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Temps de lecture estimé : 8 mn
31/12/07
Résumé:  Une séance au cinéma que je n'ai pas souhaitée... L'obscurité qui libère les pulsions de ma voisine et, d'une façon inattendue, de notre couple...
Critères:  fh couplus extracon inconnu collègues cinéma voiture amour entreseins fellation cunnilingu -totalsexe -extraconj
Auteur : Lauriolan            Envoi mini-message
Salle obscure



C’était un garçon que je ne connaissais pas qui avait lancé l’idée. Nous nous étions retrouvés pour le pot de fin d’année avec les collègues de ma femme qui travaille dans une société d’informatique. Déjà, je trouvais cette idée saugrenue, que d’avoir invité les conjoints à cette réunion interminable, mais en plus, il fallait remettre ça ! Manon réussit à me convaincre, au moins dans l’idée de lui faire plaisir… Elle qui me reprochait souvent de ne pas assez sortir !


Il faut dire que ma charmante épouse, avec qui je ne suis marié que depuis un an, sait toujours trouver les arguments pour emporter ma volonté.



Son audace ne m’étonne plus maintenant, et je ne vais certainement pas m’en plaindre, car elle m’excite tellement avec sa belle poitrine un peu lourde et en même temps sa taille et ses jambes si fines. En regardant son joli visage et son regard pétillant, je n’ai pu répondre ce jour-là, comme d’autres fois, que par un tendre baiser sur sa jolie bouche !


Quelques minutes plus tard, alors que je relevais sa jupe pour dévoiler son superbe cul et glisser mon sexe en elle, je repensais à cette soirée prochaine où il faudrait voir un film que je ne choisirais pas. (Je déteste ces décisions de groupes qui ne satisfont personne…) Mais comme c’était bon d’être en elle, dans ma jolie brune coiffée à la garçonne, qui maintenant ondulait de la croupe, avec le risque de se faire surprendre par les voisins !


Nous nous sommes retrouvés trois jours plus tard au ciné. Nous étions assis au milieu de la salle. J’étais entre Manon qui était à ma gauche et une belle inconnue que j’avais remarquée l’autre soir. Nous étions assez nombreux mais cette femme ne passait pas inaperçue, avec ses très jolies jambes dont elle était certainement fière, car une fois encore elle portait une jupe très courte ! Mon regard n’eut pas le temps de s’attarder sur ses somptueuses cuisses largement dénudées car la séance avait déjà commencé.


Je ne pourrais vraiment rien dire du film que nous avons vu ce soir-là, une sorte de plaidoyer politique un peu rasoir que je ne serais jamais allé voir seul et dont j’ai même oublié le titre. Il faut dire que j’eus des raisons pour oublier ce que j’étais sensé venir voir ce soir-là…


Alors que je sentais la douce main de Manon serrée contre la mienne et que le film n’avait pas commencé depuis dix minutes, j’eus presque un soubresaut au contact sur mon épaule des cheveux longs et soyeux de ma blonde voisine. Elle avait posé sa tête contre la mienne ! J’étais comme enivré par ce contact imprévu et la puissante odeur de son parfum capiteux. Mais je n’eus pas même le temps de réaliser ce qui m’arrivait que ma belle inconnue m’avait pris la main pour la diriger vers l’intérieur de ses cuisses. Je ressentis la douceur satinée de sa peau et en même temps, de mon autre main, le contact des doigts caressants de ma femme. J’avais l’impression que cette dernière par le simple fait de me toucher ressentait ce que je ressentais moi-même, ces frissons délicieux qui me traversaient le corps…


Ce n’était pas possible que Manon ne se rende compte de rien. Et en même temps, il m’était impossible de me libérer de ce contact inattendu avec la superbe femme qui se lovait désormais contre moi. Elle repliait maintenant ses cuisses de telle sorte que j’aurais pu croire qu’elle voulait monter sur mes genoux ! Mais l’effet le plus immédiat fut surtout que ma main glissa d’elle-même jusqu’à sa culotte et que je sentis bientôt sous mes doigts à travers le fin tissu, la chaude humidité de son sexe. Au même instant, ma chérie serra ma main plus fort, se pencha vers moi pour m’offrir un baiser sur la joue et sans un mot se leva !


J’étais maintenant convaincu que rien n’avait échappé à mon épouse. Je ne voulais pas la perdre sur un coup de folie absurde. Il fallait que je sorte, que je m’évade de ce rêve éveillé avant qu’il ressemble à un cauchemar ! Alors que j’allais me lever, en me tournant sur la gauche, je vis soudain cette place vide : Le garçon à côté de ma copine avait disparu avec elle !


Je ne sais pas ce qui l’emporta, de l’abattement ou de la rage, de voir ainsi ma femme si rapidement partir au bras d’un autre. Mais les tendresses de ma voisine, auxquelles j’avais répondu jusqu’alors timidement sans trop y croire, j’avais désormais brutalement envie de les devancer. Mais ma sublime partenaire ne m’en laissa pas le temps, elle tourna légèrement la tête et susurra à mon oreille :



Tout cela ne devait pas être réel : ma femme qui partait en pleine séance avec un autre, cette superbe inconnue qui, joignant le geste à la parole, me proposait une pipe… Pourtant, sa main qui délicatement me caressait entre les jambes ne me laissait maintenant aucun doute. Je ne pouvais pas même ouvrir la bouche, et c’est d’un geste, en dirigeant ses doigts vers mon sexe, que je lui fis sentir (au propre comme au figuré) mon désir pour elle.


Quel bonheur que de voir sa chevelure longue, fine et soyeuse se pencher vers mon entrejambes, et de sentir ses mains habilement libérer ma verge ! Et puis, cette douceur chaude et humide de sa bouche suçant mon gland, qui coulissait bientôt bien profond tout au long de ma bite. Elle me pompait consciencieusement avec lenteur, et je suis incapable de dire combien de temps cela dura. Elle n’abandonna finalement qu’un instant son délicieux labeur pour me glisser doucement à l’oreille :



Elle reprit sa sublime fellation pendant que je soulevais franchement sa jupe pour masser le sillon de son cul et bientôt m’attarder sur sa rosette. Au même moment, elle accélérait les mouvements de sa tête et quand j’introduisis mon pouce dans le trou de son cul, elle commença à se trémousser comme si elle me pompait le pouce en même temps que le sexe, avec son beau postérieur !


Notre attitude était devenue totalement indécente, car s’il n’y avait pas de voisins immédiats du côté de ma partenaire, ceux qui étaient un peu plus loin ne pouvaient rien rater du spectacle. Au moment même où j’éjaculais dans sa gorge, je sentis une main se poser sur la mienne ! Ma femme était revenue s’asseoir à mes côtés et elle n’était pas revenue seule !


J’étais dans une position délicate pour lui faire le moindre reproche, y compris lorsque je vis que son voisin avait glissé sa main entre ses cuisses ! Ce que je ressentais auprès de Manon dans une pareille situation était pour moi totalement inattendu. J’avais pour elle une très grande tendresse et lorsqu’elle posa un doux baiser à mon oreille pour me glisser tout doucement :



Ces quelques mots dans leur simplicité, qu’elle n’avait pas prononcés depuis quelques temps, me firent fondre littéralement. Ma jolie blonde continuait à me lécher délicatement le sexe pour ne pas oublier la moindre goutte et je distinguais mon épouse plus belle que jamais, la poitrine tendue sous son T-shirt blanc. Manon continuait à me parler :



Ce que j’avais deviné, je le sentais sous ma main, la chaleur de sa peau nue jusqu’aux tétons gonflés et granuleux. Elle avait ôté son soutien-gorge ! Mes doigts glissaient contre ses somptueux nichons et ce que je ressentis bientôt sous mes doigts, ce n’était pas seulement sa sueur, mais un liquide épais, poisseux, qui adhérait à ma peau ! Ma petite Manon, ma jolie Manon, avait la poitrine maculée de sperme !


Et puis, elle orienta ma main vers ses cuisses, et une fraction de secondes, je frôlai la main de l’inconnu ! Sans doute surpris, il la retira aussitôt, et j’eus tout le loisir de sentir contre ma peau la chaleur brulante du sexe nu de ma chérie. Il était maculé de la même texture poisseuse qui adhérait à mes doigts. Instinctivement, je me blottis contre elle, mon visage lové contre son sein. Le bouton turgescent de son mamelon formait un relief vraiment très excitant sous le fin tissu blanc. Mais ce qui était enivrant c’était aussi cette odeur de foutre qui émanait puissamment de son corps.


Alors que de ma main droite, je caressais doucement la chevelure soyeuse de ma partenaire inconnue qui venait tout juste de libérer ma verge de son sublime écrin, Manon me demanda si nous pouvions nous en aller. J’eus juste le temps de glisser à ma jolie blonde un « merci » et un tendre baiser sur le front… Quelques minutes plus tard, nous étions, ma femme et moi, seuls sur la banquette arrière dans une ruelle obscure où nous étions garés…


C’était ce même sentiment étrange, à la fois d’une distance qui s’était placée entre nous, et d’une troublante complicité par le spectacle de cette intimité que nous nous offrions l’un et l’autre. Elle devança ma curiosité sans que j’aie à lui poser la moindre question, comme si elle voulait me rassurer.



Je la voyais maintenant plus distinctement, même sous le faible éclairage de la ruelle. Elle était plus belle que jamais. Sa généreuse poitrine était littéralement moulée dans son T-shirt et ses sombres aréoles tuméfiées étaient clairement visibles sous l’effet du sperme qui les faisait adhérer au tissu devenu transparent. Mon regard obnubilé par ce spectacle croisa bientôt le sien qui était maintenant plus que jamais complice. C’est en me regardant fixement et tout en gardant dans son expression un joli sourire affectueux qu’elle me dit :



Avec ses mots, elle me prit la main qu’elle caressa tendrement et la fit glisser sous son vêtement pour que je libère sa poitrine. La vision de ses seins qui n’étaient plus couverts que par le liquide blanc et transparent de l’inconnu, me refit bander immédiatement ! Et je précipitai ma bouche au contact de son téton gluant pour commencer à la lécher avec application, comme un chat qui ferait la toilette de sa maîtresse…


La saveur âcre et salée de la semence d’un autre homme sur le corps de Manon était magnifiée par le goût étrange de l’interdit que nous nous étions fixés jusqu’alors. Et pendant que je lapais les nichons de ma femme, je repensais avec délices à son acceptation de me voir tout à l’heure me faire sucer par une inconnue ! Après avoir nettoyé avec volupté chacun de ses seins et avec un délice particulier le profond sillon qui les sépare, je m’appliquai à lécher son nombril, et bientôt sa chatte. L’odeur de foutre séché était plus puissante encore qu’au cinéma, et particulièrement lorsqu’elle était mêlée à l’odeur de son sexe.


Je fourrai ma langue entre les poils collés et gluants de sa toison intime et les suçai pour les libérer de la moindre « souillure ». Ma langue s’insinua alors dans sa fente, elle aussi gorgée du liquide visqueux, ce contact provoqua chez elle de petits soupirs de jouissance…


Je me mis à m’imaginer l’instant où ce type gicla sur elle. C’était peut-être celui où j’avais éjaculé dans la bouche de ma voisine… Comme si à ce moment nous avions fait l’amour à distance, par l’intermédiaire de partenaires anonymes ! Les petits cris que poussait maintenant Manon m’aidaient à imaginer la scène de sa jouissance quand son partenaire s’était branlé contre elle !


Quelques instants plus tard, Manon était blottie dans mes bras, entièrement nue. Elle me remercia d’un profond baiser où sa langue vint se frotter à la mienne. Je réalisai rapidement que la saveur délicate et puissante de sa bouche n’était pas due qu’à sa seule salive… Et je l’imaginai dans les toilettes tout à l’heure, plus entreprenante encore que je l’avais cru…