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n° 12131Fiche technique10506 caractères10506
Temps de lecture estimé : 7 mn
30/12/07
Résumé:  Dans un tram bondé, je masturbe une jeune femme qui m'entraîne chez elle. Son compagnon arrive sans prévenir.
Critères:  fh jeunes couleurs inconnu train intermast cunnilingu pénétratio -occasion -train
Auteur : De Maupassant
Rencontre fortuite

Ce soir-là, je rentrais du boulot en tram, comme d’habitude, crevé. Il était une fois de plus bondé, et je me retrouvais collé contre les portes, du côté où elles ne s’ouvraient pas, planté sur les marches. Il faisait étouffant et les gens semblaient nerveux. C’était en plein mois d’août.


Je tentais de faire le point sur ma journée, anticipant déjà celle du lendemain. J’étais plongé dans mes pensées quand le tram s’immobilisa à un arrêt. Il y eut, comme à chaque halte, des bousculades. Les gens qui tentaient de sortir devaient se frayer un chemin à travers ceux qui voulaient entrer. Au hasard des bousculades, je me retrouvai, lorsque le tram redémarra, nez à nez avec une Équatorienne.


Elle semblait encore jeune. Dans la vingtaine, à première vue. Elle n’était pas très grande. Mais très excitante ! Comme j’étais un peu en contrebas sur les marches du tram, mon visage était à proximité de sa poitrine. Elle portait un top noir, une jupe assez courte recouvrait le haut de ses cuisses bronzées. Nos regards se croisèrent. Elle me sourit et se rapprocha imperceptiblement de moi. Je me retrouvai finalement le visage contre ses seins. Le tram était tellement noir de monde compacté que personne ne faisait attention à nous.


La tension se mit à monter dans mon entrejambe. La belle se collait littéralement à moi. Ses intentions étant très claires, je décidai timidement d’en profiter. Le sang battait dans mes tempes, j’entrepris une timide caresse du revers de la main sur une de ses cuisses. Elle ne fit pas mine de se dégager. Je caressai donc ses cuisses des deux mains, remontant petit à petit vers le haut. Elle semblait apprécier et ne bougea pas. Mes mains se glissèrent sous sa jupe. Mon cœur battait de plus en plus fort. Je finis par lui caresser vigoureusement les fesses. Elle semblait apprécier.


Le tram s’arrêta brusquement. Nouveaux mouvements de gens qui entrent et qui sortent. Ma belle se dégagea de mon emprise. Déçu, je pensai qu’elle descendait à cet arrêt mais à ma grande surprise elle ne fit que se retourner. Elle me présentait maintenant son dos. Je ne sus pas comment interpréter cette situation. Avait-elle profité d’un petit pelotage dans les règles et décidé qu’elle en avait eu assez ? Je n’osais plus bouger.


Mon nez était maintenant face à ses omoplates. J’admirai le grain de sa peau parfaitement bronzée. Je sentais le doux parfum de ses cheveux. J’entrevoyais le rouge de la bretelle de son soutien-gorge. J’étais hypnotisé. Tout à coup, comme elle trouvait sans doute mon hésitation trop longue, ses mains vinrent prendre les miennes et les placer sur ses hanches, sous sa jupe ! La situation était claire, elle en voulait plus !


Je promenai mes mains à l’intérieur de ses cuisses. J’arrivai à son slip, que je trouvai très doux. Nous étions toujours entourés de plein de gens qui ne se doutaient pas une seule seconde de ce qui était en train de se passer là, sous leurs yeux… La situation devenait torride. Je glissai un doigt sous le coton de sa culotte, dans la fourche de ses cuisses. Il y faisait clairement humide. J’entrepris d’y glisser un deuxième doigt, puis un troisième, puis toute la main…


Je ne parvenais pas à réaliser que cette situation était réelle : j’étais en train de masturber une magnifique inconnue dans un tram, devant tout le monde ! Je sentais qu’elle essayait de rester imperturbable mais elle ne pouvait s’empêcher de se tortiller sous l’effet du plaisir. Elle finit, quelques minutes plus tard, par pousser un long soupir. Elle n’avait pu totalement réprimer son orgasme. Une femme se retourna vers elle un instant, intriguée par ce soupir si particulier, puis se replongea dans son magazine.


De mon côté, je sentais ma verge sur le point d’exploser tellement cette magnifique créature m’excitait. Même collés comme nous étions, il m’aurait été difficile de la pénétrer là, sur place, alors que j’en crevais d’envie. Il aurait fallu que je déboutonne mon pantalon, et que je remonte d’une marche ou deux ! La situation, excitante au départ, en devenait frustrante. J’avais peur que le tram s’arrête et qu’elle descende, avant même que j’ai pu éjaculer en elle. Je ne pouvais plus tenir… Ma belle Équatorienne se retourna à nouveau, me fit un grand sourire et, me regardant dans les yeux, me murmura :



Elle avait une voix exquise ! J’étais envoûté par la personnalité qu’elle dégageait, par son parfum, par le souvenir de son orgasme si puissant… Le tram s’arrêta, et elle poussa les gens devant elle pour descendre. Je n’eus qu’un court instant d’hésitation, et je la suivis. Elle m’entraîna dans un quartier que je ne connaissais pas. Elle marchait devant moi, à un ou deux mètres de distance, en tortillant son petit cul de déesse. J’en devenais littéralement dingue ! Le désir montait en moi, mon entrejambe gonflé à bloc. Je me demandais où elle pouvait bien m’emmener.


Elle s’enfonça dans une petite rue, s’arrêta devant une porte, sortit une clef de son petit sac et ouvrit la porte. Elle s’y engouffra en la laissant ouverte. Je la suivis, hypnotisé par le balancement de ses hanches et le maintien de ses épaules. Elle monta au premier étage et m’attendit, devant sa porte ouverte, les yeux rieurs.


Je crus à cet instant qu’elle allait me dire de rentrer chez moi, qu’elle s’était jouée de moi et qu’elle ne m’avait entraîné chez elle que pour voir jusqu’où allait son pouvoir de séduction. Mais, à ma grande surprise, elle me fit entrer, me poussa jusqu’à un large canapé trois places sans accoudoir. Elle se jeta dessus, sur le dos, enleva sa culotte et écarta les cuisses.



La vision de cette fille étendue paresseusement sur le dos, les cuisses écartées, sa toison noire fournie, son clitoris offert… Je me ruai sur elle et plongeai ma langue entre ses cuisses. Elle, les jambes relevées vers le ciel, profitait de ce moment qui semblait lui être agréable. Je lapais son sexe avec entrain depuis quelques minutes, excité par ses petits gémissements, quand j’entendis tout à coup une clef tourner dans la serrure. Je n’eus que le temps de me relever. Ma belle Équatorienne se redressa en sursaut et jeta sa culotte derrière le canapé. Un homme entra dans la pièce. Petit, trapu, il devait être Équatorien lui aussi. Ses mains et ses bras étaient pleins de plâtre. Il travaillait apparemment dans le bâtiment. Il avait l’air fatigué et de mauvaise humeur. Elle ne l’attendait pas si tôt, visiblement.



Ils échangèrent quelques mots en espagnol. Le ton était froid. Le couple ne devait plus aller très bien depuis quelques temps. Puis l’homme se dirigea vers une autre pièce. J’entendis le bruit d’une douche que l’on ouvre, l’eau ruisseler…


Je me tournai vers mon Équatorienne, pensant que, vu la situation, elle allait me mettre dehors séance tenante et irait essayer de recoller les morceaux avec son compagnon. Au contraire, tout en me fixant de son regard de braise, elle remonta sa jupe sur ses hanches, découvrant ainsi sa chatte si accueillante et se mit à quatre pattes sur le divan en me murmurant :



Stupéfait devant son audace, je n’y tins plus ! Je me jetai sur elle, me contentant de sortir ma verge en érection à travers ma braguette, l’agrippai solidement par les hanches, et la pénétrai d’un seul coup jusqu’à la garde.


Elle gémit de plaisir. Je faillis perdre connaissance, tellement c’était bon ! J’entamai un mouvement de va-et-vient, en essayant d’être le moins bruyant possible. J’étais tellement excité qu’il m’était difficile de ne pas claquer mes hanches contre ses fesses à chaque mouvement. Je sentais avec volupté mon gland glisser le long des parois de son vagin chauffé à blanc. Je l’entendais retenir ses gémissements, péniblement. Je voyais ses fesses bien fermes rebondir. Et ça m’excitait encore plus… Pendant ce temps, la douche coulait de l’autre côté de la pièce.


J’aurais voulu pouvoir profiter de cette croupe magnifique tout à mon aise, la déguster à petits coups de verge, glisser mon gland hors de cette chatte ronronnante, l’y réintroduire à nouveau, prendre tout mon temps. Mais je savais que ce n’était pas possible, la douche allait s’arrêter, le gars allait revenir et je ne voulais pas risquer une confrontation avec ce petit Équatorien à l’air nerveux.


Ne pouvant plus tenir, je sentis une douce sensation naître à la base de ma queue et ma semence chaude se propager à travers les canaux de ma verge, ne demandant qu’à sortir violement, au travers de spasmes incontrôlables. Ma belle amazone était de moins en moins discrète, elle ne parvenait plus à retenir ses gémissements. Aussi, tout en continuant à lui administrer de grands coups de boutoir, je me penchai sur elle et mis ma main sur sa bouche. La vue de ce beau visage haletant sous l’effort eut raison de moi, et je jouis violement en elle.


Je sentis aussitôt son corps se crisper ; plusieurs spasmes lui secouèrent la poitrine. Je venais de la faire jouir pour la seconde fois de la journée, ma main sur sa jolie bouche étouffant son cri.


Je m’étendis à côté d’elle, ma queue toujours en elle. Elle s’en dégagea en se trémoussant sensuellement, se retourna et, à ma grande surprise, me prit en bouche. Elle lécha lentement les dernières gouttes de sperme qui s’en échappaient, en plongeant son regard dans le mien. J’en fus tout retourné !


Le bruit de la douche finit certainement par s’arrêter, le couple se réconcilia peut-être, mais j’étais déjà dehors depuis longtemps, la culotte de ma belle Équatorienne en poche, en guise de souvenir.