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Temps de lecture estimé : 15 mn
18/12/07
Résumé:  Poursuivant mes expériences, je décide de tester à présent un cinéma porno.
Critères:  fhhh inconnu cinéma facial fellation pénétratio -totalsexe -hfff
Auteur : Alex  (Lectrice assidue de Rêvebébé)            Envoi mini-message

Série : J'ai testé Rêvebébé

Chapitre 02 / 05
J'ai testé Rêvebébé : Le cinéma

Lectrice assidue de Rêvebébé, je me suis toujours demandé si les histoires qui y sont racontées étaient vraies ou pas. Après de très nombreuses lectures, je suis arrivée à la conclusion que certaines pouvaient l’être, mais sans pourtant vraiment arriver à croire que les événements décrits pouvaient réellement se passer ainsi. J’en ai discuté avec mon mari qui lit également les histoires du site et qui pense que les équipées décrites dans les aventures qui paraissent les plus réalistes sont sûrement vraies. Pas convaincue, je lui ai fait part de mon envie d’essayer de reproduire les situations qui me semblaient difficilement réalisables. Cela le surprit, car je ne suis pas une femme exhibitionniste, échangiste ou ayant la vocation d’être soumise, mais c’est sans doute pour cela que l’expérience me tentait. Après quelques jours d’insistances, je réussis à le convaincre.



Ma seconde expérience : le cinéma



De retour à mon point de départ, je téléphone à mon mari pour lui raconter mon aventure métropolitaine. Il me dit qu’il est fier de moi pour le courage dont je viens de faire preuve, mais il me reproche de ne pas l’avoir averti que je commençais mes expériences aujourd’hui. Après lui avoir expliqué que la décision s’était prise d’elle-même, il l’accepta avec compréhension. Je l’informe alors que je vais poursuivre mon aventure au cinéma, le… de la rue… afin qu’il vienne me chercher après la séance.



Après m’être désaltérée dans un café et lavé les mains (surtout une…), je me rends au cinéma. Naturellement, compte tenu du genre d’expérience que je souhaite tenter, il s’agit d’un cinéma porno, vous vous en doutiez. Curieusement, sans gêne ni peur d’être vue par une quelconque connaissance, je prends tranquillement mon ticket d’entrée auprès du caissier et j’entre dans le ciné. Me voici dans le hall central, je cherche le numéro de la salle correspondant à celui noté sur mon ticket. Je m’approche de la porte, prends une longue et profonde aspiration, puis je souffle doucement comme pour éliminer le stress que je sens monter en moi.


J’ouvre la porte, elle est lourde et naturellement elle grince ; pour la discrétion, c’est raté. Je ne veux pas attirer l’attention sur ma présence en restant figée là, mais la salle est très sombre et je n’y vois pas suffisamment pour avancer. Je suis donc obligée d’attendre quelques secondes afin que mes yeux s’habituent à l’obscurité. Ça y est, je commence à distinguer les fauteuils et les silhouettes qui les occupent. Je profite d’un soudain éclairage tamisé dû à une image plus lumineuse sur l’écran pour m’avancer. Les spectateurs étant un peu dispersés dans toute la salle, sans doute pour préserver un peu d’intimité, le choix d’une place n’est pas facile. Doucement je monte les marches de l’escalier qui borde les rangées de fauteuils puis me décide à m’engager dans l’une d’elles. Un homme est placé au fond et un autre vers le milieu. Je m’avance et m’installe trois sièges avant ce dernier.


À l’écran une scène classique d’un homme et une femme faisant l’amour. Ah non, pardon, deux hommes et une femme. Bref, ce n’est pas le film qui m’intéresse de toute façon. Devant, des têtes se tournent vers ma direction. Ma présence a été remarquée. Certains restent à me fixer, comme s’ils attendaient un signe de ma part, une invitation à venir me rejoindre. Plusieurs minutes se passent sans que rien ne bouge. Puis, des mouvements surviennent. Un homme se lève et vient s’installer sur l’un des fauteuils que j’avais laissés libres entre moi et l’homme au milieu de la rangée, à un emplacement de moi. Puis plusieurs hommes viennent se placer derrière moi. Un autre vient s’asseoir sur le premier fauteuil de ma rangée, à trois places de moi. Je me sens encerclée, comme un appât au milieu de prédateurs se rapprochant doucement de leur proie.


Le film se termine et la salle devient totalement noire, la porte s’ouvre plusieurs fois et des hommes quittent la salle. En revanche, je sens bien que d’autres restent, il semblerait même que ce ne soit pas pour visionner la projection suivante, car mon voisin de gauche vient de prendre place juste à côté de moi et une main venue de l’arrière se pose sur mon épaule droite. Là, ma petite Alex, tu es vraiment au cœur de ce que tu voulais vérifier.


Un nouveau film débute sur l’écran, mais personne, du moins celles qui m’entourent, ne semble y prêter attention. La main sur mon épaule glisse doucement dans mon décolleté et atteint rapidement mon sein droit. Sans plus attendre, elle le caresse, le masse, frotte sur mon téton. L’homme à ma gauche semble s’intéresser au film, mais sa main se pose délicatement, presque imperceptiblement, sur mon genou. Je ne bouge pas. L’homme derrière moi poursuit donc tout naturellement sa caresse, ses doigts pincent doucement mon téton qui commence à gonfler. Sa main s’enfonce un peu plus pour atteindre mon sein gauche qui subit le même sort. Sur mon genou, des doigts commencent à remuer doucement pour m’offrir une caresse suave. L’homme derrière a dû se rapprocher, car je sens à présent son souffle sur ma nuque. Sa main se retire légèrement de ma poitrine, ses doigts cherchent les boutons et commencent à les défaire dès qu’ils les trouvent. Un premier bouton saute, puis un deuxième, ma poitrine commence à se découvrir. Un troisième vient de sauter, l’homme caresse mes seins. Pour écarter plus encore les pans de ma robe, les doigts descendent et libèrent un nouveau bouton. L’homme à ma gauche fait alors glisser la bretelle de ma robe le long de mon bras. Son acolyte, dans mon dos, fait de même avec celle de droite et maintenant ma poitrine est totalement dévoilée. Les caresses reprennent, mes tétons sont durs et gonflés, l’homme les fait rouler entre ses doigts, ce qui me donne des frissons dans le ventre et le dos.


La main sur mon genou remonte à présent lentement, encore, encore et… elle s’immobilise soudain au contact de ma robe. Derrière moi l’homme s’est penché et m’embrasse sur l’épaule, remonte dans le cou puis sur mon oreille qu’il mordille d’abord doucement, et ensuite très fortement. Je réagis, je sursaute et tourne la tête vers lui. De mon bras droit, je le repousse. Se c… à bien failli me faire mal, je ne suis pas du genre maso, moi ! Il tente à nouveau sa chance et m’embrasse dans le cou, mais je sens sa bouche s’ouvrir en grand, ses lèvres laissent place à ses dents qui commencent à se resserrer contre ma chair. Je le repousse à nouveau. Cette fois, il s’éloigne.


Mon voisin de gauche s’est lui aussi rapproché et je me demande bien ce qu’il me réserve, j’espère que je ne suis pas dans un ciné de Sadomaso. Doucement il se penche, je pose immédiatement ma main sur son front pour lui faire comprendre qu’il vaudrait mieux que ses intentions soient pacifiques. Toujours très lentement il poursuit son approche, délicatement il pose ses lèvres sur mon sein et me donne un premier baiser délicieusement doux. Sans retirer ma main, je le laisse faire. Un second baiser m’est offert, puis un troisième. Comme pour me mettre en confiance et me prouver sa douceur, l’homme couvre ma poitrine de délicieux baisers tendres et chauds.


À ma droite il y a du nouveau, l’homme du bout de la rangée est maintenant à côté de moi. Je n’avais même pas senti sa main se poser sur ma jambe, tant mon attention était réservée à mon bisouilleur de gauche. Ce n’est qu’à présent que je la remarque, maintenant qu’elle caresse toute la longueur de ma cuisse. Mais bientôt elle se glisse à l’intérieur et remonte vers mon entrejambe. Je frémis sous son action, alors que je reçois toujours des baisers de mon voisin de gauche, et je ferme les yeux. La main arrive maintenant à l’aine, plus que quelques centimètres et elle sera sur ma culotte. Voilà elle y est. L’homme caresse mon sexe au travers du tissu. Une autre main vient de se poser sur ma cuisse gauche. Ce n’est pas celle de mon voisin de gauche, car je sens bien les siennes sur mes seins et mon épaule. J’ouvre les yeux, l’homme de droite est penché au-dessus de mes cuisses, et c’est son autre main qui me caresse. Rassurée, je referme les yeux et pose ma tête en arrière sur le haut du fauteuil.


La nouvelle intruse semble vouloir rejoindre l’autre, car elle remonte le long de ma cuisse. Non, pas tout à fait. Mais, que fait-elle ? La voilà qui glisse sur le côté tout en poursuivant son chemin vers le haut. Je n’arrive pas à deviner son but, d’autant plus que sa sœur semble agir tout aussi bizarrement. Les deux mains se glissent maintenant sous mes fesses, me forçant à me soulever légèrement. Ah, ça y est, je commence à comprendre ! Je sens les doigts de cet homme se recourber dans le bas de mon dos et se faufiler sous l’élastique de ma culotte. Cette fois il n’y a plus de doute, il veut me la retirer. Ses mains prennent le chemin inverse et glissent sous mes fesses, entraînant le petit vêtement ainsi capturé. Je ne peux rien faire, et de toute façon je dois bien avouer que je n’ai pas l’intention l’en empêcher. En un instant je sens ma petite culotte glisser le long de mes cuisses, passer au-dessus de mes genoux et de mes mollets pour finir sur mes pieds. Je lève ces derniers l’un après l’autre afin de la dégager totalement, et surtout pour pouvoir les écarter si le besoin s’en ressent.


Le kidnappeur de ma culotte repose rapidement ses mains sur mes cuisses. Doucement je les sens glisser vers l’intérieur puis disparaître. Que fait-il ? Où sont ses mains ? Une petite traction sur le bas ma robe me le fait comprendre, le premier bouton du bas vient d’être défait. Le second n’est pas long à sauter ainsi que le troisième. À cet instant, il n’en reste que deux pour maintenir ma robe fermée. Je sens le décrochage d’un autre bouton et je pense que le dernier ne va plus tenir bien longtemps. Les mains se reposent sur mes cuisses, mais beaucoup plus haut cette fois. Rapidement elles me caressent tout en remontant sur mon sexe. Deux doigts alors s’empressent de s’immiscer entre mes lèvres. Sans attendre qu’on me le demande, j’écarte les jambes, ouvrant ainsi l’entrée de mon sexe. Comme tout à l’heure dans le métro, je me sens couler sur ces doigts visiteurs.


Immédiatement l’homme les porte à sa bouche et les lèche. Lorsqu’il me les offre à nouveau, l’homme à ma gauche se redresse et observe son collègue. De sa main il écarte le pan de ma robe afin de pouvoir mater mon sexe. Mais il reste encore un bouton. Il ne résiste pas longtemps, l’homme le fait sauter en un clin d’œil et ouvre largement ma robe. Me voici complètement nue sous le regard de ces deux hommes. Le spectateur de droite retire un instant ses doigts afin de regarder mon corps dévêtu.


Je vois soudain sa tête se baisser au-dessus de mon entrejambe : ses lèvres viennent d’entrer en contact avec mon sexe. Sa langue glisse le long de mes lèvres intimes, elle cherche mon clitoris. Huuuummm, voilà elle l’a trouvé, et elle joue avec. Mon corps est envahi de frissons, de picotements tous plus délicieux les uns que les autres. Sa langue abandonne mon petit bouton et s’enfonce à présent dans mon sexe. Une seconde vague de cyprine s’écoule de mon ventre et inonde la bouche de mon bienfaiteur. Mon autre voisin passe sa main derrière ma nuque et me tire à lui. J’ouvre les yeux tout en me laissant guider. Une fois penchée à moitié, j’aperçois dans le noir que l’homme a sorti son sexe et qu’il approche ma tête dans sa direction. Pas besoin de me faire un dessin. J’hésite, l’homme n’insiste pas, mais ne me relâche pas pour autant, comme s’il voulait me laisser le temps de réfléchir. Le voilà qui m’appuie à nouveau sur la nuque pour me faire atteindre sa queue. Je résiste encore, il s’arrête. Je ne suis pas en très bonne position, mais je me décide à prendre son sexe en main afin de le caresser. Quelques secondes se passent, cette petite substitution ne lui convient pas longtemps et rapidement la pression sur ma nuque se refait sentir. Je suis toute excitée, il faut bien que je le reconnaisse, l’homme entre mes cuisses me donne un plaisir qui grandit de seconde en seconde et je ne pense pas que je puisse, à ce stade, renverser la situation et stopper quoi que ce soit, alors…


Alors je le laisse guider ma tête et plus particulièrement ma bouche jusqu’à son sexe. Ma main cède sa place et ma bouche prend possession de cette colonne de chair, chaude, dure, bien raide et de bonne taille, semble-t-il. Ainsi penchée, mon sexe est devenu moins accessible à la bouche de mon voisin de droite. Il saisit la jambe située de son côté, la soulève et la pose sur l’accoudoir du fauteuil. Ainsi, mon sexe est de nouveau bien ouvert et mon voisin recommence à le fouiller de sa langue. De l’autre côté, je découvre avec surprise que le goût de ma grosse sucette est délicieux. C’est la première fois que je suce le sexe d’un autre homme et sans savoir pourquoi je m’étais toujours imaginée que le sexe d’un homme devait avoir mauvais goût. Pourtant celui de mon mari est également très bon. Bref, cette surprenante découverte me donne du courage et aussi du plaisir. Je lèche donc cette queue inconnue, parfois j’écrase ma langue sur le dessus de son gland avant de glisser jusqu’aux bourses. L’homme est très excité et je sens bien que je devrais aller plus loin dès maintenant. Alors j’ouvre la bouche et enfonce son sexe à l’intérieur. L’homme gémit de satisfaction. Je colle ma langue bien contre et commence un va-et-vient ample pour bien sucer toute la longueur de sa tige. C’est alors que je sens des mains se poser sur mon dos, sûrement un autre spectateur, plus intéressé par le spectacle que j’offre que par le film. Peu importe, je poursuis ma fellation avec application, d’autant plus que j’y prends un plaisir immense, accru par le magistral cunnilingus de mon voisin de droite.


Je réalise la situation dans laquelle je suis, cela m’excite, je me surprends même à désirer que l’homme entre mes jambes remplace sa langue par sa bite, cette pensée m’obsède, j’y crois, j’y pense, je l’espère, je l’imagine, Ah, cela me fait jouir, je sens mon jus couler abondamment sur le visage de cet homme qui semble s’en délecter, car il ne s’interrompt pas. Mon plaisir est grand et je ne peux pas cette fois retenir un gémissement.


L’homme que je suce me saisit le visage et se retire d’un coup, il s’empare de son sexe et le masturbe d’un geste très rapide, je me surprends une fois encore à rester là, juste devant ce gland gonflé de désir qui semble vouloir exploser d’un instant à l’autre. Je dois être complètement folle, car je réalise que ce qui me ferait le plus plaisir serait d’ouvrir la bouche en grand pour y recueillir son breuvage tout chaud, mais les risques de maladie aujourd’hui… Le premier jet de sperme vient s’écraser sur mon menton et en partie sur mes seins, le second souille mon front et mes cheveux, le suivant atteint le milieu de mon front et coule le long de mon nez. L’homme approche son sexe et laisse couler le reste de sa semence sur mon front et mes joues.


Je n’ai pas le temps de m’essuyer que quelqu’un m’attrape par les épaules et me redresse en me tournant face au dossier du fauteuil. Je vois alors enfin à qui appartient la paire de mains que je sentais sur mon dos pendant que je suçais cette bite délicieuse. Un homme se tenait debout, appuyé contre le fauteuil, le sexe en main. Visiblement il attendait son tour. Sans me laisser le temps de réfléchir, il prend ma tête entre ses mains et l’approche de sa queue. Je n’ai pas besoin de réfléchir, l’état d’excitation dans lequel je me trouve dicte mes gestes sans que je m’en rende compte. C’est donc instinctivement que je prends en bouche cette seconde bite. Dans cette opération le grand perdant c’est mon voisin de droite, qui d’ailleurs se trouve maintenant à ma gauche du fait de mon demi-tour forcé.


Grand perdant… peut-être pas tant que ça : il se glisse entre moi et le dossier des fauteuils et avance les mains sous mes fesses. Je le sens s’approcher, se coller à mon dos, deux doigts cherchent mon sexe, ils le trouvent, s’enfoncent profondément à l’intérieur, puis un troisième les rejoint, ils me masturbent profondément et rapidement, ce qui augmente très vite mon plaisir et je jouis une seconde fois, oh, c’est diabolique, comme tout à l’heure il ne s’arrête pas, je continue donc de jouir, hum, c’est délicieux. Il ne faut pas qu’il s’arrête, je veux que mon plaisir continue, je veux continuer à jouir ainsi, c’est tellement bon ! Ses doigts restent enfoncés en moi un instant sans bouger. Si je n’étais pas en train de sucer cet autre homme, je crois que je m’effondrerais.


Tiens, peut-être l’a-t-il senti, ses doigts se retirent doucement. Je sens une grande quantité de mon jus sortir de mon sexe et couler le long de mes cuisses. Allez, je reprends de la vigueur et accélère mes va-et-vient sur la bite de mon nouveau copain. Ce dernier accompagne mes allers et retours par des mouvements du bassin qui propulsent sa queue tout au fond de ma gorge. Je manque m’étouffer presque à chaque pénétration de son sexe dans ma bouche, mais curieusement cela ne me dérange pas.


Oh, que fait l’homme derrière moi ? il saisit mes chevilles et les écarte, il m’oblige même à soulever une jambe, ce qui lui permet de la placer sur le fauteuil d’à côté. Me voici donc grande ouverte et je n’attends pas longtemps avant de connaître la raison pour laquelle il m’a positionnée ainsi. Je sens son sexe passer entre mes cuisses et frotter contre ma raie. Deux ou trois allers retours et voilà que son gland frappe à la porte de ma caverne à plaisir. Je n’y crois pas, même si c’est exactement ce à quoi je pensais tout à l’heure, je ne pas croire que je vais être capable de me laisser prendre ici, dans ce cinéma porno ! Et pourtant, je le laisse pousser et introduire sa verge dans ma chatte, je cambre même les reins pour lui faciliter le passage. Huuummmm, comme cette queue me fait du bien, la sentir s’enfoncer en moi me donne un plaisir immense, elle semble d’un bon diamètre, car mes lèvres s’écartent au maximum, huuuummm c’est vraiment bon. J’éprouve tellement de plaisir que ma bouche s’active avec passion sur le sexe de mon autre partenaire. D’ailleurs je sens des contractions dans sa verge et cela ne m’étonnerait pas qu’il décharge bientôt. Je me retire, l’homme me laisse échapper sa queue, mais retient ma tête à quelques millimètres seulement de son gland. Et de nouveau cette envie de boire son jus d’amour me vient à l’esprit. Mais cette fois je n’ai pas besoin de me poser la question, l’homme enfonce son pouce profondément dans ma bouche et appuie contre l’intérieur de ma joue. Cela m’oblige à ouvrir grand la bouche. J’ai peur, je veux tourner la tête, mais même d’une seule main il arrive à la maintenir face à lui. Il se penche alors sur moi et me dit doucement :



À peine a-t-il le temps de se redresser qu’un premier jet m’inonde la langue, suivi immédiatement d’un second qui part directement au fond de ma gorge. Ne pouvant fermer la bouche je suis dans l’obligation d’avaler ce deuxième jet. Un autre arrive peu après et coule également sur ma langue, puis en voilà encore un autre, plus court, mais encore de bonne quantité. Cet l’homme s’avance un peu pour qu’il coule bien sur ma langue et non sur mon menton. Une nouvelle quantité sort de son gland et se dépose également sur ma langue. L’homme retire son pouce, je referme la bouche par réflexe, je sens cette substance poisseuse coller à mon palais et commencer à couler dans ma gorge. Je l’avale, et j’y prends un grand plaisir.


Lorsque j’ouvre à nouveau la bouche, l’homme y enfonce aussitôt une fois encore son sexe. Ah, mon Dieu, mon assaillant de derrière me pilonne soudainement furieusement, il tamponne son ventre fortement contre mes fesses à chaque pénétration qu’il effectue maintenant très profondément. Ce changement de procédé me surprend autant qu’il m’excite, mon sexe devient terriblement chaud et, ouiiii ! je jouis une fois de plus ! C’est bon ! Je sens son foutre envahir mon vagin, ça me brûle, mais c’est délicieusement bon. L’homme se plaque contre mes fesses et vide toute sa semence en moi. J’espère que lui aussi est clean, car je n’ai pas l’impression qu’il ait mis un préservatif. Il s’écroule sur moi, son souffle sur mon dos est chaud et rapide. Déjà son membre perd de sa raideur et je le sens glisser doucement vers la sortie. Sur ma langue je sens également encore un peu de foutre s’écouler, je l’avale au fur et à mesure avant de me reculer et de libérer ce sexe se ramollissant.


Tout comme celui qui est en train de glisser hors de ma chatte. Voilà ça y est, il a quitté son fourreau. Du sperme coule abondamment sur ma fente et le long de mes cuisses, je sens mon sexe tout moite, collant, gluant, un mélange d’odeurs remonte à mes narines. Je suis comblée. Je me retourne et reprends place sur mon fauteuil. Un homme me fait face, il est à genoux sur le fauteuil juste devant moi. Lorsqu’il me voit le regarder, il se déplace sur le côté et se colle contre le fauteuil. Je vois alors quelque chose dépasser de la fente que créent les deux dossiers. Non, ce n’est pas vrai, l’homme est en train de me présenter son sexe entre les deux dossiers des fauteuils, sans doute pour que le suce. Il n’est pas question que je reste là plus longtemps sinon je risque bien d’y passer le reste de ma vie.


Je lui fais signe que non, ramasse ma culotte que je ne prends pas le temps d’enfiler et reboutonne rapidement ma robe tout en me dirigeant vers la sortie. Juste devant la caisse, je termine l’accrochage des derniers boutons et me dirige vers le point de rendez-vous où je dois retrouver Franck, mon mari.