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n° 12077Fiche technique8887 caractères8887
Temps de lecture estimé : 6 mn
12/12/07
Résumé:  Depuis six mois, je l'observais sans oser l'aborder. Et puis, à l'occasion d'une pause...
Critères:  fh jeunes amour pénétratio -couple
Auteur : Espanol            Envoi mini-message
Une si longue attente

Six mois, c’est le temps qu’il m’a fallu pour réussir à lui parler. C’est vrai que je suis vraiment très timide, mais quand même, comment ai-je pu attendre si longtemps ?


Depuis le début de l’année scolaire, on suit les mêmes cours, à la Fac, on se retrouve également lors des TD. Je m’assois toujours au même endroit dans l’amphithéâtre, avec mes amis, elle fait de même, mais avec les siens. Je suis toujours le premier arrivé et je scrute la porte chaque fois que quelqu’un rentre. C’est un vrai bonheur de la voir, de la regarder, de l’admirer, un vrai plaisir pour les yeux, mais aussi un vrai supplice pour le cœur quand on n’arrive pas à prendre « son courage à deux mains » pour aller lui parler.


Pendant six mois je me suis donc contenté de l’observer. Elle est si belle : environ 1,65 m, des yeux à tomber par terre, des jambes d’une beauté indéfinissable, toujours le sourire, toujours de bonne humeur, une garde-robe sublime et des cheveux somptueux. Non, je ne décris pas la femme parfaite (elle n’existe pas), mais franchement, quelle beauté.


Mais voilà, par un beau jour de février, un mercredi pour être précis, je suis arrivé dans l’amphi comme tous les jours trente minutes avant le début des cours. Elle arriva quelques minutes après moi, plus belle que jamais. Et je ne sais pas pourquoi, mais ce jour-là, à la pause, elle est sortie pour « prendre l’air ». Instinctivement, je me suis levé à mon tour et je l’ai suivie. Pour une fois, elle était seule, j’en ai profité pour m’approcher d’elle et enfin, j’ai réussi à lui adresser la parole.



Entendre ça me procura deux sensations, un soulagement – elle ne m’a pas repoussé et semble partager quelques sentiments avec moi – mais en même temps, j’ai été frustré : pourquoi n’y suis-je pas allé plus tôt ?


Nous avons discuté quelques instants, dix minutes, le temps de notre pause, puis je lui ai proposé de l’inviter à boire un verre après les cours. Elle accepta. Il me fallait encore patienter une heure avant de pouvoir profiter d’un rendez-vous avec elle. Elle, la fille de mes rêves…


Cette dernière heure de cours de la journée me parut interminable. Je n’ai pas dû écrire le quart du cours, j’ai passé l’heure à la regarder du coin de l’œil et quand enfin le prof nous a lancé son habituel « Merci de votre attention et à la semaine prochaine », j’ai eu un moment de tension, j’allais enfin être seul avec elle.


Nous avons été dans un petit bar au coin de la rue de la Fac. Elle a commandé un chocolat chaud et j’en ai fait de même. Nous sommes restés là à discuter pendant plus de deux heures, nous avons fait connaissance, en fait, on a « refait le monde » comme on dit. Je l’écoutais parler et je la regardais dans les yeux, mon regard ne pouvait pas quitter le sien.


Au bout de deux heures donc, elle m’a dit qu’elle devait rentrer chez elle, je lui proposais alors de la raccompagner. Elle accepta. Nous avons marché quinze minutes et nous sommes arrivés en bas d’un immeuble assez ancien, avec une énorme porte en bois passablement abîmée.


À ce moment, mon seul désir était de l’embrasser et j’ai senti dans son regard qu’elle partageait ce sentiment. Toutefois, je lui ai fait la bise et je suis parti, sûrement pour qu’elle ne croit pas que c’était mon seul désir et pour prolonger la magie du moment.


Nous nous sommes retrouvés le lendemain avant les cours, en effet nous n’avions cours que l’après-midi ce jour-là. Nous avons été manger ensemble et nous nous sommes baladés en ville en attendant le début des cours. À un moment, on s’est assis sur un banc, pour discuter, et là elle a pris ma main dans la sienne et l’a embrassée. Nos regards se sont croisés et nous nous sommes embrassés.


Ce moment, je l’attendais depuis six mois, et il fut comme je l’avais imaginé : PARFAIT !


Puis nous sommes allés en cours et à la sortie, elle me proposa de venir manger chez elle le soir même. J’acceptai.


Vers 20 heures, je sonnai à sa porte. Elle m’ouvrit, elle portait une petite robe noire absolument magnifique. Je m’empressai de la complimenter sur sa tenue et de lui offrir la rose rouge que je venais d’acheter chez le fleuriste en bas de chez elle.


Nous avons dîné, des pommes de terre avec de la viande et avons même ouvert une bouteille de vin.


Le repas terminé, elle me proposa d’allumer la télé et de nous mettre sur le canapé. Aussitôt dit, aussitôt fait, nous nous sommes retrouvés assis côte à côte sur son canapé. L’excitation et sans doute aussi le vin ne tardèrent pas à faire effet. Je posai ma main sur sa cuisse ; elle me regarda et m’embrassa très tendrement. Mon autre main vint caresser sa poitrine pendant qu’elle m’embrassait toujours, soudain, je sentis sa main sur mon pantalon, d’abord sur ma cuisse, puis elle remonta jusqu’à atteindre mon sexe.


J’entrepris alors de retirer sa robe, elle se retrouva en sous-vêtements face à moi, des jolis sous-vêtements rouges (ma couleur préférée).


Elle dégrafa elle-même son soutien-gorge, laissant apparaître ses seins. Quel bonheur de voir une poitrine si belle que je ne pus résister au plaisir de la lécher. Ma bouche a immédiatement quitté la sienne pour s’occuper de ses seins. Elle posa sa tête en arrière et son souffle devint plus rapide au fur et à mesure de mes caresses et des mouvements de ma langue.


Elle reprit ses esprits un instant pour m’enlever mon tee-shirt. Je décidai alors de m’aventurer vers une zone située légèrement plus au sud de ma position actuelle. Ma main glissa lentement vers sa culotte et lorsque je la touchai enfin, je pus sentir l’humidité ; elle mouillait apparemment beaucoup. Sans plus attendre, je glissai ma main à l’intérieur et entrai en contact avec son sexe ; il était effectivement trempé.


Elle se redressa légèrement et fit glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles, elle était nue devant moi. Elle se mit face à moi et fit passer ses jambes de part et d’autre de mon corps, elle était assise sur moi, complètement nue. C’est le moment qu’elle choisit pour défaire les boutons de mon jean, qu’elle me retira en emportant mon caleçon au passage, libérant mon sexe déjà depuis longtemps en érection.


Elle prit une capote et me l’enfila elle-même, très délicatement, avec des gestes tendres et doux. Puis elle se coucha sur le dos, sans me quitter des yeux et entrouvrit légèrement les cuisses, faisant apparaître son sexe gonflé par l’excitation. Je m’approchai d’elle et commençai à l’embrasser, puis j’approchai mon sexe de sa chatte, je lui caressai avec mon sexe, allant du clitoris jusqu’à son cul et ainsi de suite.


Soudain, elle me demanda de la pénétrer, ce que je fis sans plus attendre. Mon sexe pénétra lentement le sien, son souffle s’accéléra et de petits gémissements commencèrent à sortir de sa bouche. Au bout de quelques secondes, j’accélérai à mon tour mes mouvements.


Nous ne formions qu’un seul corps, elle m’embrassait et me regardait tendrement.


Puis elle se redressa et se mit à quatre pattes, me tournant le dos, j’avais à ce moment une vue parfaite de son sexe et son cul. Je contemplais le spectacle quelques instants, elle me sourit. Mon sexe s’approcha à nouveau de son sanctuaire de féminité et le pénétra pour la seconde fois, accompagné par ses gémissements. Pendant que je lui faisais l’amour, je lui malaxais les seins ; elle tournait la tête et me regardait, elle accompagnait chacun de mes mouvements par un petit sourire.


Elle se cambrait de plus en plus, voulait me sentir au plus profond d’elle-même. Pour ma part, j’atteignais des sommets d’excitation. Je sentais l’orgasme venir en moi et je savais que je ne tiendrais plus très longtemps, effectivement, quelques secondes plus tard, nous avons joui en même temps.


Nous sommes restés un moment dans les bras l’un de l’autre, sans parler, juste en se regardant, puis nous avons fait un brin de toilette.


Ce soir-là, je suis resté dormir chez elle. On ne s’est plus quittés depuis.