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Temps de lecture estimé : 11 mn
12/12/07
Résumé:  Rosie prend le train et va jouer à un cache-cache un peu spécial avec un jeune homme assis non loin d'elle...
Critères:  f train voir exhib noculotte fmast nopéné fdanus exercice humour -humour -voyeuroca -exhib -mastf
Auteur : Récitérotix  (Auteur de nouvelles érotiques des aventures de Rosie)      
Rosie prend le train

… par Rosie



Bonjour, je m’appelle Rosie, j’ai vingt-cinq ans.


Vingt-cinq ans, c’est vraiment le bel âge. Nous sommes en pleine forme, les hommes détournent le regard à chaque fois que nous sommes un tantinet sexy, on s’amuse entre copines, tout va bien ! Je suis fille unique, alors les copines, c’est sacré !


Bon, vous voudriez peut-être savoir comment je suis ? Eh bien, je mesure 1,70 m, les cheveux châtain, très, très longs, de grands beaux yeux verts et… avec des formes là où il faut ! Et quand je dis là où il faut, je ne veux pas dire seulement là ou là, non, ma silhouette est gracieuse, pas grosse, juste… pulpeuse. Et les hommes aiment ça, je vous le promets ! D’accord, je lâche mon bonnet : 95 C, cela vous convient ? En tout cas, Yann, Arnaud, Thierry, David, Aurélie (si, si) les ont bien aimés… mes formes ! Mes hanches sont larges mais fines, juste un peu de chair pour dessiner une courbe qu’il est agréable de suivre jusqu’à un petit nid douillet, mais chut, il n’est pas encore 22 h 30, les enfants ne sont pas couchés ! On parle de mon ventre ? Ah… mon ventre, d’accord il n’est pas plat comme la blonde à la télé qui vante les mérites de cette crème qui raplaplatise la silhouette, mais il pointe juste son nombril pour qu’on ne me confonde pas avec une planche à repasser, on ne sait jamais… Et il est si doux… Enfin, mes jambes. Bon, ce sont des jambes, ni fines, ni grosses, ce n’est pas l’élément de mon anatomie que je préfère, mais elles sont fermes, les hommes les regardent parfois et surtout, elles me font avancer… Tiens, à propos de mes jambes, même si ce n’est pas la première chose que l’on remarque chez moi, et bien il y a quelques jours, dans le train, ce sont elles qui ont joué les séductrices !


Bon, j’avais mis ce jour-là une petite jupe légère, celles qui se soulèvent pour un rien. J’étais tranquillement assise sur une banquette quatre places en vis-à-vis dans un vieux Corail, et je lisais un petit roman des plus légers. On s’arrête à une gare et le train-train (c’est le cas de le dire) des voyageurs qui montent et descendent se fait. Je ne remarque pas dans un premier temps qu’un jeune homme s’est assis de l’autre côté du couloir, juste derrière les quatre autres fauteuils attenants.


Comme mes pieds sont un peu gonflés par la chaleur (on est quand même le 28 août, et puis quand la SNCF va-t-elle résoudre le problème du chauffage qui fonctionne en été et qui est en panne en hiver ?), je retire mes escarpins et pose mes pieds sur la banquette qui me fait face. Je continue ma lecture des plus palpitantes. Le suspens du roman est tellement prenant que de temps à autre je regarde à droite, à gauche, et là, tiens, mon jeune homme s’est affalé sur sa banquette. Quelle drôle de position me dis-je… Je regarde machinalement mes pieds et je m’aperçois que ma jupe remonte franchement sur mes cuisses, alors je ne vous dis pas le dessous… Voilà ce que cherche notre homme ! Je le regarde du coin de l’œil en faisant semblant de lire consciencieusement et effectivement, il jette régulièrement un œil vers ma jupe ! Il me prend l’envie de le remettre à sa place en lui lançant tout de go :



Mais je me ravise. Et si je jouai avec lui ? On va le faire languir, ils aiment ça ! J’allonge mes jambes sur la banquette, et hop, il n’y a plus rien à voir ! Au bout de quelques instants, je sens qu’il n’est pas content… Que se dit-il dans sa tête ? « Ah, zut celle-là, elle n’arrête pas de bouger… », ou bien « Dommage, j’aurai bien aimé en voir plus… ».


J’attends encore un peu, et hop, ma petite culotte réapparaît ! Là, je sens qu’il revit… Je remonte petit à petit mes jambes et mon cœur commence à battre d’excitation. Il peut bien voir maintenant ma petite culotte noire transparente et je le sens rougir d’envie. Le train ralentit et je redescends rapidement mes jambes. Faut pas abuser non plus !


Une bonne partie des voyageurs descend à l’arrêt mais il n’y pas foule à monter. Le wagon s’est vidé, avec ici et là quelques voyageurs. Tiens, mon bonhomme est toujours là… Il s’était redressé, mais pfouf, à nouveau en position de… matage. Je reprends mon petit jeu et je sens qu’il commence vraiment à aimer ça. Moi aussi d’ailleurs, ma petite culotte s’humidifie déjà et de petits frissons parcourent mon dos. Je le fais ou je ne le fais pas ?


N’y tenant plus, je ramène mes jambes au sol, enfile mes souliers et me lève. Je me dirige vers les toilettes et ferme la porte en ne mettant pas le verrou. J’adore l’excitation que ça procure si une personne ouvre, encore plus s’il s’agit d’un homme. Je me rattrape in extremis, le train venant de faire une embardée. Ça bouge, un train ! Je retire ma petite culotte toute mouillée et la mets délicatement dans mon sac. Je ressors enfin en prenant soin de tirer la chasse, pour donner le change, on ne sait jamais…


En repassant devant lui, je prends un malin plaisir à laisser glisser ma jupe sur son genou dépassant dans l’allée centrale. Je l’entends respirer profondément. En me rasseyant, j’allonge délicatement mes jambes sans remonter mes genoux, il n’a rien vu… Je le sens s’agiter un peu nerveusement. Puis n’y tenant plus, je commence lentement à relever mes genoux. J’ai mon cœur qui bat la chamade et je jette de temps en temps un œil dans sa direction.


Il est devenu rouge écarlate ! Il vient d’apercevoir quelque chose qu’il n’aurait jamais imaginé possible. Là, devant ses yeux, une nana a retiré sa petite culotte et lui offre rien que pour lui sa petite toison bien touffue, délicatement dessinée en triangle !


Je mouille de plus en plus, il doit s’en apercevoir ou alors il faut qu’il achète des lunettes, le loustic. Je le vois tout émoustillé, à un point tel qu’il laisse tomber son téléphone qu’il venait de prendre en tremblant. « Zut » lâche-t-il en se penchant pour le ramasser. J’en profite à ce moment-là pour remonter mon bassin vers le haut et lorsque mon bonhomme se relève, un peu trop lentement pour être naturel, il s’immobilise d’un coup. Là, j’aimerai bien être dans ses pensées pour savoir tout ce qui lui passe par la tête ! Il vient de découvrir mon deuxième orifice, celui qui fait tant fantasmer ces hommes. Il n’en perd pas une miette. Mais je sens qu’il ne bougera pas de son siège, c’est un timide.


Ce moment de charme est brusquement rompu par l’arrivée du contrôleur. Je ramène immédiatement mes jambes au sol, histoire que le « grognon » n’en profite pas. C’est un vieux bonhomme, ventripotent et dont l’haleine ne sent vraiment pas la menthe fraîche, loin de là… Il contrôle le jeune homme, puis mon billet. A-t-il remarqué ma gêne ? En tout cas, je trouve qu’il met beaucoup de temps à vérifier mon billet… Je le vois qui reluque mes jambes, ma jupe, mon décolleté, eh oui, 95 C, on voit des choses mais peine perdue, mon bonhomme, c’est un décolleté classique qui ne laisse pas découvrir les charmes de ma poitrine. Enfin, après un certain temps, il grommelle une broutille puis continue sa tournée. Ouf, soulagée, je vais pouvoir reprendre mon aguichage !


Mon loulou n’a pas bougé : fidèle au rendez-vous. Je repose mes pieds sur la banquette, et à nouveau sa tête redevient rouge comme une tomate. L’épisode du contrôleur m’ayant passablement « refroidie », je décide de me réchauffer. Innocemment, je pose ma main gauche le long de ma jambe. Autant vous dire que je ne sais plus à quelle page de mon roman je suis ! Puis, doucement, j’amène ma main vers mon petit minou et commence à faire un très léger va-et-vient sur ma toison qui s’assouplit au fur et à mesure des allées et venues. Je sens mon observateur pétrifié par le spectacle qui se présente à lui.


La chaleur commence à envahir mon bas-ventre qui ondule doucement. Je passe alors ma main entre mes jambes que j’écarte. Si des personnes passent dans l’allée centrale, c’en est bon pour moi ! Doucement, avec mon majeur, j’écarte mes lèvres qui ne demandent que ça. J’entends la respiration de mon loustic qui devient bruyante. Un début de rotation de ma main et des petites décharges de plaisir envahissent mon ventre. Il aime ça, le loulou, je lui jette des œillades de temps en temps, il en prend plein les yeux. Ma main s’agite maintenant en mouvement circulaire en prenant soin de bien écarter mes lèvres, c’est ce que j’adore le plus. Mon corps bouge de plus en plus et ma respiration devient haletante. Pourvu que la gare ne soit pas trop proche…


N’y tenant plus, j’amène ma main droite sous mes fesses, remontant à nouveau mon bassin et mes hanches vers le haut et je m’introduis délicatement mon index dans l’anus. Là, je peux vous dire que des gémissements sortent de ma bouche, et je n’arrive pas à les contenir… c’est si bon, si fort… Au moment de l’explosion, je plante mon regard droit dans les yeux de mon mateur, et là, ma vision s’opacifie, un feu d’artifice dans ma tête, mon ventre se soulève de plaisir et je ne peux retenir un cri orgasmiquement complet… Ouf, heureusement qu’il n’y avait pas trop de monde dans le wagon !


Le temps de reprendre mes esprits, la voix du contrôleur résonne dans le haut-parleur « Madame, Mademoiselle, Monsieur, le train arrive à son terminus ». Mais où est passé mon jeune homme ? Disparu ! L’aurai-je effrayé ? Le train commence à ralentir puis s’immobilise dans un crissement assourdissant. Les quelques voyageurs qui restaient descendent et j’en profite pour remettre ma petite culotte qui était dans mon sac. En redescendant, je croise le contrôleur qui me lance un « Alors, on s’est endormi ma p’tite dame ? ». Je lui décoche mon plus beau sourire coquin et il s’en va en grommelant quelque chose dans sa barbe.


Je n’ai pas revu ce jeune homme depuis et ce souvenir reste délicieux à me remémorer ! On se retrouve dans une prochaine nouvelle pour d’autres anecdotes croustillantes ?





Rosie prend le train

… par Jérôme



Salut, moi, c’est Jérôme.


Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a quelque temps, à la fin de l’été, alors que je prenais le train. Une histoire que beaucoup d’hommes aimeraient vivre je pense. Je prenais le train pour me rendre à un entretien d’embauche et j’ai assisté à une chose super-torride.


Le train arrive en gare et je monte dans le premier wagon venu. Dans le couloir, je vise une nana plutôt mignonne avec une jupette craquante et je décide nonchalamment de m’asseoir en léger décalé sur une banquette opposée afin de pouvoir la mater à discrétion. Elle lit un bouquin mais ne semble pas plongée dedans. Le trajet va être un peu long, alors pourquoi ne pas profiter d’un joli spectacle, n’est-ce pas ?


Pour ne pas attirer l’attention sur moi, je regarde ponctuellement dans sa direction : une jeune femme, mignonne, châtain brun, bien en chair mais avec un charme fou. En plus, elle a une poitrine généreuse, mais qui n’est pas mise en valeur alors que le bas est vraiment sympa à voir : une petite jupette légère qui n’arrête pas d’onduler au gré des secousses du train. Ah, si cette jupette pouvait remonter un peu, ça serait un régal !


Tiens, elle se met à l’aise, la donzelle. Super ! Elle vient de poser ses pieds sur la banquette et remonte ses genoux : vue imprenable, mais zut, je suis trop haut dans mon siège. Bon, je tente : je me mets le plus au fond possible dans la banquette pour abaisser ma ligne de vision : trop cool, je peux voir sa culotte ! Une petite culotte transparente noire, mon cœur commence à accélérer. Je peux voir distinctement son pubis à travers le fin tissu et mon sexe commence légèrement à s’exciter. Puis elle allonge ses jambes, et là, plus rien. Dommage !


Une minute passe, ça m’énerve, j’avais quelque chose de magnifique sous les yeux et puis plus rien. Ses jambes sont mignonnes, mais comparées à sa petite culotte, il n’y a pas photo ! Au bout d’un moment, elle se décide enfin à remettre ses pieds sur la banquette. Ah… Le plaisir des yeux ! Oh non, le train arrive en gare. Va-t-elle descendre ?


Non. Ouf. Par chance, il n’y a plus beaucoup de monde dans le train. Je peux à nouveau contempler de belles choses, d’ailleurs je crois que je me suis fait repérer… mais elle n’a pas l’air d’être offusquée, la mignonne. Mince, elle remet ses chaussures. Où va-t-elle ? Ah, aux toilettes. Mmm, j’aimerais bien l’y suivre…


La revoilà déjà ! Elle a fait vite ! Génial, sa jupette vient de me frôler, j’emplis mes poumons de son parfum, un régal. Zut, elle a à nouveau allongé ses jambes, je ne vois plus rien. C’est trop frustrant. Ah, ça y est, elle remet ça… OH… Là, c’est l’apothéose… Je sens le sang remonter dare-dare dans ma tête, avoir tout à coup très chaud… Là sous mes yeux, je vois… sa touffe, son minou, sa chatte, sans aucune culotte. Disparue la culotte, envolée ! J’avale deux fois ma salive… En plus, pas de doute, elle aime ça, ça se voit… Des petites perles minuscules apparaissent de temps en temps entre ses lèvres, elle mouille la nana.


Je vais essayer de prendre une photo avec mon téléphone. Nerveusement, je le retire de ma poche. Au passage, mon sexe a pris une forme honorable qui me gêne pour retirer ce fichu téléphone enfoncé dans ma poche. Boum, le voilà par terre. Bravo. Je le récupère et en profite pour me relever le plus lentement possible afin d’admirer…


Oh la la, je peux même voir son anus… Impossible de bouger, je suis scotché sur place, à demi-baissé dans une position tout à fait naturelle ! Mmm, j’aimerais pouvoir plonger sur elle, la lécher partout, son petit minou, son petit trou, passer ma langue entre ses lèvres, sentir son parfum, sa chaleur humide et qu’elle couine de plaisir…


Le spectacle est brutalement interrompu par le contrôleur qui n’a pas trouvé de mieux que venir à cet instant. A-t-il était attiré par ses phéromones ? Elle remet sur-le-champ ses jambes correctement. Le contrôleur, un vieux qui pue l’alcool, me contrôle puis reste un certain temps à vérifier le billet de la demoiselle. Il veut en profiter ? Bon, enfin débarrassé du loustic.


Quelques instants à patienter et rebelote, elle remet ça. Je suis totalement excité par la fille. Elle pose sa main le long de sa jambe, je n’en perds pas une miette. Bingo, elle vient de la poser sur sa chatte. Mon pantalon commence à me tirailler sérieux. Un mouvement doux semble lui procurer un plaisir diffus. Je reste immobile, espérant que cela ne s’arrête jamais. Elle passe alors sa main entre ses cuisses et écarte ses lèvres qui sont dans le même état que mon phallus : gonflées à bloc ! Sa main parcoure sa petite chatte humide et de temps en temps, un de ses doigts écarte sa petite fente qui semble d’une douceur exquise. Son ventre ondule maintenant de façon régulière, mes mains tremblent de désir, mon cœur doit être à 150… Quelquefois un léger râle se fait entendre, un gémissement qu’elle ne peut contenir la bougresse ! Puis elle remonte le bassin et, comble de l’excitation, elle se met un doigt dans l’anus. Le temps s’arrête pour moi. Des gémissements les plus contenus possibles sortent de sa bouche que j’aimerais gober à ce moment-là et, dix secondes plus tard, c’est l’extase : elle me regarde fixement et jouit devant moi, un doigt légèrement planté dans son orifice anal, sa seconde main massant fébrilement sa chatte au bord de l’explosion. Son ventre se soulève à plusieurs reprises et elle ne peut s’empêcher de crier. Elle reste un moment sans bouger, des ondes traversant tout son corps. Elle ne semble plus être là…


Je m’aperçois avec stupeur que le train va arriver à son terminus et reprenant moi aussi mes esprits, je me lève car il ne faut pas que je sois en retard à mon entretien… qui, je pense, ne sera pas aussi excitant que ce qu’a pu m’offrir cette demoiselle. Et il va falloir que je me reconcentre, car cette vision va me rester gravée fort longtemps dans les yeux !


Épilogue :


Comme je m’en doutais, je suis tombé sur un vieux grognon tue-l’amour lors de mon entretien, avec qui je n’ai pas réussi à m’entendre. Il faut donc que je cherche un nouveau poste… Je n’ai jamais revu cette jeune femme qui m’a donné tant de plaisir visuel et sonore…