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Temps de lecture estimé : 9 mn
23/12/07
Résumé:  Nouvelle rencontre entre Laurent 47 ans et Julie 35 ans, Ils explorent leur sexualité avec passion, confiance, abandon, romantisme et surtout surtout beaucoup d'amour.
Critères:  fh hplusag couple amour voir exhib noculotte cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo jeu init
Auteur : Laurent  (Laurent 47 ans vient de rencontrer Julie 35 ans)      
Les petits seins de Julie



Ce que j’aime par-dessus tout, c’est de m’approcher derrière Julie et lui caresser ses petits seins, et ses fesses sous ses minis qui sont parfois très mini, dans des lieux et positions et situations du quotidien, quand elle fait la cuisine par exemple ; je tâte ses petits seins ronds et fiers sous son chandail, elle se met à gémir doucement, ça me rend fou, elle sait que j’aime ça, je lui fais parfois un peu mal, lui pince et mordille les seins pendant qu’elle lave la salade, elle gémit de plus en plus fort, elle aime ça aussi.


Hier Julie était au téléphone, je la couche sur le lit, je lui enlève sa petite culotte, elle me fait des gros yeux, sa petite chatte rasée fait mon bonheur, je lui replie les genoux et lui écarte largement ses jolies jambes, moi je me mets à regarder son sexe, j’adore ça, ses lèvres parfaites qui commencent à prendre une très jolie teinte luisante, son sexe rosé et rouge et humide et, à ce qu’il me semble, de plus en plus humide, simplement être là entre ses cuisses, je regarde sa fente, ma queue est déjà dure, j’y passerais la journée et Julie mouille comme c’est pas possible, ça la met dans tous ses états, elle se trouve très cochonne et très pute, ma petite pute à moi, rien qu’à moi, au téléphone avec un directeur au bureau, je crois.


Juste ça, pour l’instant, moi ça fait mon bonheur car je sais que je vais la baiser tout à l’heure, et elle aussi le sait, l’attend avec impatience. Mais là tout de suite, elle est finalement très excitée par la situation, toujours au téléphone avec le monsieur du bureau, elle descend sa main, veut se caresser, se soulager. Pas question, toujours étendue, le téléphone sur son oreille, ses jolies cuisses largement écartées, sa très mini-jupe remontée largement sous ses fesses, elle ne fait plus partie du décor la mini, même si mon coup de cœur et mon coup de queue à moi, c’est une fille en mini-jupe, c’est Julie en mini-jupe.


J’écarte ses lèvres avec mes mains d’hommes, pas petites, pas grosses, mais d’assez bonnes mains, c’est ce qui l’a fait flipper au début, à notre première rencontre, ma voix grave et mes mains, de belles mains qu’elle dit, des mains qui ont fait mouiller sa petite culotte, c’est ce qu’elle m’a dit plus tard, en rougissant et le rouge lui va très bien, partout. Je lui souffle alors sur le sexe, et là elle flippe carrément, elle a le souffle court, le monsieur du bureau lui demande si tout va bien.


Je souffle doucement dans sa petite grotte, ça coule encore plus, le souffle chaud et froid, ça l’excite, elle s’est remise à gémir doucement mais de moins en moins doucement mais je ne veux pas qu’elle raccroche. « Continue de parler », je sais qu’elle aime ça, sous ses dehors de petite fille sage se cache un volcan, je suis en train de la débaucher, à son rythme et pas toujours à son rythme, je sais qu’elle a parfois un peu peur mais elle me fait confiance, elle m’aime et moi aussi. Je crois que c’est par cela que je l’aime, parce qu’elle me fait confiance.



Je joins mes doigts maintenant, ma queue me fait mal, tellement je suis bandé, elle se mord les lèvres, celles d’en haut, elle est mouillée mes amis, c’est pas possible, du miel doré. Je la fouille maintenant plus durement entre mes doigts, fouille son puits dans tous les recoins, elle essaie de résister mais c’est difficile. Elle dit quelque chose au téléphone au monsieur du bureau « Oui, à lundi. », je pense.


Là je remplace mes doigts par ma langue et mon nez, je la fouille, mon nez va partout et ma langue aussi, c’est la totale, j’ai appris à Julie qu’un nez pouvait avoir différentes fonctions. J’adore la sentir, son odeur est enivrante, sucré-amer, une odeur de chatte en chaleur et d’interdits qui foutent le camp. Je la suce, la mange, la dévore, dévore ses petites lèvres, son clito et les grandes aussi tant qu’à y être, j’avale tout, tout ce qui est là, sa sève, son suc, son cœur, son amour. Je force son ventre, je la pénètre avec mon nez encore, comme une petite bite, enfin, oui petite parce que j’ai pas un si gros nez, bon.


Et là impossible de résister, son joli petit cul se soulève encore et encore, Julie n’appartient plus à cette planète, elle jouit de façon impudique, crie, se laisse aller contre moi et me colle, m’embrasse, se love contre moi, elle atterrit doucement, dit qu’elle m’aime, je crois que c’est vrai, moi aussi mon cœur bat très fort, moi aussi je l’aime.


Elle prononce ces paroles éternelles « Mon dieu que c’était bon », je ne m’en lasse pas, elle est encore dans les vapes, les yeux fermés pour s’imprégner, elle me tient la main très fort. Je me colle à elle et on reste là, le temps de bien faire entrer tout ça dans chacune de nos cellules. Puis elle dit que je n’ai pas joui, les yeux toujours fermés, un petit sourire aux lèvres, les lèvres d’en haut. C’était vrai et c’était pas vrai non plus parce que moi, la voir jouir et savoir qu’elle m’aime, moi, j’avais déjà eu mon orgasme mais je ne lui ai pas dit, je suis pas fou.


Elle ouvre des yeux humides de jouissance, avec une drôle d’expression sur le visage mais ma queue et mon cœur savent que ça annonce de belles choses car les deux se mettent à gonfler.


Elle se lève sur les genoux, se recule un peu pour que j’admire, elle est tellement belle que j’en ai mal. Elle s’approche, enlève seulement le haut parce qu’elle sait que j’aime la voir en mini-jupe, sa mini est très courte aujourd’hui, noire, volante, ça me vire de bord. J’aime ce mot « mini-jupe », ça me fait bander juste à le prononcer, le pouvoir des mots, il porte à sa manière toute la féminité, la sensualité et la perversité de la femme.


Mais aujourd’hui j’ai envie de la voir nue, plus que nue, non, oui de la voir, de la sentir, de la toucher, de la pénétrer, oui, non, plus que ça encore.


Je l’embrasse doucement sur les lèvres, je veux commencer doucement, même si ma soif de sa peau, de ses seins, de son dos, de ses petites fesses, de son ventre, de ses jambes, de ses yeux, ses lèvres, de son cœur et de son âme me fait mal au ventre, une soif d’homme perdu dans le désert depuis mille ans.


Je veux la voir entièrement nue tout de suite, vite, là, tout de suite.


Elle me sourit et avant d’enlever sa très courte mini noire, volante, avec un clin d’œil et un sourire à faire fondre la moitié de l’Antarctique, elle la soulève et elle écarte ses jolies cuisses et m’offre la vision du plus beau sexe de la terre, encore ruisselant et gonflée de désir et d’amour.

Je suis soufflé, qu’avait dit Goethe ? « Arrête-toi, Instant, tu es si beau », je crois. J’aurais voulu arrêter le temps pour en capter toute la douleur et l’éternité.


Julie enlève ensuite sa mini, de la manière qui me plaît, lentement, en balançant ses hanches. Ça me rend fou, elle le sait et en profite. Mon dieu que les filles sont belles, quand elles balancent leurs jolis culs en se déhanchant pour se déshabiller, elles le savent toutes.


Elle est maintenant totalement nue. Je m’approche, la gorge serrée, Julie me présente ses seins adorables avec ses mains, fruits mûrs de passion et d’amour, comme une offrande à un dieu païen. Je prends ses deux pommes dures dans mes mains, j’aime la fermeté de ses seins, leurs douceurs, ils sont petits, je les caresse, les suce et les mordille, elle gémit. Julie aime ses seins, donc j’aime ses seins, elle aime son corps, ce n’est pas bien difficile de toute façon mais je connais beaucoup de filles qui auraient trouvé le moyen de se plaindre avec ce corps. Pas Julie, c’est pour ça que je l’aime.


Je la couche sur le lit et l’embrasse à perdre haleine, puis je ralentis, je veux goûter ses lèvres, ses dents, sa langue. Mes mains sont toujours sur sa poitrine, ma bouche les remplace, Julie gémit, elle adore ce traitement, elle a découvert qu’elle pouvait jouir juste à se faire caresser ses petits seins. Elle attrape ma queue et me caresse doucement, je suis déjà très dur. Julie est aussi très excitée, elle mouille encore, gémit fort quand je lui mords les seins, elle adore, elle aime tout ce que je lui fais, je l’amène sur des planètes nouvelles et elle est partante. Elle découvre qu’elle aime être ma petite chose à moi, même si elle a un peu honte mais ça la fait mouiller terriblement d’être ma petite pute à moi et que je peux tout lui faire.


Puis tout d’un coup, impatiente, c’est assez, elle veut son mâle, là, tout de suite, elle écarte elle-même ses jolies cuisses rondes et pleines, ouvre à deux mains son sexe qui est devenu fontaine et je la pénètre sauvagement, d’un seul coup. Mon Dieu que c’est bon, chaud, doux, violent, j’entre comme St-Pierre au paradis. Elle crie, feule, m’ordonne de continuer, qu’elle est ma petite pute et que je peux lui faire ce que je veux. Elle est redevenue dans un état second, moi je pilonne et pilonne, parfois durement et parfois lentement. Elle crie, gémit, crie encore qu’elle m’aime, sa tête balance de gauche à droite, elle m’embrasse.


Je lui dis que demain, je vais l’amener dans des boutiques, qu’elle mettra sa plus courte mini-jupe, je lui enlèverai sa petite culotte, on ira s’acheter des chaussures et d’autres mini et qu’au restaurant, on fera plein de choses cochonnes, et on s’amusera à observer le regard des hommes sur elle, j’adore que les hommes la regardent et elle aussi de plus en plus, un regard subtil qui signifie en gros :



Elle s’arrête, se tourne à quatre pattes et m’offre ses fesses, ses très jolies fesses, Julie a un petit cul de pouliche, je la prends par ses hanches et la baise encore et encore. Dieu que j’aime la baiser par derrière, c’est bestial, animal, éternel, mâle et femelle, elle adore ce nouveau jeu qui consiste à s’abandonner et à m’aimer.


Mais elle veut m’offrir plus, elle se penche sur le lit, elle veut m’offrir son cul, son petit cul relevé, elle est adorable, je ne l’ai jamais enculée, ni moi ni personne, mais elle sait que j’aimerais la prendre ainsi. Elle me fait ce cadeau. J’arrête la chevauchée fantastique et lui caresse ses petites fesses avec mes mains puis ma langue se fraye un chemin dans son petit cul, qu’est-ce que j’aime cette caresse et elle aussi, elle aime, elle gémit de longues minutes et encore plus fort quand mes doigts fouillent sa fente trempée. Quand je sens qu’elle commence à se détendre, je mets un doigt dans son petit cul, puis mon pouce, lui dit que je l’aime, je ne veux pas qu’elle souffre, je reprends les caresses de ma langue sur sa rosette, la remplit de salive et de miel, Julie ronronne comme un petit chat, comme une petite chatte. J’aurais continué toute la vie.


Mais mon amour est impatient de m’offrir ses fesses, dit qu’elle sait que ça va faire mal mais qu’un cadeau, c’est donner quelque chose de soi. Comment ne pas l’aimer !


J’approche ma queue de son petit cul et commence à la pénétrer. Elle retient son souffle, je caresse son clitoris et pousse. Je sens qu’elle a mal, elle ne dit rien, me dit de continuer, elle veut me donner ses fesses, tout à coup la tête de ma queue entre, le plus dur est fait. Je me rends au fond très doucement, son petit cul est très étroit, je ne veux pas lui faire de mal mais quel bonheur, mon Dieu quel bonheur. Je m’enfonce doucement, elle me fait signe que ça va, de continuer, qu’elle s’habitue et de me laisser aller. Bien mon capitaine. Je bouge tout en la caressant, je n’en peux plus, c’est divin, j’explose de mille feux d’artifice et lui envoie dans ses petites fesses un torrent de sperme chaud qui la fait jouir aussitôt.


Si j’étais incertain de sa présence, maintenant je n’ai plus aucun doute, Dieu existe bel et bien.