et mise en confiance par le fait que je l’avais déjà poussée dans ses bras, elle me fit le récit de cette soirée. Tout de même un peu gêné, je dus faire preuve de beaucoup de patience et de psychologie afin de ne pas lui faire perdre sa confiance. Voilà ce que j’appris.
Comme souvent, il lui demanda de l’embrasser à plusieurs reprises en insistant. Ayant bu plus que d’habitude, elle eut envie de savoir jusqu’où il était capable d’aller, lui qui n’arrêtait pas de la tanner. Elle céda d’autant plus facilement qu’elle pensait vraiment que ça ne me gênerait pas qu’elle joue un peu avec lui, mon meilleur pote, puisque je l’avais poussé dans son lit à plusieurs reprises. Mais j’étais toujours saoul et sûr qu’elle refuserait toujours. Sûre de ses faits, elle se dirigea vers lui et l’embrassa à pleine bouche. Elle ne se souvenait plus de tout précisément. Mais des flashs lui revenaient. Et à force de lui demander tout ce qu’il s’était passé, que ça ne me gênait pas au contraire, que j’étais ravi qu’elle se libère enfin, elle me dit la suite.
Elle avait la sensation de dominer les débats et de pouvoir faire ce qu’elle voulait de lui. Elle n’avait pas d’attirance pour lui, et le seul plaisir qu’elle a ressenti, c’est celui de maîtriser les événements. Après l’avoir embrassé fougueusement, elle monta sur lui toujours habillée en l’embrassant. Lui en profita pour glisser ses mains sous son chemisier, dégrafer son soutien-gorge et lui caresser, puis lui lécher le ventre et ses jolis petits seins blancs. Puis, ils inversèrent les positions, elle assise et lui sur elle.
Sans se dévêtir plus et en l’embrassant toujours, elle glissa sa main sous le pantalon de Philippe et lui massa le sexe et le reste. Voyant qu’il gémissait, elle glissa ses doigts, puis sa main sous son slip et lui prit le sexe avant de commencer des mouvements de va-et-vient. Elle ne put que me dire que son sexe était plus fin que le mien. Elle était plus sûre de l’ordre des choses, mais ensuite, il semble qu’il se soit retourné pour la coller contre le canapé et se frotter à elle en donnant des à-coups plus ou moins violents… mais toujours habillés.
Puis, toujours selon elle, elle lui a demandé de rejoindre sa femme, et c’est à ce moment-là que je suis arrivé en pleine nuit pour boire mon verre de lait. Voilà ce qui s’est passé selon elle. Si j’ai un doute sur ses raisons, je la crois sur parole quant aux faits, car elle n’était pas obligée de me raconter tout ça, je n’avais rien vu et n’aurais rien soupçonné. D’abord compréhensif et bon enfant, j’avoue que ce sont les images d’elle embrassant et masturbant mon ami qui m’ont ensuite hantées pendant quelques jours. Et mon comportement changea envers elle, car je leur en voulais aux deux… et finalement plus à elle qu’à lui. Car lui, je savais qu’ayant bu, il était attiré par ma compagne, et il le faisait devant moi.
Après une petite période de crise de quelques jours, je ne vis plus ma petite vietnamienne comme la jeune femme sage et sobre qu’elle était, mais au contraire, je découvris grâce à cette petite histoire tout le feu qu’elle avait en elle. Même si elle n’avait pas pensé me faire du mal, car finalement, elle l’a aussi fait aussi par révolte envers moi pensant que dans ma tour d’ivoire ça ne me toucherait même pas… Elle m’avait touché en plein cœur. Mais elle avait atteint son but aussi, me faire réagir… Et depuis ce fameux soir, nous n’avons plus cessé de faire l’amour en y mettant une ardeur et une fantaisie que nous ne connaissions plus depuis longtemps.
Ne me refais plus ça quand même Kim… Quoique ? Je t’aime…